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what if w/ spencer ivy cooper

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Je me sentais mal à l'idée de rompre avec Spencer. Parce que et même si nous ne nous aimions pas d'amour, je l'appréciais profondément. J'aurais voulu que ça marche, j'aurais pu tomber amoureuse d'elle si j'avais eu plus de temps et rompre me donnait l'impression d'être lâche, quelque part. J'abandonnais la partie et c'est ce qui me faisait le plus mal. Ni elle ni moi ne nous prenions la tête, c'est ce qui rendait cette relation si magique, tout se passait à merveille. Un instant, je regrettais d'avoir besoin d'un peu de temps pour réfléchir, notamment à Eden et à Elie-Sara que mes pensées ne voulaient pas quitter mais qui risqueraient de le faire lorsque j'aurais céder à Eden. J'avais et peut-être pour la première fois de ma vie une relation épanouie, mature. Même s'il était convenu que nous étions dans une relation libre, je n'avais jamais trompé Spencer. Seule Eden m'avait embrassé et j'y pensais déjà assez comme ça sans me soucier du reste. Bien entendu, jamais je n'en avais parlé à Spencer, pour la bonne raison que je n'avais jamais osé lui dire que j'attendais plus de cette relation, je n'avais pas voulu lui mettre la pression. En prenant la route en direction du logement que partageait la jeune femme et sa fille, je me mis à penser à ce que serait devenue ma vie auprès d'elle... what if.
« Spence ? Oh darling, il m'est arrivé quelque chose de fabuleux ! » M'écriais-je lorsque je franchissais le seuil de l'appartement, accrochant mon manteau à la patère située dans l'entrée lorsque je m'approchais de Malhyka pour lui caresser l'épaule. Assise dans la cuisine, le nez entre deux bouquins et un téléphone à la main, la jeune fille ne fit pas attention à moi. Ah les adolescentes... « Spence, j'ai quelque chose à t'annoncer ! » « Malhyka, après tes devoirs le portable. » Entendis-je alors que la silhouette de ma bien-aimée passait l'embrasure de la porte, se dirigeant vers moi pour me déposer un baiser sur les lèvres. « Je t'écoute Kal. » « Et bien j'ai... tu vas pas le croire ! Tu sais, le remplacement que j'ai fais à Vienne... » « Oui... » Me répondit-elle, quelque peu distraite ou ailleurs. « Tu vas y retourner, encore ? » « C'est une perspective qui n'a pas l'air de t'emballer... » Répondis-je, abandonnant quelque peu le sourire qui s'était fendu jusqu'à mes oreilles. « Si si... je t'écoute. » Je croisais les bras. « Non, vasy dis moi quel est le problème ? » J'arquais un sourcil, ne comprenant pas très bien ce qui se passait ni quel était le problème en question. « Mis à part le fait que tu n'es jamais là, rien de dramatique. » « Mais tout ça va changer... darling... je te le promets. » Saisissant ses mains, je m'approchais d'elle alors que les tapotements de Malhyka faisaient office de bruit de fond. « Igor... a pris sa retraite. » « Ce qui veut dire ? » « Et bien... et bien... » Les yeux empreints d'un éclat sans égal, je continuais. « Qu'il doit être remplacé et... on m'a proposé de prendre sa place ! Bon certes ce n'est qu'un second violon mais ça veut dire que j'ai un poste fixe... dans le philharmonique de Vienne, tu te rends compte ?! » « J'ai bien peur de ne pas te suivre. » Détachant ses mains des miennes, je la dévisageais, craignant de comprendre ce qui se passait. « Mais... ça veut dire qu'on peut être ensemble, il te suffit de venir vivre avec moi en Italie. » « Malhyka, tu peux aller dans ta chambre faire tes devoirs ma puce ? Kaleigh et moi devons parler. » Refermant la porte, je vis les yeux de ma douce s'abattre sur moi, prêts à exploser. « Je ne peux pas partir d'ici ! Malhyka est au collège, elle ne parle pas un brin