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Nevalek - Les plus grandes revendications s'orthographient avec plein de fautes

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Caprice des Dieux.

"Bouge pas, laisse toi faire... J'te demande juste de me faire confiance et de ne pas retirer le bandeau..." Placé derrière la jeune femme, je lui passe ce bandeau noir autour des yeux, faisant un noeud serré, mais qui n'allait pas non plus lui faire de mal durant le trajet en voiture. Elle voulait savoir ce qui se passait, elle voulait savoir qu'est-ce que j'allais faire, mais, je n'allais rien lui dire, c'était la surprise, la plus belle surprise que je pouvais lui faire aujourd'hui. La prenant par la main, je l'emenna en direction de la voiture, voiture où j'avais pris soins d'y mettre nos valises dans le coffre, valises que j'avais faites assez rapidement, après tout, deux jours de vacance, un simple petit week-end, c'est rapide. J'avais demandé à ma mère de garder Quincy, et, elle avait accepté sans trop poser de questions, ésperont juste qu'elle ne le rendrait pas aussi fou que moi. Bref, une fois instalé dans la voiture, je mis des écouteurs dans les oreilles de Neva, pour qu'elle ne puisse rien entendre, et ça, jusqu'au moment où nous arrivions à l'aéroport. Si je prenais un avion normal, elle aurait finit par savoir le lieu de notre destination assez rapidement, que ça soit par les hôtesses de l'air ou bien par les passagés, alors, j'avais contacter une personne de ma famille, qui m'avait laissé le jet d'un de ces amis, j'avais bien sûr glissé un petit billet, mais, rien de vraiment cher comparé à ce que ça aurait pu me coûter si j'avais loué moi-même un jet privé. Du coup, ne retirant toujours pas le bandeau du visage de la belle brune, je l'emenna jusqu'au jet. "Fait gaffe, y'a des marches là, tient toi à la rambarde..." En fait, c'était excitant de se dire qu'elle ne pouvait rien voir, et qu'elle n'avait aucune idée d'où nous étions, d'où nous allions. J'étais pas un fan de la saint valentin vous savez, au final, j'm'en moquais complètement, c'était pas ça qui allait me permettre de dire à Neva que je l'aime, de lui dire que de la demander pour femme a été la plus belle chose que j'ai faite, non, je le savais, j'en étais conscient, mais, j'en avais rien à foutre de la saint valentin, c'était juste un prétexte en fait pour prendre ce week end, pour en profiter, et pour lui faire cette surprise. Alors, une fois dans le jet, assis sur ces sièges vachement confortable, je retira le bandeau de sur ces yeux, un léger sourire aux lèvres. "J'te présente le Air Kennedy one !" Avais-je lâché. J'savais même pas son nom, mais, pour ce week end, il s’appellera comme ça, et personne ne sera compte. J'avais demandé au personnel de bord de ne pas parler de la destination, et, de me prévenir quand on en serait proche, pour que je puisse tirer les rideaux sur les fenêtres et qu'elle ne puisse rien voir, ça serait la surprise jusqu'à la fin. "Le personnel de bord et moi même vous souhaitons un agréable voyage, du champagne vous sera servis si vous le désirez et... Et tu peux faire ce que tu veux ici !" Ouais, j'étais pas le gars le plus doué en matière de discours aériens, habituellement, quand j'monte dans un jet privé, c'est parceque y'a un problème, et que j'dois être le plus rapidement sur le place, et, c'est jamais moi qui paie. Là, c'était différent, y'avait aucun problème, tout allait pour le mieux. •
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" Bouge pas, laisse toi faire... J'te demande juste de me faire confiance et de ne pas retirer le bandeau... " Confiance c'est vraiment beacoup te demander parce que bon sang ça sent le truc ultra louche à plein nez. Franchement t'avais pas vraiment envie de devenir aveugle surtout en ce jour. T'étais censée pouvoir admirer ton mari pas porter un bandeau ridicule et pourtant tu le laisses faire. T'aurais du te douter dès que tu avais vu débarquer sa folle de mère à la maison que y'avait un truc qui se tramait. Pour toi qui n'aimes pas être dans l'ignorance, autant dire que c'était difficile de ne pas réprimer ta curiosité." Qu'est ce que je ferais pas par amour, mon