Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityChocolat Amère /!\ ♣ Feat Pavel
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


Chocolat Amère /!\ ♣ Feat Pavel

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Chocolat Amère /!\ ♣ Feat Pavel Tumblr_lxzm0uVpD91qi89wco5_250

Je bossais sur un devoir en droit. Le genre assez compliqué. Un bonne composition sur le droit international en général, rien de mieux pour débuter une journée. Oui parce qu'il n'était pas encore 10h que je bossais sur une table dehors dans l'air frais que j'affectionnais un chocolat chaud du chez Starbuck non loin et mes écouteurs dans les oreilles pour me concentrer. Sérieusement j'étai bien, j'étais assez couverte pour ne pas geler, et le ciel était pile poile bien pour m'éclairer sans m'éblouir. Bon certes j'étais plutôt bien couverte. J'étais une adepte de jupe donc j'en portais une avec des collants opaques et des bottes qui montaient juste au dessus de mes genoux. J'avais un gros pull en laine et un manteau par dessus.Je portais également des gant en cuir souple et un bonnet. Non franchement dehors j'étais bien, les doux rayons du soleil d'hiver me réchauffaient pile comme il le fallait.

Pourtant j'avais un hic. Un soucis dans mon devoir à rendre. Certes ce n'était pas pour le lendemain mais je voulais m'y mettre pour être tranquille. J'étais plutôt méticuleuse sur les bords et j'aimais que tout soit bien fait. C'était surtout pour garder cette image de jeune femme parfaite sur soi que je le faisais mais ça il ne faut surtout pas le dire en faite. Mais en tout cas j'avais un soucis, je n'arrivais pas conclure une partie et cela m'embêter de devoir écrire des choses que je ne comprenais pas, j'aimais tous contrôler, même mes connaissances c'est comme ça. Et là j'avais besoin de mon professeur de droit pour m'aider.

A mon grand regret je dus me lever. Je rangeais mes affaire et je gardais seulement en main mon gobelet de chocolat chaud. J'en bus sur le trajet de la salle des professeurs. Je supposais trouver mon prof de droit dans son bureau et donc je me rendais dans la couloir des professeurs. J'espérais qu'il puisse m'aider ou qu'il veuille m'aider après tout il était payé pour ça mais bon.

Je vus rapidement sur les lieux. Je croisais certain de mes prof, et comme tous savaient que j'étais la fille du directeur et bien disons que cela me donnait une certaine notoriété dans ce couloir. Allez savoir pourquoi. Je savais où se trouvait le bureau et je m'y rendus tout de suite, je pouvais aussi apercevoir la porte ouverte. J'entrais sans frapper et sans me douter que j'allais percuter une personne qui en sortait. Je me sentais terriblement bête. J'en avais renversé aussi bien partout sur moi que sur cette personne.. Je parle du chocolat... Je ne suis pourtant pas du genre maladroite bien au contraire mais ... Là ce n'était pas vraiment prévu. J'avais un gros pull je ne sentais pas la chaleur forte de ma boisson mais l'homme sur qui j'en avais renversé devait la sentir passer... Je fus prise d'un élan de culpabilité. Je sortis en vitesse de mon sac un mouchoir pour éponger sur essayer de retirer la tâche qui se formait, mais ce n'était pas l'idée du siècle. Je m'en voulais c'était terriblement stupide...

- Je.. Je suis désolée...


Je relevais la tête en découvrant que je connaissais ce professeur. Je rougis légèrement. Il était assez réputé au près de certain étudante comme un prof de math plutôt sexy.. Ce que je ne pouvais que confirmer, même si nous n'avions pas à penser à ce genre de choses..

- Je payais le teinturier.. Je suis navrée je ne vous ai pas vu.. hé.. enfin vraiment désolée..

Lui faire nettoyer n'était pas un soucis.. l'argent ne manquait pas chez moi, le problème était est ce qu'il allait mal réagir ou pas ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pavel se concentrait sur les cours qu'il avait à préparer. Jamais encore le professeur n'avait repris les mêmes leçons d'une année sur l'autre, trouvant souvent, pour ne pas dire quasi tout le temps, le moyen de les améliorer à l'aide de nouveaux exemples ou de nouvelles explications bien plus adéquates. Le trentenaire avait un doctorat en mathématiques, si bien que tout lui semblait plus ou moins aisé à réaliser lors de ses cours, mais il avait toujours su garder à l'esprit que les étudiants, quant à eux, étaient présents pour apprendre. Ils n'avait que très rarement déjà vu cette partie du programme auparavant. Pavel était un professeur très sévère et il en demandait beaucoup à ses étudiants, les examens qu'il préparait étant bien digne du niveau que pouvait demander une université comme Harvard, mais ce n'était pas pour autant qu'il désirait les faire couler. Loin de lui cette envie. Bien au contraire, il était professeur, il était là pour les aider à réussir. Et ils réussiraient. Beaucoup de courage et beaucoup de travail étaient les clefs de la réussite, il n'avait de cesse de le leur répéter. C'était comme une sorte de proverbe.
Peut-être qu'un jour cette idée entrerait dans leur petit tête, qui sait ?