italien... ici... c'est chez elle. Et c'est chez moi aussi, je ne peux pas tout plaquer pour aller en Italie... ça c'est... c'est ton rêve Kal', pas le mien... » Je compris dans son regard qu'il n'y avait aucune négociation possible, qu'un ultimatum avait été posé, que je devais prendre une décision. Et que l'une ou l'autre finirait par me détruire... « Et s'il n'y avait pas ta fille ? Enfin je veux dire... je l'aime énormément et j'avais dans l'idée que vous veniez toutes les deux mais si elle n'avait jamais été là, est-ce que tu serais venue avec moi en Italie ? Demandais-je, réalisant qu'au final la réponse importait peu. Spencer était mère d'une adorable adolescente dont j'avais appris à prendre soin au fil des années et à laquelle je m'étais incroyablement attachée pour l'avoir vu grandir et évoluer même si cela n'avait pas été facile tous les jours. « Tu ne peux pas me demander ça ! ... Je ne sais pas, je n'en sais rien du tout. Et... c'est ton rêve tout ça. Je le comprends et je ne t'empêcherais jamais de le réaliser, ça... c'est la consécration pour toi. Mais tu dois comprendre que ce n'est pas mon rêve... » Les yeux humides, je m'avançais d'un pas dans sa direction, ayant envie de tout plaquer pour l'aimer encore un peu, pour rester avec elle et son adorable fille, sentant que j'agirais sous le coup de mes émotions, non pas de la raison... « Non Kaleigh... tu... c'est ton rêve, tu ne peux pas... tu ne peux pas le laisser partir. » « Mais... je ne veux pas te quitter... Je t'aime Spencer, je t'aime tellement... » Avouais-je alors que des larmes coulaient le long de mes joues, descendant jusqu'à mon menton, tombant dans un bruit sourd sur le sol de la cuisine. Abandonner mon rêve ou l'amour de ma vie, il fallait choisir... what if.
Entrant dans l'immeuble, j'eus l'étrange impression de savoir quoi faire. D'avoir pris la bonne décision lorsque je frappais à la porte des Ivy Cooper. Le cœur lourd, j'attendis patiemment que l'on vienne ouvrir la porte, croisant les doigts pour que Malhyka soit dans sa chambre, ne me sentant pas capable de faire ce que j'avais à faire en ayant vu son visage d'ange, me rappelant à quel point sa mère m'avait aidé et à quel point elle avait été elle aussi un ange à mes yeux...
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Dernièrement ma vie était un énorme tas de merde. Enfin, non, pas de merde. Simplement c’était le désordre total autant dans mon cœur que tout le reste. Bon, d’accord. Surtout dans mon cœur. Avec Andrew qui était revenu et Romane pour qui j’avais des sentiments très forts, je ne savais même plus où donner de la tête quant à Kaleigh et tout le reste. Parlant de ma petite amie –oui, nous étions ensemble depuis quelques semaines déjà et, malgré que ce soit une relation libre, je m’y sentais plutôt bien. Il n’y avait pas de prise de tête entre nous et c’était agréable, relaxant. Malheureusement, je n’étais pas amoureuse de Kaleigh. C’est une fille bien, vraiment. Mais…. Nous ne sommes pas faites pour être ensemble, voilà tout. Justement, à ce propos… Depuis la mâtiné elle avait commencé à m’envoyer des messages qui me laissait sous-entendre qu’elle était sur le point de rompre. Je ne sais pas exactement pourquoi, mais je le sentais, c’est tout. Elle semblait distraite, ailleurs et surtout très distante. C’est pourquoi j’avais insisté pour qu’elle vienne le soir même. Il ne servait à rien de se torturer plus longtemps, ce serait ridicule. Si nous avions à rompre, alors autant que ça ce fasse maintenant dans le calme et tout ce qui va avec. Bon, en fait, qu’est-ce qui va avec? Je n’avais jamais vraiment rompu avec quelqu’un et je ne savais définitivement pas quels mots employer…. Sûrement que tout me viendrait au moment voulu, espérons.

