R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss

Fiche Étudiant

C'est le 25 décembre 1991 à Montréal (Canada), que les membres de la famille Scott-Maxwell m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Roman Bellamy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine en chirurgie pédiatrique (majeur) et de langues étrangères (mineur) depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveur dans un bar (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop ou les Eliot.

Pourquoi MAISON 1 ou MAISON 2 ?

WINTHROPE HOUSE.
Parce que le Boys Power quoi ! Non mais l'une des choses les plus importantes pour moi, en dehors de la famille, c'est bien l'amitié. La fraternité entre mecs, c'est sacré et c'est pas une fille qui risque de détruire ça ! Et puis, il faut le reconnaître, je suis un mec qui adore passer des heures dans une salle de sport ou à courir. Mais Mignon ne signifie pas idiot ou naïf, loin de là. Je suis un mec perspicace et intelligent, qui sait très bien cerner les gens. Derrière mon joli minois, j'ai du caractère et je n'ai pas peur de dire ce que je pense pense. J'aime charmer les belles demoiselles du campus, mais à l'inverse je peut être aussi relativement jaloux. Enfin, on dit souvent: 'Bellamy c'est un mec bourré de bonne humeur, qui respire la joie de vivre. Toujours partant pour s'amuser qui possède aussi un grand sens de l'humour."

ELIOT HOUSE.
Croyez-moi, être le fils du premier ministre canadien n'est pas de tout repos entre les bals pour des fonds caritatives, les médiats, et autres réunions, visites barbantes mais bien que je n'use pas de l'argent de ma famille, je reste tout de même bien placé sur l’échelle de la richesse. Mes parents viennent tout deux d'une famille haute placée dans une hiérarchie canadienne. Je ne fais pas parti des ces mecs qui utilisent leurs frics pour attirer les regards sur eux, non. Moi j'utilise l'argent pour la cause animal et dans d'autres associations et autres voyages humanitaires. Cependant, il est vrai que je me balade en Audi R8, l'I'Phone à la main. Autant en profiter quand même, non ?

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Skye et j'ai 23 ans . Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à bazzart. ILH est génial alors j'ai décidé de m'inscrire[/b]. J'utilise Darren Criss comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par omg, fallait le dire avant :doh: J'sais plus . Je fais environ 1500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss 2727399354

R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss 2727399354

:sex1:
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

(Invité)

Une femme qui était debout au dessus d’un berceau. Brune, belle, grande et assez menue, elle contemplait son enfant qui était probablement le sien, à en juger par sa couleur de cheveux. Anna Scott le portait sur elle et malgré ce caractère de feu, elle avait accepté la demande en mariage de Monsieur Samaël Maxwell. Elle était tombée amoureuse de son mari, quelques années avant leur mariage, quand celui-ci avait appris qu’elle était enceinte, cela avait changé cet homme, le rendant bien plus humain. Les fruits de leur amour était devant ses yeux pour la deuxième fois après Elodriel, sa jumelle: un petit garçon de quelques jours à peine, qui n’avait toujours pas de prénom. Elle le regardait et lui chantait une berceuse. Soudain, Maxwell père entra et pris sa femme dans ses bras avant de gazouiller avec le petit bout de chou, comme quoi un enfant cela vous change un homme. « Chut, tu vas le réveiller ! » dit-elle en grognant et posant son doigt sur ses lèvres pour signifier à son mari de se taire. Celui-ci reconnu son erreur, et fit une sorte de mea culpa, malgré le bruit, le bébé dormait toujours profondément. Maxwell mère se colla contre son mari et dit alors : « Il est tellement adorable, je songeais à l'appeler Roman, comme mon père, il est tellement mignon. ». Roman ? À ce prénom, son mari esquissa une moue boudeuse, et fut légèrement surpris. « Roman ? » Il répéta ce prénom, et ajouta : « Tu… tu crois ? J’avais pensé à Bellamy, c’était plus… » Maxwell mère lui jeta un regard noir, il osait critiquer Roman ? « Non, Roman, c’est parfait, tellement. Roman Maxwell ! » Anna était une femme de fort caractère qui arrivait à imposer ses propres idées. Et c’est ainsi qu’est né Roman Bellamy Scott-Maxwell.