Pavel appliquait son crayon à papiers contre une feuille à petits carreaux, plutôt nerveusement. Hier, il n'avait pas bu. Et l'odeur, le goût de l'alcool lui manquaient déjà énormément. La dépendance. Une dépendance si puissante à ce produit qu'elle le tenaillait à chaque instant de sa triste vie. Son record avait été de tenir presque une semaine avant de ne sombrer et de se laisser aller à une cuite monumentale. Mais c'était son secret. Il devait se battre. Se battre pour récupérer sa fille, Jenny. Cet ange qui, à présent, vivait bien loin de lui. Des airs de fée, et cette joie qu'elle gardait malgré les circonstances. Parfois, Novak se disait qu'elle était certainement bien mieux chez sa grand-mère, loin de ses soucis stupides. Mais il tâchait de ne pas y songer, se concentrant sur une démonstration plutôt compliquée qu'il n'avait jusque là pas songé à introduire dans son cours « pour faciliter les choses », mais cette époque était révolue. La prochaine génération d'étudiants en mathématiques d'Harvard serait obligée d'y passer !

Passant l'une de ses mains tremblantes dans ses cheveux bruns, Pavel commençait vraiment à s’exciter comme un lion en cage. Il lui fallait de l'air, beaucoup d'air, afin de se ressaisir. La démonstration ne lui filerait pas pendant qu'il serait dehors après tout... Il fallait surtout qu'il évite de ne se jeter sur le premier café situé non loin du campus. Un petit tour au pas de course et il irait mieux. Il l'avait déjà fait de nombreuses fois et jamais encore cette méthode n'avait failli à ses attentes. Bien au contraire. Tant pis si quelqu'un le prenait pour un fou à courir ainsi dans l'enceinte du campus, bien loin des activités normales exercés par un professeur de mathématiques. Mais Pavel n'était en aucun ce que l'on aurait pu imaginer. Beaucoup de personnes jugeait sur ses diplômes et son nom. Avant de le rencontre, l'on pensait presque toujours qu'il s'agissait d'un vieil homme à lunettes travaillant la major partie de son temps dans un sous-sol, seul dans son bureau. La réalité étonnait. C'était bel et bien cet homme farouche de trente-huit ans qui enseignait, parmi d'autres, les mathématiques à Harvard, et écrivait déjà son premier livre de recherches.
Il finit par se lever d'un bond, jetant son crayon à l'autre bout de sa table, tel un vulgaire objet, calant par la suite sa feuille avec un livre, afin qu'elle ne s'envole pas.
Avançant d'un pas pressé vers la porte, afin d'assouvir ses pulsions, il ne s'attendit pas à sentir soudainement une lourde brûlure au niveau du torse. Sa chemise blanche venait soudainement d'être tâchée par une substance provenant du gobelet d'une demoiselle se tenant face à lui. Cette dernière s'excusa, tentant d'éponger le drame.

« Non, mais c'est quoi cette manière d'entrer sans frapper ? »
s'exclama simplement Pavel, énervé. Déjà qu'il était nerveux de par son manque d'alcool, il fallait encore qu'une étudiante vienne lui agiter les nerfs au sein même de son cocon : son bureau. La journée commençait vraiment très mal. Il le savait qu'il aurait dû rester préparer ses cours chez lui au lieu de se déplacer.
Sans même s'en rendre compte, il venait de saisir son interlocutrice fortement par le bras. C'était sa manière de se défendre, attaquer comme un vieux loup aux aguets d'une proie à démonter.
S'excusant encore, la jeune femme signala qu'elle lui paierait le teinturier. Mais cela ne suffit pas à calmer notre professeur. « Tant mieux, mais la prochaine fois, faites plus attention, on dirait que vous avez deux mains gauches ! »