Histoire d’être seule avec Kaleigh et tranquille pour la soirée, j’avais demandé à Paradise si elle pouvait la garder quelques heures chez elle, je reviendrais la chercher plus tard. Enfin, lorsque Kal s’en irait de chez moi. J’étais donc assise dans le salon, distraite, regardant par la fenêtre. Vêtue d’un simple short et d’une longue chemise, mes cheveux étaient rassemblés dans une natte tout simple qui me retombait sur l’épaule droite. Sans même m’en rendre compte, j’étais en train de mâchouiller le bout d’un crayon lorsqu’on frappa à la porte. Je me levai d’un bond, laissant tomber le crayon par terre. Je ne sais pas pourquoi, mais à partir de ce moment, tout sembla ce passer au ralenti. Le crayon qui tombe lentement et qui vient s’écraser sur le sol dans un bruit sourd. Moi qui me lève et regarde vers la porte d’entrée comme un animal apeuré. Moi qui avance lentement, d’un pas maladroit et irrégulier. Je pose la main sur la porte et la regarde un moment avant de l’ouvrir. Et là, je la vois. Elle se tient devant moi et semble étrangement déterminé et sûr d’elle. Pourquoi est-ce que je m’attendais à la voir désemparée et triste? Sûrement à cause de ses messages…. La réalité revient lentement à la normal, le temps n’est plus ralenti, les choses bougent normalement. Je la regarde avec un léger sourire en coin, un sourire de compréhension et de compassion. « Entre.. »

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Je compris dans le regard de Spencer qu'elle avait compris la raison de ma visite, plus, qu'elle s'était résignée. Me laissant entrer, un pâle sourire au coin des lèvres qui n'indiquait nulle hostilité, bien au contraire, je m’exécutais, me caressant les bras, hésitante. Croisant de nouveau son regard, je perdis toute confiance en moi et hésitais un instant. Voulais-je vraiment rompre ? Pourquoi étais-je incapable d'apprécier comme il se doit une relation mature et sans prise de tête ? Persuadée de tomber amoureuse de Spencer si nous avions eu plus de temps, je réalisais que cet amour, aussi fort soit-il serait bien différent de celui qui nous tombe dessus, celui qu'on ne peut contrôler et qui nous envahi sans que l'on ne comprenne ce qui se passe. Ses cheveux, coiffés en une longue natte qui reposait le long de son épaule droite me rappelait quelque chose que j'aimais tant chez elle : son naturel. Spencer ne faisait pas de chichis et elle était pourtant d'une incroyable élégance. Son rire cristallin allait avoir du mal à partir de ma tête, tout comme l'émeraude de ses yeux brillait encore dans mon cœur et mon esprit. Me mordant la lèvre, je la regardais un instant, comme pour jouir une dernière fois du regard que peut porter une femme sur sa petite-amie, du regard d'une femme qui a vu la sienne nue et qui s'en souvient encore. « Spencer... » Murmurais-je en levant la tête, croisant de nouveau ses grands et beaux yeux clairs qui me dévisageaient avec une expression qui me fendit le cœur. Elle tout comme moi semblait savoir ce qui allait se produire entre nous, la conclusion que nous donnerions à cette soirée et la raison de ma visite. Comme j'aurais aimé que cette visite se termine autrement, comme j'aurais voulu profiter une nouvelle fois d'une de nos soirées, d'un de ses baisers... c'était la première fois que je m'étais sentie aussi bien, peut-être parce que c'était la première fois fois que j'avais droit à une vraie relation. Et j'avais aimé ça. J'aimais penser à quelqu'un, penser à ce que cette personne faisait, ce à quoi elle pensait à son tour, chercher ce qui lui ferait plaisir, ce que je pouvais faire pour en arriver là... j'aimais le « nous », j'aimais le « elle » et j'aimais penser à quelqu'un d'autre qu'à moi. « Je... » J'ignorais comment procéder. Peut-être parce qu'une partie de moi n'avait pas envie de rompre et parce que, comment, face à ces deux yeux verts transparents je pouvais lui annoncer que je la quittais ? Je ne voulais soudainement plus admettre que nous n'étions pas faites pour être ensemble, qu'il fallait en finir avant que l'une de nous ne se brûle les ailes... je n'étais plus aussi sûr de ce qu'il fallait faire et ce revirement de situation me donnait mal à l'estomac. La perspective d'une quelconque fin me déboussolait... je ne voulais pas oublier tous ses bons moments, toutes ses nuits que nous avions passé ensemble, celles ou j'avais déclaré vouloir travailler pour au final la passer au téléphone avec elle et les après-midi au parc ou nous sortions avec sa fille. Peut-être était-ce mieux ainsi, sortir par la grande porte avec le souvenir d'une belle et courte relation plutôt qu'avec de lourds ressentiments, de la peine ou de la colère... « J’espère que je ne te déranges pas. » Fut la seule phrase que j'arrivais à prononcer. M'avançant vers elle, mon regards plongé dans le sien, je me perdis quelques instants dans le lac de ses yeux qui semblaient ce soir, briller de mille feux et raconter des histoires que je ne saurais probablement jamais...
