Let us catch up with wasted time ✮ Théo

Théophyl & Joanna

Ah , ce Spring break à la Nouvelle Zélande. Le paradis , totale. J'avais laisser ma petite Théa à ma tante qui s'occupe parfaitement de ma princesse , j'ai une totale confiance aveugle en elle c'est certain. Ce spring break était bien arrivé n'empêche , avec tous les événements récents. La prise d'otages , la jumelle que j'ai appris etc... Bon , j'allais pouvoir enfin oublier toutes ces foutus histoires. En plus , ce qui m'avait illuminer mon bonheur était de revoir Théo à mes côtés. Il était enfin revenu à Cambridge et dans ma vie , j'avais eu les yeux qui brillaient de milles feux en le revoyant à nouveau. Je lui avait appris toutes mes nouvelles , ma jumelle vivante et que j'ai une fille de deux du nom de Théa , il ne le savait pas , je ne sais pas trop pourquoi mais je ne lui avais pas dit. Il était surpris par toutes ces nouvelles et revoir son sourire et le revoir rire est juste grandiose. J'étais complètement niaise en sa présence , tellement qu'il fait renaître des sentiments en moi. Ensemble , nous sommes comme des enfants et je devais admettre que c'était plaisant de retomber en enfance parfois. Je revois ces souvenirs avec ma grand mère dans ma tête. Enfin bref , c'est le troisième jour que je suis ici. La veille , j'étais en compagnie de Dwight sur la plage. Aujourd'hui , j'avais appeler Théo pour qu'il se joigne à moi, je veux passer un maximum de temps avec lui , rattrapons le temps perdu. En l'attendant , je me prélasse sur ma serviette , sur la plage, me mettant de la crème et l'étalant sur mon corps.

Je passais mon temps à la plage. Sans réellement trop savoir pourquoi, j'aimais y passer mon temps depuis que j'avais mis les pieds en Nouvelle-Zélande. Je n'avais pas encore osé aller faire un tour dans une fête ou alors dans les excursions qu'ils organisaient pour les étudiants, et j'en passe. Juste la plage. Pourquoi ? Ben aucune idée. Peut-être que sentir le soleil sur ma peau, le sable chaud sous mes pieds ainsi qu passer mon temps à observer cet océan bleu et écouter le son de ses vagues, me plaisait bien plus et m'aidais à m’apaiser. J'avais bien changé, c'était indéniable. J'étais limite un Winthrop à la retraire et je devais y remédier très vite. J'avais même envie de faire du bateau...Une activité que j'aurai jugée fidèle aux pépés bien avant de devenir ce nouveau moi. Mais peu importe, aujourd'hui j'allais retrouver ma superbe Joanna et j'avais juste envie de passer du moment avec elle et d'oublier tout le reste. Des mois que je n'avais pas eu de ses nouvelles et il avait fallu que je la retrouve dans une chambre d'hôpital après qu'elle se soit fait tirer dessus. J'avais alors appris certaine choses à son sujet que j'avais ignoré par sa faute jusque-là. Mais bon, la joie de la retrouver était bien plus forte que l'envie de lui en vouloir. Arrivant alors sur la plage en mode apollon, j'observais les alentours n'ayant qu'une serviette jetée nonchalamment sur mon épaule nue et deux-trois effets personnels dans les poches de mon maillot de bain. Je repérais bien assez vite la jeune femme avec son corps de déesse, allongée sur une serviette et tentant de s'étaler de la crème sur le corps. Je me mis alors à courir dans sa direction avec un sourire avant de vite étaler ma serviette juste à côté de la sienne et de m'écraser dessus, me plaçant sur le côté dans son sens, coude debout et ma tête posée sur la paume de ma main  « Salut... » disais-je alors avec une voix et un sourire charmeur. « On a besoin d'aide ? »

Théophyl & Joanna

La plage, ça me fait tant penser à l'Australie. J'aime sentir la brise de vent sur mon visage lorsque je suis exposer au soleil. Entendre les enfants crier et jouer, même essayer de créer des châteaux de sable. Le sourire aux lèvres et surtout à ce moment précis, en les regardant l'air niais, je pensais à ma fille Théa. Elle me manquait tant et pourtant ce n'était que le troisième jour que je suis ici. Je l'aime tellement ma princesse, elle fait mon bonheur. Je ne pourrais vivre sans elle. Sortant ma crème solaire, je me l'étale sur tout mon beau corps, je fut interrompu par mon meilleur ami d'enfance, l'amour de ma vie. Théo, qui posait sa serviette à mes côtés et tandis qu'il posait sa tête sur sa paume de sa main en me regardant, je lui souris tendrement, répondant à sa question. « Salut. Oui, mon beau Théo. Je veux bien de l'aide de tes douces mains. » Sentir ses mains sur mon corps afin de m'étaler de la crème solaire pour ne pas que je prenne de coups de soleil, c'est juste tentant. « Je sais à quel point tu es doué, je ne voudrais pas attraper des coups de soleil.» Ainsi, je lui tend ma crème solaire en souriant à pleine dents. Sans trop savoir pourquoi, je me mis à fouiller dans mon sac et trouvant une fourchette qui sors de je ne sais où, je me mis à me peigner les cheveux, je vous rassure hein, la fourchette est super propre. Puis je pousse la chansonnette. Comme dans La petite sirène. « Moi je voudrais parcourir le monde. Moi je voudrais voir le monde danser. Le voir marcher sur ses... Comment ça s'appelle ? Ah ! Pieds... On ne va nulle part en battant des nageoires. Il faut des jambes pour sauter et danser. Flâner le longs de ces... Comment ça s'appelle ? Rues...  » Quand j'eus finis de chanter, je me mis à exploser de rire. Vraiment, je suis folle il n'y a pas de doutes et Théo le savait.

