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The way of the revenge is like a game than i'll want win

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A la recherche d'une vérité
Solveig & Chuck

 
Un Vaudeville comme on en connait tant, un Mari cocu une femme trop jeune. pourtant Il n'est pas sur de tout savoir de cette liaison ayant un doute sur son jeune employé... ✻✻✻ Il est 15 heures dans la Galerie d'art dont j'avais les clefs. Une galerie aux murs blanc avec des toiles suspendus d'un artiste peintre de la région né en Irlande aussi. J'aimais beaucoup ce qu'il faisait et l'exposition venait a peine de commencé. Cela faisait deux ans que je l'avais exposé à Boston il est temps que Cambridge profite de ce talent. Alors que j'observais une de ses toiles representant une magnifique Rousse. Elle avait des faux de Solveig, mais la jeune ingénue semblait avoir des joues beaucoup plus ronde que Sol'. Habillais d'un jeans ainsi qu'une chemise blanche arborant un veston noir. Je venais de passer l'heure à travailler sur la comptabilité de la galerie et comme je dit souvent ce qui est déconcertant avec la comptabilité c'est qu'on peut pas jouer de ses charmes pour avancer plus vieu le travail. J'observais Léandro qui travaillais de son coté. Et Solveig de l'autre... Je n'étais pas habitué a prendre des employés mais depuis que j'ai ouvert cette galerie, il fallait bien que je fasse quelques chose. Jack tiens ma galerie à Boston me permettant de superviser celle de Cambridge. Etant l'employé de Leandro surtout son superviseur au vu de ses études. Monsieur fait des études d'art plastiques en mineur, je profite pour le faire travailler dans la restauration d'oeuvre. je lui conseille même de reprendre les techniques et de les reproduire pour assimiler ses techniques. Une heure passa, Leandro parti ayant finit sa journée. je me posa a mon bureau qui donnais face à la vitrine, j'aperçu Solveig revenir avec un café pour moi. J'eu un sourire la remerciant: « Merci sweety... Bon j'ai finit la compta... » Disais-je en soupirant alors que je sortis mon paquet de cigarette tapotant nerveusement le paquet souple. Je detestais qu'on m'interdise de fumer dans mon buisness... Je suis le roi ! bref je repris après avoir bu une gorgée de café reposant la tasse: « Il semblerait que je ne vais pas pouvoir garder Leandro... » J'observait du coin de l'oeil la réaction de Solveig. J'étais persuadé quelle me cachait quelques chose et bizarrement Read me parla d'une infidélité, il n'aurais pas tord ayant déjà eu se probleme avec Indiana dans le passé.

 
✻✻✻
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please don't do that.

   
    Depuis que Chuck est rentré de voyage, tout semble être remis sur les rails. En même temps, en sa présence, je ne peux pas douter de mes sentiments pour lui. Oui, je l'aime. Peut-être pas autant qu'avant, mais j'aime cette façon qu'il a de me regarder, j'aime cette façon qu'il a de me toucher comme aucun autre le fait. Je suis de bonne humeur depuis qu'il est rentré, chose qui ne m'arrive que lorsqu'il est la. Rangeant mes achats du jour dans ma voiture, je jette un coup d’œil à ma montre. Je ne suis pas en retard. Ouf. Bien que je n'ai pas d'horaires à respecter, il fait souvent la tête lorsque j'arrive en retard. Poussant la porte de la galerie, je sens mon coeur qui se serre quand je passe du visage de Leandro à celui de Chuck. Faisant un petit signe de la main à un Leandro occupé, je me dirige vers le bureau de mon mari pour l'embrasser et lui montrer que je ne suis pas en retard « Je vais peindre. Si tu me cherches, je suis dans la pièce derrière. » Je lui envoie un baiser avant de jeter ma veste dans le canapé de la pièce et saisir mes peintures avant de me lancer dans la finition du tableau que j'ai commencé avant son départ. Il n y a que lorsqu'il est la que j'ai l'âme créatrice. Je le vois admirer ses tableaux, et lorsqu'il me regarde, je lui souris. Par contre, je n'aime pas qu'il regarde Leandro, j'ai peur qu'il ne devine quelque chose. C'est fou on dirait qu'il est naît pour faire ce métier, il semble tellement concentré par ce qu'il fait, quand il regarde les tableaux, on voit bien la passion dans ses yeux. Parfois je me prend à penser que j'aimerais être un tableau pour qu'il me regarde comme il les regarde. Lorsque Leandro récupère sa veste et me salue, j'ai envie de le suivre. Mais je me contente seulement d'un au revoir. Chuck semble contrarié, je lui fais donc couler un café avant de mettre en route la bouilloire pour me faire infuser un thé. « Merci sweety... Bon j'ai finit la compta... » Ah la compta, il n'aime pas vraiment ça. Je dépose sa tasse avant d'entourer son cou de mes bras et déposer mes lèvres sur sa joue pour le rassurer. Me hâtant d'aller récupérer mon thé, j'entoure la tasse de mes mains froides pour les réchauffer. Satané hiver.  « Tes cigarettes... » Je n'aime pas qu'il fume, et encore moins qu'il soit tenté, j'ai essayé tant bien que mal de le faire arrêter, mais je n'ai jamais réussi. « Il semblerait que je ne vais pas pouvoir garder Leandro... » Je cligne des yeux. Quoi ? Mais depuis quand ? On a pas de problèmes d'argent pourtant. La tasse me lâche des mains et s'écrase sur le sol dans des éclats de verre. « Oh zut ! Bon sang ! » Je ramasse le plus gros des bouts de verre jonchant sur le sol avant de venir m'asseoir sur ses genoux « Mais pourquoi ? Tu l'as prévenu ? Tu vas le prévenir ? Il me semble qu'il a besoin de cet emploi pour sa fille... Et je crois qu'elle ne va pas bien en ce moment, enfin il m'en a touché deux mots quand tu n'étais pas la. » Ment Solveig. Ne laisse rien paraître. « Mais sinon, plutôt que le licencier, tu peux arrêter de me payer tu sais, je m'en fiche, j'ai de l'argent et mes parents me versent de l'argent chaque mois. » Entourant sa nuque de mes bras, je niche ma tête dans le creux de son cou avant de me rapprocher de lui pour calmer cette peur qui m'envahit. Si Leandro perd son emploi, je le perd. Alors il faut faire semblant. Comme d'habitude.