Dieu. " Tu te laissais amener dans une voiture et tu te contorsionnas pour t'installer confortablement. Tu plisses des yeux quand en plus il te met dans la musique dans les oreilles. Il doit pas se rendre compte que te laisser dans le flou le plus immense est la situation des plus flippantes pour toi." Fait gaffe, y'a des marches là, tient toi à la rambarde... " Non mais c'est quoi ? Un parcours du combattant ? Un test pour rentrer à l'armée ? Ben non merci. T'imaginais pas ta Saint-Valentin comme ça." Si je tombe et que je meurs le crâne éclatait par terre, ce sera de ta faute et tu l'auras sur ta conscience toute ta vie. " Toi parano ? Très certainement mais c'est stressant de rien voir. Il peut pas savoir à quel point mettre ta vie entre ses mains, c'est la chose la plus dure que tu viens de faire, quand bien même il est ton mari. T'aimes être maître de toi même. Pour la maladroite que tu es, ne pas savoir où tu marches est une épreuve de tous les instants. Tu continues quand même de le suivre, toujours de moins en moins rassurée. Il te fait t'asseoir une fois de plus et enfin c'est la délivrance. Tu regardes tout autour de toi. Un avion ? " J'te présente le Air Kennedy one ! " Sur le coup la première chose qui te vient en tête parce que t'as envie de rigoler un peu de lui. Grand sourire aux lèvres. " Tu m'as offert un avion c'est ça ? " Bien sûre que tu savais que ce n'était pas le cas contrairement à lui qui avait un jour cru que tu lui offrais un bateau. Il méritait bien une vanne pour t'avoir fait flipper pendant de longues minutes." Le personnel de bord et moi même vous souhaitons un agréable voyage, du champagne vous sera servis si vous le désirez et... Et tu peux faire ce que tu veux ici ! " Tendrement, tu venais l'embrasser vu que comme il l'avait dit t'avait le droit de faire ce que tu voulais." Le droit de s'envoyer en l'air ça compte aussi ! " Il avait fallu que tu la sortes. Tu sais pas trop pourquoi. L'excitation peut être." Non mais ouais d'abord du Champagne pour me remettre de mes émotions. "

HJ: Le gif est un plaisir personnel Nevalek - Les plus grandes revendications s'orthographient avec plein de fautes 4205929361
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• J'avais à la fois besoin de ce week end pour prendre l'air, mais aussi pour me retrouver seul avec Neva, pour pouvoir profiter d'elle sans devoir la pretter à je ne sais qui, j'voulais être avec elle et seulement elle, passer ces deux jours ensembles, à profiter pleinement de ce voyage. Je savais que ce pays, elle l'aimait, putain Neva, elle l'aimait, c'est là-bas qu'elle était née, et, j'avais longuement hésité entre Paris et une autre ville, mais, pour rester dans la tradition et le cliché, j'avais finalement opté pour Paris, la soit-disant ville des amoureux. Alors, j'avais tout préparé dans son dos, que ça soit la valise, que ça soit de faire garder Quincy, que ça soit le jet, tout, tout avait été préparé à l'avance sans qu'elle puisse s'en douter, parceque cette fois ci, j'voulais qu'elle passe l'un des plus beaux week-end de sa vie, j'voulais que cette fois ci, elle se libère l'esprit, qu'elle pense à autre chose que tous ces problèmes qu'on a eu depuis quelques mois, j'voulais juste qu'elle ne pense plus à rien, qu'elle fasse le vide, qu'elle se ressource en quelque sorte. Alors, je lui avais mis ce bandeau devant les yeux, et, je ne pouvais m'empêcher de rire à ces phrases, sérieusement, j'savais bien qu'elle était maladroite, comme je savais que j'étais pas le gars le plus clean sur terre, mais, j'allais tout de même faire attention qu'elle ne tombe pas, j'allais pas la laisser s'éclater une dent ou je ne sais quelle partie de son corps si parfait devant moi, car après, jamais elle ne me laisserait lui rebander les yeux. Du coup, une fois arrivé dans l'avion, je retira le bandeau de sur ces yeux, et, sa réaction fû assez... J'aurais même pas de mot en fait. Elle était tout simplement en train de se foutre de ma gueule, elle faisait référence au jour où j'ai cru qu'elle m'avait offert un bateau, et putain, j'en rêve encore parfois de ce bateau... Du coup, je secoue la tête de gauche à droite. "Ouais j't'ai offert un