Je le veux, je l'aurais [M.Lewis & Georgina]

M.Lewis & Georgina

►Can i help you M.Lewis ?...

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Ma matinée de cours est finie, le jeudi matin je n'ai que des cours de langue russe, heureusement pour moi car ce n'est pas une langue facile, mais malgré mes facilitées ça reste lourd et le travail personnel à fournir est épuisant.

Je décide de ramener les livres que j'ai emprunté à la bibliothèque, c'est alors les bras charger que je pars en direction de celle-ci. Je passe les portes de la grande bibliothèque et dépose mes livres à la réception,
Bonjour, je ramène des livres de langue russe emprunté la semaine dernière.
La bibliothécaire rentre toutes les informations dans son ordinateur, votre nom s'il vous plait, Georgina Larsen.
Alors qu'elle met une heure à faire ses recherche, je commence à devenir impatiente et regarde autour de moi et là, à ma droite une visions viens de stopper mon coeur pendant quelque instant, un homme d'âge mature range des livres dans l'allée des romans. Je le fixe, impossible pour moi de tourner les yeux, je veux à tout prix savoir qui il est,
Excuser moi, par hasard vous sauriez qui est ce Monsieur-là dans l'allée ? Demandais-je en essayant d'être discrète tout en le montrant du doigt.
Oh c'est Monsieur Lewis le nouveau professeur de Théâtre, voilà tout est en ordre.
Très bien merci beaucoup.
Alors que j'avais détourné mon regard même pas 5 minutes, il avait disparût, je me mie à le chercher du regard et le vie passer la porte, je décide de le suivre discrètement, je me surprend moi-même à faire une telle chose, je me sens même ridicule, c'est la première fois de ma vie j'agis comme ça, après tout j'ai l'impression d'être une petite adolescente qui craque sur son nouveau prof, ça me rajeunie après tout.

Je le vois s'installer sur un banc au niveau du petit parc, il est seul, faut je tente d'aller lui parler, je sors une pochette pleine de fiche de cour de mon sac, les tiens à la main et part dans sa direction.
Plongée dans son livre je décide de passer devant et de faire semblant de trébucher et de tout faire tomber devant lui, c'est partie, je prends une grande respiration est met mon plan à exécution,
Oh excuser moi, je suis désolée je ne vous ai pas vus, dis-je alors qu'il se baisse pour m'aider à tout ramasser, merci beaucoup dis-je le sourire aux lèvres, je m'assis à côté de lui pour ranger toutes mes feuilles, merci encore, je suis Georgina Larsen...

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

(Invité)

Belle journée ensoleillée, excellente même ! Je venais d'arriver sur le campus deux heures en avance. J'avais eu une soirée un peu trop arrosée hier soir et n'avait malheureusement pas pris le temps de travailler sur les derniers détails de mon spectacle en préparation. J'avais une terrible gueule de bois, comme on dit, ça m'apprendra tiens, à boire seul chez moi..
Vêtu d'un de mes costumes les plus classes, chemise légèrement ouverte et mes fameuses raybans sur mon front, je me dirigeais vers la bibliothèque. Il fallait que j'y trouve un livre, enfin, le scénario de la pièce que j'avais donné à travailler à l'une de mes classes. Il y avait des choses qui ne collaient pas, il fallait absolument les régler. Je ne faisais absolument pas attention aux gens qui m'entouraient ; j'affichais deux, trois sourires par ci et par là, par politesse et par envie de séduire, comme toujours, mais ce n'était que par pur entretient de mon image. Je pris mon bouquin et parti vers le parc afin de m'asseoir et de profiter de ce beau soleil tout en étudiant ma pièce. Seulement voilà, il ne se passa que quelques courtes minutes avant que je sois brusquement dérangé par une demoiselle, d'apparence étudiante, qui venait de s'écrouler complètement sur moi, laissant tomber toutes ses fiches et ses cahiers. Sans réfléchir je m'accroupi devant elle et l'aidais à ramasser ses affaires. Je n'allais tout de même pas la laisser dans cette situation embarrassante. J'étais poli et éduqué, il m'était impossible de ne pas agir et puis cela ne faisait qu'entretenir mon image de gentleman. Une fois ça fait je me rassis tranquillement à ses côtés.
De ma voix grave et sensuelle, je pris la parole, en affichant un radieux sourire.

" Dommage que notre rencontre se déroule comme ça, mademoiselle Larsen. Vous avez eu de la chance de tomber sur quelqu'un de civilisé..." Dis-je, sans modestie, riant calmement. Je fermais mon livre, après tout ce n'était pas non plus désagréable de parler avec une jolie femme. Et puis je sentais bien qu'elle n'était pas indifférente à mon charme. Je repris.. " Monsieur Lewis, enchanté. Je ne vous ai encore jamais vu, ça ne fait pas longtemps que je suis enseignant à Harvard..."

