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Ces derniers temps, j’avais connue des moments difficiles. Entre ce malade qui m’avait tiré dessus alors que je ne faisais et ne disais rien et le retour à New York ; j’avais eu des émotions partagées. J’étais très heureuse dans mon chez moi, auprès de ma mère et de mes frères, mais ils semblaient tous croire que j’allais mourir dans l’heure dès que je faisais le moindre petit mouvement et ils en devenaient étouffants. Pourtant, je ne disais rien parce que j’étais bien avec eux, et tant qu’ils étaient ainsi, j’en oubliais le fait que j’étais blessée et qu’un malade avait voulu tuer des étudiants sous un prétexte que j’ignorais. Au départ, je ne voulais pas remettre les pieds à l’université, c’était difficile et je me demandais si j’allais réussir. Je repoussai toujours un peu plus ce moment et mes proches n’y voyaient aucun inconvénient, bien au contraire, ils adoraient le fait que je sois là. Mais lorsque j’ai dis que j’étais prête, ils étaient tous soudainement inquiets. Ils disaient que je prenais des risques, que je pouvais très bien me trouver une bonne université dans le coin et que mes études en seraient bonnes malgré tout. Mais non. Je me devais de me remettre les pieds à Harvard. Ce traumatisme ne devait pas me pourrir la vie.

Alors je suis revenue. Ça n’a pas été facile. Mais je l’ai fais. Je me le devais. Ce type ne pouvait pas gagner. J’étais assez angoissée les premiers temps et mon bras en écharpe me rappelait sans cesse ce que j’avais traversés, mais j’allais mieux aujourd’hui. J’étais bien entourée alors c’était quand même plus facile. Mes frères m’appelaient quasiment tous les jours, ma mère aussi et dès que je ne répondais pas, c’était la panique à bord. J’ai comme l’impression qu’ils sont aussi traumatisés que moi et qu’il faudra beaucoup de temps avant que ça ne passe. Dans la famille, on était ainsi : dès que l’un de nous connaissait des moments difficiles, ça avait des répercussions sur tous les autres ; on était sans doute trop fusionnels, mais personne ne nous changerait.

Enfin, aujourd’hui, je me retrouvai de nouveau dans les rues de la ville, morte de froid, mais il fallait bien que je rende une petite visite à Colt que je n’avais pas vu depuis un moment – depuis l’hôpital, il me semble. Je lui avais envoyé des messages pendant mon séjour dans ma ville et je l’appelais parfois, mais j’étais tellement accaparée par ma famille que ce n’était pas évident. Il fallait bien que je me rattrape ! J’avais donc acheté des petites douceurs sucrées et je me dirigeai vers son immeuble – et j’avoue que je mangeai déjà une pâtisserie sans même attendre d’être arrivée. Il savait que je ne résistai pas à la nourriture, je supposai donc qu’il ne m’en voudrait pas si j’en mangeai une ou deux, en sachant qu’il y en avait pas mal.

Devant son immeuble, je m’engouffrai dans le hall, mais j’avais toujours bien trop froid. Je montai les escaliers en prenant mon temps ; il ne m’attendait pas. Je ne l’avais pas prévenu de ma visite et du coup, j’espérai bien qu’il se trouve chez moi. Oh, merde. Si ça se trouve, il n’allait pas être là et j’aurai l’air stupide sur le palier en l’attendait. Bon, je suppose que j’attendrai quand même. Faire le trajet retour maintenant me tuerait littéralement. Quoiqu’il en soit, je m’arrêtai devant sa porte, reprenait mon souffle et tapait quelques coups à la porte en me dandinant d’un pied sur l’autre. Mais heureusement, la porte s’ouvrait et laissait apparaître Colt. « TADAM ! SURPRISE ! » Hurlai-je en brandissant le sachet de pâtisseries. Excusez-moi, la discrétion ne faisait toujours pas partie de ma vie.
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Haley & Colt
I just came to say hello.
mise en page par .Stay Away
Adieu l'hiver est bonjour l'été ! Bon d'accord l'été ce n'est pas pour tout de suite mais les températures sont nettement meilleurs depuis quelques temps et l'arrivée des beaux jours laisse aussi apparaître les vacances ! Ouais cette idée me plait même s'il faut bien l'avouer, côté vacances on pourrait croire que j'y suis toute l'année ! Mais je ne suis pas le seul puisque ma meilleure amie aussi a laisser les cours de côté pour prendre quelques jours de vacances auprès de sa famille. Bon c'est vrai que de son côté elle mérite bien des vacances après une balle dans le bras et un long séjour à l'hosto, je comprends que l'envie de quitter Harvard pour quelque temps se soit présentée. Mais ça reste des vacances tout de même non !? Plus sérieusement, cette folle me manque... Mes journées sont beaucoup plus calme maintenant qu'elle est dans un autre état et même si je ne pensais pas dire ça un jour, il faut bien avouer que je me fais chier lorsqu'elle n'est pas à mes côtés. Mais attention ! Il ne faut surtout pas lui balancer un truc comme ça, sinon je vais avoir le droit à une série de remarques qui vont vite me faire regretter ces paroles. Alors pour y voir plus clair, si je suis seul je dirais sans problème que la petite brune me manque... Mais si c'est elle qui me pose la question, alors NON ! Elle ne me manque pas du tout ! Oui c'est salaud mais c'est aussi le prix à payer pour ne pas se faire bombarder de répliques dans le but de me faire comprendre que je ne peux pas me passer de cette petite folle.

