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Just run to forget | SCAR & TALYA

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Courir pour se vider la tête était la chose à faire. En plus de la natation je venais de plus en plus régulièrement courir au stade. Cela me faisait du bien, me donnait l'impression de retrouver mon corps d'avant grossesse alors qu'il n'en était rien, la grossesse ne m'avait pas déformé plus que cela en apparence mais elle m'avait tout de même changer de manière irréversible. Aujourd'hui, j'avais pris la direction du stade pour oublier une chose impensable pour moi. J'avais pris à coeur de rapprocher Priape et son frère Scar parce que je savais à quel point un frère était important dans une vie et c'était là que j'avais appris ce que le fils bâtard des Zacharias avait fait à sa fille... tué sa fille, s'était pour cela que Priape lui en voulait. Je m'étais sentie mal en l'apprenant, mal d'avoir pensé que Priape aurait pu lui en vouloir pour une raison futile que je pouvais réparer. Je ne pouvais pas réparer tous les maux entre les frateries parce que j'avais perdu la mienne. Je courais donc la tête vide, la tête baissée, fonçant vers mon but : faire un nombre de tours énormes pour être épuisée. Je n'avais pas vu que quelqu'un était sur mon chemin, mes écouteurs dans les oreilles ne m'aidaient pas à distinguer les bruits autour. Je me pris donc de pleine face la personne qui était là: Scar. " Pardon, j'étais distraite ! " Je tentais de ramasser mes écouteurs tombés et de les remettre pour repartir au plus vite et ne pas avoir à justifier de mon silence à son égard mais il était trop tard !

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L’hiver était certainement ma saison préféré, certes ce n’était pas une chose habituelle car en hiver il fait froid et mauvais temps mais moi j’appréciais cette saison. Pour profiter du paysage et de cette belle saison, je voulais sortir un peu de la Winthrop house et j’avais choisi le lieu le plus court : le complexe athlétique. En même temps pourquoi choisir un autre lieu ? La plupart des garçons adorait venir mater les petites pompons girls après les cours et jusqu'à preuve du contraire j’étais un garçon comme les autres. C’est donc avec délectation que j’observais quelques unes de celles-ci lorsque quelqu’un me cogna de plein fouet, c’était Talya. Hum, je savais qu’elle me détestait comme les autres qui savaient mon ‘secret’ et je la comprenais, sans contexte c’est un acte horrible de tuer son enfant, avec le contexte aussi vous me direz mais quand on voit sa fille branchée à des machines et dans un état végétatif sans possibilité d’amélioration, les choses changent. « Fais attention Talya, je ne voudrais pas être accusée par mon cousin de t’avoir abimée… ». Je lui fis un petit sourire, je jouais beaucoup de ma soit disant cruauté. « Alors comment vas la famille Zacharias ? Enfin tu n’es pas de la famille pour ainsi dire mais bon… ». Je lui fis un clin d’œil.

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J'avais la tête dans les nuages, la tête en l'air et bien sûr il fallait que je me prenne quelqu'un, comme si pour une fois je ne pouvais pas avoir un peu de chance et que mon moment d'absentéisme n'ait pas de conséquences. C'était du grand moi ça mais en plus de cela j'avais la malchance de tomber sur Scar que je prenais un malin plaisir, même si plaisir n'était pas le mot juste, à éviter. " Ne t'en fais pas pour Priape, je suis assez grande pour me défendre ! " Je lui fis un petit sourire qui s'effaça de suite. Hypocrisie du jour, bonjour. " Priape va bien, les autres je n'en sais rien, c'est ta famille pas la mienne comme tu viens si bien de me le rappeler ! " Là mon sourire s'étira sur mes lèvres avant que je ne rajoute pour lui montrer que moi aussi je savais être méchante, ou plutôt blessante, enfin un peu des deux quoi : " Ah pardon, c'est cette famille qui t'a rayé de la liste parce que tu as fais des choses que tu n'as même pas été capable de m'avouer alors que je tentais de raisonner tout le monde pour que tu aies à nouveau une famille ! " Ca c'était envoyé, au moins il savait que je savais pour ce qu'il avait fait à sa fille, il comprenait surement mieux mon silence et moi je comprenais mieux toute leur situation, au moins j'avais les deux sons de cloche et je connaissais tout, c'était mieux pour tenter d'aider même si après avec appris qu'il avait tué sa petite je n'avais plus du tout envie de lui apporter mon aide, je préférais même qu'il reste loin des Zacharias, de Priape et indirectement de ma fille.