avion, ouais..." Comme ça, elle, elle a l'avion imaginaire, et moi, j'ai le bateau, vous voyez, ont finit toujours par s'entendre. Je la vois approcher son visage du mien pour déposer ces lèvres contre les miennes. Appréciant le baisé, sa prochaine phrase me donna quelques idées... " Le droit de s'envoyer en l'air ça compte aussi ! " J'hausse un sourcil. Au fond, j'savais qu'elle n'était pas vraiment sérieuse, mais, coucher dans un avion, c'est vrai que on ne l'a encore jamais fait, j'crois que ça sera pour le retour tient, histoire d'allonger encore notre liste des endroits les plus innatendus. "Techniquement, on va déjà s'envoyer en l'air en fait... Mais, je note l'idée, j'la garde bien dans ma tête, t'aurais pas du dire ça !" Un large sourire sur les lèvres, tu allas chercher le champagne quand la belle brune, qui un jour redeviendra blonde, approuva pour le champagne. Cherchant les coupes, c'est après quelques secondes que je trouva enfin la cachette, et, m'avanca vers la jeune femme, je lui tendis son verre, tout en m'asseyant à ces côtés. "Tes émotions ? Tu sais même pas où est-ce qu'on va encore, ça s'trouve, tu vas détester !" Le pilote pris la parole dans le micro pour nous prévenir d'attacher nos ceintures, que le décollage allait avoir lieu dans quelques secondes. Allez, on bois un peu, on discute, on dors, on se réveille, puis on est arrivé, plutôt rapide non ? •

Tu peux te faire plaisir autant que tu veux Nevalek - Les plus grandes revendications s'orthographient avec plein de fautes 152426858
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Tu ne sais pas si c'est une bonne chose que de laisser ton fils avec la mère de ton mari, parce que oui pire qu'Alek niveau santé mentale ça existe ! Hélas t'as pas vraiment eu le choix. Encore heureux pour lui que t'avais rien de prévu ces prochains jours, enfin tu ne sais même pas pour combien de temps tu pars. Pour le coup, tu es vraiment à la totale merci de ton mari. D'un côté ça te travaille, pour toi qui aime bien savoir où tu vas dans la vie mais d'un autre côté c'est plutôt plaisant de se laisser guider et porter - outre la dangerosité de marcher en étant totalement aveugle. Bon tu sais quand même qu'il va pas être du genre à te laisser seule sur une autoroute risquant de te faire écraser. Tu lui accordes un minimum de confiance quand même au bout de plus de deux ans de relation. Tu ne peux pas dire que tu as peur de ce qu'il va te faire faire, c'est plus de la psychose vu le monde dans lequel vous vivez et où chaque instant est dorénavant signe de danger. Ces quelques jours, Dieu ne sait où, vont sans aucun doute te permettre de souffler, d'avoir un peu plus le sourire, de retrouver goût à la vie qui parfois ne semble plus vouloir de vous vu les coups de massue qu'elle vous assène. Tu pensais pouvoir découvrir ta surprise quand ton bandeau fut enlevé, mais ce ne fut pas le cas même si tu prétendais le contraire pour charrier ton homme. Genre qu'est ce que tu ferais avec un avion qu'il semblait quand même vouloir t'offrir en guise de cadeau. Tu t'installais confortablement au fond du siège, comme si c'était chez toi et au fond ça semblait l'être parce que god j'avais t'avais eu le droit à un avion privé. C'est qu'il a pas fait les choses à moitié." Techniquement, on va déjà s'envoyer en l'air en fait... Mais, je note l'idée, j'la garde bien dans ma tête, t'aurais pas du dire ça ! " Un sourire malicieux s'affiche sur ton visage. En même temps c'est vrai que ça peut être pas mal. Un lieu insolite de plus ou de moins ça ne changera pas grand chose." Je t'en prie, gardes donc. " T'as toujours de bonnes idées, c'est pas nouveau. T'attends pas longtemps avant d'avoir le droit à ton Champagne. C'est que c'est pas mal dis donc de se faire traiter comme une reine, ça change !" Tes émotions ? Tu sais même pas où est-ce qu'on va encore, ça s'trouve, tu vas détester ! " Pas faux, t'avais pas prévu ça mais bon ça peut toujours s'arranger." Ben si tu m'as amenée au Groënland, je te laisse pourrir là-bas et moi je rentre avec MON jet privé. " Tu souris avant de boire une longue gorgée de Champagne. Ca t'aidera à dormir, sait on jamais qu'il y ait dix heures de voyage.
