Invité
est en ligne
Invité
Keanu Oke Bridgestone fiche; en cours C'est le 14 février 1991 à Honolulu, à Hawaî, que la famille Bridgestone m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Keanu Oke. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en Communication (majeur) et Études de la femme (mineur), je suis maintenant en Troisième Année. Et pour terminer, je fais partie des Eliot. |
Études J'ai choisi la « Communication » en étude, plus précisément les notions de l'informatique et la réseautique. J'ai pris ces options en vue de reprendre la société de mon père, j'y travaille déjà de temps en temps, je ne fais qu'approfondir encore plus mes connaissances. Et je suis venu à faire ce que peu d'homme ont eu le courage de choisir « Études de la femme », elles sont amusantes cette petite créature, si faible, si douce... Apprendre à les connaître me permettrait peut-être de calmer mon appréhension de la femme, même si avec le temps, je pense que d'en accepter dans ma vie en tant que connaissance ou par chance en amie, c'est déjà un bon début. En dehors des études, je suis à la Eliot House, complet reflet de ma richesse, de la hauteur de mon pouvoir, un homme parfait dans la meilleure des maisons, je ne pouvais que bien choisir. Et quant à mes activités, je pratique en ce moment le hockey sur glace et le baseball, des activités plutôt intéressantes et sportives, malgré que ce ne soit pas mes coups de coeurs. | Caractère J'aime présenter le personnage que je suis, j'adore dire à quel point je suis parfait. La perfection de mon être dépasse l'entendement et désolé de décevoir ces jolies cœurs, mais la perfection ça mérite son égal, et mon cœur ne vous ai donc pas accessible. Je porte le poids de ma vie sur les épaules, et je ne suis pas tellement ange, je suis parfois gentil, parfois un vrai connard. Je suis quelqu'un de plutôt fier de ce que je suis, de la richesse honteusement colossale. Et personnellement, je suis de nature à pas aimer qu'on blesse cet orgueil plutôt mal placé, généralement, ça finit mal pour la personne qui a osé y toucher. On me qualifie sinon de garçon rêveur, il est vrai parfois que je vois un peu trop loin du bout de mon nez, avec Andy, on croit à la possibilité d'une vie autre que nous les humains, mais pour l'instant, on peut rien prouver. Et puis, moi je reste un peu plus pied à terre, plus mature et réfléchit, tant que je n'ai pas de preuves, je ne peux parler que de ce genre de sujet qu'avec des personnes qui me croient. Mais même si je parais « calme » en apparence, c'est souvent le calme avant la tempête, au fond, j'ai un petit caractère spécial, certaines têtes me reviennent pas, ça arrive souvent même, et je suis capable de vous pourrir la vie. Et le pire dans tout ça, c'est que je m'en amuse bien parfois. Sinon en normal, je suis quelqu'un de curieux, ça ne se voit pas ? Pourtant, je suis curieux de connaître le pourcentage de filles qui portent des sous-vêtements en dentelles. Et je vous le jures, ceci n'a rien de pervers, je fais en mineur « études de la femme », il faut bien que je me renseigne non ? Enfin au pire, je ne faisais ça qu'une fois par semaine, et encore, c'est juste pour mes études (s'étouffe). En parlant de dessous, j'adore pointer les choses qui fâchent, les soulever, en parlant. Comme Andy qui ne va pas bien en ce moment, je fais tout pour qu'il aille mieux. Pour parler d'aspects négatifs de ma personne, je ne supportes pas vraiment que l'on me tienne tête, sauf si c'est par jeu, et si ça va trop loin et que ça touche mon orgueil si mal placé, ça peut aller loin pour la personne, je suis capable d'user de mon porte feuille pour que la personne ne m'embête plus et ne pompe plus l'air qui m'entoure. |
Everyone Has Their Own Story
Alors, notre accord vous combien, Mr. Bridgestone ? Les deux hommes se regardaient dans les yeux. Le second sourit. Bien sur, l'union de nos familles ne peut être qu'un avantage des deux cotés. Ils parlaient pas d'un simple contrat, ils parlaient de l'avenir de milliers de personnes, de centaines de milliards de dollars en jeu. Et dans l'histoire, ce contrat n'avait rien de commercial, c'était un contrat « fantôme » , seulement des mots, seulement des promesses, mais une farandole d'obligations. Ces deux hommes qui discutaient à une table isolé de tous, c'était deux pères de famille qui étaient accompagnés de leur enfant. Elle s'appelait Gisele Laronde, elle avait vingt ans. Elle était belle, mon père avait dit qu'il avait cru voir un ange la première fois qu'il l'a vu. Et en plus d'être une beauté, c'était l'année de sa consécration, la belle Gisele était la Miss Monde 1986, représentant le pays Trinité-et-Tobago.Cette année là à Londres, on l'y avait sacré la femme la plus jolie du monde. Et mon père le confirma, elle était belle, resplendissante et c'était la première raison qui vint à l'esprit d'accepter ce mariage. La famille de ma mère possédait la plupart des exploitations du pays, quasiment toutes, car ce n'était pas un si grand pays que ça, on dénombrait beaucoup de touristes surtout. D'ailleurs en parlant de mon père... mon père est un homme grand, bon. Son père à lui possédait une immense fortune bâtit sur la montée en flèche d'une compagnie anglaise, implantée à Hawaï. Mais mon père n'avait pas choisi de la continuer, il préférait le ciel, les étoiles, il a choisi l'aviation, tout en grimpant les échelons de la compagnie United Airlines. Dans la famille Bridgestone, il y avait un principe fondamental, on léguait la fortune à l'ainé de la famille et on devait « vendre » la société pour que l'aîné puisse construire la sienne et donc faire perdurer la fortune de la famille selon le domaine que l'on avait envie. En clair, c'était une famille qui savait comment garder sa richesse, ses propriétés. Voilà en quoi se résumait ma famille, du moins, mes parents. Pour ma part, lorsqu'il s'agit de mon avenir, je suis plutôt porté sur le même domaine que mon père et par esprit de stratégie, j'ai décidé de briser la suite familiale et de reprendre la société de mon père. Plutôt fier, il ne s'y opposa pas et me laissait faire.