       
    CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Un Vaudeville comme on en connait tant, un Mari cocu une femme trop jeune. pourtant Il n'est pas sur de tout savoir de cette liaison ayant un doute sur son jeune employé... ✻✻✻  Quand je l'ai vu rentré, je ne pouvais m'empecher de l'admirer. je suis parti si longtemps quand j'y repense. Elle me manquais terriblement et je repensais a ses cheveux roux ainsi que ses lèvres rouges. Une beauté naturelle que je ne pouvais contester... Mais je dois bien avouer que l'art me toucher d'autant plus. Je pouvais admirer les traits du peintre, remarquer chaque petit défault sans faire attention au monde qui m'entoure... Quand je parle d'Art j'y prend tellement de plaisir. Je pourrais en parler pendant des heures de l'incroyable façon qu'avait Van Gogh de peindre ses toiles, d'une façon si thérapeutique. Cela dit passons les détails.

Alors que j'avais rejoins mon bureau pour faire la compta. Reprendre la compta après deux mois d'absence c'est comme pour un Nazi qui assiste a la chute du mur de Berlin faut ramasser les morceau un par un. Elle s'approche de moi dans ses jolies airs d'arbre en fleur, elle semblait rayonner malgré les faibles rayons de soleil qui parcourt la baie vitré de la Galerie. Je lui annonce que je venais finir une bonne partie de la comptabilité mais malheureusement j'avais une mauvaise nouvelle qui me rendait nerveux. Cela dit j'avais envenimer la chose... J'ai sorti mon paquet de cigarette pret à m'en griller une, j'étais du genre tenace. Le nombre de fois qu'elle a essayer de me faire arreter, mais j'avais toujours LA bonne excuse pour reprendre. Un jour j'arreterai je sais surement quand je serais mort cela dit:  « Tes cigarettes... » L'entendre grogner me faisait frissoner mais j'étais perdu dans mes pensées alors que je le reposa sur la table pour saisir la tasse de café, je le porta a mes lèvres sentant le goût âcre de cette boisson dégueulasse me bruler la langue... Alors je lui avoua: « Il semblerait que je ne vais pas pouvoir garder Leandro... » J'observais sa réaction, je sentais que je faisais mouche sur quelque chose. Je saisissa une feuille de brouillon avec des chiffres des pourcentages. C'était mon bordel organisé les chiffres pour moi avait du sens c'est alors que j'entendis le bruit de sa tasse se fracasser je releva la tête regardant le sol observant la tacher de thé sur le sol « Oh zut ! Bon sang ! » Je n'étais pas tellement superstiticieux même si j'ai mes petites habitudes. Mais un truc qui se brise lors d'une nouvelle revelait généralement un mauvais présage... « Mais pourquoi ? Tu l'as prévenu ? Tu vas le prévenir ? Il me semble qu'il a besoin de cet emploi pour sa fille... Et je crois qu'elle ne va pas bien en ce moment, enfin il m'en a touché deux mots quand tu n'étais pas la. » J'arqua un sourcil, voila qu'elle connait beaucoup plus sa vie que moi. C'était très étrange, je n'aimais pas cela c'était véridique : « Pas encore... J'essaye de trouver une solution d'abord mais il semble que cela est inéluctable » disais-je doucement pour eviter que le son parvienne aux oreilles du Dunster.  « Mais sinon, plutôt que le licencier, tu peux arrêter de me payer tu sais, je m'en fiche, j'ai de l'argent et mes parents me versent de l'argent chaque mois. » Je pris ma tasse la portant a mes lèvres lui disant: « Ne dis pas n'importe quoi Solveig. » Disais-je alors que je sentais ses bras s'enrouler autour de ma nuque, je l'observa alors reposant la tasse glissant mes mains autour de ses hanches les yeux dans le vague. Sa réaction me surprena ce qui me laissa pensif : « Tu sais bien que je ne peut pas faire cela... Si tu travailles pour moi, je dois te rémunerer... Je préfére que cela te soit profitable à l'avenir si une offre plus avantageuse se propose à toi quand tu as auras finit tes études... Et puis la solution de te faire associé de la gallerie, ne t'apportera que des ennuis auprès de l'administration d'Harvard. » Soupirais-je, alors qu'elle se nicha dans ma nuque, je pouvais sentir son coeur battre et son pouls accelerait, je l'enleca un peu plus mes pensées devenèrent plus noir de part la jalousie des scènes se profila dans ma tête comme des coucous suisse géant qui martélent mes pensées... : « Tu sais je pense à Jack qui tiens ma Galerie à Boston... Je pourrais surement lui proposer de prendre Leandro, je pense que ca peut nettement rentrer dans son budget... Tu sais ce n'est pas le soucis qu'on soit en faillite loin de là, mais les ventes se font moins nombreuse depuis la rentrer de Septembre...» Je mentais plutôt bien... Enfaite la compte était excellente, tout cela n'était qu'une supercherie pour comprendre ce qu'il sait passer en mon absence bien que mon esprit je joue de vil tour: « Tu sais que tu m'as enormement manqué durant mon voyage à Paris? » Disais-je d'un sourire avant de venir l'embrasser d'une legere tendresse pour tenter de la rassurer avant de l'enlacer à nouveau observant Leandro au fin fond de l'atelier... Il faut qu'il parte... Si jamais il a fait ce que je crois... Je ne sais pas de quoi je serais bien capable de faire.