Enfin, il finit par lever les yeux vers la demoiselle en question, qu'il avait interceptée à la limite de l'agression, sans même savoir de qui il s'agissait. Après l'avoir observée quelques instants, il finit par la reconnaître. Il l'avait déjà croisée, à la bibliothèque, dans une situation un peu similaire. Il ne savait pas pourquoi, peut-être du fait de son âge, mais elle lui avait même posé quelques questions... Il pencha la tête d'un côté, se donnant l'air attentif.
« Bon... Qu'est-ce que je peux faire pour vous ? » finit-il par lâcher. Il n'était pas très poli, mais s'était nettement radouci, arborant à présent un posture bien plus gentille et avenante. Après tout, elle ne l'avait certainement pas fait exprès. Manquerait plus que cela !
Dans son esprit, il tentait de se souvenir de son nom. Il savait qu'elle était en droit international, mais impossible de poser une identité précise sur ce joli minois et cette charmante voix. Étant plutôt du genre à travailler comme un vrai prolétaire qu'à copiner avec les collègues, il ne se doutait même pas qu'il s'agissait de la fille du directeur de l'université.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me sentais vraiment mal. Je n'avais pas dans l'intention de foncer dans un autre prof et lui renverser la moitié de mon gobelet de chocolat chaud, qui était vraiment mais alors vraiment chaud le pauvre. Je n'étais certes pas épargnée mais ce n'était pas un soucis, je passerais à ma maison pour ma changer après. Je n'étais cours que dans l'après midi alors j'étais assez tranquille aujourd'hui. Enfin bon, je n'avais sur le coup pas reconnu le professeur en question mais lorsque je relevais la tête, j'eux presque un sourire et une hausse d'espoir. Après tout il l'avait déjà croisé et nous avions discuter rapidement dans la bibliothèque. Il m'avait renseigné un un truc que je lui avais demandé. Mais il n'avait pas tellement l'air de se souvenir de moi. En même temps s'il devait se souvenir de tous les élèves du campus il aurait probablement du mal. Moi je me souvenais de lui, mais je n'avais pas autant de prof que lui avait d'élèves. Cela devait être dur d'être professeur dans une telle fa, il fallait un bon niveau, vu le prestige de celle ci. Il devait être doué dans son genre en faite. Enfin bon bref, ce n'est pas tellement le sujet, ni le moment ni rien du tout, pour penser à ça.

Je fus assez surprise lorsqu'il m'attrapa le bras. Je n'étais pas habituée à ce qu'on me prenne comme ça, voir qu'on me touche avec une certaine violence, c'était peut-être même la première fois... Mes parents n'avaient jamais osé lever la main sur moi, ou alors ils n'en avaient pas eu l'occasion ou le temps. Franchement surement les deux. J'étais loin d'être une fille rebelle. Ils ne s'était d'ailleurs jamais plein de mon comportement. J'espérais en tout cas ne pas faire l'oeuvre d'un bon savon. Il est vrai que ce n'était pas du tout agréable, et pour personne. En tout cas il n'avait pas l'air dans son assiette. Il avait manger un tigre au petit dej ? Je lui avais fais quoi à part renverser ma boisson chaude sur lui ? Cela valait-il la peine qu'il s'adresse à moi de cette façon. Je n'étais pas sûre. En tout cas je n'aimais pas ça. Il finit par me lâcher et heureusement il me faisait un peu mal quand même ! Il avait oublié que mon père était le directeur ou quoi ?

Il se calma. Il reparla avec un air plus 'calme' si on peut dire. C'était déjà mieux. Je pense qu'il ne savait pas qui j'étais sinon il se serait surement contrôlé ou en tout ca sil ne se serait pas énervé ! C'était petit de jouer de son statut de fille du directeur. Mais en tout si je ne pouvais pas en tirer d'avantages cela. En tout cas je fus un peu soulagée lorsqu'il se détendit. Il me demandait ce qu'il pouvait faire pour moi. Bon je voulais à la base son collègue et j'imaginais qu'il ne devait pas s'y connaitre beaucoup en droit international mais je pouvais toujours essayer.