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Je me mis une rire d’une façon pas très rassurante quand elle me répondit, je la regardais avant de lui répondre : « Ne sois pas si sûr de toi Talya, chaque princesse a besoin de son prince pour la défendre ! ». Bien sûr ce que je venais de dire était complètement ironique, les princesse de Disney ce n’est pas vraiment mon truc et le fait de croire en l’amour non plus. « Oh mais c’est qu’elle mort la petite amie de notre chère Priapre, calme toi un peu, je ne vais pas te manger… Ravi d’avoir des nouvelles de mon cousin ! ». Elle m’énervait un peu là tout de suite, je savais qu’une fois que j’allais la revoir ça allait être électrique. Certes elle avait voulu me réconcilier avec ma famille mais une fois de plus, ça n’avait pas marché, rien ne marcher avec moi de toute manière. Je soupirais, elle m’en voulait de ne pas avoir dit la vérité mais je me voyais mal tout lui lâcher comme ça, je lui répondis ainsi : « Oh oui Madame la nouvelle arrivée dans la famille qui veut faire la paix avec tout le monde…Qu’est ce que tu veux que je te dises : je suis rejeté tout le monde parce que j’ai tué mon enfant…Je t’en prie… ». Tout le monde m’en voulait pour ça mais personne connaissait l’histoire jusqu’au bout, on savait juste que j’avais tué mon enfant mais pourquoi et comment ça, tout le monde s’en fichait. « C’est si facile de me voir comme un monstre sans savoir les vrais raisons de mes choix n’est ce pas ? ».

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" Je savais affronter la vie avant de connaitre Priape je ne vois pas pourquoi ça ne serait plus le cas maintenant ! Cette mentalité débile à vous croire indispensable les hommes ! " Je soupirais tout en levant les yeux au ciel, mon dieu mais ce mec était tout ce que je n'aimais pas à se sentir supérieur parce qu'il était du sexe masculin. Je n'étais pas le genre à attendre la protection d'un homme pour me senti en sécurité, qu'il le veuille ou non et même si je le prenais pour un fou psychopathe maintenant, je n'avais pas besoin de Priape lorsqu'il était dans les parages. Je l'écoutais ensuite faire son ironie, se victimiser. Je n'avais pas du tout envie de rire et pourtant un rire rauque montait dans ma gorge. C'était une horreur de lui faire face. " J'ai une fille Scar, tu comprends ça, une fille ! Je ne sais pas quelles étaient tes raisons mais je sais que dans toutes les raisons possibles imaginables même les pires je NE pourrais PAS faire ça à MA FILLE ! " J'avais beau tourner les choses dans ma tête, je ne voyais pas comment il avait pu en arriver là... Mais visiblement lui avait tous les arguments bien au chaud pour se justifier... Comment pouvait il oser tenter de se justifier ? Je ne comprenais pas, en tant que maman ça m'était impensable. " Euh par contre j'ai voulu bien faire, j'ai voulu t'aider, te rapprocher de ta famille alors ton ironie tu l'évites avec moi. Si tu n'arrives pas à te rapprocher de ta famille c'est peut être que tu y prends avec les mains non ? Je ne crois pas être la première a avoir tenté de faire un pas dans ce sens non ? "