(Invité)

M.Lewis & Georgina

►Can i help you M.Lewis ?...

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Vous avez raison, j'ai beaucoup de chance d'être tombé sur vous. Je comptais jouer la fille qui n'est au courant de rien, ça passerais mieux. Je suis étudiante depuis 2 ans en relation internationales et langue russe et je suis bientôt officiellement une Eliot, l'Eliot House c'est l'une des maison parmi tant d'autre dans lequel les étudiants sont répartie lors de leur première rentrée à Harvard, je fais pour ma part partie de celle-ci.
Et vous donc, vous êtes nouveaux ici, vous êtes enseignant en littérature ? Dis-je en pointant le roman posé à côté de lui.

Je remis mes cheveux derrière l'oreille droite et le regarde avec attention et pour le moment vous êtes satisfait d'Harvard ?
Si cela vous dit, je peux vous faire visiter un peu le campus ou même vous parler de comment ça fonctionne ici autour d'un verre, enfin bien sur si ça peut vous aider.
Plus j'y pense, plus je me surprends à agir comme ça, mais il est tellement hypnotisant, j'ai l'impression d'être un livre ouvert, je devrais peut-être essayée d'être moins direct.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA

(Invité)

Je la regardais droit dans les yeux mais ne l'écoutait pas vraiment. Je devais faire bonne figure, être irrésistible mais je me fichais éperdument de ce que Georgina était en train de me dire. Cruel ? Non, juste moi. Quoi qu'il en soit je ne perdais pas mon sourire, bien au contraire. Elle parlait rapidement, semblait plutôt enjouée de m'avoir rencontré ; C'était fortement flatteur. Assez pour quelle obtienne mon attention. En effet, ce genre de situation était bien plus agréable que de travailler encore et encore sur une pièce qui, de toutes manières, serait lamentablement interprétée.

Si j'étais professeur de littérature ? En entendant cette question je ne pu m'empêcher de rire. Elle ne devait pas avoir fait réellement attention à ce dont j'étais en train de lire ; Un scénario de pièce de théâtre. Peu importe. Elle devait s'intéresser à ce que je faisais autant que moi je m'intéressais à ses cours. Je voyais bien où elle voulait en venir et autant avouer quelle était sacrément culottée. Je n'avais pas encore eu à faire, du moins ici, à ce genre de cas. Ce genre de drague, de rentre-dedans aux yeux de tous. Enfin, cela dit, pour les gens qui passaient à côtés de nous nous n'étions que deux adultes en train de discuter calmement. Bref, cela m'amusait franchement et pour tout dire ça me plaisait. Je n'avais pas l'habitude d'inverser les rôles ; Je suis le chasseur, ils sont mes proies. Et dans ce cas actuel j'étais sa proie, sa proie à elle.

Je pouvais l’entraîner assez rapidement quelque part mais à vrai dire je portais un certain intérêt à jouer le jeu de la séduction. Elle avait l'air si bien parti quelle avait réussi à éveiller ma curiosité. Sans lâcher mon sourire carnassier je pris la parole.

" Tu me fais rire .. Ha ha ! Quand je disais être là depuis peu, j'entendais par là quelques mois. Je connais le campus, ne t'en fais pas. En revanche tu m'as l'air d'être bien partie pour m'en raconter plus sur toi alors avons-nous réellement besoin d'une autre excuse que celle-ci pour aller boire un verre ? Ha ha...." Je ne la lâchais pas des yeux. Ça y est, j'étais lancé dans mon jeu favoris ; La drague. Et j’espérais bien gagner le gros lot, sans vouloir être trop vulgaire.

Discrètement je me mis à caresser sa cuisse droite avec mon index. Un geste très délicat mais qui voulait en dire beaucoup. Mais nous étions sur le campus et je ne devais pas me mettre dans une situation qui me ferait perdre mon travail d'enseignant, c'est pour cela que je décidais de stopper mon geste et ce avant même quelle ne puisse réagir. Cela dit je lui fis un petit clin d’œil, histoire de lui faire comprendre que j'avais moi-même compris où elle voulait en venir. J'étais peut-être un peu plus vieux quelle mais pas stupide pour autant.

