Petits plaisirs nocturnes (feat. Leyna)

Leyna & Umberto
Petits plaisirs nocturnes

mise en page par .Stay Away

Le voyage en Nouvelle-Zélande avait commencé depuis quelques jours et on pouvait dire que Berto en profitait bien pour le moment. Sea, sex & sun ! Il devait être aux alentours de 21 heures lorsque le brunet reçu un message plutôt étonnant de Leyna. Enfin, pas si étonnant lorsque l'on connait leur relation.. La jeune femme lui avait donné rendez-vous à la piscine de l'hôtel vers 22 heures 30. Bien sûr, à cette heure-ci elle était fermée. Mais si la dunster lui avait donné rendez-vous là-bas, ce n'était certainement pas pour simplement nager. Berto répondit positivement à son message. Evidemment, comment rater ça ? L'italien avait couché avec pas mal de femmes dans sa vie, il est vrai. Mais Leyna restait l'un de ses meilleurs coups. Elle était vraiment douée pour le sexe et leur relation était simplement basée là dessus. Cela faisait quelques semaines maintenant qu'ils ne s'étaient pas grimpés dessus, alors comptez sur Berto pour faire durer le plaisir avec elle, plusieurs fois s'il le faut même. Arrivant devant la piscine de l'hôtel, le brunet essaya d'ouvrir la porte. Bien évidemment, elle était fermée. C'est mal connaitre le brunet qui n'allait quand même pas se laisser abattre. Un violent coup de pied plus tard, il se retrouva dans la grande salle. Se dirigeant vers le jacuzzi, le brunet le mit en route histoire qu'il soit bien chaud lorsque Leyna arrivera. Il avait pensé à tout et avait même ramené une bouteille de champagne et deux coupes. Quoi ? C'est toujours un événement lorsque c'est Leyna et Berto. Demandez à leurs voisins.

Il y a ce genre de moment où la panique nous envahit tellement que rien ni personne ne peut venir nous apaiser. Pas même nos meilleurs amis, pas même notre famille, pas même l’homme de notre vie. Non personne. Je suis peut-être l’une des personnes les plus fortes et sûre d’elle en ce monde mais moi aussi j’ai mes moments de crise. Je vois les jours qui passent, les gens autour de moi qui avance et moi je suis… là. Toujours au même endroit où j’étais à 17 ans. Heureusement j’avais un remède pour ces moments. Ce remède était divisé en deux étapes ; écrire à Umberto et coucher avec lui. Baiser serait le mot plus approprié. Parce que notre relation ne se résumait qu’au sexe, quand et où nous en avions envie. C’était quelque chose pour lequel j’étais douée et certaine que lui aussi autrement je ne le rappellerais pas à chaque fois. On pouvait dire que le jeune italien faisait bel et bien honneur à la réputation des Winthrops… Puis vous avez vu son corps ? Putain ce qu’il est chaud. Tout comme le jacuzzi dans lequel je le retrouvais à l’instant. Il me décrocha un sourire, non seulement il était encore plus beau que dans mes souvenirs mais en plus il avait pensé à mon alcool préféré : le champagne. «Bonsoir. » bah oui quand même, je restais une jeune femme bien élevée. Je vins alors déposer ma serviette au sol pour me glisser près de l’italien vêtu de mon plus beau bikini.

Berto mit sa main dans l'eau.. C'est bon, prête à les accueillir. Il ne manquait plus que Leyna maintenant. L'italien commençait un peu à s'impatienter. C'est de sa faute, il était arrivé un peu en avance pour que tout soit prêt à temps. Puis excusez-le, mais dès qu'il s'agit de Leyna il devient incontrôlable. C'est simple, ce petit bout de femme a le don de le rendre complètement dingue. Pourtant il ne la connait pas tant que ça et ils ne se sont jamais vraiment intéressés à leurs vies respectives. Entre eux c'était du sexe, simplement du sexe. Mais bon sang, quel genre.. La belle brune fit enfin son apparition, et en serviette s'il vous plait. Le brunet sourit, se mordillant la lèvre en la voyant approcher alors qu'il entra dans le jacuzzi. "Bonsoir" lui dit-elle, tandis qu'elle le rejoignait dans l'eau. "Bonsoir.." répondit-il d'une belle voix. Comment ça va depuis le temps ? Non, peu importe. Qu'ils aillent bien ou mal de toute façon, ils étaient là pour décompresser. Ils avaient chacun assez d'amis de leur côté pour raconter leur problème. Ici, on oubliait tout. Prenant la bouteille de champagne, il l'ouvrit avant de servir les coupes puis de lui en tendre une. "On essaye quand même de faire les choses bien.." Non, pas de romantisme. Juste un peu d'alcool pour les mettre dans l'ambiance, même s'ils n'en avaient pas besoin. Il tendit son verre pour trinquer, l'envie de lui grimper dessus le démangeait déjà.

