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Everything is ok ❤ PRIALYA

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« D'ailleurs pourquoi tu n'étais pas venu déjà ? » La présence à Cambridge de Priape m'avait rassuré pour Charlie à l'époque mais j'aurais aimé l'avoir près de moi pour passer du temps avec lui, surtout que cela avait été vraiment bien. Mais bon peut être que s'il avait été là je n'aurais pas rencontré Isaac... Avec des si on pouvait refaire le monde et même si j'en avais bien besoin actuellement notamment à cause de ce que j'avais fait avec Matthéo, ce n'était pas possible. « Oui je vais bien Priape je te promets, pourquoi est ce que ça n'irait pas ? J'ai juste un fond de migraine mais rien de bien grave ! Ne t'inquiètes pas s'il te plait ! » Ma santé allait très bien, c'était mon état d'esprit qui allait moins bien, je ne voulais vraiment pas qu'il s'inquiète mais il était plutôt insistant. Je lui avais répondu d'une manière assez ferme qui ne le blesserait ou vexerait pas je l'espérais mais il fallait qu'il arrête de poser la question car je n'étais pas la meilleure des menteuses à lui jurer sans cesse que tout allait bien. « Tu pourrais faire une exception pour moi... Mais en fait non je ne suis pas sûre que la blouse blanche me fasse tant d'effet que ça. » Il déposa ses lèvres sur les miennes et je pris sa main au passage, j'aimais avoir ce contact physique avec lui qui me faisait me sentir comme si rien ne pouvait m'arriver. « Tu n'as pas besoin de la blouse pour me faire de l'effet. » Je tirais sur sa main pour qu'il se baisse vers moi pour lui donner un baiser plus long. Oui j'allais bien, parfaitement bien, surtout avec lui à mes côtés alors pourquoi s'inquiétait il ? Bientôt il prendrait surement la poudre d'escampette en me traitant de tous les noms et là je n'irais pas bien oui.
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« Mon frère avait disparu de la circulation, mon meilleur pote ne partait pas non plus et puis au moment des inscriptions j’avais pas encore de magnifique blonde à mes côtés pour faire pencher la balance en faveur du Canada. » expliquai-je alors. Puis l’expression de la jeune femme m’avait alarmé, bien qu’elle me rassura aussitôt m’expliquant qu’elle avait la migraine, c’était dur pour moi de ne pas m’inquiéter comme elle me le demandait. « Qu’est-ce qui fabrique avec le compte rendu du scan ! » ronchonnai-je en jetant un coup d’œil vers le poste de soin où plusieurs soignants étaient en train de s’activer. Je reposais ensuite mon regard vers la jeune femme. « Ils t’ont donné quelque chose ? Des antalgiques ? Tu veux que j’aille les voir et que je leur dise de s’activer ? » Pas sûr qu’ils m’écoutent, j’étais qu’un interne après tout j’avais pas le pouvoir des titulaires ici. « Bon ok, j’arrête, j’arrête… » promis-je devant son regard persuasif. Et parler de fantasmes de blouse blanche sur un ton bien plus léger détendit aussitôt l’atmosphère entre nous. Les paroles de ma copine étaient flatteuses, et je ne pus m’empêcher de sourire avant de la laisser m’attirer à elle pour un nouveau baiser, plus long cette fois… Quand mes lèvres se détachèrent des siennes, je restais sur ce thème : « Tu sais que si tu préfères l’uniforme de pompier, je peux aussi m’en procurer facilement… » la taquinai-je alors.  