 
✻✻✻
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Il ne serait pas parti si longtemps, rien de tout cela ne serait arriver, nous n'aurions pas recoucher ensemble avec Leandro. Mais ce qui est fait est fait. Je soupçonne Chuck de se douter de quelque chose, mais je ne veux pas l'envoyer sur une piste qui envenimerait la situation, surtout que si Chuck est au courant, Leandro me quittera même si nous ne sommes pas ensemble. Et je ne veux pas prendre le risque de les perdre tout les deux, je n'aime pas jouer habituellement alors je ne sais même pas pourquoi je continue. Pourquoi je m'obstine à vouloir les garder tout les deux dans ma vie, alors que forcément au bout d'un moment cela va exploser et quelqu'un va en souffrir. Chuck principalement, mais aussi Leandro, et moi. Pourquoi c'est si compliqué ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas aimer l'homme a qui j'ai dis oui d'un amour inconditionnel et d'un amour sans trahisons ? Je ne suis qu'une pauvre garce. Je ne suis pas foutu d'aimer quelqu'un sans le faire souffrir. Je ne sais pas quoi penser quand je le vois, est-ce que je dois tout lui avouer ? Mon cœur se serre à cette pensée. Est-ce que je dois lui mentir ? Mon cœur se serre une nouvelle fois. Bon sang, pourquoi est-ce que je ne peux pas avoir une vie normale ? Je ne peux pas imaginer ma vie sans Chuck, je ne peux pas m'imaginer me lever et ne pas le voir chaque matin, ses cheveux en bataille, ses baisers me tirant de ma rêverie. Je frissonne rien qu'à y penser. Je me sens bien avec lui, sauf quand il n'est pas la. C'est peut-être ça les soulmates, être heureux quand une personne est à tes côtés, mais se sentir malheureux quand il est loin. Ou peut-être que c'est juste de l'amour. Tout simplement. Je n'aime pas quand il a le paquet de cancéreuses dans les mains, je ne fume pas et je ne supporte pas cette odeur. J'essaye de le faire changer d'avis mais rien y fait, mais j'y arriverais, je suis du genre obstinée et il le sait très bien. Quand je veux quelque chose je l'obtiens, qu'importe le prix à payer. Puis la nouvelle tomba, et ma tasse par la même occasion. Mes mains tremblent, j'ai le cœur qui s'emballe. Je jure avant de reprendre mes esprits, je ne dois rien laisser paraître. Rien laisser voir. Ce serait trop gros sinon. Pourquoi est-ce que j'aurais une réaction comme ça s'il n'était qu'un ami de la famille. Je vois sa réaction quand je lui demande s'il a prévenu Leandro, il arque les sourcils, surpris. En même temps, normalement, Leandro est un ami. Je ne peux pas faire autrement. Même si nous n'étions paas aussi proches que nous le sommes, les amis sont fait pour écouter les autres. C'est ce que je fais. « Pas encore... J'essaye de trouver une solution d'abord mais il semble que cela est inéluctable »

Rien ne peut être inéluctable, on a toujours plusieurs solutions et je ne veux pas que Léandro perde son emploi à cause de moi. Je préfèrerais encore partir plutôt qu'il ne doive le faire. Je n'ai pas besoin de l'argent que je gagne ici, au fond, je fais ça plus bénévolement qu'autre chose, je ne fais pas énormément de choses à la galerie. Lorsque les journées sont calmes j'en profite pour peindre, je suis payée à ne rien faire comparer à Leandro. « Ne dis pas n'importe quoi Solveig. » Je grogne légèrement pour lui faire savoir mon mécontentement. Ce n'est pas n'importe quoi. « Ce n'est pas n'importe quoi... » Ma voix est faible, je murmure. « Tu sais bien que je ne peut pas faire cela... Si tu travailles pour moi, je dois te rémunerer... Je préfére que cela te soit profitable à l'avenir si une offre plus avantageuse se propose à toi quand tu as auras finit tes études... Et puis la solution de te faire associé de la gallerie, ne t'apportera que des ennuis auprès de l'administration d'Harvard. » Je reste positionner au creux de sa nuque tandis que ses mains se sont déposés sur mes hanches. Je ne sais pas quoi faire, je pourrais me trouver un autre boulot. Puis je m'en fiche d'avoir des ennuis au fond tant que cela sauve Leandro. Lorsque je sens l'étau de ses bras se resserrant autour de moi, je me sens en sécurité. Passant une main dans mes cheveux je reste silencieuse avant de rétorquer « J'ai déjà fait des demandes de stages dans des grandes journaux Chuck... Et je m'en fiche des ennuis tu le sais très bien, je sais prendre les devants quand j'en ai besoin. » Ma voix est plus cassante, sèche. Je ne suis plus une enfant ! Solveig calme toi. ma conscience me rappelle à l'ordre tandis que je pose une main délicate sur sa joue pour la caresser du bout des doigts comme si je cherchais à apaiser la douleur qui était présente dans mon cœur. « Tu sais je pense à Jack qui tiens ma Galerie à Boston... Je pourrais surement lui proposer de prendre Leandro, je pense que ca peut nettement rentrer dans son budget... Tu sais ce n'est pas le soucis qu'on soit en faillite loin de là, mais les ventes se font moins nombreuse depuis la rentrer de Septembre...»  