Pas question de faire attendre un homme aussi charmant que ‘Berto. De toute manière je n’avais pas envie de le faire attendre. Je voulais passer avec lui tout le temps qui nous était accordé. Pas une seconde à perdre. Je ne me fis donc pas prier plus longtemps pour le rejoindre dans le jacuzzi déjà chaud tout en collant d’ores et déjà mon corps contre celui de mon compagnon. Je me sentais bien près de lui. « Fait attention. Tu risques d’y prendre goût et de tomber amoureux de moi. » J’éclatai de rire tellement cela me paraissait insensé. À près tout, il ne connaissait rien de moi autre que mon corps. Tout comme je ne connaissais rien de lui. On ne peut pas tomber amoureux d’une personne avec qui l’on ne fait que baiser. C’est pour ça que j’appréciais ce que nous avions. Parce qu’il me satisfaisait, qu’il me faisait jouir comme rare des hommes me font jouir, mais sans que j’ai sans cesse à avoir peur. Le dernier avec qui j’avais entretenu une relation comme avec Umberto c’était Marsh et je ne voulais revivre tout cela en aucune circonstance. Alors trinquons. À une soirée mouvementée. Et buvons, surtout. « Tu permets que je me mette à l’aise ? »

La belle brune le rejoignit dans le jacuzzi, et très vite colla son corps au sien. Parfait, Berto adorait ce contact avec elle. "Fait attention. Tu risques d’y prendre goût et de tomber amoureux de moi". Il ria en même temps qu'elle. C'est sûr que ça semblait très peu probable. Surtout que Berto n'était pas du genre à s'attacher et encore moins à tomber amoureux. Alors, fallait qu'elle y mette le paquet pour le faire changer à ce niveau. Pour ce qui est du corps par contre, pas de problème, il était tout à elle, quand elle le voulait. Disons le clairement, Berto serait prêt à laisser en plan n'importe quelle fille sur le champ si Leyna l'appelle pour coucher. Il sait qu'avec elle, c'est on ne peut plus parfait. Et oui, c'est rare que Berto soit faible face à une nana. Surtout quand il ne connait rien d'elle. Qui sait ? C'est peut-être ça qui faisait toute la différence en fait. Ils trinquèrent alors et Berto porta la coupe à sa bouche, vidant le verre de moitié. "Tu permets que je me mette à l’aise ?" Il sourit, la regardant en se mordillant la lèvre. "Je t'en prie.."

Aussi étrange que cela puisse paraître, si je tenais autant à ce que notre relation ne reste que purement physique c’était parce que quelque part je tenais à ‘Berto. Je sais que je peux pleinement le satisfaire côté sexe, que jamais on ne s’ennuiera ensemble, je peux lui faire vivre des trucs qu’il ne vivra jamais avec d’autres filles. Mais ça s’arrête là. Ma vie n’a rien de passionnant, je passe mon temps à enchaîner les emmerdes et à décevoir les gens. Non plus lui il se tient de moi psychologiquement parlant mieux c’est. Toutefois physiquement, je veux qu’il soit le plus près de moi possible. Voilà pourquoi je ne me gêne pas pour me coller contre lui alors que nous trinquons à cette soirée. J’avais envie de me mettre à l’aise vous voyez ? L’eau de ce jacuzzi était chaude, trop chaude. Et comme je venais d’enfiler la moitié de ma coupe en même temps que mon partenaire ça n’aidait pas. Maintenant que j’avais son accord, je déposai doucement le cylindre de crystal sur le rebord du jacuzzi en portant mes mains à mon dos. Sans plus d’attente le haut de mon bikini se retrouva au sol. Toutefois l’eau montant jusqu’à la hauteur de mon coup, ma poitrine restait tout de même dans l’ombre. « On est bien mieux ainsi ! » Dis-je en lui offrant un clin d’œil séducteur.