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• Ce sentiment étrange, cette sensation qui envahi tout votre corps et vous procure un bien si intense qu'il vous donne l'impression de voler, de sortir de votre corps, d'arrêter le temps et de regarder cette scène se dérouler sous vos yeux toutes votre vie, cette scène qui fait accélérer les battements de votre cœur, cette scène, ce moment qui restera gravé à jamais dans votre mémoire, mieux que le premier baiser, mieux que ce premier vélo que vous avez eux, mieux que ce diplôme que vous avez réussit, mieux que le jour ou vous avez eu votre permis, mieux que la nouvelle console que vos parents vont offert, mieux que ces deux semaines de vacances passé sur une îles tropical, mieux que ce film qui a marquer votre vie, mieux que ce groupe qui résonne dans vos oreilles tout les jours, mieux que ce moment passé avec cette fille dont vous n'avez eu plus aucune nouvelle, et encore mieux que votre première fois, mieux que tout ce que vous avez connu avant... Ce sentiment qui m'envahissait chaque jours, qui avait prit entière possession de mon corps, ce putain de sentiment qui m'avait fait devenir ce que j'étais devenu, ce sentiment qui avait fait de moi un homme comblé, un mari heureux, un père de famille épannoui. Tout ça, c'était grace à Neva, tout ça, c'était grace à elle que nous avions pu construire tout ça, c'était un mélange de nous, qui avait fait ce qu'ont avait réussi. Alors, j'pouvais bien lui offrir un voyage surprise pour la saint Valentin, et ça, même si j'suis pas un accro de ce genre de fête, j'ai pas besoin d'un jour spécial dans un calendrier pour lui dire que je l'aime, pour lui prouver mon amour pour elle. C'était de la connerie ça, mais, autant faire dans le cliché jusqu'au bout, non ? Ben si tu m'as amenée au Groënland, je te laisse pourrir là-bas et moi je rentre avec MON jet privé. " Je secoue la tête de gauche à droite une fois son verre servi. Sérieusement, le Groentruc ? J'sais même pas ou se pays se trouve sur la carte, alors bon... J'risque pas d'y foutre les pieds, surtout qu'il doit faire bien froid là-bas. "Faut un mot de passe top secret pour dire au pilote de démarer le jet, tu pourras pas fuir avec, j'te préviens tout de suite !" Un mot de passe top secret ouais, un nom de code, une merde du genre. [...] Après plusieurs heures de voyage, le pilote me fit signe qu'ont allaient pas tardé à se poser, alors, reprenant mon bandeau noire, je regarda la belle brune avec un large sourire. "Et c'est repartie pour que tu sois dans le noir total !" Et, passant le bandeau autour de sa tête, je le serra doucement pour qu'elle ne puisse plus voir. Plaçant mes mains sur ces joues, je l'embrassa tendrement. Et, après quelques minutes, le jet arriva à l'aéroport, alors, attrapant la main de Neva une fois posé, je l'accompagna en dehors du jet, et, je l'emmena jusque devant l'aéroport, lui retirant le bandeau et le casque des oreilles, ouais, elle aurait risquer d'entendre parler Français, et ça aurait vraiment merdé. "TADAM... Un taxi va arriver dans quelques minutes pour nous déposer à l'hôtel..." J'éspèrais que ma surprise allait lui plaire. •