Leandro ? Loin de moi. Jamais, il faudra qu'il me passe sur le corps. De toutes façons, s'il part, cela ne servira plus à rien, il vend les tableaux comme personne, je ne vois pas pourquoi il veut le licencier, lorsqu'il était absent, il a vendu pas moins de cinq tableaux, il se débrouille comme un chef. « Leandro a vendu cinq de tes tableaux pendant que tu étais en voyage à Paris. Et tu ne peux pas décemment proposer à un employé de quitter ses études, sa famille parce que la galerie connait une baisse de régime, tu sais bien que ça va remonter comme d'habitude. Pourquoi ne m'en as-tu pas parler avant ? Ca ne doit pas dater d'hier que la comptabilité est mauvaise... j'aurais pu essayer de m'arranger durant ton absence... » Il ne doit pas me faire confiance. Ca doit être ça, il doit penser que je suis la pire vendeuse de tout les temps. C'est peut-être pour cela. « Tu sais que tu m'as enormement manqué durant mon voyage à Paris? » Je souris tendrement avant de déposer mes lèvres sur les siennes, pour lui offrir un baiser tendre et doux. J'aime cette proximité que nous avons. J'aime me retrouver avec lui, dans ses bras. « Tu m'as manqué aussi... » Me relevant de ses genoux, je pars d'un pas guilleret dans la petite kitchenette à côté du lieu ou je peignais quelques instants plus tôt. Revenant dans le bureau de mon mari, je ramasse les débris restants de ma tasse de thé, et absorbe le liquide avec du papier. Mes pensées dévient dans tout les sens, je nous revois avec Leandro, cete pensée me colore les joues, et je pense à Chuck quand je l'ai récupéré à l'aéroport, je souris. Je repense à la première fois où nous nous sommes rencontrés. Puis à cette annonce. Je ne comprend pas. Jetant les papiers dans la poubelle, je m'assois en face de lui sur son bureau. « Pourquoi tu ne m'as rien dit ? Tu ne me fais pas confiance c'est ça ? J'aurais pu faire la promotion de la galerie à l'université, ce ne serait pas la première fois. Chuck, bon sang. Je t'aime et je ferais tout pour cette galerie, on l'a ouvert ensemble tu te rappelles ? Alors on surmontera ça ensemble, et si Leandro est vraiment ton ami comme tu as pu le démontrer mainte et mainte fois en l'aidant quand il était dans la panade, ne le vire pas. Je ne te demande pas ça en tant qu'employée, mais en temps qu'humaine. Imagine toi, si tu avais une gamine à ta charge et que ton patron t'envoyait à l'autre bout du pays ou te licencier ? Tu le vivrais bien toi ? » Je prend ses mains dans les miennes avant de les serrer, je me pose des questions et il doit s'en poser aussi. Il a des raisons de le faire, mais pourtant nous n'avons rien montrer. « Je t'aime Chuck. » Pourquoi est-ce que je ressens le besoin de lui dire une nouvelle fois ? Peut-être pour étouffer les soupçons. Peut-être parce que j'ai peur de le perdre.
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Un Vaudeville comme on en connait tant, un Mari cocu une femme trop jeune. pourtant Il n'est pas sur de tout savoir de cette liaison ayant un doute sur son jeune employé... ✻✻✻  « J'ai déjà fait des demandes de stages dans des grandes journaux Chuck... Et je m'en fiche des ennuis tu le sais très bien, je sais prendre les devants quand j'en ai besoin. » J’écoutais ce qu'elle me disait, même si je suis heureux qu'elle avance dans son orientation, mais cela dit la voir ainsi me faisait plaisir, cela faisait 4 ans que l'ont était marié bien qu'on est vécu quelques haut et quelques. Je n'étais jamais contre qu'elle suive ça voix qui était le journalisme. Quand j'ai ouvert notre gallerie a Cambridge, je lui ai dit qu'il était hors de question qu'elle mette ses rêves de cotés pour satisfaire mon plaisir égocentrique de m'occuper de cette gallerie. Bien que son aide m'aide a pouvoir profiter de mes journées. Mais cela dit, bien que mes manigances semblait me le faire payer je tentais soudainement de pouvoir attenuer la réaction de Solveig:

« Tu sais je pense à Jack qui tiens ma Galerie à Boston... Je pourrais surement lui proposer de prendre Leandro, je pense que ca peut nettement rentrer dans son budget... Tu sais ce n'est pas le soucis qu'on soit en faillite loin de là, mais les ventes se font moins nombreuse depuis la rentrer de Septembre...» Je pensais vraiment avoir faire de mon mieu, après tout Boston n'était pas si loin de Cambridge environ 30 minutes en voiture et 20 minutes en prenant le train ce n'était pas comme si je l'envoyais à New York cela dit sa reaction fut abusé: « Leandro a vendu cinq de tes tableaux pendant que tu étais en voyage à Paris. Et tu ne peux pas décemment proposer à un employé de quitter ses études, sa famille parce que la galerie connait une baisse de régime, tu sais bien que ça va remonter comme d'habitude. Pourquoi ne m'en as-tu pas parler avant ? Ca ne doit pas dater d'hier que la comptabilité est mauvaise... j'aurais pu essayer de m'arranger durant ton absence... » J'arquais un sourcil, la compta était bonne effectivement les affaires que ma fait Léandro était vraiment bonne je pouvais pas me séparer d'un si bon élément mais elle exagérait... Je commençait a flipper dans mon fort interieur, que sait il passer pendant mon voyage à Paris... je tentais de détendre l'atsmorphère avec un truc du genre tu m'as manqué et tout... Même si le faite de comprendre que 30 minutes c'est l'autre bout du monde ne fait qu'alimentait ma jalousie ! « Tu sais que tu m'as enormement manqué durant mon voyage à Paris? » Je pouvais sentir ce baiser qui m'avais tant manqué, ce corps cette femme tout simplement, ce sentiment de bien être qu'elle me fait abordé a chaque fois que je vois son visage illuminé. « Tu m'as manqué aussi... » Elle se releva et parti nettoyer ses betises sur le sol, cela dit je me demandais bien ce que tout ce remu-menage signifiait réelement, je connaissais ses reactions et j'avais peur de comprendre le but final a tout ça alors qu'elle alla s'asseoir sur le bureau. « Pourquoi tu ne m'as rien dit ? Tu ne me fais pas confiance c'est ça ? J'aurais pu faire la promotion de la galerie à l'université, ce ne serait pas la première fois. Chuck, bon sang. Je t'aime et je ferais tout pour cette galerie, on l'a ouvert ensemble tu te rappelles ? Alors on surmontera ça ensemble, et si Leandro est vraiment