A. CLARENCE TURNER ► Charlie Weber

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lola et j'ai 25 ans. Je suis Suisse et j'ai connu le forum grâce à bazzart je crois.  ILH me manquait alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Charlie Weber comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par velvety.. Je fais environ 200 à 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé ].

Mot de la fin ? ▲ :love2:
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Andrew Turner, dit le requin. C'était ça ta réputation. Et t'en étais fier. Né dans une famille où les hommes sont avocats de père en fils, t'as pas dérogé à la tradition, et vu tes excellents résultats scolaires, tu as été admis à Harvard. Exit Seattle, bonjour Cambridge. Là tu as passé d'excellentes années, insouciant et heureux, à étudier le droit. Rapidement, il y a une branche du droit dans laquelle tu t'es démarqué : le droit pénal. Ton esprit fin et quelque peu tordu te permettais toujours de trouver les meilleurs défenses aux problèmes posés par les professeurs. Ton diplôme en poche, tu es repartis pour Seattle, où tu as rapidement fait tes preuves chez Turner, Turner & Turner. La firme avait beau être une firme familiale, la compétition pour devenir associé n'en restait pas moins féroce. La place allait au plus méritant et non pas au plus vieux. Toi tu étais le denier entrer mais il était pas improbable que tu sois le prochain promu.
Mais ça, c'était avant que tu ne rencontres la famille Pulci. Cette famille mafieuse qui s'est retrouvée avec un procureur à leur trousse et qui t'ont demandé de les représenter. Après réflexion, et un peu par orgueil, tu as dis oui. C'était le début de la fin pour toi. Pas à cause de la famille en soit, mais à cause de la petite dernière, Rosa. A tes yeux, son nom lui allait parfaitement. Elle était fine et délicate, bref parfaite. Beaucoup plus jeune que toi aussi, elle avait tout juste dix neuf ans. Mais tu sentais ton coeur battre d'une façon que tu n'avais jamais connue avant. Pour elle, tu t'es impliqué comme jamais dans ce cas. Trop en vérité. Tu as fait des choses que tu n'aurais jamais fait pour aucun autre clients. Tu as joué avec les limites de la légalité. Mais voilà, tu ne pouvais pas risquer de voir Rosa malheureuse. Et tu savais que si son père, son oncle et ses deux frères partaient en prison, elle le serait. Un soir, elle est venu te voir à ton bureau, seule. Tu t'es tout de suite senti un peu mal à l'aise, même si ton égo avait été flatté. Elle n'a pas dit un mot, elle a fermé la porte et s'est déshabillée devant toi. Ton coeur battait à cent à l'heure. Ca a été la première fois d'une longue série entre vous. A chaque fois, elle te parlait d'elle, de sa famille, des difficultés qu'elle avait à cause des activités mafieuse de son père. Et toi, à chaque fois tu redoublais d'ardeur dans la défense de la famille.
Le procès arriva. Tu te sentais près, t'avais toutes les cartes en main pour rendre Rosa heureuse. Et puis, tu pensais bien que si tu évitais à sa famille la prison, la dite famille ne s'opposerait pas à une relation entre vous. Bien sur, tu étais un peu inquiet qu'elle ne soit pas venue te voir la veille au soir, mais tu pensais simplement qu'ils avaient profité d'une soirée en famille. Tu ne pensais pas qu'en ce premier jour de procès, le monde allait te tomber sur la tête...
Parce que le procureur n'attendit pas longtemps pour dévoiler son atout : Rosa avait accepté de témoigner contre sa famille. Elle dévoilait le nom des caches, les revendeurs, les planques, tout. Tu n'en croyais pas tes yeux. Bien sur, Rosa n'était pas présente dans la salle, c'était trop dangereux. Elle avait déjà été emmenée en lieu sur pour bénéficier du programme de protection des témoins. La suite fût un espèce de brouillard pour toi. Tes clients furent lourdement condamné, et ta réputation fortement ternie. Des rumeurs commencèrent à parcourir sur ton implication avec cette famille, et ta liste de clients diminua très rapidement.
Ton père et ton oncle te convoquèrent dans leur bureau un mois plus tard. Leur verdict fût sans appel : tu ne pouvais continuer à travailler chez Turner, Turner & Turner. Les derniers événements mettaient en péril la survie de la boîte et la décision devait être prise. Tu hochas la tête, sonné. Ton oncle sorti de la salle sans t'adresser un regard, mais ton père resta. Il t'expliqua qu'il avait des contacts à Harvard, où une place de professeur de droit pénal venait de se libérer. La seule condition était que tu ne devrais toucher à aucune étudiante, qu'elle soit dans ton cours ou non. Tu compris alors que ton père avait deviné la raison de tes agissements. Mais cette histoire t'avais servi de leçon, et tu te sentais près à accepter ses termes. Tu fis donc tes valises et quittais à nouveau Seattle pour Cambridge.
Deux ans ont passé et tu as trouvé tes marques à Harvard. Tu aimes enseigner, mais tu restes distant et froid avec tes étudiants. Le souvenir de ta défaite, de ton humiliation est encore présent en toi et tu n'as pas envie de revivre quelque chose comme ça. Alors à Cambridge, tu ne fréquentes pas les étudiants. Tu t'es pris des vacances récemment, et tu as rencontré une jeune femme qui t'as simplement subjugué : Asia. Tu veux la revoir, mais tu attends le bon moment, pas certain d'être prêt à vivre une relation longue distance. Pour la première fois, tu envisages de t'ouvrir à nouveau à quelqu'un et cela t’effraye quelque peu...