ZEPHIR JENKINS ► KRISTINA BAZAN

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle toxic dream et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à yé sais pluuus. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de adriel rhodes (+ mather house bitchees). J'utilise kristina bazan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ un nombre de mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Dixie P. Hawson.

Mot de la fin ? ▲ love you guys
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Je suis née dans une famille du Portugal riche. Très riche. Ma mère étant une chirurgienne de renommer mondiale et mon père PDG d'une grande entreprise américaine, comme celui-ci était de nationalité américaine et avait vécu un long moment aux Etats-Unis avant de rencontrer ma mère. Autant dire que je n'avais jamais manquée de rien quand j'étais petite. J'étais la petite princesse de la famille, quand je demandais quelque chose, je l'obtenais. J'avais donc compris dès mon plus jeune âge comment manipuler les gens et je n'avais jamais changé cela. A l'école, j'avais rencontré une fille, Dixie. Elle ne me ressemblait pas, nous étions deux opposés au niveau du caractère, pourtant, c'était très vite devenue ma meilleure amie. On disait bien que les opposés s'attiraient non ? Je passais tout mon temps avec elle, puis, quand j'avais 15 ans, elle avait disparue. D'un coup, plus de nouvelles. Cela m'avait brisé car c'était mon repère, mon tout, la seule en qui j'avais réellement confiance. Alors, je m'étais faite d'autres amis, essayant de tourner la page même si cela avait été dur. Puis, j'avais vécu cet événement qui m'avait traumatisé pendant un long moment..

Je rentrais chez moi après une journée de cours, âgé de 17 ans et accompagné de plusieurs amis. Puis, à quelques rues de chez moi, il ne restait que ma voisine avec moi. On rigolait bien, jusqu’à ce qu'un groupe de plusieurs hommes arrivent et nous bloque dans une ruelle. Ils devaient avoir entre 21/22 ans et ils étaient 5. J'avais peur, je me demandais ce qu'ils voulaient, j'étais pétrifiée. Puis, ils se sont approchés de mon amie et.. Ils se sont occupés d'elle. Je voulais m'enfuir, l'aider, mais je ne pouvais rien faire. Je l'entendais hurlais alors qu'ils la faisaient souffrir, alors qu'ils lui enlevaient sa virginité. Je savais que ce serait mon tour ensuite et je redoutais. Je pleurais, je me débattais de toutes mes forces. Mais comme un miracle, des personnes avaient entendus les cris et étaient venus nous aider, nous sauver. Malheureusement, c'était trop tard pour elle. Elle était détruite, elle se sentait sale et moi.. J'étais traumatisée. J'espérais que tout cela n'était qu'un cauchemar, que j'allais me réveiller, mais non. C'était bien la réalité.

La vie devait reprendre son cours après cela. Je n'en avais pas parlé. A personne. Mes parents voulaient m'emmener voir un psy, voulait que je leur parle, mais je refusais. Je ne voulais plus en parler et je voulais juste oublier. Même si ça me hantait et que je faisais régulièrement des cauchemars. Je revoyais ces hommes, qui maintenant, étaient en prisons. Heureusement, sinon, je ne sortirais sûrement plus de chez moi. Mais ceci m'avait fait créer une carapace avec tout le monde, mais plus particulièrement les hommes. J'avais souvent peur d'eux et je ne voulais pas qu'ils m'approchent. J'avais quelques amis masculins, oui. Mais je ne couchais avec personne. Je draguais, je séduisais, je faisais la bitch, mais dès que l'homme pensait que j'allais coucher avec, je me cassais. Au fil du temps, c'était devenu une habitude et ça m'amusait carrément de faire cela. Même si j'avais une salle réputation, même si tout le monde pensait que j'avais déjà couché avec de nombreux mecs, je me foutais bien de ce que les gens pouvaient penser et je continuais.

Puis, j'avais réussi à rentrer à Harvard. J'étais fière de moi et mes parents l'étaient tout autant. Là-bas, je m'étais faite une place, construisant la même réputation que j'avais au Portugal car je ne changeais pas et je ne changerais certainement jamais de toute façon. Mais surtout, j'avais retrouvé ma Dixie. Ma meilleure amie. Mon tout. Et surtout, j'ai appris pendant le summer camp de l'année dernière que c'était ma soeur. J'avais toujours sentie qu'il me manquait quelque chose, comme une partie de moi. Mais je n'aurais jamais cru que ma meilleure amie, la personne qui comptait le plus pour moi, était en fait ma soeur. Mais c'était parfait et ça n'avait fait que renforcé nos liens. Même s'il y avait des disputes, même si ce n'était pas toujours simple, je ne pouvais pas vivre sans elle de toute façon, et elle non plus.