ton ami comme tu as pu le démontrer mainte et mainte fois en l'aidant quand il était dans la panade, ne le vire pas. Je ne te demande pas ça en tant qu'employée, mais en temps qu'humaine. Imagine toi, si tu avais une gamine à ta charge et que ton patron t'envoyait à l'autre bout du pays ou te licencier ? Tu le vivrais bien toi ? » Je croisa les bras pendant qu'ele tentais de m'expliquer que a et a = b, mais je trouvais cela démesuré...Elle prena mes mains tentant de m'amadouer avec un je t'aime: « Je t'aime Chuck. » Je soupirai sur le coup, l'amour rend aveugle et finalement je commençais a voir clair dans son jeu... : « Tu peux m'expliquer ça... Je te parle de muter Leandro à Boston ce qui n'est pas si loin... Ce serait un plus pour lui ! Et toi tu m'en fais tout un pata caisse comme si c'était à l'autre bout du monde. Je sais que je suis parano, mais quand même! La compta n'est pas le plus important... Tu peux me dire ce qui sait passer entre vous deux pendant mon absence? Avant que je parte vous n'étiez pas si proche ! » Je préférais mettre les choses aux clair, je n'aimais pas tant que ça tourner autour du pot je relacha ses mains pour recroiser mes bras
 
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Je ne comprenais pas vraiment les réactions de Chuck, il n'a jamais douté de rien, et comme par hasard en rentrant de Paris, il se doute de quelque chose. Je ne comprend pas, pourtant nous n'avons rien laissé paraître, je suis toujours autant distante avec Leandro, parce que je sais que quand nous sommes dans la même pièce, la tension est palpable, donc je préfère garder mes distances plutôt que nous mettre dans la panade alors que depuis tout ce temps, nous avons réussi à tout cacher. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais devoir mettre les cartes sur table, tout lui avouersous prétexte que Monsieur a des doutes. Fondés bien évidemment. Je ne veux pas que Leandro parte à Boston. Je ne veux pas être séparé de lui. Déjà que lorsque Chuck est la nous nous voyons qu'à la galerie alors s'il part a Boston, je ne le verrais quasiment plus. Et je ne le supporterais pas. Je suis forte pour ne rien laisser paraître, mais s'il fait ça, ma coquille va exploser et c'est la qu'il saura tout. J'ai l'impression que je m'enfonce en essayant de défendre Leandro. C’est vrai que Boston n'est pas le bout du monde. Mais je ne pense pas qu'il apprécierait de devoir faire le trajet après ses heures de cours ou même avant. Je ne veux pas que quelque chose impacte Leandro par ma faute. Tout cela n'arrivera qu'à cause de moi, parce que c'est moi qui lui a sauté dessus en premier (merci l'alcool). Je pose les questions qui me brûlent la bouche et sa réaction n'est pas celle que j'attendais, il est surpris. Voilà. J'ai tout gâché. C'est fichu. Mais mon baiser a pour but de le tromper mais mon baiser est vrai, il m'a vraiment manqué et j'essayais de faire passer cela dans ce baiser. Je voulais retrouver les papillons qui volaient dans mon ventre avant qu'il ne parte. Je n'aime pas sa réaction quand j'essaye de le convaincre. Même si je suis perdue en ce moment, j'aime Chuck, je ressens quelque chose de fort pour lui. Je ne lui aurais pas dit oui si ce n'était pas le cas. « Tu peux m'expliquer ça... Je te parle de muter Leandro à Boston ce qui n'est pas si loin... Ce serait un plus pour lui ! Et toi tu m'en fais tout un pata caisse comme si c'était à l'autre bout du monde. Je sais que je suis parano, mais quand même! La compta n'est pas le plus important... Tu peux me dire ce qui sait passer entre vous deux pendant mon absence? Avant que je parte vous n'étiez pas si proche ! » Nous étions proches comme deux amis mais il ne le voyait pas c'est juste cela. Nous nous taquinions comme deux vieux amis, peut-être qu'il se mettait uniquement des visières. Je ne le savais pas jaloux et j'ai mon cœur qui se serre. Je ne veux pas de quelqu'un de jaloux maladif dans ma vie. Même s'il n'est pas un jaloux maladif, cela me fait mal de voir qu'il ne me fait pas confiance. « Oui et alors ? Tu sais bien qu'il a une fille et un enfant a besoin de ses parents. » Je calme ma voix, je ne veux pas faire une scène aujourd'hui alors que nous venons de nous retrouver. « Mais il ne s'est rien passé ! Arrête ! Je t'aime et tu le sais pourquoi j'irais voir ailleurs ? Jusqu'à preuve du contraire, je ne suis pas une nymphomane et tu me satisfais assez, tu le sais très bien. » J'ai les larmes aux yeux. Alors il a vraiment des doutes, je suis vraiment en colère et j'ai envie d'exploser. S'il n'a plus confiance en moi pourquoi il continue alors ? J'ai le cœur qui se serre et j'ai envie de partir d'ici. Nous nous sommes toujours comportés comme des amis avec Leandro, je ne sais pas si tu avais des visières ou autre, mais on a toujours été amis. C'est bien l'amitié dans le travail non ? » Je me lève et regarde par la baie vitrée. Fais moi confiance. C'est toi que j'aime. » J'essuie les larmes de rage qui coulent le long de mes joues. Je suis fatiguée, mes insomnies me fatiguent et je suis stressée à cause des cours. « Qu'est ce que tu veux que je fasse pour te prouver que je suis à toi et tout à toi bon sang ! » je craque, et les larmes déferlent sur mes joues. J'ai l'impression d'être revenu avec mon premier petit ami qui pensait que je le trompais alors que c'était lui qui le faisait, et il me faisait porter le chapeau pour pouvoir se taper sa meilleure amie le plus facilement du monde. Attrapant mon manteau, et mon écharpe je les enfile. J'ai envie de partir mais j'ai envie qu'il me retienne, même si une crise se prépare. Je le sens.
