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ARINILLE + Welcome to wonderland.

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Jour 2

   
sous-titre

   
Heure : 15h00
Lieu : terrasse de l'hôtel.
Contexte : partie de quidditch avec une handicapé. ARINILLE + Welcome to wonderland.  3997999705
Participants : Vanille & Arielle



Cela fait tout juste deux jours que j'ai posée les pieds à wellington et je dois dire que, moi qui voulais un spring break mouvementé, partant dans tous les sens, je suis bien servie. En à peine quarante-huit heures loin de Cambridge et alors que les gros délires du spring break n'ont pas encore commencé j'ai déjà enchaîné les événements. D'abord, première nuit à l'hôtel, je bouscule un bel Italien et je termine dans son lit. Ce matin, j'étais prête à passer une magnifique journée avec Emily et Leyla, soit ma meilleure amie et ma cousine, mais j'ai été interrompu par un message Jamie m'ayant demandé de le rejoindre. Au fond, il avait été réellement mignon. Il avait tout préparé pour que l'on passe un bon moment, mais en voyant toute l'attention qu'il me portait, je me suis sentie rongée par la culpabilité et j'ai fini par lui avouer que je n'avais pas passé la nuit seule. Je me suis bien fait hurler dessus, encore une fois et j'ai fini par prendre mes clics et mes clacs et partir. Je n'aime vraiment me prendre la tête avec lui, chaque fois ça me déchire le coeur, mais je n'avais pas envie de lui mentir. J'ai toujours été sincère avec lui et il est hors de questions que cela change maintenant. Quand j'y réfléchis, je peux comprendre son énervement, je sais pertinemment les sentiments qu'il nourrit à mon égard, mais nous ne sommes pas ensemble. J'ai décidé de ne pas m'engager avec lui, pour la simple et bonne raison que j'en suis incapable et que je me refuse à lui faire du mal, mais il faut croire que, quoique je fasse, je finie par lui mutilé le coeur et je m'en veux sincèrement. La colère avait guidé mes pas à travers certains quartiers de la ville avant de finalement revenir à l'hôtel grâce à des gens bien aimables m'ayant indiqué la route. Arrivant devant l'hôtel, je me dirige donc vers la terrasse. Celle-ci ne regorge pas spécialement de monde, pourtant toutes les tables sont prises. Je déteste ces gens qui prennent une table entière pour eux seul, clairement. Il est hors de question que je monte dans ma chambre par un temps pareil, je parcours donc les gens des yeux, avant de tomber sur une fille en fauteuil roulant, n'ayant pas spécialement l'air heureuse. Voilà qui nous fait déjà un point commun. Je m'avance alors vers sa table avant de m'y asseoir, sans même lui demander la permission. A quoi bon risquer un non ? Arielle, enchantée. dis-je tout sourire, espérant qu'elle ne se mette pas à hurler comme hystérique pour me forcer à partir.  
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C'était un fait, t'allais couler. Vraiment. Dans tout les sens du terme. Les traits tirés, le teint blâfard, tu pouvais presque faire peur à voir. Au final, tu t'étais torturée l'esprit toute la nuit, sans relâche, comme pour te faire le plus de mal possible et comme si ça ne suffisait pas, tu enchaînais maintenant sur des replay de la scène de la veille. Ton engueulade avec Max, les insultes, les mots toujours plus forts et la rupture. Le point de non retour. La fin. T'aurais jamais pu penser que ça arriverais un jour. Après tout il était ton premier amour, ta première fois.. Le premier de tout probablement. Et tu l'avais juste perdu le laissant filer entre tes doigts. Mh. Ou plutôt, tu lui avais demandé de partir. Trop de destruction, de mot blessant. Beaucoup plus que ce que tu pouvais encaisser au final. Tu pouvais pas rester avec lui, c'était bien trop destructeur. Et la prise d'otage avait tout précipitée. T'avais perdu l'usage de tes jambes et une partie de ce qui te définissais. Immanquablement, t'étais devenue beaucoup plus difficile à vivre, pas facile à suivre. Il était logique que ça finisse par exploser. Y avait plus rien de saint chez toi, rien de bon. T'étais comme une ombre ayant arrêtée de lutter pour sa propre survie. Tu pouvais t'infligeais ça à toi, mais tu n'avais pas le droit de le lui infliger à lui. Alors ouais, t'avais récupéré ta libérté et tu lui avais rendu la sienne. Au fond, tu voulais vraiment croire que ce serait mieux comme ça mais, tu ne pouvais t'empêcher d'en douter. Mieux pour lui ? Peut être. Mieux pour toi ? Sûrement pas. Tu t'enfonçais encore plus. Tu te plongeais toi même la tête sous l'eau, tu creusais ta propre tombe. Le soleil tapait sur ta peau mais c'était comme si tout autour de toi restait glacé. Tout et surtout toi. Tu sursautais presque au son de cette voix clignant à plusieurs reprise des yeux sans être sûre de vraiment comprendre. Droite, gauche. Parlait-elle à toi ? Sûrement oui. « De même, Vanille. » Toi tu souriais pas. C'était plus un rictus en fait, t'étais nulle dans les faux semblants. 