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« Ah oui en effet... Que de raisons pour rester ici, même si j'aurais pu te mettre dans ma valise ! » Les inscriptions avaient été clôturées avant qu'il ne puisse me rejoindre sur le voyage, enfin l'administration faisait tout de même des faveurs à certain puisque je m'étais inscrite au dernier moment mais Chrissy avait aussi dû le faire puisqu'elle était revenue à Harvard pendant cette classe de neige. Ma foi, il était resté avec Charlie ce n'était pas plus mal car j'avais au moins eu un médecin de confiance. Là ça allait être plus difficile. « Je n'ai rien eu pour le moment, ils veulent attendre de savoir si il n'y a pas un truc qui tourne pas rond dans ma tête avant de me donner quoi que ce soit pour ne pas risquer d'aggraver les choses... » En cas de migraine l'aspirine était mon seul ami alors oui il fallait attendre de savoir si je n'avais pas une petite commotion, un petit traumatisme ou je ne sais quoi pour ne pas l'aggraver. Mais visiblement, Priape supportait encore moins que moi que je sois sur ce brancard à attendre. « Tout va bien mais si tu veux aller bouger les fesses de tes chers collègues je ne dis pas non, plus vite je serais sortie, mieux ce sera, ma mère m'attend chez elle avec Charlie, je pense qu'elle s'inquiète même s'il y a pas lieu. » Et puis j'avais tout simplement envie de rentrer chez moi et de passer du temps avec ma fille avant de la laisser pour deux semaines pour partir en Nouvelle Zélande, quelle mauvaise mère j'étais n'empêche je m'en voulais mais je voulais aussi profiter ce à quoi ma mère m'encourageait afin que j'aille de l'avant après la perte de mon mari. « T'es incorrigible toi ! Si je te dis que la panthère rose me fait fantasmer tu vas te trouver aussi le costume ? » Je souriais doucement, ma migraine empirait avec les vas et viens dans les couloirs et l'attente se faisait longue, en plus je ne supportais pas d'être là à ne rien dire à Priape mais ce n'était pas le moment de le faire.

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« Même en rentrant mon ventre, y’aurait jamais eu de place pour moi dans ta valise. » plaisantai-je en riant. Ca ne m’aurait pas déplu de partir avec elle. Mais notre lien s’était aussi renforcé parce que malgré la distance on était resté en contact, on s’était mutuellement manqué, je m’étais occupé de sa fille et cet événement ça nous avait également rapprochés. Alors au final je regrettais rien. D’ailleurs, j’étais convaincu que quoi qu’il se passe entre nous, je ne regretterais jamais de l'avoir rencontrée parce qu'elle était exactement ce dont j'avais besoin à ce moment là de ma vie. Talya me répondit ensuite qu’elle n’avait rien reçu, ça m’énervait encore plus même si c’était logique mais impossible de penser comme un médecin quand les sentiments s’en mêlent. Voir Talya souffrir c’était intolérable. J’essayais de la distraire en parlant d’autres choses, comme nos fantasmes secrets, sa réponse m’arracha un petit rire : « Tu sais que je bosse en pédiatrie, je suis sur qu’on doit pouvoir trouver ce déguisement quelque part dans nos placards. » Mais même nos petites réflexions ne chassaient pas complètement mon inquiétude, surtout que je voyais bien à l’expression de Talya qu’elle ne se sentait pas au meilleur de sa forme. « Je vais aller les voir ce qu’ils fabriquent avec ton dossier. » ronchonnai-je en embrassant furtivement son front avant de me lever et d’aller voir au bureau ce qui se tramait.  Je revins quelques minutes plus tard, des cachets de paracétamol en main mais un air crispé sur le visage. « Bon j’ai deux bonnes nouvelles mais une mauvaise, je commence par quoi ? »  
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« Ca c'est parce qu'on va trop souvent au restaurant, t'as pris du gras partout il faut croire ! » Je voulais rester sérieuse et déttachée mais là je ne pus pas m'empêcher de partir dans un rire de bon coeur. Qui avait il de mal à taquiner son petit ami qui se pense mal foutu ou je ne sais quoi alors qu'il a un corps parfait ? Il ne manquait pas d'humour et allait comprendre la blague, si il était capable de se déguiser en panthère rose, il allait la comprendre c'était sûre. Je passais donc sur le déguisement espérant qu'il ne le fasse jamais pour le laisser aller voir si ils avaient les résultats du scanner et quelque chose pour ma migraine. Je pensais qu'il allait revenir tout sourire me disant que je pouvais sortir mais ce ne fut pas le cas. Un long soupir sortit de ma bouche. « Tu commences par la mauvaise en espérant que ce soit juste qu'ils ne veulent pas me donner de l'aspirine et qu'ils veulent juste me donner du paracétamol ce qui sera sans effet sur moi... Mais vas y ! » Je plongeais mon regard dans le sien en tentant de savoir si il était vraiment sérieux ou non. « Et enchaine avec les bonnes nouvelles pour rattraper la mauvaise, mais dépêche toi car ta tête me fait peur ! » Je ne voulais pas louper la Nouvelle Zélande alors qu'il me rassure vite sur mon état que je savais bon mais on ne sait jamais...