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Je me mis à rire quand elle me répondit pouvoir affronter les épreuves la vie seul, je suis quand même d’avis à croire qu’on est plus solide quand on est deux, ce n’est pas forcément qu’une histoire de sexe fort et de sexe faible mais une équipe solide vaut mieux peut être qu’une âme solitaire : « Moi non plus je n’ai besoin de personne, mais comme tu as Priapre, tu devrais t’appuyer sur lui ». Elle me parlait ensuite de ma fille, comme si elle y savait quelque chose, comme si elle savait ce que ça faisait d’avoir MON enfant plutôt que le sien, non elle ne savait rien, elle ne savait pas, elle ne saurait jamais. Faire ça, comme si le mot était si horrible pour qu’on ne puisse le dire : « La tuer, c’est ça que tu veux dire ? ». Je me décidais de lui avouer les raisons de mon acte, même si à mon avis je perdais mon temps et ma salive : « Ta fille est certainement un bambin en parfaite santé qui progresse chaque jour, Christina, quand elle est née n’était qu’un semblant d’humain. Ne me pense pas cruel, même si je le suis, Christina était atrocement handicapé, plus que tu ne peux l’imaginer. Elle ne bougeait ni les bras, ni les jambes, elle ne bougeait rien. Parfois ses yeux me suppliait d’abréger ses souffrances….Sa mère s’en voulait tellement d’avoir enfanté d’une petite dans cet état que je l’ai retrouvé morte dans son appartement. Et il me restait quoi ? Un enfant condamné par avance qui ne marcherait jamais, qui ne sourirait jamais, qui mourrait dans quelques années dans d’atroces souffrances. Alors oui, j’ai injecté cette dose de Morphine dans le bras de Christina et si je devais le refaire, je le referais…. ». Je soupirais, malgré mes efforts et les siens, ma famille n’accepterait jamais : « Mon cousin Priapre n’acceptera jamais que j’ai outrepassé mes droits médicales pour abréger les souffrances de ma fille, ma sœur et mon cousin Emrys sont toujours choqués de mon acte, je ne peux rien y faire, c’est comme ça…Et je les comprends. ».
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Je levais les yeux au ciel à ses nouvelles paroles. Le mec n'était pas capable d'avoir une vie rangée et stable et il me donnait des conseils, c'était l'hôpital qui se foutait de la charité ou un truc du genre, mais passons. Le sujet, le problème était bien sa fille et ce qu'il lui avait fait. Il me donna sa version des faits, au moins j'avais tous les sons de cloches comme cela et ce n'était pas plus mal, mais je ne changeais tout de même pas d'avis. " Tu veux que je réponde quoi à ça ? Ta famille n'a pas d'enfant. Ils ne peuvent pas comprendre ce que s'est que d'être parent déjà " Aucun de ceux qu'ils m'avaient cité ne pouvaient se mettre à moitié à sa place, moi je le pouvais mais pas complètement. " Je peux comprendre que c'est dur de voir souffrir son enfant, j'ai ma fille, je peux le comprendre, mais je crois qu'on n'a pas tous la même réaction lâche. Je ne suis pas confrontée à cela alors tu vas me dire que c'est facile mais je pense que je me batterai et que je l'accompagnerai jusqu'au bout plutôt que de la précipiter vers la fin ! " J'avais craché cela avec une telle rapidité que je n'étais pas sûre que mes paroles soient audibles. Dans tous les cas nous étions en train de parler d'un truc super personnel alors qu'il y avait des gens qui courraient autour de nous, ce n'était pas l'idéal mais ça le concernait lui alors s'il voulait changer d'endroit c'était à lui de le faire ou de baisser d'un ton. " Et je ne comprends pas mieux que Priape que tu aies outrepassé tes droits... Enfin dans tous les cas médecine ou pas médecine tu aurais fait la même chose alors sur ce point là je crois qu'on peut passer. Tu veux que ta famille te voit comment ? Pour eux tu n'es que le meurtrier de ta propre fille... Il fallait laisser faire les médecins, la médecine... Tu étais peut être son père mais tu n'avais surement pas le droit de décider pour elle c'est le message qu'ils doivent vouloir te faire passer, surtout Priape. "


