C'est le six janvier mille neuf cent quatre-vingt-douze à Paris, capitale française et ville lumière, que les membres de la famille Disney Miller (rien que ça) m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Otto Yves-Henri. Je suis célibataire (bien qu'en âge de changer ça officiellement, dixit mes parents) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro, évitant ainsi une crise cardiaque à ma mère et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de langues (anglais) en majeure et théâtre en mineure depuis sept (j'ai sauté une classe) ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les ELIOTS ou les WINTHROPS.
Otto a grandit avec une cuillère en argent dans la bouche. Il a passé toute son enfance a baigné dans un luxe excessif et cette vie soignée l'a influencé. Il a toujours été, sans même forcément le vouloir, inclus dans une sorte d'élite. Ses parents ont fait en sorte qu'il fréquente les meilleures écoles privées, l'amenant ainsi à fréquenter ses semblables. Sans être de ceux qui regardent en permanence les autres de haut, il est fier de ses origines et des succès de ses parents (et de ses grands-parents) et ne s'en cache pas. Il aime la compagnie de personnes avec qui il estime avoir des points communs, tout en restant un garçon sociable. Il a les airs du gosse de riche tiré à quatre épingles qu'il est, mais ne dégage pas une impression de froideur : il est souriant et sait mettre les autres à l'aise. Néanmoins, il est aussi plutôt catégorique sur bon nombre de sujets : il n'a notamment pas de respect pour les gens qui s'emploient à se bousiller la santé. Il ne tolère pas la cigarette et toutes autres substances néfastes. Il ne comprend pas qu'on puisse ne serait-ce que tomber aussi bas. Les MATHERS représentent à ses yeux les parias de la société et il a beaucoup de mal à faire preuve de compassion envers eux, car ils semblent en plus se délecter fièrement de leur statut de défoncé de service. Il les trouvent pathétiques.
En somme, Otto est un garçon façonné par l'éducation bourgeoise qu'il a reçu. Il est adorable, doux à souhait, tant qu'on va dans son sens et peu devenir capricieux et blasé lorsque ses désirs ne deviennent pas des réalités. Il ne s'estime pas condescendant, mais peu être très dur dans sa façon de parler (il répugne à mâcher ses mots, estimant qu'il est mieux d'être direct, histoire de réduire les espoirs éventuels). C'est la folie comme un garçon passionné par l'écriture peut être incapable de faire preuve d'une réelle diplomatie lorsque son égo se retrouve touché, d'une manière ou d'une autre. De par son caractère, Otto se sentira donc sans nul doute à sa place parmi les bleus, à la ELIOT house.
WINTHROP.
L'évidence est qu'Otto pourrait aisément trouver sa place au sein de la seule confrérie entièrement masculine d'Harvard. Il répond en effet aux caractéristiques dressées du WINTHROP. de base, si on peut dire ça comme ça. Pour se l'être fait répéter sur tous les tons, Otto se sait beau, charismatique, intelligent (et riche, par dessus le marché). Il a bel et bien confiance en sa petite personne et ne s'en cache pas le moins du monde. L'attirance, c'est attirant, bien plus du moins que l'incertitude et la timidité qui peut aller avec. Facile à vivre (plus ou moins, nettement plus que moins) et sociable, il n'a jamais éprouvé la moindre difficulté à creuser sa place au sein d'un groupe et estime les amitiés masculines comme importantes. De façon plus général, l'amitié prime pour lui. Il aime avoir le loisir d'affirmer que les amis qu'il se traîne depuis l'enfance le sont toujours aujourd'hui. A ses yeux, c'est une fierté, tout bonnement. Cela montre qu'il est constant dans son ressentit et qu'on peut avoir confiance en lui. Pour ce qui est des filles, elles demeurent bien naturellement l'un des sujets de conversation favoris d'Otto. Il les aime et les respecte, ne répondant guère au cliché du mec trop assuré qui ne pensent jamais à ce que peuvent bien ressentir les autres. Non, il n'a pas été éduqué ainsi (le contraire aurait été étonnant vu qu'il n'a pas moins de trois soeurs, deux étant plus âgées que lui et la troisième plus jeune). Il ne couche pas à droite/ à gauche ou du moins il n'en fait jamais une habitude et compte quelques histoires d'amour à son actif (histoires parfois rapidement écourtées, pour une raison x ou y, mais peu importe). En dehors de ce côté sociable, Otto est un garçon qui aime prendre soin de sa personne : il a été élevé dans l'idée que son corps est un temple et il en prend soin. Il n'avale pas n'importe quoi, n'importe quand et s'entretiens beaucoup, notamment en pratiquant différents sports. Le physique compte, tout le monde le sait et tout le monde ne l'accepte pas. Otto l'a assimilé et il se préserve dans cette optique.
Otto a eut la chance de ne pas se trouver dans un lieu qui fut très touché lorsque les bombes ont éclatés, ravageant le paysage sur leur passage, fauchant des vies et en mettant d'autres plus ou moins en danger. Lui était pour sa part en train de s'adonner à une activité sportive, au sein du complexe athlétique de l'université et il s'en est sortit avec quelques sueurs froides et égratignures. Sur le coup, à vrai dire, il n'est pas sûr d'avoir réalisé ce qui était en train de se passer. Le monde a miroité dans la seconde alors que la panique se déversait comme une vague sur le stade et Otto est resté bouche-bée avant de prendre dans un réflexe ses jambes à son cou. Cet évènement reste franchement marquant à ses yeux et sa foi en la sécurité que confère le statut d'étudiant à Harvard en a sacrément souffert.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Toute cette histoire a sérieusement fait flipper Otto, quand bien même il ne s'est pas retrouvé embrigadé là-dedans. Néanmoins, il se trouvait sur le campus, avec tout le monde et il a put voir l'ambiance se détériorer, la peine et la peur se lisant de plus en plus sur les visages qu'il croise chaque jour. Il trouve ça franchement effrayant et s'interroge beaucoup sur les quatre étudiants à l'initiale de tout ce cauchemar. Ils doivent être sacrément perturbés, mais Otto ne peut pas compatir. Ca le révolte, ça le dégoute. Ces gens ne méritent pas de vivre. Encore un évènement qui fait pâlir la réputation d'Harvard aux yeux d'Otto. Comment des jeunes aussi perturbés et dangereux peuvent passer sous le radar du corps professeur ? Sont-ils si faciles que ça à berner ? Et on seulement en sécurité quelque part ?
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle forêt bleue et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart, lors de son ouverture. Le forum est absolument impeccable pour ne pas changer alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Oscar Spendrup comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par SWEET DISASTER. Je fais environ 250 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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adhérer un flood d'intégration (?)