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 | Soirée pizza entre colocs |
Il était 18h quand mon dernier cours pris fin. Je devais être la dernière encore à l'université comme à tous les mardis. C'était ma journée la pus longue. Mes cours commençaient à 8h et se terminaient à 18h. Pas beaucoup de pause durant la journée. En partant de l'université, je commanda par téléphone une grosse pizza avec une poutine. C'est toujours ce que nous mangions le mardi soir. Aujourd'hui ne ferait pas exception à la règle. Une fois le tout commandé, j'embarqua dans a voiture et me rendit à la pizzeria. Comme d'habitude, j'entra et les employés me saluèrent. Ils me reconnaissaient tous au nombre de fois que je venais ici. Une fois par semaine. Tout les mardis. Je paya le tout et retourna dans ma voiture avant de me rendre chez moi. Chez moi était vite dit. Nous étions six personnes à y vivre. J'avais tout de même mon petit endroit personnelle, ma chambre. Mais j'adorais être avec pleins de monde ainsi. Il est vrai que nos caractères accrochaient de temps à autres mais souvent, ça allait bien. De mon point de vue. En plus, mon meilleur ami, Jamie, était là, lui aussi.
Je gara ma voiture et monta à l'aide de l'ascenseur. Une fois arrivée en haut, j'ouvris la porte en criant: "QUI A COMMANDÉ DE LA PIZZA?!" Tout le monde devait avoir faim puisqu'il était rendu 18h30.
Je gara ma voiture et monta à l'aide de l'ascenseur. Une fois arrivée en haut, j'ouvris la porte en criant: "QUI A COMMANDÉ DE LA PIZZA?!" Tout le monde devait avoir faim puisqu'il était rendu 18h30.
FAIT AVEC AMOUR PAR WILD HEART.
(Invité)
Tête posée contre mon oreiller, les yeux fermés et mon casque sur les oreilles, je rentrais dans une sphère magique qui me plaisait de plus en plus. Je chantonnais et je souriais à mon plafond tout en me disant que si jamais quelqu’un rentrait j’étais vraiment mal. Mal dans le sens où cette personne aurait toutes les armes en main pour me faire chanter pendant des jours, des semaines, des mois, voir même des années ou quelque minutes. J’arrêtais donc ma musique de peur qu’on ne m’aperçoive comme ceci. Et je déposais mon casque sur le côté de mon lit pour ne pas le casser dans un possible élan d’amour contre mon oreiller. Une odeur, une divine odeur se baladait jusqu’à moi, et je m’en foutais d’être en caleçon, je devais savoir d’où ça venait et maintenant. J’ouvrais ma porte et me glissait dans le couloir en mode espion, rampant sur le sol tel un guerrier, et j’arrivais près des escaliers, cuisine en vue, mais le plus important, je voyais Leyla déposer les pizzas sur le comptoir. Et d’un coup, ma langue se baladait sur mes lèvres. Je me levais du sol et époussetais mon torse même si aucune saleté ne ce baladait sur moi, parce que j’ai la peau lisse, alors ça glisse. *abbatez-le.* Je me levais donc, et j’avançais dans les escaliers jusqu’à arriver devant les boîte si appétissante. Ouais, j’avais peut-être fait des petits pas de farfadets, mais ce n’était pas bien grave, au moins l’odeur me donnait envie de baver, puis elle avait super bien choisit Leyla, c’était mes préférées. Quand Leyla revenait dans la cuisine, elle annonçait avec classe que son ventre commençait à vouloir se remplir. « Sérieusement ? » Je me posais deux secondes pour faire des yeux de chien battut. « Tu peux me servir quatre ou cinq parts dans une assiette, je dois retourner travailler dans ma chambre. Même si je sais que mon corps va incroyablement vous manquer ce soir. » Je souriais, comme un idiot, un idiot fier.