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Solveig & Chuck

 
Un Vaudeville comme on en connait tant, un Mari cocu une femme trop jeune. pourtant Il n'est pas sur de tout savoir de cette liaison ayant un doute sur son jeune employé... ✻✻✻  « Oui et alors ? Tu sais bien qu'il a une fille et un enfant a besoin de ses parents. » Elle était aussi tetu que moi, je ne savais pas si je devais le prendre bien cela dit que je savais si je devais avoir le dernier mot j’aurais du mal, bien qu’elle était doué pour l’avoir. Au début ce fut un jeu, avoir raison et trouver le dernier mot qui clouera le bec à l’autre. Je dois dire que je trouve cela amusant, car du haut de ses 20 ans à l’époque. Elle avait de quoi faire palier Jimmy Fallon. « Oui c’est sur… » Lui accordais-je, je reste persuadé que passait une heure de plus dans les transports ne serait pas une corvée, encore verra t’il quand il aura terminé ses études. Il passera sa vie au travail, et sa fille il la verra de moins en moins. Je n’ai jamais été très favorable à chouchouter les enfants et à materner les adultes… Il faut apprendre à vivre et à prendre des responsabilités… Je l’ai bien trop vite compris pour ma part. Mais cela dit ça accentua ma jalousie ainsi que ma folie. Je lui demandai alors ce qu’il se passe avec Leandro, je voyais le mal partout… « Mais il ne s'est rien passé ! Arrête ! Je t'aime et tu le sais pourquoi j'irais voir ailleurs ? Jusqu'à preuve du contraire, je ne suis pas une nymphomane et tu me satisfais assez, tu le sais très bien. » Je me doutais bien qu’elle me dirait ça, j’espère pour autant que ce soit la vérité. Mais elle me posa une question auquel je répondis malgré le fait que j’essayais de maitriser ma colère tant bien que mal : « La distance peut être une raison non ? Et puis ce n’est pas comme si Leandro était moche… Je savais que j’aurais dû prendre un moche » Disais-je avec ironie, je ne jalousais pas tant que ça le Charisme de Léandro, mais il y a une chose qui fait la différence c’est la jeunesse… qui faisait surement cela et puis vient la question du rapprochement : « Nous nous sommes toujours comportés comme des amis avec Leandro, je ne sais pas si tu avais des visières ou autre, mais on a toujours été amis. C'est bien l'amitié dans le travail non ? » Je savais bien qu’ils étaient toujours ainsi, mais sincèrement était-ce vraiment la solution. Beaucoup de choses sont porteur d’une mauvaise cohésion de groupe, je ne veux pas voir dès le lendemain une mauvaise ambiance ici, La galerie est un lieu de création et non de discorde… « Je préféré une bonne cohésion qu’une amitié… Qu’est ce qui se passera le jour ou l’un de vous deux trahis l’autre, que vous vous fassiez la gueule vous arriverez a faire la différence entre travail et vie privé ?... Vous êtes des minots encore… Bref… » Je tentai de couper la conversation net, mais je voyais la rage de Solveig se résumé par quelques larmes sur ses joues, je n’aimais pas la voir ainsi et j’en avais presque honte sur le coup. « Fais moi confiance. C'est toi que j'aime. » Je lui faisais confiance… C’est vrai, 4 ans de mariage. Je n’ai jamais doutés de sa fidélité jusqu’à maintenant mais je ne savais pas pourquoi je doutais maintenant : « Je te fais… » j’essayais de lui mais elle me coupa dans mes paroles « Qu'est ce que tu veux que je fasse pour te prouver que je suis à toi et tout à toi bon sang ! » Je crois qu’il n’y avais rien a faire j’en étais convaincu, mais elle enfila sa veste et se prépara a partir, elle tenta de partir : « Solveig ! » Je me leva la rattrapant et prenant son bras par la main : « Solveig ! Attend ! » Je l’attira vers moi posant mes mains sur ses joues posant mon front sur le sien :
« Ecoute je suis qu’un imbécile… J’ai été trop parano… Je te fais confiance… Mais j’ai cette rengaine qui tournait sans cesse dans ma tête, et plus elle tournait dans ma tête plus les jours passaient plus la folie s’installait… les doutes prenait place à la confiance que j’ai… Je t’aime Solveig… Comme un imbécile et même de travers, mais je te demande pardon… » Je finissais ses mots par un baiser tendre et emplit de passion… Elle m’avait terriblement manqué j’en étais désoeuvré.

