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 | Brooklynn Lexy TAIT fiche; terminée C'est le 21 juin 1993 à Rotorua, que la famille Tait m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Brooklynn Lexy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en Botanique (majeure) et Astronomie (mineure) depuis maintenant un an je travail comme vendeuse de vêtement pour animaux. Et pour terminer, je fais partie des Dunster. |
Études Depuis toute petite j’adore la nature, les plantes et tout ce qui constitue le règne végétal. Je ne pensais pas en faire un métier mais lors d’un stage chez une botaniste, je me suis rendu compte que je pouvais en faire un métier, alors j’ai choisi la botanique en majeure. Mon père me disait souvent que j’ai toujours la tête dans les étoiles, et l’astronomie est une matière très intéressante. Je suis curieuse de nature, j’ai envie d’en savoir plus sur les origines du monde et ce genre de chose alors c’est ma matière mineure. | Caractère Rêveuse ? Oui je le confesse, j’ai tellement de rêve en tête que je ne suis pas sûr de pouvoir tous les réaliser mais je suis quelqu’un d’optimiste, je me dis que tout est possible ! Je ne suis pas très courageuse je dois l’admettre, sortie de ma routine, j’ai peur de tout, mais je me force pour beaucoup de chose. Et puis j’ai promis à ma mère de partir faire le tour du monde alors je vais devoir me forcer un peu parce que niveau sensation forte je risque de ne pas être déçu. Je suis également volontaire et travailleuse, lorsque quelque chose me motive, je peux déplacer des montagnes ! |
Everyone Has Their Own Story
La nature a toujours eu une grande place dans ma vie, elle est apaisante et tellement belle. Je me suis toujours intéresser à son fonctionnement. Je n’ai pas été élevée dans l’opulence, mes parents ont tenté de m’inculquer les vraies valeurs comme le travail et le respect. Nous vivions à l’extérieur de Rotorua, dans une petite ferme, nous cultivions nos légumes, nous allions chercher de l’eau dans la rivière … Mes parents ne voyaient pas l’intérêt de payer pour des choses que nous pouvions récolter ou fabriquer par nous-même, et je suis d’accord avec ça. C’est toujours plus valorisant d’obtenir quelque chose par la sueur qu’en sortant un billet … Dans mon petit village nous vivions tous comme ça, en travaillant dur pour récolter le fruit du labeur, et lorsque pour la première fois j’ai quitté mon petit coin de paradis, j’ai vite compris que les gens étaient plus attiré par l’argent qu’autre chose. Je m’étais juré de ne jamais habiter une grande ville pour ne pas risquer de changer mais lorsque mon père est tombé malade, nous y avons été forcé afin qu’il puisse recevoir les bons soins dans de bonnes conditions. J’avais 12 ans lorsqu’il décéda. Ce fut une période très dur pour ma mère, elle n’a jamais été la même après ça et j’ai également beaucoup souffert de son départ.
Lorsque j’ai exprimé l’envie de faire des études, d’aller à l’université, ma mère m’a directement soutenu, elle savait que j’avais les capacités pour, elle m’avait éduqué pour que je ne lâche jamais rien et elle avait réussi. Grâce à l’assurance vie de mon père ma mère a pu me payer une école privée très réputé, j’ai été diplômée du lycée dans les meilleurs élèves de la région obtenant par la même occasion une mention pour mon option en botanique et horticulture. Ma mère était très fière de moi et elle m’a inscrite dans les meilleures écoles du monde. Lorsque j’ai reçu ma lettre d’admission à Harvard, je ne voulais pas y croire, j’avais bien sur travaillé d’arrache-pied mais je n’avais jamais imaginé quitter mon pays pour mes études. Evidement à peine reçu ma mère a immédiatement fait ma valise, elle m’a fait promettre de réalisé mes rêves et de ne rien laisser se mettre en travers de mon chemin. Deux semaines avant mon grand départ, elle fut percutée de plein fouet par une voiture, elle n’a malheureusement pas survécu. J’ai alors voulu renoncer à partir pour les Etats-Unis, je ne me sentais pas la force d’affronté ce voyage seule et puis je me suis souvenu de ma promesse. Je n’avais plus rien qui me retenait en Nouvelle-Zélande, les quelques amis que j’avais partaient aux quatre coins du pays ou du monde pour leurs études alors pourquoi pas moi.
Finalement je suis partie pour Cambridge, la peur au ventre mais avec l’envie énorme de rendre fière mes parents, de leur montrer qu’il avait réussi et que je pouvais faire de grande chose. Je sais que ça peut paraitre ridicule mais chaque soir avant de m’endormir je regarde les étoiles et j’en vois deux côtes à côtes qui brillent plus fort que les autres, je suis persuadé que ce sont mes parents qui veillent sur moi, et régulièrement je demande aux esprits de prendre soin de leurs âmes.
Depuis mon arrivé à Harvard, j’ai rencontré de nombreuses personnes, découvert beaucoup de nouvelles choses mais je suis resté la jeune fille rêveuse, optimiste, rigolote et fofolle qui a quitté il y a un an maintenant sa terre natale pour se rendre sur le continent américain.
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