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Toi qui n'accordes pas beaucoup d'importance à tout ce qui est matériel, autant dire que la Saint Valentin n'est pas non plus uen chose qui te tient à coeur. Tu pourrais très bien t'en passer, n'ayant pas besoin de ça pour te sentir aimée. Le quotidien te suffit amplement. Ce n'est pas pour autant que tu as refusé de monter dans cet avion, à vrai dire tu n'as pas eu le choix. Ce petit séjour, tu ne le vois pas forcément comme la façon de célébrer cette fête commerciale, mais juste un bon prétexte pour vous retrouver tous les deux. Ca ne fera jamais de mal au vu des dernières semaines. Bon pour le coup, t'es un peu conne parce que ben t'as rien à lui offrir, quoique des cours de french kiss ça devrait suffire ? Autant être honnête que t'es pas très douée en matière de présents, heureusement que tu as d'autres atouts en réserve pour te rattraper. Merci Dame Nature. Enfin bon restons sage pendant le vol malgré l'idée obscène que tu as pu émettre. L'excitation te fait dire des choses bizarres. T'es pas curieuse pour rien alors tu espères vivement que t'auras pas rester assise dans cet avion bien longtemps, quand bien même vous l'avez pour vous tout seul." Faut un mot de passe top secret pour dire au pilote de démarer le jet, tu pourras pas fuir avec, j'te préviens tout de suite ! " Alors là tu te sens offensée qu'il te sous estime ainsi." Je te dirais bien qu'on peut faire le test pour savoir si tu as raison mais je le ferais pas. Je te dirais juste que j'ai certains petit plus par rapport à toi qui font que je peux tout avoir dans ma vie. " Toi en train de vendre ton corps ? Non, pas du tout. On se reconcentre sur le Champagne.[........] T'as dormi, t'as bu avec modération bien évidemment mais Alek te fait savoir par son sourire sarcastique qu'il est bientôt temps de mettre fin à ta curiosité. Tu bronches pas quant tu es de nouveau plongé dans le noir le plus total." Ouais ça vaut bien un baiser tout ça. " Surtout que tu restes sage en enlevant pas ce bandeau de tes yeux, en supportant la musique bizarre qu'il te fait écouter aussi. Quelle fille bien élevée tu fais. Une fois dehors, tu sens un vent froid te frapper le visage. Bon c'est pas le Groënland, mais c'est pas les Tropiques non plus. Tu finis par être libérée." TADAM... Un taxi va arriver dans quelques minutes pour nous déposer à l'hôtel... " Tu regardes tout autour de toi, tu pourrais reconnaître les lieux les yeux fermés - ou pas finalement - mais tu préfères quand même t'assurer de ta pensée, chose rapidement faite quand tu vois le l'enseigne Aéroport Roissy Charles de Gaulle écrit sur la façade. Ton coeur s'emballe que tu en trembles. Les larmes te montent presque aux yeux. Comment dire que cette ville a une signification toute particulière pour toi. La capitale est le lieu d'innombrables souvenirs. Retrouvant tes esprits, tu te jettes de tout ton poids dans les bras d'Alek." Je t'aime. Putain je t'aime. Plus que ma propre vie. " Tes lèvres s'emparant des siennes sans le lui laisser de parler, de souffler. T'es remontée à bloc, point barre.