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Pour elle tout était facile, elle me disait qu’elle pouvait comprendre mais pour moi non, elle ne pouvait pas comprendre, elle n’avait pas vu sa fille dans l’état de la mienne, elle ne savait pas ce que c’était. « Ta fille va bien Talya ! ». Elle m’agace franchement, faire comme si elle savait ce que c’était mais elle ne sait pas non, elle me traite de lâche, lâche de vouloir aider son enfant. Pour moi c’est le contraire, c’est d’être un lâche que de voir son petit enfant souffrir et le laisser comme ça, je soupire avant de lui répondre : « Lâche ! Non, moi je n’ai pas été lâché, au contraire j’ai fait preuve de courage…Ma fille était un légume qui souffrait et je lui ai permit de rejoindre le royaume des anges d’où elle venait. J’aurais voulu avoir un enfant normal, en bonne santé…je l’ai accompagné Talya, comme un vrai parent l’aurait fait, comme un bon parent l’aurait fait alors que j’ai eu 2 mois pour me faire à l’idée que je serais père et que sa mère ne m’a pas franchement demandé mon avis…Je n’ai pas fait preuve de lâcheté, j’ai aidé ma fille et si tu n’es pas d’accord avec moi je n’ai pas à me justifier . J’ai eu un procès, j’ai été jugé et puni, j’ai payé suffisamment pour avoir aidé mon enfant… ». De toute façon personne peut ressentir ça je crois, je suis seul dans mon malheur. « J’allais être médecin, je savais qu’il allait la maintenir en vie alors qu’elle voulait mourir, qu’elle souffrait, qu’elle devait mourir, c’était pas une vie…Trop de séquelles, l’accouchement c’est mal passé, elle est était malformé, c’est de la faute de personne mais la petite ne devait pas souffrir à cause de ça… ». J’essayais de me défendre mais à quoi bon, de toute façon elle ne voudrait jamais se mettre à sa place pour essayer de comprendre mon geste, elle me traitait de criminel et c’était bien plus simple comme ça. « Dis lui au moins bonjour de ma part… ». Puisque j’allais devoir parler à travers des personnes interposées. « De toute façon j’ai prévu une petite réunion de famille… ». Cela n’allait pas changer grand-chose mais bon, je ferais un dernier pas vers eux.
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J'écoutais tout ce qu'il avait à dire. Je me surpris même à avoir de la compassion, à comprendre ce qu'il avait pu ressentir et le geste qu'il avait pu avoir envie de faire sur le coup... Mais c'était vraiment sur le coup car je n'aurais jamais pu penser qu'on puisse aller jusqu'au bout. Ce n'était pas simple de voir souffrir son enfant mais est ce que c'était plus facile de vivre avec l'idée qu'on lui a donné la mort ? La réponse pour moi était non mais chacun voyait bien son cas. " Ma fille va bien et je suis sûre qu'elle continuera d'aller bien si tu ne cherches pas à t'en approcher... On n'a pas du tout la même vision des choses je crois et je dois avouer que ton petit côté sauveur ne me plait pas du tout alors, je suis désolée mais oui mon avis à changer sur toi et je ne suis pas sûre d'être plus douée que ta famille pour oublier et passer au dessus de ce que tu as fait qui est une chose horrible ! " S'il avait essayé de m'endormir avec son beau discours c'était loupé pour lui je n'étais pas un joli petit mouton qui se range derrière quelqu'un dès qu'on lui donne une nouvelle version de l'histoire ou dès qu'on lui raconte une assez jolie histoire pour la convaincre. " Convoquer une réunion de famille ? Tu n'as pas meilleure idée non ? " Je n'étais pas sûre que ce soit une idée lumineuse, au contraire, forcer les gens à accepter son geste serait mal perçu mais il était assez grand pour faire ses choix. " Je dirais à Priape que je t'ai vu oui mais je ne lui passe rien du tout ! Convoque ta petite réunion, je ne suis pas sûre que grand monde y viendra, tu n'arriveras pas à faire passer en force ton choix dans la tête des gens."


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Je soupire, voilà une personne de plus qui pense que j’ai tué délibérément mon enfant, quelque part je lui en veux, je crois que personne ne peut se mettre à ma place et ça me fait mal au cœur. Surtout quand elle me dit que tant que sa fille sera loin de moi, je soupire, je suis déçu d’elle : « Peu importe ce que tu penses, j’aurais été un très bon père Talya… ». Oui, pour moi j’aurais pu être un bon papa si ma fille aurait été normale, même si je n’étais pas du tout prêt à avoir un enfant lorsque sa mère était venu me voir enceinte jusqu’aux dents. « Ecoutes moi, j’ai envie de voir ma famille, je veux simplement leur parler, il me semble que j’ai encore le droit… ». Je me disais qu’il fallait que je retrouve les winthrop, c’est vrai que cette maison est la meilleure pour moi. Les gens de la winthrop house me comprennent, ils sont les seuls d’ailleurs. Il faut dire que les plus beaux garçons sont à la winthrop house, les plus gentils sont à la winthroup house et les plus classes sont également à la winthrop house. Bref, les winthrop sont les meilleurs. « Bon je te laisse, je vais rentrer dans ma confrérie, bonne journée… ». Je ne sais même pas pourquoi je lui ai souhaité une bonne journée mais bon, c’est la seule formule que j’ai trouvé pour la quitter sans paraitre méchant.
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