En réalité, la raison qui faisait qu'il acceptait c'était qu'il savait à quel point j'étais mature. Pour expliquer, j'ai un petit frère qui a cinq de différence avec moi. Nous étions deux petits garçons de ce qu'il y avait de plus normal jusqu'à ce que le comportement de mon petit frère vint à faire poser des questions à mes parents et pas seulement à eux. Ma mère nous avait emmené au tournage d'un film en Italie et on la regardait sagement sauf que je ne me rendais pas compte que mon frère s'était éparpillé quelque part. Finalement, on le retrouvait à crier sur toutes les personnes qui essayaient de s'approcher de lui ou même qui essayaient de lui parler. Seulement ma mère et moi avions réussi à le calmer. Au début, on s'est dit qu'il se mettait à faire son capricieux, que de le gâter dès le jeune âge commençait déjà à le travailler. Mais un jour, mes parents décidèrent de lui faire voir un psychologue. Elle a hésité à nous le dire, elle a préféré nous proposer de faire un bilan de santé complet à mon petit frère. Et le résultat fut sans appel. Votre fils est atteint d'autisme infantile. Généralement l'autisme apparaît à cet âge, et malheureusement touche surtout les garçons. Aujourd'hui dans la notion d'autisme infantile, on l'appelle le syndrome de Kanner originel, variante a priori la plus lourde d'autisme, marquée par un repli sur soi sévère et très souvent un retard mental associé significatif. Et malheureusement, il n'existe aucun traitement à ce jour. Mais on peut vous proposer de l'inscrire dans un institut spécialisé pour qu'il puisse s'améliorer, mais je vous préviens, ça ne le guérira pas. Mes parents refusèrent toutes prises en charges, ils ne voulaient pas qu'on sache que mon petit frère était autiste. Alors, dès l'âge de huit ans, c'était moi qui prenait la responsabilité de mon frère. Personne ne pouvait l'approcher à par moi et mes parents, rares étaient les personnes qui le pouvaient, très rare. Mes parents voyageaient beaucoup, augmentant alors la responsabilité, c'est ainsi que je grandis plus rapidement que les autres et comme dirait ma grand-mère maternelle, j'étais intelligent, je comprenais vite tout ce qui m'entourait, j'arrivais à me débrouiller seul et à tirer profit des notions que j'apprenais pour m'occuper des autres étant donné que je m'occupais de mon petit frère. J'étais souvent chargé de le cacher lorsque nous avions des invités. Cette expérience de ma vie me démontra que c'était possible qu'à l'avenir mes enfants soient pareils, qu'ils soient autiste et... cette vie me démontrait que ce n'était pas vivable, ça me dégoutait. A présent, me parler d'amour, de filles amoureuses, de bébés, ça me me faisait peur, mais uniquement si ça me concernait. Les autres, je suis bien content pour eux.
Mais contrairement à certains qui pourraient souffrir de ça, moi je préférais me contenir et aller de l'avant. Comme à l'université par exemple, j'ai rencontré Andy McDougall. Une révélation, un ami qui devint rapidement mon meilleur ami. On était pareil, on adorait passer du temps ensemble entre amis. Je pense qu'il faut vous passer les détails, il faudrait écrire un livre pour décrire notre amitié. D'ailleurs, dans notre amitié, une fille s'ajouta dans l'équation : Anastasiya. Une fille qui me rejoignait sur quelques points, une fille avec qui j'ai réussi à m'entendre malgré mon attitude snob et joueur. Depuis, nous sommes un véritable trio infernal liés par l'amitié, l'argent, la vie en elle-même. Une amitié que l'on pouvait décrire de parfaite. C'est ainsi que je me portais, grâce à eux, mes meilleurs amis. Mais je ne devais pas me reposer sur eux, ils ont une vie aussi et pareil de mon côté. Je me suis mis notamment au sport. Je cherchais chaque année ce qui pouvait me plaire, me satisfaire. Je suis passé partout : le football, le judo, la boxe, le cyclisme de compétition, la natation et même de la danse de salon à quinze ans, poussé par ma mère. Mais j'ai abandonné malgré qu'ils me plaisaient bien. Pour l'instant, je suis posé sur le hockey sur glace et le baseball. On peut dire que ça m'occupe bien en plus des études, je suis passionné par le travail que je fais, surtout par « L'étude des femmes », il faut dire qu'elles sont amusantes.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - On m'appelle pas, je viens. ↬ ÂGE - Je prendrais une ride plus tard. (: ↬ PAYS/RÉGIONS - France. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Je sais plus, j'ai hésité à venir m'implanter. ↬ TES IMPRESSIONS - Le forum est parfait ! ↬ CRÉDIT(S) - Bazzart ↬ AVATAR - Gaspard Ulliel ↬ SCÉNARIO OU PI? - Scénario d'Andy McDougall ↬ LE MOT DE LA FIN - J'ai la classe, non ? |
(Invité)