Roman marchait à pas de loups. Il retenait sa respiration le plus longtemps possible avant de relâcher la pression aussi doucement qu'il lui était possible, tentant de faire le moins de bruit possible. Ses pas étaient aussi légers que celui des ballerines concourant dans une prestigieuse école de danse classique, excepté que le petit garçon de huit ans n'avait jamais appris, pour l'instant, d'autre danse que la valse. Un, deux, trois... Un, deux, trois... Il retint à nouveau son souffle mais, dans cette habitation ancienne et on-ne-peut plus modeste, seule une mauvaise gérance de ses mouvements pouvait le faire repérer : il avait en effet à s'inquiéter de faire malencontreusement craquer une vieille marche dans leur escalier. Le garçonnet s'approcha de la sortie, rétractant par réflexe son cou dans ses épaules. Alors qu'il allait poser la main sur la poignée de la porte, une voix grave retentit dans son dos, lui faisant esquisser un sursaut. « Ne t'avais-je pas interdit de sortir cet après-midi, Roman ? » Le petit garçon sursauta à nouveau en entendant son père le nommer. Puis il rougit de déplaisir, s'exclamant : « Je suis sûr que tu triches ! Comment as-tu fait pour savoir que ce n'était pas Eledriel ? Je n'ai fait aucun bruit cette fois-ci !» Il s'approcha vivement de son père qui lui tournait toujours le dos. Ce dernier n'avait pas bougé depuis sa première interpellation : il tenait toujours son journal international grand ouvert devant lui, tandis que reposaient sur la table tout ce qui était nécessaire à un petit-déjeuner équilibré. Samaël but tranquillement une gorgée de son café, tandis que Roman reprenait : « C'est la cuillère, c'est ça ? Tu as vu mon reflet à l'intérieur, c'est comme ça que tu as su. Il n'y a pas d'autre explication ! » Samaël rit. « Je n'ai pas touché à la cuillère. Vérifie par toi-même. » Roman ouvrit grand les yeux tandis qu'il rapprochait l'objet de son visage. En effet, les seules marques de doigt présentes alors étaient celles qu'il venait de former en prenant le couvert. « Ne sois pas mauvais joueur Roman. Je t'avais promis de t'offrir ce cheval si tu réussissais à passer devant moi sans que je ne te voie. Tu as déjà tenté plusieurs fois, sans réussite. Je ne peux donc pas respecter ma part du marché. » L'enfant se mit à bouder. « Dis-moi, alors. Comment as-tu su que j'étais là ? » Le regard de son père se fit rieur, tandis qu'il lui énonçait l'un des plus importants commandements qui régiraient par la suite sa vie. « Connais-tu le proverbe qui rend invisible ? » « Si tu veux que quelqu'un n'existe plus, cesse de le regarder », énonça l'enfant. Son père hocha la tête, satisfait de sa traduction. « Il ne suffit pas de vouloir qu'on arrête de te regarder, pour que tu n'existes plus Roman. Les autres te regardent pour de nombreuses raisons, qu'il s'agisse de la crainte que tu peux leur inspirer, de la fantaisie qu'ils trouvent dans tes habits, ou de l'ennui qui les prend. Pour que quelqu'un cesse de te regarder, pour que tu n'existes plus à ses yeux, il ne faut donc pas qu'on te craigne, que tu te montres trop original ou trop ennuyeux. Alors, seulement, tu auras suffisamment réussi à gagner leur confiance pour faire parti intégrante du décor, et agir comme tu le souhaites sans rendre de comptes à personne, en réussissant à recueillir certaines informations secrètes. C'est ainsi, et seulement ainsi, que les autres ne pourront plus avoir d'emprise sur ton être physique. As-tu compris, Roman ? » Samaël rit à nouveau, devant l'empressement de l'enfant à lui répondre affirmativement. En réalité, il ne doutait pas un seul instant que son fils agissait ainsi pour obtenir son approbation, plus que par réelle compréhension. Cela viendrait, en grandissant. Samaël était un père exemplaire, en cela qu'il arrivait à ne pas altérer le caractère de son fils, mais de le développer en l'incorporant à ses propres objectifs politiques. « Tu ressaieras demain, ne sois pas si déçu. Je te donne autant de chances que tu en auras besoin. Maintenant, va ! » Le garçonnet s'échappa de la salle à manger de son pas vif et léger tandis que, sans en avoir l'air, son père venait de stimuler son esprit de compétition. Le petit garçon avait, de nombreuses fois, réessayé de passer sous le regard de son père mais sans succès ce qui amusait son père encore et toujours.

Pourtant Roman grandit vite et il atteint aussi rapidement ses dix-huit ans et reçoit sa lettre pour l'université. En dernière année, il ne se posa même pas de question sur son avenir: la médecine. à Harvard, on connait surtout Roman pour être un jeune homme qui n’a pas sa langue dans la poche même si il faut bien l'avouer, malgré son rang, il se mêle toujours avec les plus modestes comme les plus riches du moment qu'ils ne s’apitoient pas sur leurs sorts. Borné, Roman n’hésite pas à tenir tête devant d'autres élèves imbu d’eux même, il déteste ça et sait les remettre à leur place. Futé, espiègle, courageux et téméraire: il fonce tête baissée vers le danger quand un des siens a besoin de lui. Mais bien qu’il soit très nette sur sa vision de certain élèves, il y en a qui n’ont toujours pas saisi cette idée. Malgré son envie incessante de rire, Roman se révèle être un étudiant extrêmement talentueux et surtout très travailleur. Il n'oublie son objectif principal, et est poussé par une vraie volonté de feu. Ses camarades l’apprécient beaucoup pour son caractère direct et son intelligence. Il y a même quelques bruits de couloirs qui s’émerveilleraient sur sa beauté. Mais il n’y prête guère attention -enfin c'est ce qu'il prétexte-.

14/05/2012

Darreeeeeeen R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss 3850463188

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(Jasper O. Ellington)

deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa

Bienvenue

(Invité)

bienvenue sur le forum
ca fait longtemps qu'on le voit plus Darren

(Invité)

Oh Darren excellent choix R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss 3850463188

Bienvenue sur ILH Vic

(Invité)

Darren

Bienvenue

R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss 1839924927

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Bienvenue parmi nous R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss 2511619667

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Bienvenue parmi nous & bonne continuation pour ta fiche R. Bellamy S-Maxwell ► Darren Criss 1365124802

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