- Euh en faite je voulais voir votre collège pour le droit international ! Je doute que vous puissiez m'aider, à vous de me le dire après. Je crois que vous êtes professeur de math non ? Enfin je ne veux pas vous déranger...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il s'était calmé, tant mieux. Il n'aurait jamais dû s'énerver comme cela. Il n'y avait rien de bien grave, il n'avait même pas été brûlé par le chocolat chaud, ce breuvage n'ayant pas atteint sa peau. Cela n'avait opéré qu'un simple picotement, qui n'était guère si terrible. Oui, ce devra être du chocolat, du moins, ça en avait l'odeur, une odeur bien persistante. Une odeur que Pavel Novak n'aimait pas particulièrement car elle lui rappeler trop Jenny. Jenny buvait du chocolat tous les matins...Sortant un paquet de mouchoirs de sa poche, le professeur en prit un et essaya de s'essuyer encore une fois à l'emplacement taché. La demoiselle, dans sa tentative désespérée, n'avait malheureusement que fait étaler le produit sur sa chemise. Lorsqu'elle répondit à sa question, Pavel lui offrit un sourire. C'était un fait étonnant car le trentenaire n'avait plus l'habitude de sourire. Plus comme autrefois en tous cas. Ce rictus disparût assez rapidement toutefois de ses lèvres. L'observant attentivement, il en conclut qu'il n'allait tout de même pas lui reprocher sa présence. Après tout, ce n'était qu'une étudiante sérieuse venant questionner son professeur à propos d'un cours. Du moins, c'était ce que le trentenaire avait deviné en remarquant qu'elle tenait une pochette entre les mains.

« Oui, je suis professeur de mathématiques... » finit-il par répondre. Il s'apprêta ensuite à la quitter sans rien ajouter de plus, tel un véritable goujat, mais il ne le fit guère. Au lieu de cela, il resta immobile, l'observant encore. Toujours en train de chercher son nom. Il était vrai qu'elle lui avait fait grande impression lors de leur première rencontre. Ou plutôt une étrange impression, il ne saurait vraiment le décrire. Dommage qu'il n'avait plus toute sa mémoire. C'était cela de boire beaucoup trop : non seulement la concentration n'était plus la même, mais la mémoire aussi pouvait faillir.

« Je ne sais pas si je peux vous aider.... Mais on peut toujours essayer, non ? » Un nouveau sourire. Son regard s'était ancré dans celui de la demoiselle. Toute sa nervosité venait de disparaître comme d'un coup de baguette magique. Peut-être que la compagnie de quelqu'un avec qui papoter quelques instants lui permettrait tout autant de décompresser que de sortir faire ce cours débile du campus au pas de course. Pavel n'avait aucune notion en droit international, du moins presque aucune...A part ce que son collègue, parfois abominablement bavard avait pu lui raconter. Mais voilà : l'autre professeur avait de très nombreux ouvrages qui leur permettrait peut-être de régler le soucis dont été victime la demoiselle. Il ne leur en voudrait sans doute pas de les consulter.... Les livres étaient faits pour cela après tout.

Encore quelques secondes s'écoulèrent avant que le professeur Novak ne finisse par offrir un nouveau sourire à son interlocutrice. Il avait enfin retrouvé son prénom. Peut-être pas son nom, mais son prénom, ce n'était pas plus mal.

« Sutton ! » finit-il par s'exclamer. Cela pouvait paraître bizarre, mais sa pensée avait été si aiguë dans son esprit qu'il avait dû la laisser échapper à voix haute. Il en avait souvenir car l'une de ses très grandes amies, infirmière à l'Université, portait aussi ce prénom. Très joli qui plus est. « Excusez-moi... je...je viens de me souvenir de votre prénom, il m'était sorti de l'esprit », affirma-t-il afin d'expliquer son cri soudain.

S'écartant un peu de la porte qui menait sur le bureau, le trentenaire ajouta simplement : « Allez-y, entrez. On va pas rester dans la porte. »

Allez savoir ce qui le prenait, lui qui, d'habitude, aurait sans doute fausser compagnie à la demoiselle aussi vite que l'on peut dire « ouf ». Beaucoup moins renfrogné qu'à l'accoutumée, Pavel ne comprenait même pas lui-même pourquoi il avait cette certaine envie de discuter avec cette étudiante...

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ah voila il était professeur de Mathématique, j'avais un doute, le voila réglé. Il est vrai que je ne voyais pas tellement comment un professeur de maths pour m'aider pour un devoir de droit international. Bon après certain profs sont plutôt ambivalent et c'était peut-être le cas de.. Je ne me souvenais plus de son nom, je ne suis même pas sûre de l'avoir connu un jour. Je lui avais adressé la parole dans la bibliothèque mais je ne m''étais pas posée la question de son identité. Oh ce n'était pas si important.. Je ne pense pas en tout cas. En tout cas il avait l'air plus tendu que la première fois que je l'avais rencontré. Il était peut-être stressé par sa famille, ou son boulot. Oui je supposais qu'il avait une famille, pour son âge il était carrément beau gosse. Je sais que c'est plutôt déplacé de relooker un prof mais après tout je suis majeure et vaccinée, et il n'est pas censé le savoir. En tout cas s'il est célibataire c'est un grand gaspillage. M'enfin bref tout cela ne me regarde pas vraiment, il fait ce qu'il veut de sa vie, je suis une peu trop curieuse. Beaucoup trop curieuse, mais sans le connaître, je connais quand même de réputation et tous mes amis l'ayant ne s'en plaignait pas. Au contraire, apparemment il est plutôt bon en professeur de Maths. Je n'avais plus de mathématiques dans mon programme. Enfin bon. Il me voulait quand même m'aider. Je souris c'est gentil de sa part mais je ne pense pas l'embêter d'avantage. J'ai déjà déversé un bon nombre de liquide chocolaté sur lui alors je ne vais pas plus l'importuner.

