CALLIOPE S. WELCH ► Jessica Lucas

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Satsumi et j'ai 24 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site.  J'ai apprécié le contexte alors j'ai décidé de m'inscrire Calliope S.  Welch. J'utilise Jessica Lucas comme AVATAR, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 500 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Très sympathique.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Je me nomme Calliope Shayla Welch,


Je suis née pendant une journée comme les autres à la grosse pomme qu’on connaissait sous le nom « New York », le temple de la mode et des cocktails branchés a vu naître un adorable enfant au sein de l’une des familles influentes et riches New-yorkaise. Mes parents se sentaient heureux de contempler ce visage attendrissant que je représentais pour eux, ainsi qu’une héritière qui devrait se construire parmi la bonne société, les personnalités ne manquaient pas dans cette ville où on pouvait faire une multitude de choses. Je n’étais qu’une jeune femme similaire à n’importe qui ayant ses rêves, ses désirs et sa propre volonté. Je ne cherchais pas la richesse, car je disposais de suffisamment d’argent sur mon compte banque grâce à leurs succès, puis je ne pensais que cela faisait tout.


J’ai reçu une éducation correcte avec mes parents aimants et parfois occupés par leurs professions respectives au domicile familial, mon père Kameron Welch dirigeait une grande entreprise de la finance et ma mère Éliana Ross-Welch était la fille du PDG d’une importante société de communication de Manhattan, elle organisait des soirées et gala de charité en parallèle de ses compétences reconnues de responsable de relation publique. Comme vous l’aurez comprise, ma famille ne passe pas inaperçue par son influence et ses possessions immobilières. Je pourrais me montrer comme ses enfants fortunés qui profitaient de leur argent, la fortune de la famille pour s’amuser, remplir ma garde-robe des dernières tendances ou m’offrir une voiture de marque… Eh ben non on m’enseigna dès l’aube de mes premiers pas des valeurs simples qui me permirent de prendre conscience qu’avoir un nombre à plusieurs chiffres sur un chèque ne changeait pas mon quotidien : la tolérance, le respect d’autrui et l’altruisme me furent transmis aisément par ce couple présent en dépit du travail. Je développai mes connaissances culturelles et intellectuelles dans de prestigieuses écoles privées comme la majeure partie des enfants de bonne famille, j’ai appris à trouver ma place auprès des filles populaires qu’on côtoyait par envie de se voir et être remarqué, pourtant je ne me sentais guère au-dessus des autres. C’est étrange comme la notoriété, la popularité et le pouvoir pour me paraître fastidieux, superficielle une fois qu’on sortait des institutions élitistes.


À la maison, je poursuivais mes cours particuliers soigneusement choisie, car on me préparait à devenir une femme de la société, éduquée et intelligente qui irait loin avec ses atouts. Un brin exagéré à mon goût, mais je ne voulais en aucune façon contrarier ceux qui faisaient tellement pour moi. Ils croyaient en ce que je suis, me soutenait et me conseillait lorsque j’en avais besoin. Néanmoins, je savais m’imposer devant eux quand je ne souhaitais une chose, du fait que je suis la seule en mesure d’écrire mon chemin sans commandement extérieur. La petite fille que j’ai été durant mon enfance fut remplie de cadeau, d’attention et équilibre qui aurait pu me rendre capricieuse, mais ce ne fut pas le cas. Je dévoilais déjà un esprit intelligible féru de connaissance et d’entrain découvrir ce vaste monde ; un individu ouvert et sagace qui saisissait ce qu’on ne me disait pas par le loisir de la lecture. Bien qu’un simple passe-temps au cours de certains après-midi tranquilles, de matinée douce où je me détendais un livre se trouvait à côté. C’est en continuant de bouquiner que me vint le goût d’apprendre, l’envie de suivre des études dans un domaine me captivant semblait une évidence.


Entre les leçons de piano et de danse, je me découvrais un engouement envers ces passions pouvant élargir mes compétences de pianiste et de danseuse. J’aurai pu envisager une carrière de musicienne ou danseuse professionnelle comme un rêve d’enfant, mais d’autres domaines correspondaient aux aspirations que je nourrissais au fur et à mesure des années passantes. Je commençai à m’épanouir en me créant une vie sociale active avec mes proches amis, je faisais des sortis dans des soirées branchés, danser et rigoler décemment sans avoir à boire une goutte d’alcool, ni fumer de substance illicite. Il y avait ceux qui prenaient ces drogues pour planer et décoller comme il disait souvent etc. Je pourrais continuer en ce sens, mais rien n’en découlerait de plus qu’une liste interminable ! Suis-je la fille à son papa ? Je ne dirais pas ça, du moins je laissais parler les potins et petites rumeurs s’estompaient dans le vent. Pourquoi devais-je accorder une quelconque importance à ses fadaises sans fondement assez souvent, cela servait surtout à engendrer des conflits et désaccords d’ordres mineurs. Quelles sont mes origines ? Voilà une excellente question à laquelle je vais essayer de répondre clairement. J’ai hérité de la culture américaine et panaméenne par mon père et Anglaise de ma mère par ma grand-mère maternelle.