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« Spencer... » Kaleigh venait enfin de briser le silence après être rentré dans mon appartement. Elle semblait beaucoup moins sûre d’elle-même que lorsque je l’avais regardé en ouvrant la porte. Elle avait donc perdu toute son assurance en franchissant le seuil? J’espérais bien que non parce que je n’avais, moi non plus, pas le courage de lui annoncer que nous deux c’était terminé. « Je... » Je..? Je tournai légèrement la tête sur le côté. Je voulais la suite. Ne t’arrête pas là Kaleigh, je t’en pris… Je la fixais d’un regard inquisiteur. Elle ne devait pas s’arrêter comme ça sinon ça ne ce terminerait pas bien. Enfin, ça ne ce terminerait sûrement pas mal non plus, mais ce que je voulais dire par là, c’est que je n’arriverais pas à rompre avec elle et qu’elle risquait d’être blessé. Je n’avais aucune idée à savoir si elle était amoureuse de moi ou non, mais j’espérais qu’elle ne l’était pas. Ainsi, il me semble, les choses seraient plus faciles. Mais j’avais peut-être tord, je n’en sais rien. Quoi qu’il en soit, j’avais une envie irrépressible de la prendre dans mes bras et de l’embrasser présentement. « J’espère que je ne te déranges pas. » J’avalai difficilement lorsqu’elle s’approcha de moi et plongea son regard profond dans le mien. Pourquoi est-ce que j’avais autant envie d’elle maintenant? Ce n’était pas du tout le moment de nous imaginer au lit! Je secouai lentement la tête en baissant les yeux et me passai distraitement une main sur le visage et dans les cheveux avant de relever la tête vers elle. « Non, bien sûr que non. » J’esquissai un sourire et, sans vraiment comprendre pourquoi, je m’approchai d’elle jusqu’à venir l’embrasser tendrement. Me reculant lentement en gardant les yeux fermés, je me mordillai la lèvre. « Pardonne-moi Kaleigh… Je… ahh... »

Pardon c'est nuuuuulle
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Pourquoi n'avait-elle pas pu répondre par l'affirmative ? Pourquoi avait-il fallut que je ne la dérange pas ? J'aurais voulu être pressée par le temps, contrainte d'accélérer le mouvement ce qui m'aurait obligée à décamper au plus vite. Chaque seconde de plus passée ici me rendait la tâche plus difficile. Rompre par mail, par lettre ou pire, par texto n'aurait pas été correct, ça n'aurait pas été digne de moi. Vouloir jouer aux dames était tout à mon honneur, ce qui l'était moins, c'était d'être incapable de se tenir à ses propres décisions. Une rupture n'est jamais agréable, que ce soit pour la personne qui rompt ou celle qui se fait jeter. Une rupture peut signifier beaucoup de choses; le fait qu'on soit incapable d'essayer, d'essayer plus fort ou d'aimer tout simplement me semblent être les deux explications les plus courantes. Et parfois, en dépit de tous les efforts accomplis, ça ne marche pas. Et ce n'est pas faute de le vouloir de tout son cœur, d'y croire, encore et toujours. En regardant Spencer, en plongeant mon regard bleu lagon dans ses yeux émeraudes je compris que je prenais la bonne décision. Non pas parce que je ne l'aimais pas mais justement, parce que je l'aimais. Peut-être pas de la façon dont il aurait fallut mais d'une manière qui me faisait comprendre que pour une fois dans ma vie, je faisais quelque chose de bien, dans l’intérêt de quelqu'un sans attendre en retour.