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• J'me suis souvent demandé comment ma vie allait être quand je n'étais encore qu'un enfant, comment tout ça allait se dérouler, si j'allais avoir la chance d'avoir la vie de tous ces gars riche que l'on voit s'afficher fièrement à la télé, si j'allais avoir cette vie de luxe qui ne m'était pas tellement destiné à la base. J'me demandais aussi si j'allais être connu, car plus tu regardes la télé, plus tu lis ces putain de magazine de merde, ces putain de sites qui mettent en avant la richesse, la beauté et la conneries, et plus tu te dis que c'est ça, c'est ça la vue que tu veux, c'est ça la vie que tu désires, que t'aimerais un jour être à leur place, qu'un jour, t'aimerais toi aussi qu'on te regarde, qu'on t'admire, qu'on t'adule. T'allumes la télé et tu tombes sur ce connard qui a baisé je ne sais combien de femmes, qui est pété de thune à en chier un paquet le matin, ce connard qui va te vendre du rêve, du rêve que jamais tu ne pourrais avoir, cette petite merde qui va baiser sa secrétaire sans que personne ne le sache, qui aura des enfants un peu partout dans le monde, sans que ces derniers ne sachent vraiment qui est leur père. Sans qu'ils puissent grandir en étant vraiment heureux. Un père absent, une mère qui galère à finir le mois, tout ça, la télé nous le dit pas, non, elle nous dit pas que la mère porteuse prends du crack, qu'elle s'explose la tête à coup de drogue et d'alcool juste pour oublier que sa vie est merdique, que sa vie n'est qu'un paquet de conneries, un gros paquet de merde. Seul ces enfants la tienne encore en vie, et, malgré qu'elle soit souvent dans des états pas possible, qu'elle soit souvent à la limite du comas, elle se bat, peut-être pas comme tout le monde aurait voulu, peut-être pas comme ces proches l'auraient voulu, mais, elle se bat à sa manière, elle essaye de s'en sortir à sa manière, et, jusque là, même si elle a plus de bas que de haut, elle s'en sort, elle est encore présente, elle est encore en vie, et ça, ces enfants ne peuvent pas lui reprocher, ils ne peuvent pas dire qu'elle est comme leur père, absent, leur putain de père qui s'affiche au volant de grosse voiture payé avec un chèque à six zéro. Alors, j'ai finit pas me rendre compte de tout ça, à me rendre compte que non, j'voulais pas être ce genre de personne, j'voulais pas qu'un jour on vienne toquer à ma porte et qu'on me dise que je suis père de je ne sais combien de mômes, que j'ai beau avoir un paquet de thunes, mais que j'ai raté ma vie, que j'ai tout raté. Alors, malgré mes erreurs, mes innombrables erreurs, j'avais fait en sorte d'être une bonne personne, de ne pas avoir trop de problème. J'savais bien que j'avais merdé, j'veux dire, qui n'a jamais chié dans la colle ? Mais moi, putain moi, j'avais toujours fait en sorte de les réparer, d'apprendre d'elles et d'aller de l'avant. Aujourd'hui, j'étais un tout autre homme que celui que j'aurais pu devenir si jamais je n'aurais eu la chance de rencontrer Neva, je serais un abruti finit, qui coucherait surement un peu partout, sans but précis. Là, mon but, c'était faire plaisir à la jeune femme, et, quand j'enleva le bandeau de sur ces yeux, quand je vis les pailettes dans ces yeux brillés, quand je sentis son corps sauter contre le mien. Je ne pu m'empêcher de lâcher un petit rire. Lui rendant son baisé, je laissa ces pieds toucher le sol et je répondu à sa petite déclaration. "On va finir par acheter une maison ici j'crois si à chaque fois j'ai le droit à ce genre de phrase !" Avais-je lâché sur le ton de la rigolade, mais, au final, ça pourrait être une bonne idée, non ? Attendant le taxi, qui arriva après quelques minutes, je monta en compagnie de la jeune femme dedans, pour ensuite qu'il nous conduise devant l'hotel, un hotel situé à quelques mètres de la tour eiffeil. Autant profiter de la vue non ? Et, une fois arriver dans la chambre, je regarda autour de nous, avant de me retourner vers la jeune femme et de prendre la parole. "On a toute l'aprèm pour aller faire un tour, ensuite, on revient à l'hôtel, t’enfile ta plus belle robe, ou du moins, la plus belle que tu trouveras dans les affaires que je t'ai prise, et, je t'emenne au restaurant !" Et, ça non plus, c'est pas négociable en fait. Ce week end, rien est négociable. •