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 J’affichais une moue vexée à la réflexion moqueuse de ma petite amie avant de la taquiner à mon tour : « Ou alors c’est peut être parce qu’on fait pas assez d’exercice physique, un bon moyen de bruler des calories, et je pense pas au jogging… » Propos pleins de sous entendus… Mais aussi de vérité. Faut dire qu’entre nos récentes disputes, et maintenant ce petit passage à l’hôpital, nous n’avions pas eu l’occasion d’être de nouveau proches ma petite amie et moi, physiquement parlant. Malgré notre petit échange taquin, je n’arrivais pas à être pleinement détendu, je finis par aller secouer les puces de mes collègues pour essayer d’en savoir plus sur ce qui retardait tellement les résultats. Je revins près de la grande blessée avec un air désolé. Elle voulait la mauvaise nouvelle en premier : « Ton père a été mis au courant, me demande pas comment j’y suis pour rien. Il est retenu au bloc sur une urgence et il a exigé qu’on ne te laisse pas sortir tant qu’il ne t’aurait pas examinée lui même et vérifié ton scan en personne… » avouai-je en grimaçant. Vu les relations tendues entre eux, je savais que cette info allait fortement déplaire à Talya. Ca ne risquait pas d’arranger sa migraine. J’essayais de positiver : « Enfin, les bonnes nouvelles c’est que j’ai vu ton scan, le radiologue aussi d’ailleurs, et il est strictement normal. Du coup, deuxième bonne nouvelle tu peux prendre des médocs. » terminai-je en lui tendant le doliprane. « Tu préfères de l’aspirine ? Je peux aller t’en chercher si tu veux… »
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« Est ce une invitation à me glisser dans ton lit ? Parce que si c'est le cas, je crois qu'il va d'abord falloir que tu vires Jasper et Charlie ! » Depuis que j'avais couché avec Matthéo, je ne l'avais pas refait avec Priape, non pas parce que Matt m'avait demandé de ne pas aller ressauter dans les bras du beau dunster en sortant du lit avec lui mais bien parce que j'avais un sérieux blocage. J'avais envie d'être avec lui, d'être à lui mais je me sentais tellement répugnante que je me privais moi même. J'avais déjà du mal à me regarder dans la glace mais en plus si je devais recoucher avec Priape sans lui avoir dit... Ce n'était pas possible. « Oh bordel c'est pas possible mais quel boulet ce bonhomme ! Et parce que Monsieur Blackburn demande, tout le monde dispose ici ? Et j'en perds même mon droit de signer une décharge pour pouvoir sortir ? Je rêve ! » Non c'était plutôt un cauchemar oui, mon père se mêlait des choses quand il n'y avait pas lui mais quand il fallait remplir son rôle de père il était au abonné absent. « Si il arrive tu devrais peut être filer non histoire qu'il ne te retombe pas dessus comme la dernière fois tu ne crois pas ? » Je n'avais pas du tout envie que Priape subisse le même interrogatoire que la dernière fois ou des accusations quelconque... Mon père pouvait trouver plein de choses à lui reprocher même s'il n'avait rien fait. « Si ça ne te dérange pas oui je veux bien de l'aspirine, c'est le seul truc qui arrive à me calmer ma migraine. »
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La vie dans une chambre de confrérie comportait ses inconvénients. Même si j’adorais Charlie et Jasp’, c’était vrai que cohabiter ensemble à la dunster ne nous laissait peut être pas à chacun un espace personnel suffisant pour pouvoir convier nos relations respectives en toute discrétion. « Je crois que tu as un appart, on peut aussi se glisser dans ton lit… » répondis-je avec un petit sourire. Cela commençait à faire un moment que nous n’avions pas été proches intimement parlant, alors oui j’essayais d’attirer ma petite amie sous mes draps ou plutôt de m’inviter sous les siens. Mais je me rendis ensuite au bureau avant de revenir, porteur de mauvaise nouvelle. Comme je l’avais craint, Talya perdit son sang froid lorsque j’évoquais son père. Je posais ma main sur la sienne. «Il va réussir à aggraver ta migraine à distance… » fis-je avec une petite note d’humour en espérant réussir à calmer un peu la jeune femme. « T’en fais pas, je vais te chercher ton aspirine, j’attends un peu avec toi et après je file, parce qu'effectivement j’ai pas très envie de le revoir… Il pourrait bien me reprocher de pas avoir mis de traceur gps dans ton sac à main, on sait jamais… » plaisantai-je à nouveau avant de me lever pour aller faire mes emplettes dans la pharmacie du bureau. Je revins cette fois avec l’aspirine demandée et un grand verre d’eau. « Et voilà mademoiselle Blackburn est servie ! »