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Je n'ai jamais été douée pour les relations humaines, enfin surtout pour tout ce qui touche de près ou de loin à l'amour. Alors, comme la plupart des gens lorsqu'ils sont en situation dangereuse, j'ai fui. J'ai toujours fui. J'ai essayé de courir, de partir loin, très loin, pour pouvoir me sauver. Pour m'épargner les mutilations que peuvent provoquer le rapport à l'autre. Pour me sentir libre, toujours libre, ne pas me retrouver confiné dans une trop petite case, tout juste assez grande, follement étouffante. J'ai fui et je fuis toujours ce que les grands malades nomme l'amour. Parce que, je n'ai pas envie de me perdre, de m'abandonner à quelqu'un qui me détruira sans même s'en rendre compte. Je ne veux pas revivre ce que j'ai vécu avec Palmyr, je ne veux plus donner le meilleur de moi pour qu'on me bousille comme rien. J'ai pris assez de coup pour comprendre qu'il n'y a rien de plus dangereux que de se laisser prendre au jeu de l'amour. Parce que même les gens qui se disent heureux ne le sont pas. Ce truc là, c'est que de l'esbroufe, des paillettes pour faire jolie, un beau papier cadeaux pour un truc complètement pourris. Un truc qui ronge. Un truc qui brûle de l'intérieur, qui te consume lentement. Un truc qui finira par de mettre à terre, que tu le veuilles ou pas. Et, j'crois que je ne suis pas prête à vivre cela de nouveau. J'ai beau savoir que Jamie ne fera surement jamais de mal, je ne suis pas prête à lui en laisser la possibilité. Alors, je prends les devant. C'est moi qui lui fais mal, sans le vouloir. Mais je lui fais mal. Chaque fois un peu plus et lui fini toujours par me pardonner et continuer d'espérer, d'attendre ce truc que je ne serais jamais en mesure de lui donner. Je n'ai clairement pas la force d'aimer. Ou du moins, pas d'aimer totalement. D'aimer comme les gens amoureux. J'suis pas prête à le laisser être le seul, j'suis pas prête à devenir le centre de son univers, j'suis pas prête à porter son poids. C'est égoïste un peu, mais je sais que si je lui donné la place qu'il veut dans ma vie, il aurait bien plus mal que ça. J'suis pas faite pour aimer d'amour. Chassant ces pensées de mon esprit en arrivant sur la terrasse, je décide de m'installer à la table d'une blonde qui a clairement l'air mal en point. Vanille, d'après ce qu'elle dit. T'as pas l'air bien. dis-je, comme si c'était une remarque pertinente. Mais c'est ton jour de chance, j'suis magicienne ma chérie. annonçais-je, lâchant un petit rire. Si avec ça elle ne me prend pas pour une taré.. Arielle, ou l'art et la manière d'approcher les gens.
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Peut être parce que tu n'avais jamais eu à utiliser les faux semblants en fait. T'étais le genre de fille hyper nature. Tu disais ce que tu pensais, t'agissais en fonction de ce que tu ressentais et tu n'avais jamais fais semblant pour quoi que ce soit. Au final, t'étais par habitude le genre de fille toujours de bonne humeur, amoureuse de la vie et il était vrai que depuis la prise d'otage, le changement avait été plutôt conséquent. Mais qui ne resterait pas traumatisée par un épisode pareil ? Parfois, t'avais les flash qui te revenait en tête. Les coups de feu soudain, les gens s'écroulant à terre et puis la première balle destinée à Max. Tes hurlements de terreur et tout le reste. T'avais pas eu peur pour toi, t'avais eu peur pour lui. Peur de le perdre, de le voir mourir sous tes yeux. C'était peut être un peu trop naturellement que tu t'étais interposée pour recevoir la deuxième balle à sa place. T'étais pas une guerrière mais tu pouvais pas supporter l'idée qu'il soit touché à nouveau et t'avais encaissé. Au résultat, t'étais coincée dans ce fauteuil et tu ne l'avais même plus lui. Autant dire que tu n'avais rien gagné et pour ainsi dire, tout perdu. C'était affreux pas vrai ? « Touché. » T'étais parfaitement consciente que ça devait se lire sur ton visage. Puis t'avais aucune idée de comment faire pour cacher la tristesse et la douleur et.. T'avais pas envie de mentir. Autant rester comme ça, pas vrai ? « Magicienne ? » T'haussais un sourcil plutôt perplexe mais tout de même intéressée. Elle avait l'air amusante, un brin bizarre mais amusante. Et puis tout ce qui pouvait te changer les idées étaient le bienvenue non ? Tu la regardais avec un peu plus d'intérêt cherchant à comprendre ce qu'elle voulait dire exactement. Parce que bien sûr que ce n'était pas une sorcière aux pouvoir magiques et tu doutais fortement qu'elle ne parle de tour de passe passe avec des cartes. La question était donc : qu'avait-elle derrière la tête ? Et puis plutôt que de continuer à la dévisager, tu pouvais tout aussi bien lui demander plus d'explications. « Montre moi ce que tu sais faire. »