Vous avez un aperçu de ce que ça donnait lorsqu’on remarquait ce mariage harmonieux. Je réunissais un savant mélange on va dire ! En parlant de la capitale londonienne, je passai un séjour dans ses rues animées et vivantes de façon, à élargir ma vision du monde en quelque sorte. De nouvelles saveurs, le parfum du thé et les magasins londoniens regorgeant de merveilles furent un agréable découvert durant les deux dernières années d’études avant l’université. C’est là-bas que j’ai développé accentué le sens de la mode et des accessoires, la façon subtile et élégante de constituer la tenue sans fausses notes. Il s’avérait que la famille anglaise faisait partie de la bourgeoisie londonienne, dont des attaches de cousinages à de bonnes familles.


Je me changeai en une jeune femme désirable pour mon propre plaisir et celui du regard masculin qui se posait sur ma personne volontiers. Mon père ne saurait sûrement pas au courant, et ne le sut pas avant mon retour que je suis sortis avec un anglais de familles respectables ; ma première relation amoureuse dura un an et ensuite deux autres virent lorsque j’ai entrepris la rentrée universitaire à Harvard. L’une des meilleures universités du pays m’envoya un courrier officiel d’admission à la villa des Hampton pendant les vacances d’été, on se rendait en notre résidence secondaire qui avait un espace de vie spacieux t lumineux, des pièces agencées sur deux étages et la magnifique vue vers l’océan. Lors de l’une des réceptions de ma mère, le facteur vint lui remettre l’enveloppe et repartis à sa course, je me demandais si je serais admise parmi leur étudiant. Mon père, le père protecteur voulait que je continue mes études non loin de lui, à Columbia qu’il considérait comme une université de choix. Les goûts et les couleurs ça ne se discutent pas ! Je regardai le visage de ma mère qui dessina un sourire à la lecture, faisant mine de me taquiner me révéla le contenu d’un ton calme. Je fus contente d’apprendre cette bonne nouvelle allant de pair au domaine d’étude ; la psychologie et le journalisme se complétaient bien ne trouvez-vous pas . Peu importe, le premier me plaisait et le deuxième saurait satisfaire mon père. Ainsi, je me perfectionnerai en ces domaines-ci.


À Cambridge, l’université d’Harvard ouvrait ses portes aux nouveaux étudiants, les individus qui ont obtenus des bons résultats… Je regardais les lieux emplis d’histoires, d’excellences et réussites me poussaient à assiduité constante de manière suffisante, on nous distribua le programme de l’année, la clé de nos chambres etc. Le nécessaire adéquat a l’intégration de leurs futurs diplômés. Les trois premières années furent une mise en bouche, je me plaçais bien au niveau du suivi des cours à l’intérieur de grands amphithéâtres, chaque salle de classe donnait le ton au terme « apprentissage » dans ses lettres d’or, je m’adaptais relativement vite au cadre de vie propice à la rencontre de tous horizons. Je ne songeais et ne rejoignis aucune maison étudiante du campus pour une raison valable. Qui disait maison étudiante, disait inévitablement entente et mésentente à la fois. Le paroxysme de rejoindre ou non une maison se résumait à une envie d’appartenance, de se fondre dans la masse d’après moi. Je ne jurais pas que ce soit pareil ailleurs ! Plus les années passées, plus je me connaissais en femme indépendante et capable de concrétiser ses projets. Ne serais-je que pour écrire mon histoire par ma propre plume comme une écrivaine en pleine créativité d’un ouvrage littéraire.


Je n’avais rien de la femme parfaite rassurez-vous, la perfection ne pouvait être atteinte quoiqu’on puisse dire. Cette image fantasmagorique que nous nous faisions de l’individu n’y ressemblerait pas vraiment, hormis si l’impossible devenait possible en certaines circonstances du point de vue « imaginaire ». Je révélais une personne sociable et attachante envers mon entourage, studieuse et réfléchie devant le corps enseignant... On me décrivait comme une jolie femme intelligente, pleine d’esprit et de caractère pour ceux qui me côtoyaient tous les jours. Cependant, est-ce que je distinguais seulement ainsi ? La bonne copine ou la confidente sachant prodiguer ses conseils aisément, voir les deux cas si je ne voulais pas préserver mon jardin secret. Les trois années suivantes me parurent moins compliquées à aborder, je me sentais à ma place ! Je repensai aux choses que je ne retrouvais pas en ces lieux, les paysages new-yorkais me manquaient. Cambridge avait son charme, une animation variée et un campus universitaire répondant aux attentes de n’importe quel établissement prestigieux. Si vous souhaitez toujours en savoir plus. Je suis prête à faire un effort. Obstinée et rancunière, je ne laissais personne me dicter ma conduite, ni mes pensées. Un sacré tempérament n’est-ce pas ? L’amour impliquait un sentiment réciproque, ma dernière relation s’est terminé par la désagréable surprise de tomber au mauvais moment ; l’infidélité est sans doute la pire trahison à mes yeux. Je ne développerai pas ce sujet déplaisant qui a tendance à faire ressortir cette impression de tromperie. Femme libre, détachée de tout engagement sentimental je poursuis ma sixième année en savourant chaque instant.