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« L'appart ? chrissy m'a fait remarqué que les murs étaient fins comme du carton... Du coup on entend tout c'est pas génial ! » Oui nous l'avions déjà fait chez moi sans souci mais je préférais trouver une excuse pour éviter de le refaire là de suite pour l'accueillir dans mes draps, des draps qui avaient accueilli il n'y a pas si longtemps le corps de Matthéo. Je ne pouvais pas faire cela. « Tu sauras que mon père ne sait faire qu'une chose dans sa vie : aggraver les situations ! Une chance qu'il n'ait pas su pour notre dispute où il aurait pu s'en mêler et ne rien arranger !» Mon père était une catastrophe et m'étouffais encore plus depuis que j'étais avec Priape et qu'il ne l'aimait pas beaucoup sans même le connaitre. Mais je ne comptais pas le laisser faire et partir en Nouvelle Zélande allait aussi me faire du bien pour cela. « Après mes amis, c'est mon père que tu détestes... Je vais finir par croire que tu vas penser que je ne sais pas m'entourer...» Pourquoi étions nous si différents dans nos connaissances ? Enfin moi de son côté j'étais plutôt à l'aise... Il était juste à Harvard depuis plus longtemps que moi et avait appris à côtoyer les autres avant moi... « Merci t'es un amour ! » Je lui souris gentiment en prenant le verre et buvant la mixture dégueulasse. « Je suis condamnée à rester sur ce brancard ou j'ai le droit d'aller me promener et d'aller aux toilettes surtout ? Peut être qu'il me faut une garde rapprochée ? » Je commençais à me mettre debout l'interrogeant du regard. Oui il était celui à qui je pensais en garde rapprochée.

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Je riais lorsque Talya me rapporta les propos de sa colocataire, loin de me douter que c’était là une excuse pour ne pas avoir à m’inviter chez elle. « Bon bah vivement la nouvelle zélande alors ! » C’était pas que je ne pensais qu’à ça, ou que j’étais avec Talya uniquement pour ça, mais j’étais un homme après tout, le contact physique avec ma petite amie me manquait, un manque que des bisous ou des calins ne suffisait pas à combler… J’avais ensuite été obligé d’apprendre à Talya que son père s’était opposé à sa sortie. « Une chance oui, en effet… » J’osais pas imaginer ce que ça aurait pu donner si Monsieur Blackburn avait eu vent de notre accrochage… Il se serait surement fait une joie de m’accabler un peu plus auprès de sa fille et il aurait surement tenté de la décider à rompre avec moi… « Je déteste ni tes amis, ni ton père… C’est eux qui me détestent. » corrigeai-je avant de regarder ma copine avec des yeux de chiens battus et une petite moue triste pour l’attendrir : « Je comprends pas pourquoi je suis gentil pourtant. » J’en avais pas conscience mais je pouvais être un garçon adorable comme la pire des crapules. Il suffisait de me faire une crasse, ou à l’un de mes amis, pour se retrouver dans ma liste noire. Et puis j’avais tendance à être rancunier par dessus le marché. J’étais ensuite parti chercher l’aspirine de ma petite amie qui me demanda alors si elle pouvait se lever : « Je crois pas que tu aies le droit, tu veux que j’aille te chercher le bassin ? » Puis j’explosais de rire devant sa tête, en même temps le bassin y’avait pas plus tue l’amour… « Je plaisante, je pense que t’as le droit de te lever oui, vu que tu as rien. En tout cas je peux pas rester jouer les gardes rapprochés, je dois retrouver mes –vrais- patients. » m’excusai-je. « Je suis sûr que tu vas trouvais quelqu’un pour t’accompagner. » assurai-je avant de l’embrasser tendrement au creux du cou. « Tu me redis quand t’es rentrée chez toi quand même que je m’inquiète pas. »
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