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" If you hear a voice within you say you cannot paint...
Leopold & Chuck
then by all means paint and that voice will be silenced.” - Vincent VanGogh ✻✻✻ Il faisait beau à Boston ce jour-là, Pour une fois il avait cessé de neiger et les routes commencé à fondre, le soleil était au rendez-vous et cela faisait du bien. Boston ce situe environ à 30 minutes de Cambridge, il est accessible en bus ce qu’on appelle des navettes. Je n’étais jamais friand de ce genre de transport. Au volant de ma voiture une coupé cabriolet. Arrivé dans le centre-ville je suis allé directement vers la Galerie que je tiens sur le centre-ville. Il était 14 heures, j’ai passé deux bonnes heures en réunion avec mon équipe administrative de ma société de restauration d’œuvre d’art. J’avais trois employés qui parcouraient le monde à la recherche d’artiste qui serait susceptible de plaire à notre clientèle Américaine. Tandis que mon employé qui gère le secteur de l’Europe de l’Est me parle d’un artiste Allemand qui semblerait avoir la touche de Monet dans un style Bosch. Je demande à le voir pour le croire. Mais j’étais beaucoup trop intrigué par une broche du MFA, Le Musée des beaux-arts de Boston. Quand j’ai ouvert ma galerie il y a 7 ans, j’ai été très bien accepté par le musée des beaux-arts… Les Beaux-arts de Boston est l’une des meilleures écoles d’Art de tous les états unis. J’y fais souvent des conférences et j’y donne parfois des cours pour les élèves qui souhaitent apprendre la culture dans divers pays Européen. Vu ce qu’il se passe avec Solveig en ce moment. Je me suis dit qu’il serait bon de me profiter de ce petit voyage à Boston pour retourner voir la Galerie du musée qui comporte de magnifique tableau.
Il est 17 heures, je venais de quitter mon appartement de Boston que j’ai acheté après mon premier achat d’une toile de Jackson Pollock en 2008. Après avoir profité de ma contrebasse, j’ai quitté mon quartier pour rejoindre le musée, me garant alors sur le parking j’arrivai dans le musée. Mettant mes écouteurs pour éviter d’être distrait, j’écoutai un morceau de Kagamine Rin – Kokoro, Cette musique était calme et je la trouvais merveilleuse, le piano était simple sans trop de puissance. Une légère mélodie… J’ai appris à la joué au violon il y a quelques années. Elle était plutôt agréable, j’ai toujours voulu trouver un partenaire musicale avec qui jouais des morceaux de ce style. Cela dit je marchais tranquillement dans les allées, les connaissant par cœur… Habiller d’une tenue plutôt sobre, un jeans accompagné d’un pull noir fin en Cashmere. Je positionnai bien les écouteurs dans les orifices et je me guidai vers les escaliers qui menaient à l’étage où se trouvait la galerie. Une fois arrivé en haut je pouvais admirer les tableaux… Je me suis poser sur un banc devant le tableau de Pierre Auguste Renoir « Danse à Bougival » J’aimais ce tableau, l’expression de la femme cette coté anonyme de l’homme ou son visage est à demi masqué par son chapeau. Je suis resté à l’admirer pendant une heure. Mais le Musée aller fermer, une annonce faisait part dans le musée et je me suis lever prenant la direction de l’ascenseur. Une fois ouvert j’y entre laissant alors un jeune homme rentrer aussi je me posai contre le fond de la cage et les portes se referme… Le musée contenait deux étages et nous étions au deuxième. L’ascenseur semblait vieux et en mauvais état, la lumière trembloter tel un épileptique et quelques soubresaut me surprenait lors de la descente jusqu’à un énorme soubresaut qui me fit perdre l’équilibre, la lumière s’éteignait quelques secondes avant se rallumer et un énorme bouton rouge s’alluma sur le panneau de commande. Je retirai mes écouteurs hallucinant alors en entendant le son d’une sirène sortant de la cabine surement pour prévenir l’incident dans la cabine. Je tirai sur le col de mon pull ayant eu tout de même ce qu’on appelle une sueur froide. Je m’approchai de la commande remarquant le jeune homme avec moi : « Ca va aller mon garçon ? » lui demandais-je alors que j’appuyais sur le bouton tentant de rentrer en communication avec le centre de dépannage.
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Il est 17 heures, je venais de quitter mon appartement de Boston que j’ai acheté après mon premier achat d’une toile de Jackson Pollock en 2008. Après avoir profité de ma contrebasse, j’ai quitté mon quartier pour rejoindre le musée, me garant alors sur le parking j’arrivai dans le musée. Mettant mes écouteurs pour éviter d’être distrait, j’écoutai un morceau de Kagamine Rin – Kokoro, Cette musique était calme et je la trouvais merveilleuse, le piano était simple sans trop de puissance. Une légère mélodie… J’ai appris à la joué au violon il y a quelques années. Elle était plutôt agréable, j’ai toujours voulu trouver un partenaire musicale avec qui jouais des morceaux de ce style. Cela dit je marchais tranquillement dans les allées, les connaissant par cœur… Habiller d’une tenue plutôt sobre, un jeans accompagné d’un pull noir fin en Cashmere. Je positionnai bien les écouteurs dans les orifices et je me guidai vers les escaliers qui menaient à l’étage où se trouvait la galerie. Une fois arrivé en haut je pouvais admirer les tableaux… Je me suis poser sur un banc devant le tableau de Pierre Auguste Renoir « Danse à Bougival » J’aimais ce tableau, l’expression de la femme cette coté anonyme de l’homme ou son visage est à demi masqué par son chapeau. Je suis resté à l’admirer pendant une heure. Mais le Musée aller fermer, une annonce faisait part dans le musée et je me suis lever prenant la direction de l’ascenseur. Une fois ouvert j’y entre laissant alors un jeune homme rentrer aussi je me posai contre le fond de la cage et les portes se referme… Le musée contenait deux étages et nous étions au deuxième. L’ascenseur semblait vieux et en mauvais état, la lumière trembloter tel un épileptique et quelques soubresaut me surprenait lors de la descente jusqu’à un énorme soubresaut qui me fit perdre l’équilibre, la lumière s’éteignait quelques secondes avant se rallumer et un énorme bouton rouge s’alluma sur le panneau de commande. Je retirai mes écouteurs hallucinant alors en entendant le son d’une sirène sortant de la cabine surement pour prévenir l’incident dans la cabine. Je tirai sur le col de mon pull ayant eu tout de même ce qu’on appelle une sueur froide. Je m’approchai de la commande remarquant le jeune homme avec moi : « Ca va aller mon garçon ? » lui demandais-je alors que j’appuyais sur le bouton tentant de rentrer en communication avec le centre de dépannage.
CODES © LITTLE WOLF.
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