 
✻✻✻
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Je suis amoureuse de lui. Je l'aime mais je ne peux pas m'empêcher de penser à Leandro. Comment est-ce possible de ressentir autant de choses pour deux personnes à  la fois ? J'aime Chuck pour le côté sécurité, le côté confort de la relation. Mais je suis attirée par Leandro, ce danger, cette attirance me rend folle. Je ne peux pas décemment avouer cela à Chuck, je ne peux pas lui dire « Hey! Je te trompe mais j't'aime hein ! Tu veux d'la sauce tomate sur tes pâtes ? ». Il sait que quand je veux quelque chose, je finis forcément par l'obtenir, et que je suis plus têtue que lui, alors je cherche encore et encore des excuses, plus grosses les unes que les autres. Mais j'ai l'air d'y parvenir. Je reste calme, je n'ai pas envie de m'énerver, pas maintenant, mais sa nonchalance me donne envie de lui mettre des claques. « La distance peut être une raison non ? Et puis ce n’est pas comme si Leandro était moche… Je savais que j’aurais dû prendre un moche » Il sait bien que je ne supporte pas ce ton qu'il emploie parfois quand nous nous prenons la tête. Il sait bien que j'ai envie de tout claquer quand il fait ça. L'impulsivité des Blackbird. Comme mon père. Mais pourtant, c'est sûr que s'il avait pris un moche, je ne serais pas dans un état comme celui dans lequel je suis en ce moment. « Si tu le dis. » Ma voix claque dans l'air et je serre les dents. Leandro est beau, autant habillé que nu. Il est beau quand il dort. Il n'y a pas un moment où il est moche. Vraiment. L'amitié dans le travail, quelle idée. Je préfère avoir des amis et des ennemis, mais dans le travail, je ne sais pas quoi penser. Vaut-il mieux avoir des amis que des ennemis. Je me pose la question. « Je préféré une bonne cohésion qu’une amitié… Qu’est ce qui se passera le jour ou l’un de vous deux trahis l’autre, que vous vous fassiez la gueule vous arriverez a faire la différence entre travail et vie privé ?... Vous êtes des minots encore… Bref… »  Des minots ? Si je suis un minot pourquoi est-ce qu'il s'est marié avec moi ? Hein ? Une minot. « Pourquoi tu m'as épousé alors ?! »  Je ne supporte plus rien, je suis fatiguée et je crois qu'il me faut quelque chose pour me calmer pour que je puisse dormir. Des larmes de rage coulent sur mes joues, puis elles deviennent des larmes de tristesse. Pourquoi ? Qu'est ce que j'ai fais pour mériter ça ? Il me fait confiance. Enfin, je ne le sais pas, vu que je le coupe dans son élan, mais je m'en fiche. J'ai besoin de prendre l'air, j'ai besoin de m'évader, loin. Loin de tout. « Solveig ! Solveig attend ! » Je sens sa main me retenir et mes larmes continuent de couler toute seule. Je vais ressembler à un panda. « Ecoute je suis qu’un imbécile… J’ai été trop parano… Je te fais confiance… Mais j’ai cette rengaine qui tournait sans cesse dans ma tête, et plus elle tournait dans ma tête plus les jours passaient plus la folie s’installait… les doutes prenait place à la confiance que j’ai… Je t’aime Solveig… Comme un imbécile et même de travers, mais je te demande pardon… »   Son baiser me remonte un peu le moral et stoppe mes larmes, sa tendresse m'a manqué. Entourant mes bras de sa nuque, je prolonge le baiser en fermant les yeux. Me reculant, je mordille ma lèvre, par stress, par peur, par désir. Je ne sais pas mettre un nom sur cette sensation. « C'est moi qui te demande pardon... » de t'avoir trompé, de coucher avec ton employé, de te prendre pour un con. Ma voix est faible, j'ai les mains qui tremblent mais je continue « Pardon de m'être emporté comme cela... » Je reste blottie contre lui et je ferme les yeux. « Je veux rentrer à la maison.. Fermons la galerie, restons ensemble sans répondre à personne... Je ne veux pas te perdre Chuck... » Même si pour le moment, il n'a pas de raisons de partir, j'ai tellement peur qu'il me laisse, je ne le supporterais pas. Même si je couche à droite à gauche, c'est lui que j'aime. Soulmate comme dirait ma mère.
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Un Vaudeville comme on en connait tant, un Mari cocu une femme trop jeune. pourtant Il n'est pas sur de tout savoir de cette liaison ayant un doute sur son jeune employé... ✻✻✻  J’en devenais aveugle, ce quel me disait passait dans une oreille et sortais par une autre, devais-je vraiment me fier à ce qu’elle me disait au bout d’un moment j’ai laissé tomber, me disait-elle vraiment la vérité c’est ce que je me demandais… J’aurais préféré qu’elle me dise la vérité, je ne sais pas tellement comment j’aurais réagis finalement… Aurais-je laissé passer finalement ce qui se passait ? Aurait accepté qu’elle me tromper… Aurais-je était si crédule pour croire à tout ça… L’aurais-je laissé me tromper à nouveau… C’est ce genre de question qui tournait sans cesse dans ma tête au point que j’en devenais fou. « Pourquoi tu m'as épousé alors ?! » Cette question fit bouillir mon sang, pourquoi répéter une chose que j’ai dû dire au moins une vingtaine de fois depuis quatre ans. Lui devrais-je l’avouer que je l’aime pour son cul ? Ou bien simplement pour cette jeune femme qu’on m’a présenté alors il y a cinq ans, cette jeune femme qui semblait timide et adorable, que je ne voulais que dans mon lit pour m’apercevoir qu’elle avait un caractère impressionnant et qui pourrait approuver le respect. Mais non je ne lui dirais pas, je ne lui avouerais jamais une nouvelle fois. Sincèrement Elle le savait « Tu le sais très bien Solveig ! » lui disais-je alors que je remarquais ses larmes couler, cette rage qui faisait place dans la discussion devenait simplement du grand n’importe quoi. Prêt à tout pour avoir le dernier mot, mais elle lâcha prise, elle me tourna les talons prêt à fuir. Je tenta alors de la rattraper coûte que coûte, ce n’est pas mon intentions de la perdre. « Solveig ! Solveig attend ! » Je lui pris le poigné prêt à la faire rester ici… « Ecoute je suis qu’un imbécile… J’ai été trop parano… Je te fais confiance… Mais j’ai cette rengaine qui tournait sans cesse dans ma tête, et plus elle tournait dans ma tête plus les jours passaient plus la folie s’installait… les doutes prenait place à la confiance que j’ai… Je t’aime Solveig… Comme un imbécile et même de travers, mais je te demande pardon… » Je