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Tu te demanderas toujours pourquoi les gens cherchent à faire compliqué au lieu de faire simple. Le compliqué n'apporte jamais rien de bon, que des ennuis. Qu'est ce qu'une vie pleine de rebondissements bons ou mauvais a de plus intéressant qu'une vie simple sans encombre, une existence où chaque seconde est un bonheur incommensurable en plus. Personne ne pourra te faire croire que ce sentiment d'avoir accompli le plus bel achèvement de sa vie n'est pas le plus important qui soit. C'est tellement plus sain de s'aimer que de se faire la guerre, hélas tout le monde n'est pas de cet avis. Y'a réellement aucun intérêt à s'entretuer et à se faire du mal à soi même. Si on a gagné notre place sur terre, c'est certainement pas pour la gâcher. Tu pourrais très bien te contreficher de ce que les autres font de leur vie et t'occuper de la tienne mais c'est plus fort que toi, tu n'arrives pas à te faire à l'idée que le mal pollue de plus en plus ce monde. Mais bon t'es pas non plus altruiste au point de te détacher totalement de toi. Tu te nourris de chacun de ces instants qui font de ta vie un paradis que tu ne pensais pas voir si tôt. Et pourtant, il est bien là, tu le touches du bout des doigts de peur qu'il ne soit trop fragile mais jamais il ne t'a encore lâché. Il a beau avoir vaciller de temps en temps, il est toujours bel et bien présent. Aujourd'hui encore en est la preuve sinon tu ne trouverais pas à Paris pour la Saint Valentin. Ca avait mis un peu de temps à monter à ton cerveau, non pas parce que tu n'y croyais mais bien parce que ce trop plein d'émotions t'avait rendu folle. Ton esprit s'était égaré, tu ne sais où, pendant quelques instants avant d'envoyer des signaux à ton corps qui réagissait enfin à cette nouvelle. Ton coeur tambourinait si fort dans ta poitrine que t'avais bien peur qu'il te lâche." On va finir par acheter une maison ici j'crois si à chaque fois j'ai le droit à ce genre de phrase ! " S'il fait ça un jour, alors là tu frôlerais l'arrêt cardiaque, c'est certain. Tu  ne demandes pas à être couverte de cadeaux mais refuser celui-là serait impossible. Tu es faible, voilà c'est dit." S'il le faut j'échange le jet contre la maison. " Parce qu'on peut pas tout avoir dans la vie quoique quand tu fais le point, on pourrait bien dire que si. T'as une famille parfaite, en bonne santé, t'as un toit, des amis, des études qui te réussissent, que tu culpabilises parfois pour avoir tant de choses alors que certains n'ont rien. Dans le taxi parisien, tu avais l'attitude d'une gamine émerveillée, admirant par la fenêtre comme si tu découvrais la capitale française pour la première fois. Et en plus, ton mari n'avait pas fait les choses à moitié en choisissant l'hôtel." On a toute l'aprèm pour aller faire un tour, ensuite, on revient à l'hôtel, t’enfile ta plus belle robe, ou du moins, la plus belle que tu trouveras dans les affaires que je t'ai prise, et, je t'emenne au restaurant ! " Et bien c'est qu'on se croirait à l'armée mais ce programme était loin de te déplaire. T'avais juste un peu peur pour ta valise mais au pire des cas les boutiques ça existe, encore plus ici." Chef, oui, chef ! " répondais-tu en te mettant au garde à vous - mais faut pas s'y habituer hein - Promis, durant ce séjour, tu seras sage." Mais si tu prends tout en main, je te laisse faire le traducteur aussi. " Ben quoi t'es en vacances ? Tu vas pas travailler quand même ?
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Caprice des Dieux.