Alors que nous nous offrions ce qui me semblait être le plus romantique des silences que je n'avais jamais vécu, je vis, d'un mouvement quasi imperceptible la jeune femme faire un geste dans ma direction et je sus immédiatement ce qui allait s'en suivre et je ne fis rien à l'encontre de ceci. Nos lèvres s'effleurent un instant avant que je ne sente un baiser si tendre et si léger que je crus l'avoir rêvé. Sentant mon cœur se déchirer, je me reculais à mon tour alors que la jeune femme avait fermé les yeux, s'excusant. Fermant les yeux à mon tour dans l'espoir de me ressaisir et de retrouver la raison, je sentis le sol se dérober sous mes pieds et lorsque mes paupières osèrent s'ouvrir pour confronter mes yeux à la réalité, je constatais avec difficulté que je m'étais rapprochée de l'étudiante dont je sentais à présent le souffle contre mes lèvres. Spencer m'évoquait des plaisirs simples, des jours heureux comme ce n'était pas permis. Une vie dénuée de la multitude de problèmes que composait la panoplie de l'étudiante parfaite de notre époque. Elle n'avait rien de tout cela, elle était unique, elle était mon soleil. Et mon soleil brillait, étincelait de mille feux. « Pourquoi tu t'es excusée... » Murmurais-je en relevant la tête, cessant de fixer ses lèvres. « Parce que tu as séduis ta petite-amie ? » Ajoutais-je d'un sourire las, prête à rendre les armes. « Je suppose que tu sais pourquoi je suis ici. » Dis-je, sentant mes yeux s'embuer, laissant retomber mes bras qui s'étaient lentement rapprochés de sa taille. « Et... excuse-moi aussi. » A mon tour, je l'embrassais, caressant sa joue de ma main droite, passant mes bras autour de son joli cou dans l'espoir de prolonger ce baiser et de l'étreindre si jamais elle me repoussait.
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Je ne sais pas exactement pourquoi j’avais décidé d’embrasser Kaleigh. Probablement parce que j’en avais envie. J’avais envie de passer du bon temps avec elle au moins une dernière fois. De l’embrasser pour sentir ses douces lèvres sur les miennes, un point c’est tout. Je m’excusai tout de même, demeurant près d’elle, mais à un distance raisonnable de ses lèvres. « Pourquoi tu t'es excusée... »J’ouvris les yeux pour croiser son regard. Elle ne semblait pas trop mécontente au moins. « Parce que tu as séduis ta petite-amie ? » Un rire las m’échappa alors que je détournai légèrement la tête. Séduire ma petite amie hein… ouais. Elle eu un sourire tout aussi las que mon rire avant d’ajouter : « Je suppose que tu sais pourquoi je suis ici. » J’hochai positivement la tête en plongeant mon regard dans le sien. Bien sûr que je savais pourquoi elle était là et ce qu’elle comptait faire –si seulement elle y arrivait-. Ses yeux s’emplirent de larmes et mon cœur se serra. Je n’aimais vraiment pas la voir dans cet état. « Et... excuse-moi aussi. » J’arquai un sourcil, entre ouvrant les lèvres pour poser une question qui ne vint jamais. Ma question demeura en suspend dans l’air qui nous entourait, un pourquoi jamais prononcé alors que ses lèvres retrouvaient les miennes à nouveau. Sa main se porta à ma joue, la caressant doucement avant de remonter dans ma nuque, m’enlaçant doucement. Je ne la repoussai pas. Je ne le fis pas simplement parce que je n’en avais pas envie. J’aimais qu’elle m’embrasse et me garde près d’elle. Elle était la seule chose stable dans ma vie depuis quelques temps –avec Malhyka bien sûr- et j’avais besoin de sa présence malgré tout. Même si je n’étais pas amoureuse d’elle, je l’aimais énormément en tant qu’elle-même. Même si j’étais amoureuse d’un autre, j’aimais être avec elle. Mes mains se posèrent sur ses hanches, la tenant d’abord simplement face à moi. Puis, lentement, je tirai sur son corps pour le rapprocher du mien tout comme j’accentuais notre baiser, y ajoutant passion et fougue. Lentement, mes mains glissèrent plus bas pour aller rejoindre ses fesses avant de remonter sous son haut pour caresser sa peau chaude. Je crois que les choses ne se passeraient pas comme elle l’avait prévu si elle ne m’arrêtait pas maintenant.