l’embrassais tentant de trouver le moyen ultime pour la faire rester, je ne voulais pas qu’on se quitte la dessus… Voilà ce que j’ai après rentrer de voyage, une dispute magistrale pour ma jalousie maladive… Je l’aimais voir même un peu trop et cela me bouffait littéralement. « C'est moi qui te demande pardon... » Pourquoi me demandait elle pardon ? C’est moi qui est causé cette dispute, même si mes doutes sont toujours présent, je me demande toujours si oui ou non elle me dit la vérité. J’espère sincèrement que c’est la vérité… Car ma vision des choses est-elle, que si cela est faux et que mes songes s’avèrent être vrai, la confiance que j’ai en elle s’évanouira comme une fumée de poudre et ainsi la peur qu’elle recommence de nouveau me hantera… J’ai peur de penser à cela c’est vrai… Mais cela prendrait surement du temps pour que je puisse de nouveau lui faire confiance… Une longue guerre de sentiment dans ma tête prendra le dessus, j’ai peur d’y penser car se serait surement la dernière fois qu’elle verra un sourire sincère sur mes lèvres. « Pardon de m'être emporté comme cela... » T’emporter comme cela ? Je ne comprenais décidement pas, elle avait raison de s’emporter ainsi… « Tu as bien fait… C’est pour cela que je t’aime Solveig… » C’est mots ne me semblait plus si sincère sur le coup… Mais l’amour m’aveugla plus que ce que je ne croyais je ne pouvais décidement pas croire qu’elle me trompait avec Léandro. « Je veux rentrer à la maison.. Fermons la galerie, restons ensemble sans répondre à personne... Je ne veux pas te perdre Chuck... » Je fis mine de réflechir avant de prendre ma veste sur le porte manteau : « Leandro ! Tu fermeras la galerie ! » J’ouvris la porte en verre pour laisser de la place à Solveig qui semblait en piteuse état avec son maquillage qui glissait sur ses joues : « Aller viens ! On rentre chez nous… » J’étais décidé à rentrer, nous faisions quelques pas traversant une rue pour arriver dans notre maison dans un style victorien, une maison plutôt grande pour deux personnes… Ce qui montrait ma démesure à aimer sans compter. Nous passions la porte, je posa ma veste sur le porte manteau à l’entrée pour poser les clefs dans le vide poche. « Tu devrais te rafraichir un peu… Tu as l’air vraiment d’un Firefox ainsi. » disais-je en riant histoire de détendre un peu l’atmosphère.

 
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Je me sens... étrange. Je n'arrive pas à me dire que Chuck peut-être malheureux à cause de moi alors que je me comporte comme la pire des salopes. Mais je ne peux pas imaginer ma vie sans lui. Il est celui qui m'a redonné confiance en moi, celui qui a réussi à me séduire alors que pour moi, je n'avais rien de plus que les autres femmes. En plus, j'ai un sale caractère, je m'énerve relativement pour un rien, surtout quand je suis fatiguée, je pique des crises de jalousie pour un rien, quand je veux quelque chose, je peux être très chiante. Et il arrive encore à me supporter. Un jour, je lui décernerais la médaille du mérite. Mes parents avaient vu d'un mauvais œil ma relation avec Chuck dans un premier temps, mais quand ma mère m'a vu épanouie comme je le suis, elle l'a définitivement considéré comme un membre de la famille, elle m'a même dit que cela ne l'étonnait pas, parce que j'avais toujours trouvé les garçons de mon âge stupide et dénué d'intérêt. Je n'arrive pas à dire à ma mère que je trompe mon mari. Elle a toujours méprisée les femmes et les hommes qui trompaient leurs conjoint(e)s, alors sa propre fille... J'attaque quand il dit qu'on est que des minots, je sais pourquoi il m'a épousé, il me le répète à chaque crise, mais je ne peux m'empêcher de lui poser encore une fois cette question assassine. « Tu le sais très bien Solveig ! »  Je lève les yeux au ciel, mauvaise. Je déteste quand on se prend la tête, mais ça fait du bien, après nous partons sur de bonnes bases. Parfois. Toujours. Toute cette tension, tout ces mots accumulés me tordent psychologiquement de douleur. Je ne veux pas atteindre le point de non-retour. Je veux juste fuir, rentrer chez moi, chez mes parents. Peindre, encore et encore. Peut-être rejoindre Leandro. Ou aller boire un verre avec Nevada, mais je ne veux pas l'affronter, je ne peux pas. Je n'ai pas envie qu'il me déteste comme il doit me détester à l'instant même, à imaginer des choses qui, au final, s'avouent véridique, mais que je n'avouerais jamais. Lorsque je sens la fraîcheur de sa peau contre la mienne, je me sens électrisée. Mon souffle se coupe quand il me fait ce qui ressemble à une déclaration. J'ai les jambes sciées et je n'arriverais pas à partir bien loin. Je ne trouve rien de mieux à faire qu'à m'excuser. Comme une imbécile. C'est pour cela que je t'aime Solveig Ma conscience danse une salsa dans mon cerveau tandis que ses mots résonnent en moi. « Mais je t'aime aussi... Tellement... » Mes larmes ont cessé, et je veux désormais rentrer. J'espère que Leandro n'a rien entendu de cette conversation. J'espère qu'il ne nous a pas entendu nous prendre la tête parce qu'il ne voudrait plus me voir, j'en suis persuadée. Lorsque le prénom de Leandro sort de la bouche de mon mari, j'esquisse un petit sourire. Il veut donc rentrer à la maison. Je le suis et lorsque l'air frais me mord le visage, je suis parcouru d'un frisson. Le contraste entre la chaleur de la galerie et le froid de la ville est impressionnant. L'été et le soleil me manque. Vivement le Spring Break. Une fois dans la maison, je me sens en sécurité. Je me sens bien, Peluche nous accueille en ronronnant contre les jambes de Chuck. Je souris en la voyant. J'aime notre maison, j'aime l'atmosphère qui en sort. « Oui, j'y vais. » Je ris en montant les escaliers d'un pas léger et je me débarbouille avant de remettre du crayon noir en dessous de mes yeux rougis. Redescendant les escaliers, je trouve Chuck dans la cuisine et sur la pointe des pieds, j'embrasse doucement son cou mes doigts se baladant sur son torse avant d'embrasser ses lèvres... « J'ai très envie de me faire pardonner... » Ma main descend alors dans les passants de son jean pour l'attirer contre moi. La réconciliation sur l'oreiller, c'est quand même l'une des meilleures réconciliations.
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