Et pourquoi est-ce que là tout de suite, je pense à Haley ? C'est une bonne question pas vrai ? Et bien peut-être parce que je suis allongé sur mon lit à fumer de l'herbe tout en écoutant du Led Zepplin, oui c'est une situation qui me fait penser à la brunette parce que je sais très bien que celle-ci n'aime pas tout ça. Enfin elle aime Led Zep et heureusement d'ailleurs ! Mais me voir allongé avec un joint entre les lèvres, non c'est une chose qu'elle n'apprécie pas vraiment et aucun doute que j'aurais le droit à une petite scène si elle venait à apparaître devant moi. Malheureusement, l'absence de Haley ne veut pas dire que je vais pouvoir passer une journée tranquille, puisque les bruits contre le bois de la porte viennent me tirer de mon petit monde et en plein milieu d'un solo de Jimmy Page en plus ! Merde ça devrait être interdit ce genre de connerie... Alors oui je pourrais rester sur mon lit, fixer le plafond et attendre le départ de cette personne mais, celle-ci risque de me casser les oreilles pendant quelques minutes avant de faire demi-tour. Je n'ai donc pas beaucoup de choix, je dois aller ouvrir et c'est justement ce que je me prépare à faire après avoir tiré une dernière taffe sur mon joint. Je me rapproche alors de la fenêtre pour l'ouvrir et faire disparaître une partie de l'odeur avant de quitter la chambre et prendre la direction de la porte d'entrée. « Si la musique est trop forte, vous pouvez aller vous faire... » Et je n'ai pas le temps de finir ma phrase puisque je me retrouve nez à nez avec Haley qui aux dernières nouvelles ne devaient pas rentrer aujourd'hui. Merde, me voilà comme un con devant cette fille qui lève les bras en hurlant "surprise !"

« Qu’est-ce que tu fous là ? » Ouais classe comme question pas vrai ? En même temps elle me connait, elle sait très bien que je ne vais pas lui sauter dessus et pleurer sur son épaule. « Bon au moins tu viens pas les mains vides. » Lâchai-je en attrapant le paquet que la petite brune a dans les mains, avant de lui lancer un regard et refermer la porte en la laissant derrière. Mon dieu que c’est salaud et j’ai déjà du mal à me retenir de rire en imaginant la tête qu’elle doit faire derrière la porte. Et le pire c’est que j’attends quelques secondes avant d’ouvrir une seconde fois la porte et poser mon regard sur mon amie qui est toujours derrière. « Allez entre. » Sourire aux lèvres, je laisse la porte ouverte et redonne le sachet à mon invitée, avant de faire quelques pas dans le couloir pour rejoindre le salon. « Tu n’as plus d’appart à cause de ta trop longue absence et tu cherches un endroit où passer la nuit c’est ça ? » Et tout en attendant la réponse, je tire une dernière taffe sur mon joint que j’ai toujours à la main, avant d’écraser celui-ci dans le cendrier et faire face à l’étudiante qui vient de me faire une bonne surprise.

« Content de te voir ici Montgomery, même si je pensais que tu m’avais oublier ! Il faut croire que tu avais mieux à faire pendant tout ce temps ! » Lançai-je en fronçant les sourcils, avant de retrouver le sourire. « Si tu t’occupes de la bouffe, je suppose que c’est à moi de servir le café ? »
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