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J’avais pour la première fois de ma vie, une relation stable, saine dans laquelle je me sentais à l’aise. Une personne que je respectais autant qu’elle me respectait, quelqu’un que, même si je ne l’aimais pas, j’appréciais de tout mon cœur. Faut-il en venir à la conclusion que, l’être humain ne peut se satisfaire de ce qu’il a, de ce qui peut le rendre heureux ou que je fuis dès que les choses m’échappent ? J’aurais tant voulu qu’elle me repousse, qu’elle prononce la phrase fatidique à ma place et me demande de sortir de son appartement, ce que j’aurais probablement fait aussitôt, un dernier regard à l’embrasure de la porte avant de la quitter pour de bon... Prolongeant notre baiser d’une fougue que je connaissais bien et qui me fendit tout autant le cœur, je me laissais attirer contre elle, frissonnant lorsqu’elle passait ses mains sous mon haut. Agrippant un instant son visage de mes mains comme pour le tenir en coupe, je passais rapidement celles-ci derrière sa tête, rêvant de défaire sa natte pour libérer ses magnifiques et longs cheveux dans l’espoir d’enfouir une dernière fois mon visage dans sa chevelure. Prise à mon propre jeu, je commençais à détacher les boutons sa chemise, ne sachant plus vraiment de ce qui convenait de faire, tiraillée avec l’envie de partager une dernière nuit avec elle, sachant pertinemment qu’une dernière nuit impliquerait encore plus d’hésitations quant à ma décision et compliquerait probablement les choses – à mon sens – mais peut-être ne voyait-elle pas les choses ainsi. Le feu aux joues et les yeux même si fermés, humides, je ne résistais pas à l’envie de la toucher, de la caresser une dernière fois comme pour me punir de vouloir quitter une jeune femme aussi merveilleuse, de m’éloigner d’une relation parfaitement saine et mature. Et je commençais à penser que nous avions quelque chose, que nous avions un truc. Peut-être que si nous avions décidé d’entamer une relation exclusive nous nous serions plus intéressées l’une à l’autre… peut-être en serions nous à une toute autre étape… mais avec un « et si », on refait le monde. Et un « et si » me faisait déjà suffisamment mal comme ça…

« Spence… » Murmurais-je en reprenant mon souffle, arrêtant notre baiser pour croiser son regard, ouvrant la bouche sans parvenir à rassembler mes mots, à mettre de l’ordre dans ma tête. « Pourquoi je n’arrive pas à te quitter ? » Demandais-je dans un supplice, sentant que j’avais tout aussi envie d’elle que j’avais envie de pleurer face à cette décision qui me torturait finalement. « Spencer… » Ajoutais-je à demi-mots, baissant soudainement la tête pour me jeter à nouveau dans ses bras et enlacer son cou de mes bras, au risque de l’étouffer.
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Même si je savais que ce n’était pas une bonne idée, je ne pouvais m’en empêcher. J’avais tellement envie d’elle, là, maintenant… Mes mains glissaient si bien sur sa peau toute chaude et douce, comment aurais-je pu lui résister? Elle posa les mains sur mes joues et les glissa ensuite derrière ma tête, me faisant sourire contre ses lèvres alors que je ne cessais de l’embrasser. C’était malsain, nous le savions très bien toute les deux, mais c’était plus fort que moi, plus fort que nous. Semblant finalement se résoudre à profiter de ces derniers instants avec moi, Kaleigh passa ses mains devant et détacha ma chemise un bouton à la fois. Je frissonnai alors qu’elle ne touchait même pas encore ma peau, j’anticipais si bien la suite. Pourtant, ce moment ne dura pas suffisamment à mon goût. Kal se souvins de la raison de sa venue ici et retrouva un minimum de courage pour se reculer un peu et planter son regard humide dans le mien en me disant : « Spence… […] Pourquoi je n’arrive pas à te quitter ? » Je clignai des yeux, réalisant que les miens aussi étaient humides. J’avais donc commencé à pleuré? Je baissai un moment la tête, inspirant un bon coup. « Spencer… » Je relevai la tête juste à temps pour l’attraper alors qu’elle se jetait sur moi, passant ses bras autour de mon cou. Je posai mes mains dans son dos, hésitante. Je ne savais plus quoi dire ni quoi faire d’ailleurs.