Berto n'avait aucune envie que sa relation avec elle ne change. Le sexe était parfait, pourquoi compliquer les choses ? Lorsque l'on commence à connaitre la personne, il y a toujours des problèmes. La jalousie, les manières de faire de l'autre qui nous déplaisent.. Eux deux, ils n'avaient aucun compte à rendre. Mais cette relation semblait bien trop parfaite pour que ça dure. Jusque là, ils y arrivaient, mais jusqu'à quand ? Berto était toujours indifférent.. Mais il ne pouvait que constater que Leyna avait un certain pouvoir sur lui. Elle l'intriguait beaucoup trop, elle l'attirait beaucoup trop. Au lit, c'est toujours fantastique, toujours trop bien. Franchement, elle était parfaite à ses yeux. La perdre ? Hors de question que ça arrive. Et pourtant, il est loin d'être un proche d'elle. Enfin, c'est ce qu'il croit. "On est bien mieux ainsi !" dit-elle, après avoir laissé tomber son haut. Malheureusement pour l'italien, il n'avait pas pu se rincer l’œil. "Je suis d'accord.." répliqua t-il, tendit qu'il glissa une main son l'eau pour retirer son short, le sortir et le jeter plus loin à son tour. Se mordillant la lèvre, il regarda Leyna, avant de passer une main sur sa cuisse. "Arrête de me regarder comme ça..." Il était bien trop faible face à elle, ça ne lui ressemblait pas.

Ce Spring Break s'annonçait être intéressant, amusant même. En tout cas moi je m'amusais déjà. Comment ce ne pourrait pas être le cas alors que je me trouvais face à l'italien ? La plupart des gens ne pourraient pas comprendre ce truc entre nous, seulement aussi stupide que cela puisse paraître, ce n'est pas parce que je ne lui disais rien sur ma vie qu'il n'était pas important pour moi. Au contraire. Je tenais trop à lui pour lui faire du mal en l'intégrant à ma vie. Seulement dans l'heure je n'avais pas le temps ni l'envie de lui expliquer tout cela. Je voulais juste profiter de notre instant ensemble à son maximum. « Te regarder comment ? » Dis-je en l'observant de haut en bain, glissant doucement ma main en direction de son membre que j'effleurai légèrement avant de poser ma main sur sa cuisse. S'il y a quelque chose que j'aimais encore plus que le sexe, c'était l'avant sexe. Voir le feu dans le regard de Berto laissait apparaître sur mon visage un grand sourire. Je retirai ensuite ma main de sa cuisse pour faire quelque mouvements dans l'eau juste histoire de faire durer l'attente encore un peu.

Moins elle en savait sur lui, mieux elle se portait. Après tout, peut-être que ça la dégoûterait, de savoir qui il était vraiment. Parce qu'avec elle, il a toujours été adorable. Ce n'est pas le lui de tous les jours. Ce mec qui la complimente, qui cherche à lui faire plaisir, à combler toutes ses envies. En général, il s'en fou du bonheur des autres. Y'a que le sien qui compte. Leyna a un pouvoir sur lui, et elle ne s'en rend certainement pas encore compte. Un jour, ça risque d'exploser. Il se sait possessif avec elle, mine de rien. Manquerait plus qu'il la voit avec un autre mec. Pourtant, il n'a rien à lui dire, lui qui enchaînait les conquêtes. Ce soir, c'était leur soirée. Juste eux deux, une bouteille de champagne, un jacuzzi et le risque de se faire prendre en pleine action. "Te regarder comment ?" Elle joue avec ses nerfs, ses yeux balayant son corps tandis que sa main frôlait sa partie intime, le faisant frissonner. Berto la dévore du regard, se mordillant la lèvre quand elle pose sa main sur sa cuisse. Alors il fait de même, posant ses mains sur chacune de ses cuisses. Puis il remonte doucement, sans la quitter du regard, sans dire un mot.

Quand on est en vacances, on a envie d'en profitez à son maximum. Et comment mieux s'amusez qu'en excellente compagnie ? Quand j'ai envie de passer du bon temps, je sais précisément qu'Umberto est la personne vers qui je dois me retourner. En aucun temps je ne me suis ennuyer en sa compagnie, au contraire il arrive toujours à me surprendre. Ce soir ne faisait pas exception alors que nous nous étions donnés rendez-vous dans la piscine de l'hôtel. C'était excitant vous voyez, cette idée que nous pouvions nous faire surprendre à tout moment et par n'importe qui. Cela me rendait tout particulièrement d'humeur joueuse. Il était d'ailleurs un partenaire parfait, j'adorais ce désir qui se dessinait dans ses yeux qui devenait noir d'envie alors que mes mains glissaient doucement sur ses cuisses non sans avoir préalablement effleuré son membre. Je ne lâchai pas son regard un instant, le laissant s'emparer de mon corps ainsi que de mon âme alors que je léchais mes lèvres du bout de ma langue. J'avais envie de voir l'animal en lui sortir vous voyez ?