   
• Et si nous vivions dans un monde ou les sentiments n'y auraient plus leurs place ? Un monde perdu, où tout ce que nous connaissons a disparu, ou tout ce que nous avons eu la chance de voir naître, de voir grandir, n'en faisait plus partie ? Et si tout ça était le présent, si nous, jeunes adultes encore en pleine crise, nous devions faire façe à ça ? Comment est-ce que nous pourrions réagir ? Comment est-ce qu'on ferait pour s'en sortir ? Est-ce qu'on jouerait à cache cache avec la vie ? Est-ce qu'on serait perdu à jamais, sans savoir quoi dire ou quoi faire ? Comment pouvons nous vivre, vivre pour de vrai, quand on ne connait plus les sentiments ? Quand on ne sait pas ce que c'est d'aimer, de détester, d'avoir peur, d'être heureux. Comment pourrions nous nous en sortir si on serait comme des putain de robots, formaté à faire ce que l'on nous a appris, sans prendre de vrai décision, sans réfléchir vraiment par soit même. Comment est-ce qu'on ferait putain ? Est-ce que quelqu'un va pouvoir me le dire ? Est-ce que quelqu'un a une réponse à me fournir, ou alors, je devrais rester dans l'ignorance pour le reste de ma vie ? Comme vous, rester comme toi, ou encore toi là bas, rester à ne pas me poser de question, car un jour j'ai entendu que c'était mal de réfléchir par soit même, que c'était pas de se faire son propre avis. J'ai jamais prétendu tout connaitre, j'ai jamais eu cette arrogance, cette façon de me mettre en avant pour me vendre. Ce que je connais de la vie, c'est grâce aux épreuves que j'ai traversé, c'est grace aux personnes qui m'entourent que je suis devenu la personne que je suis aujourd'hui. J'me suis souvent demandé comment ma vie aurait été si je n'aurais pas rencontré tel ou tel personne, si je n'aurais pas été à cet endroit là à ce moment là, si, par exemple, j'aurais choisi de raté mon bus un matin, est-ce que j'aurais fait une rencontre qui aurait changé ma vie ? Est-ce que j'ai évité la mort en prenant ce chemin là et pas un autre ? Est-ce que mon destin est tout tracé, ou, au contraire, est-ce que je le change ? Est-ce que chaque action que je fais, que je mène me pousse à changer ce putain de destin ? Est-ce que c'est vrai ? Est-ce que c'est vrai que le destin existe ? Est-ce que c'est vrai qu'on a tous une âme soeur ? Est-ce que c'est vrai qu'après la mort, il y a quelque chose ? Est-ce que c'est vrai qu'aimer, ça peu aussi nous tuer ? Est-ce que c'est vrai, que cette douleur que j'ai eu fond de moi quand je pense aux erreurs que j'ai faites, m'aide à avancer, a ne plus les reproduire ? Alors, si je serais un putain de pion à qui on aurait apprit à marcher droit, si j'aurais été ce putain de jouet, est-ce que je penserais par moi même ? Est-ce que pleurer serait quelque chose que je ne connais pas ? Est-ce que sentir mon coeur battre à une vitesse, que je ne peux vous décrire, quand je sens Neva contre moi ? J'pense pas non, sérieusement, je ne pense pas. "Pas touche à mon jet oh !" Avais-je lâché, faisant comme si j'étais offusqué qu'elle puisse avoir envie d'échanger mon jet, comme ça, sans me demander mon avis. Une fois arrivé à l'hotel, un large sourire se dessina sur mes lèvres quand elle me balance à chef oui chef en se mettant au garde à vous. "Heu, c'est vachement excitant ce que tu viens de faire !" J'regardais un peu autour de nous, car je n'avais vu l'hotel qu'en photo sur internet, et, j'voulais quand même bien vérifier que tout était en ordre, et, ça avait l'air. Et puis, les valises avaient été livré, donc, c'était parfait pour le moment. "Bah ouais je peux ! Mais j'te promet pas que j'vais réussir à me faire comprendre !" Moi parler Français c'est comme si on demandait à un gosse qui venait à peine d'apprendre à parler de tenir une conversation dans deux autres langues différentes, c'est limite impossible en fait... •

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