Fermant à nouveau les yeux, je la serrai un peu plus contre moi, retenant mes larmes. Je devais être forte. Pour moi, mais surtout pour elle. Kaleigh était une jeune femme très forte, mais elle avait présentement besoin que je sois plus forte qu’elle encore. Que je guide ce moment, que je l’aide à mettre fin à notre relation. C’était très dur pour moi aussi, je n’avais jamais fait ça auparavant, mais je savais que c’était pour le mieux. Je devais la laisser voler de ses propres ailes et trouver quelqu’un qui l’aimerait vraiment pour qui elle est. Je l’appréciais énormément, mais je n’étais pas amoureuse d’elle et elle méritait mieux. « N’y pense pas… Disons simplement que… Demain matin, ce sera officiellement fait…. D’accord? » Je la serrai encore un peu, puis la forçai à reculer, la regardant un long moment de mes yeux embrouillés par les larmes qui ne voulaient toujours pas couler. « Nulle besoin de le dire, nous le savons toutes les deux… Lorsque tu mettras les pieds en dehors de cet appartement, tu seras libre Kaleigh. Mais pour l’instant… » Je m’arrêtai dans ma phrase, prenant à nouveau ses lèvres. Je m’étais légèrement rapprocher tout au long de mon discours et je l’embrassais désormais aussi passionnément que tout à l’heure. « Pour l’instant…. » Je l’embrassai à nouveau, laissant planer de longues minutes entre chaque fois que je parlais. « Soit mienne une dernière fois… » À ces ultimes mots, j’eu l’impression qu’un truc explosait à l’intérieur de moi, qu’une chanson jouait et qu’elle venait d’atteindre ce moment où toutes les notes s’envolent dans un bruit assourdissant. Je la plaquai d’un coup contre la porte derrière elle et posai mes mains sur son ventre avant de remonter d’un coup son chandail jusqu’à toucher sa poitrine que je caressai par-dessus son soutien-gorge. Pardonne-moi Kaleigh…. Mais reste avec moi une dernière fois.

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Comme j’aurais voulu en tomber amoureuse ! De sa chevelure d’ange et de sa chute de reins, de son sourire d’enfant le soir de noël et de son rire cristallin… mais l’amour ne s’explique pas et je le savais que trop bien. Spencer était parfaite à mes yeux, aussi bien sous les apparences que les apparences en elles-mêmes. Et c’est bien pour cette raison que la rupture m’était incroyablement difficile, parce que je n’avais rien à lui reprocher. Elle avait su être la petite-amie idéale et il n’y avait, concrètement, aucun motif à cette rupture si ce n’est que nous savions, aussi bien elle que moi, que notre histoire ne pouvait durer et pourtant pour des raisons qu’on ignorait. Peut-être parce que nous avions toutes deux des personnes que l’on aimait dans nos vies mais quelque part, le fait d’avoir volontairement mis sur pause pour se concentrer sur notre relation à nous avait été la chose plus intelligente et la plus censée à faire. J’avais aimé croire qu’il n’y avait eu qu’elle dans ma vie, qu’elle avait été la seule créature sur laquelle j’avais porté mes yeux et qu’en fin de compte, qu’il n’y avait qu’elle pour moi. Je savais que c’était faux mais j’aurais crevé d’envie que ce soit le cas, rien que pour une fois. Parce que nos soirées m’avaient donné l’illusion que ça pouvait être le cas, que ça aurait pu l’être. Et je quittais la femme parfaite. Uniquement parce que je réalisais pour la première fois de ma vie que mon rêve n’était pas la quête de perfection. J’ignorais encore ce que je cherchais, ce que je voulais dans ma vie mais je savais une chose, je voulais plus. Et si par « plus » le mot parfait ne rentre pas en compte et bien j’assumerais le fait de me satisfaire de l’imperfection. J’avais pourtant longtemps cru qu’il ne me suffisait que de ça… Spencer m’avait aidé à réaliser ça. Et pour moi, c’était plus que ce qu’on ne m’avait jamais apporté.

Me plaquant contre la porte avec une fougue que je ne connaissais que trop bien, je la laissais faire, attrapant son visage que je collais au mien dans le but d’embrasser ses lèvres chaudes. N’ayant plus qu’à faire descendre sa chemise le long de ses épaules, frissonnant lorsqu’elle me caressait la poitrine. Je caressais son dos et les bretelles de son soutien-gorge dont je brûlais d’envie de l’enlever, fiévreuse lorsque je l’attrapais par la taille et que j’embrassais son cou de porcelaine. « Je te veux. » Murmurais-je entre deux baisers sur sa nuque, l’attirant un peu plus contre moi, brûlante d’envie de sentir son corps contre le mien, détachant sa natte, jetant l’élastique par terre en riant, pressée d’enfouir mon visage dans ses longs cheveux d’ange.
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