- Oh laissez je ne vais pas plus vous déranger, je vous ai déjà tacher votre chemise.. Désolée encore à propos.. Je m'en veux assez.

Je grimaçais en revoyant la tâche, oui oui je lui paierais le pressing ! Je m'y tiendrais ! Je soupirais. Je rangeais donc mon devoir. Quand tout à coup il cria ou presque mon prénom. Sur le coup je sursautais, sérieusement je ne m'y attendais pas. Je lève la tête vers lui et je fronce les sourcils, il savait mon prénom, et moi je ne m'en souvenais plus.. Réfléchis.. Tu dois le connaître Sutton, franchement ! Il a forcément dû de te le dire ! Je ris lorsqu'il m'indiqua la raison de son cris. Je souris et son prénom me revint en tête, enfin son prénom.. son nom de famille. M. Novak, je ne le connaissais pas assez pour connaître son prénom.

- Ah oui, M Novak c'est bien ça ?

Je souris, il voulait me faire entrer au moment ou j'eus une idée pour me faire pardonner. Après tout nous étions deux adultes.. Et mon idée est toute simple.

- Euh sinon je vous invite à boire un café ? Pour me faire pardonner de cette vilaine tâche ! enfin si vous n'avez rien à faire d'autre bien sûr ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le fait est que Sutton était une personne bien intéressante. Elle avait l'air plutôt motivée. C'était déjà quelque chose de remarquable. Les étudiants avaient rarement le courage de venir voir les professeurs en dehors des cours, afin de leur demander des informations complémentaires. Bref, si l'on adoptait le point de vue du professeur, Sutton lui plaisait... les étudiants qui posent beaucoup de questions finissent toujours par arriver à presque tout... Du moins si leur question sont pertinentes et que les réponses ne se trouvent pas déjà dans le cours. C'était certainement étrange pour la demoiselle qu'un enseignant de mathématiques lui propose de l'aide en droit, mais il n'avait pas pu s'en empêcher. Et pavel avait toujours été un grand impulsif, il ne réfléchissait que très peu avant de balancer ses recommandations, ses conseils ou même ses conneries. Surtout lorsqu'il était ivre... Alors là, il s'en donnait à cœur joie. N'importe lequel des témoins de l'un de ses instants d'ivresse vous le certifiait. Pavel est quelqu'un d'incompréhensible. Observant encore plus attentivement la demoiselle qu'auparavant, peut-être trop intensément, se perdant dans ses pensées, Pavel finit par sortir de sa torpeur en entendant de nouveau la voix de la demoiselle s'élever dans les airs. Elle lui proposait un café...Enfin, plus précisément, elle lui demandait s'il ne voulait pas aller prendre un café en sa compagnie. Bien qu'elle utilisait pour expliquer une telle invitation le prétexte de l'excuse, Pavel ne sut pas sur le coup comment il devait prendre la chose. Il eut un doute. Il lui était déjà arrivé dans le passé, même lorsqu'il était marié, que certaines étudiantes lui fassent du va-et-vient... Et même s'il trouvait Sutton attirante, il se voyait mal flirter avec elle. Tout simplement car ce n'était pas raisonnable, et même son cœur ne le poussait pas à le faire.

« Euh...Je... » il bégaya un instant, comme cherchant ses mots. A cet instant, il ne savait même pas s'il devait refuser ou accepter. Après tout, ce n'était qu'un café, et puis, il avait lui-même décidé quelques minutes plus tôt d'aller faire un tour, de se remplir les poumons d'air afin de se sentir mieux. Mais les règles de bienséances dictaient que le fait qu'un professeur se balade en compagnie d'une étudiante, même si c'était totalement innocemment et entre adultes respectables, pouvait être mal vu. Mais, il ne fallait pas exagérer, ils n'allaient pas sortir de la pièce main dans la main en dansant sur la musique des schtroumpfs.... Après quelques instants d'hésitation, il finit par accepter.

« Avec plaisir, Sutton. Vous avez raison, ça ne sert à rien de partir fâché. »
Un petit sourire apparut sur ses lèvres pâles.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)