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Jour X
sous-titre
Heure : 20 Heures
Lieu : Au restaurant de l'hôtel
Contexte : Léonora mange au restaurant de l'hôtel et tombe nez à nez sur Nathan, alors qu'elle pensait qu'il était dans le coma voir mort à l'heure qu'il est. Ils mangent ensemble, mais le repas risque de très mal se passer.
Participants : Nathan G. Prescott
Lieu : Au restaurant de l'hôtel
Contexte : Léonora mange au restaurant de l'hôtel et tombe nez à nez sur Nathan, alors qu'elle pensait qu'il était dans le coma voir mort à l'heure qu'il est. Ils mangent ensemble, mais le repas risque de très mal se passer.
Participants : Nathan G. Prescott
Qu'est-ce que c'était long le vol de Cambridge à ici ! J'en avais marre de rester assise dans un avion et à regarder les nuages. Je m'ennuyais au point que j'ai dormis pendant le restant du vol. Mais comme nous étions tous arrivés et avions nos chambres. Je suis partie dans la mienne pour ranger mes affaires dans les commodes et le placard que j'avais à disposition. Je m'étais habillée avec un short et un débardeur, mais je n'arrivais pas à me décider pour ma coiffure. Devrais-je laisser ma longue chevelure brune détachée ou devrais-je tressés les cheveux ? Oh puis brun ! Si les gens ne sont pas contents à la vue de mon visage qu'ils regardent ailleurs ! Après tout, je les emmerdes ! Ils ne me connaissent pas et n'auront pas le temps de me connaître d'avantages. Je coiffai mes cheveux et fixai la grande cicatrice qui se trouvait sur mon visage. Elle commençait de mon œil droit, passant par mon nez et se terminait par le coin gauche de ma lèvre supérieure. J'étais vraiment une gueule cassée, mais surtout une tapette à mouche et ça me faisait assez chier. Une fois prête, je descendis au restaurant pour dîner. Il y avait beaucoup de monde dans les environs. Une boule d'angoisse monta dans ma gorge, j'avais peur que l'on me regarde comme si j'étais un véritable monstre... Bon, j'avais dit que je m'en fichais, alors pas besoin d'être effrayée comme ça. Je m'avançais vers une table près de la fenêtre et pris place. J'attrapais le menu et le lisais. Un soupire s'échappa de mes lèvres à la vue des prix, mais bon...J'étais assez riche pour pouvoir me payer les dîners au restaurant.
(Invité)