La mer, le sable, le soleil, la pause des révisions après les examens, mon retour mouvementé, le Sping Break et ce moment que je m'apprêtais à vivre avec ma meilleure amie d'enfance. Étrange cocktail bien épicé. Ayant donc rendez-vous avez Joanna sur la plage, je l'avais vite repéré, allongée sur sa serviette, s'étalant de la crème solaire sur le corps. M'allongeant donc rapidement à ses côtés, je lui proposais bien vite mon aide.  « Salut. Oui, mon beau Théo. Je veux bien de l'aide de tes douces mains. Je sais à quel point tu es doué, je ne voudrais pas attraper des coups de soleil. » Un grand sourire se dessina alors sur mon visage, tandis que je me rapprochais d'elle afin de lui prendre son tube de crème solaire, d'en coller la tonne dans ma paume et de me placer à genoux derrière elle afin de lui masser tendrement les épaules et le dos. « Je suis ravi de savoir que tu penses ce genre de choses de ma personne. » répondais-je alors tandis que je la voyais fouiller du coin de l’œil dans son sac avant qu'elle ne sorte une fourchette et qu'elle ne commence à se la passer dans les cheveux. « Euh... ? » commençais-je alors légèrement choqué par ce qu'elle faisait. « Tout va bien ? » demandais-je en me reculant avant d'exploser de rire, surtout qu'elle ne me répondit que par les paroles d'une chanson Disney. « Moi je voudrais parcourir le monde. Moi je voudrais voir le monde danser. Le voir marcher sur ses... Comment ça s'appelle ? Ah ! Pieds... On ne va nulle part en battant des nageoires. Il faut des jambes pour sauter et danser. Flâner le longs de ces... Comment ça s'appelle ? Rues...  » Quand elle eut fini de chanter elle explosa de rire et je m'essuyais les mains pleines de crème sur mon torse. « Toi tu es restée trop longtemps au soleil. » disais-je avec un sourire. « Puis tu connais pas la meilleure version de la chanson. Écoutes... » Marquant une pause, je me mis à chanter. « Moi je voudrais parcourir les bars, moi je voudrais voir le monde se saouler. Voir les gens prendre leur...Comment ça s'appelle ? Ah ! Pied...On ne peut rien faire en battant des nageoires, il faut un vagin pour se faire sauter. Se vendre le long de cette...Comment ça s'appelle ? Ruuueeee. » Je terminais en riant avant de m'allonger sur le dos sur ma serviette.

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Théophyl & Joanna

Alors que nous venions à peine de débarquer en nouvelle zélande pour le spring break, je devais avouer que je suis abonnée à la plage, la mer, le sable, le soleil, la crème solaire et tout ce qui va avec. J'aime l'été et j'aime ces chaleurs. Le spring break avait en effet, bien commencer pour ma part, j'avais passer ma seconde journée en compagnie de mon amour, Dwight. Bon, nous n'étions pas encore en couple officiellement , mais on pourrait croire, tellement nous sommes si proches. Il est un parrain en or pour ma fille. Je commençais à m'attacher à lui, sans le vouloir. Nous avions fait des choses pas très catholiques dans le poste de surveillance. C'était si orgasmique... Enfin, passons les détails. A ce moment précis, alors que je m'étale de la crème solaire sur mon corps, Théo débarquait tel un héros qui me demandait gentiment si j'avais besoin d'aide pour me l'étaler. J'accepte avec grand plaisir en lui faisant part de mes compliments sur ses belles et douces mains. « Je suis ravi de savoir que tu penses ce genre de choses de ma personne. » Je lui souris tendrement, comment penser différemment de lui? Il était si parfait et tendre avec moi. « C'est la vérité, tu me connais, je suis honnête mon chou. » Je suis si heureuse de le retrouver, heureuse aussi qu'il soit de retour sur Cambridge et dans ma vie. Il prend ainsi, mon tube de crème solaire pour en coller dans sa paume de sa main et m'étaler le contenu, doucement sur ma peau. Tandis qu'il m'étale la crème solaire, j'en profitais pour fouiller minutieusement mon sac afin de prendre une fourchette et je me peigne avc à la façon d'Ariel en poussant la chansonnette. Théo avait l'air surpris et sa réaction. « Euh... ? Tout va bien? » Me demandait-il en reculant avant d'exploser de rire et je ne pu m'empêcher d'exploser de rire avec lui. On avait un délire de fou étonnant. « Toi tu es restée trop longtemps au soleil. » Clairement, il avait raison. J'avais beaucoup trop passer de temps au soleil et là ça n'allait plus trop bien dans ma tête. « Oh oui, beaucoup trop même. Ça se voit tant que ça? » Répondais-je en souriant à pleines dents. Cependant, il me dit que je ne connaissais pas la meilleure version de la chanson et il se met à chanter également. WHAT THE FUCK? C'était quoi cette chanson? Il l'avait inventer genre là maintenant ou quoi? Le coquin. Je m'explose de rire instinctivement. « J'aime mieux cette version là, finalement ! »