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Je n'aime pas faire mal à mon prochain. Je n'aime pas lui faire mal plus particulièrement, mais si quand on y regarde de plus près, je ne fais que cela. Je déteste la désillusion, la tristesse, le désespoir et la haine que je suis capable de faire naître chez lui. C'est une belle personne, autant intérieurement qu'extérieurement, et il ne mérite pas ce que je lui fais vivre en ce moment. Il mérite quelqu'un d'aussi bien que lui. Quelqu'un de gentil, de doux et d'attentionné. Quelqu'un prêt à remuer ciel et terre pour son sourire. Quelqu'un qui lui donnera tout ce qu'il veut. Quelqu'un qui le laissera être le seul. Quelqu'un qui sait ce qu'il veut. Je ne suis pas cette personne. Je suis même son exact opposée. Je ne suis certaine de rien, je fuis plutôt que de faire face et je le blesse à chaque fois un peu plus. J'aimerais qu'il le comprenne pour de bon, qu'il se détache totalement de moi pour qu'enfin cette semi-tristesse qui semble l'habiter puisse disparaître, s'envoler loin de lui pour qu'il retrouve cette joie de vivre qui le caractérise si bien. Je ne comprends pas pour quelle raison il s'inflige cela. Peut-être qu'il a des tendances masochiste au fond. Je me sens toujours aussi mal, voir un peu plus même en croissant le regard de la blonde. Il m'est plutôt familier, c'est le même que celui que je provoque à Jamie. J'aimerais me lever et la prendre dans mes bras juste parce qu'elle me parait impuissante, mais je reste vissé sur ma chaise surement à cause d'un sursaut de culpabilité mêlé à un peu de conscience. Je ne la connais pas et je suis typiquement le genre de personne qui provoque ce regard vide, ça serait se moquer du monde que de lui sauter au cou. Le contact physique n'est pas ce qu'il lui faut. Quand je vais mal, je me roule un joint. Ce n'est pas forcément la meilleure des solutions, mais ça fonctionne assez bien. J'attrape mon sac pour en sortir une petite boite et lui tendre. Toute ma magie est là-dedans. Je ne sors jamais sans ma petite boite parce que j'ai toujours besoin de ma dose de magie. Fais-en bon usage. lâchais-je amusée, pensant à une réplique d'Harry Potter. J'ai toujours rêvé d'entrer à Poudlard, d'avoir de pouvoir magique et de voler sur un balai, finalement, je le suis devenue à ma façon.  
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Après tout, ça n'engageais à rien. Ce n'était absolument pas comme si tu étais en train de jouer ta vie ou autre connerie dans le genre. Non, toi tu voulais juste savoir ce qu'elle pouvait faire parce que mine de rien, elle avait piqué ta curiosité. Et peut être bien que sa manière de t'aborder n'était pas forcément des plus normales mais pour la peine, ça sortait un peu du lot. De toute manière, t'avais absolument aucune envie de t'embarasser dans des discussions toutes faites et tout ce que tu voulais était te changer les idées. Peut être que pour une fois, y avait juste le destin de ton côté et il t'avais envoyé la petite brune pour que l'espace de quelques minutes, tu arrêtes de te morfondre sur ton sort. Ouais, t'étais comme ça. T'essayais de trouver des solutions à tout, des réponses. Comme si t'étais persuadée que rien ne pouvait être le fruit du hasard. Pour toi, tout était prévu, prémédité et même si parfois ça ne pouvait avoir aucun sens et bien.. Tu continuais de penser de cette façon. Après tout, il n'était plus à prouver que ton cerveau fonctionnais différent des autres personnes alors peut être que venant de toi, c'était tout ce qu'il y avait de plus normal. Une petite boîte faisait son apparition et tu la prenait pas sûre de comprendre. Enfin si, techniquement t'avais compris. Le contenu était sûrement de la drogue ou bien quelque chose comme ça et la magie était donc d'en prendre pour être totalement dans un autre monde mais.. Tu ne savais pas. Le souci avec toi, c'était que t'étais trop terre à terre. Petite fille parfaite ne buvant pas, ne fumant pas. Puis il y avait l'après. Jeno et son marché que t'avais accepté. Tes soucis qui faisait que ce monde devenait de plus en plus tentant et elle. Elle qui débarquait de dieu sait où te sortant cette boîte comme s'il s'agissait d'un miracle. Un sourire venait étirer tes lèvres à sa phrase suivante alors qu'en fan d'Harry Potter que tu étais, tu reconnaissais immédiatement la réplique. Jetant un coup d'oeil autour de toi, tu recouvrais la boîte magique de la paume de ta main regardant l'inconnu plutôt sympathique pendant quelques secondes. « Tu vois le mec là-bas ? » De ton index tu indiquais un gars se pavanant plus que de raison. « C'est le genre, Lockhart. Je serais pas étonnée qu'il vienne se venter genre, cinq fois lauréat du sourire le plus charmeur décerné par sorcière hebdo. » A voir si elle reconnaissait les répliques.
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