(Invité)

Il y a les jeux d'enfant et les jeux d'adulte

~ M.Lewis & Georgina ~

Son regard fixé sur moi, son sourire digne des grands charmeurs, il a vraiment tout pour faire craquer n'importe quelle fille. Je ne fais même pas attention à tout ce que je suis en train de raconter.
N'allais-je pas trop vite ? Les hommes ne m'ont jamais facilement, il se batte tous pour que je fasse attention à leur petite personne et lui je lui mange dans la main, il faut que je me reprenne en main et que j'essaye de le faire venir vers moi. Plus j'y pense plus c'est ce côté inaccessible qui m'attire chez lui, étant bientôt une Eliot je n'ai pas droit à l'erreur, une relation professeur élève, la pire chose que je puisse tenter, mais pour le moment évitons de se prendre la tête et voyons comment les choses avancent.

Sous sa réponse je restai, comment dire, choquée de sa franchise, je suis plus que directe et franche, mais là il m'a vraiment battu. Très bien on va jouer comme ça alors, je me remis bien sur le banc et croisa mes jambes, je pris mon air habituel avec mon regard piquant et machiavélique et mon sourire en coins.
Hé bien je constate alors que mon long discourt n'a pas servie à grand-chose mise à part vous donner une occasion de vous moquer de moi, mais c'est vrai, mon but principal est de seulement faire votre connaissance. J'aime bien savoir qui sont les nouveaux.
Je le regarde toujours avec mon sourire en coins et mon air charmeur, après tout il faut donner un peu mais pas trop c'est la base de ma façon d'agir et ça marche.

Il y avait autour de nous que peu d'étudiants, tous captiver par leur bouquin, personne ne fessais attention à nous et je trouve même que sa rajoute du piquant à ce petit jeu séduction, après tout on parle c'est tout, je ne vois pas ce qu'on fait de mal.

Je le vie baissé les yeux et sentie quelque chose sur ma cuisse, mais ce fut si rapide que je n'ai pas vraiment réagis puis quand je relève la tête je le vis me faire un clin d'oeil, je lui souris et remis mes cheveux derrière mon oreille, maintenant je pense savoir à qui j'ai affaire, ce professeur est un coureur qui se laisse surement dragué et même avoir par toutes les filles, sans compter combien de coeur il a dû briser.
Je vais voir jusqu'où je peux le faire attendre, rien n'ai dit qu'il aura de moi quoi que ce soit, le jeu de la séduction, ça, c'est le meilleur.
Cacher par mes jambes croisées, je décide de caresser ses doigts avec les miens, je regarde autour de nous au cas ou quelqu'un passerait par là, je me rapproche légèrement de lui et lui murmure

Je dois m'en aller, mais je pense que l'on se reverra bientôt, puis je tiens à notre café.

Je le fixe tout en reculant, récupère mes affaires, lui fit un clin d'oeil et sourie juste avant de me relever du banc...

(Invité)

Je ne me moquais pas d'elle, ou du moins ce n'était pas méchant. J'étais juste dans mon rôle, dans mon personnage et je me sentais en toute puissance, désiré.. Tout ce dont je raffolais à vrai dire.
Elle était provocante, ça ne me faisait pas de mal et n'allait pas me choquer, bien au contraire. Seulement dans ce genre de cas, pour ma part, j'avais l'habitude que tout se fasse plutôt rapidement. Après tout, la seule chose que désiraient mes interlocuteurs dans ce genre de cas était juste une bonne partie de jambe en l'air. Je la vis se rapprocher de moi, je restais de marbre, le sourire aux lèvres, toujours ce sourire charmeur et carnassier.

"Je dois m'en aller, mais je pense que l'on se reverra bientôt, puis je tiens à notre café."

Tiens, étonnant. Je ne m'attendais pas à ce quelle veuille "jouer". Très bien, elle n'allait certainement pas être déçue. Cela dit nous étions encore sur le campus, dans un endroit dangereux pour moi, pour mon casier, pour ma réputation. Je me devais d'être le plus discret possible. Je la regardais se lever tout en restant assis. Je ne pouvais m'empêcher de l'imaginer déjà dans mon lit, ou ailleurs, en train de crier mon nom. C'était ça ; Etre imbus de sois-même. Mon côté pervers ressortais assez vite lorsque l'on me "titillait". Elle avait bien réussi.

Je pris dans ma poche une de mes cartes de cours à domicile. J’enseignais l'art de la comédie aussi bien à Harvard qu'à mon compte, ailleurs. Sur cette carte se trouvait mon numéro de téléphone portable. De ma voix grave et sensuelle je pris la parole..

" Tu n'aura qu'à m'appeler, Georgina. Pour ce fameux café ou... Pour autre chose." Un autre clin d'oeil, ce n'était jamais assez, il fallait que j'en rajoute. J'adorais ça. "Enfin, ne tarde pas trop quand même..."

(Invité)

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