(flashforward) hey hey, baby's on the way ♥ enora and nathan

Le fais de vivre dans un appartement avec la femme que j'ai depuis toujours et c'est comme un dream come true. Enora, je la connais depuis que nous sommes adolescent et j'étais un homme aveugle avant de réalisé que mon frère faisait simplement me rendre jaloux. Maintenant, c'est un scénario complètement différent. Depuis qu'il a eu de la grosse merde sur le campus et aussi avec tout ce qu'il a eu dans les nombreux voyages. Les meurtres, etc. Moi, j'ai rester avec ma fiancée dans notre appartement avec mon compagnon Maverick et aussi parce que je voulais faire de notre appartement comme étant notre première maison. Depuis plusieurs mois, j'ai travaillé fort dans les rénovations et surtout qu'Enora adorait le cadeau que je lui est fait avec son lit de baldaquin. Un lit qu'elle a toujours voulu avoir depuis que je la connais. Après les cours, je retourne chez moi lorsque je ne travail pas. Je prend soin d'Enora parce que sa condition de santé me rend nerveux et je veux toujours qu'elle se sente confortable. Depuis quelques jours, j'étudie pour un projet sur la drogue du viole et Enora détestait ce sujet et même si ce n'est pas moi qui a choisi le sujet, j'essai de ne pas trop en parler. Je me changeais pour enfiler un jogging noir avec un débardeur louce et je mis une casquette sur ma tête. Mon lieu pour étudier à la maison, s'était le salon avec Maverick qui dormais près de moi. Mon iPad était ouvert sur plusieurs articles de journaux sur des cas réelles qui s'était produit dans différent bar de Boston causé par la drogue. Assis bien calme, j'étais dans ma bulle avec un match de foot qui jouait à la télévision simplement pour avoir un fond sonore dans mes oreilles. Oui, je suis bizarre. J'aime étudier quand je peux écouter quelque chose derrière la tête.

Ça faisait déjà un moment que Nathan et moi vivions dans notre bel appartement. Nous avions eut de la chance, l’appartement était libre sur le champ et mon cher amoureux avait décidé de payer les modalités pour que l’on y vive minimum deux ans. Au départ, j’étais un peu contre l’idée, mais au final, je savais que nous aurions moins de pression ainsi. J’avais dû apprendre à Nathan que j’étais malade et ça m’avait brisé. Je l’aimais tellement et je voulais qu’il soit heureux, je me sentais donc coupable de l’obliger à vivre ça avec moi, mais il ne semblait pas vouloir me laisser et ça me rassurait. Depuis ma dernière crise, le Docteur Parker avait insisté sur la nécessité d’avoir toujours de l’oxygène avec moi. Je trainais donc ma bombonne d’oxygène avec moi en permanence. Ce matin j’avais laissée Nathan quitter notre lit pour qu’il puisse aller à l’école. J’aurais bien aimée faire la grâce matinée avec lui, mais les études sont importantes! J’avais donc enfilé un legging noir et un gilet de laine blanc avant d’aller me laver le visage à la salle de bain. J’entendis alors un bruit bizarre et retourna à la chambre. Maverick avait fait tomber mon sac, vidant le contenu sur le plancher. Je soupirais et commençais à ranger le tout lorsque ma main se posa sur mon test de grossesse. Je le pris et le regarda, détaillant les deux lignes verticales qui déterminaient le positif du test. Je souris et le rangea dans mon sac. Je devais le lui dire maintenant. J’étais dans la cuisine lorsqu’il entra de cours. Je le laissa se changer et alla le rejoindre sur le canapé, m’Asseyant prêt de lui. « Tu étudies encore sur cette drogue? » Je grimaçais et tapota ma jambe, faisant monter Maverick sur ma cuisse et lui caressait les oreilles avant de rapporter mon attention sur la télévision.

Le temps passait tellement vite. Les choses venait et repartait, mais on construisait vivement sans se soucier de ce qui arrivait. Tout comme la maladie d'Enora, j'essayais de ne pas trop y penser, mais s'était plus fort que moi. Je ne lui dit pas lorsque je dort mal parce que je veux qu'elle reçoit le plus possible de sommeil pour qu'elle puisse reprendre des forces. C'est bien une chose qui me dérange le plus, car je veux qu'elle puisse se sentir forte pour combattre tout ça. Nous sommes toujours bien quand on se met en mou. Ouais, une expression que j'ai sortie quand je veux me sentir lousse dans mes vêtements. Un simple jogging avec un débardeur et hop, nous sommes confortable. Je m'endormais pratiquement sur mon iPad, mais j'essayais de ne pas lui démontrer que j'étais fatigué. Mes grains de beauté qui entourais mes yeux devenais foncé lorsque je suis fatigué et disons que c'est évidement en ce moment de le savoir. Nora se posait près de moi et Maverick est venu la rejoindre. Il m'impressionne tous les jours cette petite bête mignonne et aussi niaiseux. Comme de fait, je le savais qu'elle était pour me demander la question. Je fermais mon iPad et je le déposais doucement sur la table de salon en verre et je la regardais avec un sourire. "Plus maintenant... toi... tu as bien dormi ?" dis-je en caressant sa joue. Cette fille est la perfection. Je ne pouvais pas demander mieux que cette fille dans ma vie.

Depuis que le Docteur Parker m’avait prescrit une bombonne d’oxygène, je n’avais pas le choix de respecter à la lettre les traitements qu’il m’avait donné. Après tout, lorsque l’on se rend à prendre de l’oxygène de façon assisté, c’est que votre maladie prenait du terrain et que ça pouvait devenir de plus en plus dangereux. Ça faisait plusieurs moments que je me réveillais au beau milieu de la nuit, ayant l’impression que quelqu’un me pressait la poitrine, me coupant la respiration et je paniquais à chaque fois. Il n’était pas rare que je me réveille en hurlant le nom de mon fiancé, le cherchant du regard, complètement perdue. Je finissais par me blottir dans ses bras et l’embrasser tendrement avant de m’endormir contre lui. Par chance, cette nuit j’avais été capable de dormir de façon plutôt calme. Il va s’en dire que la machine que j’utilisais la nuit menait un vacarme alors dormir avec elle, prenait presque des bouchons d’oreilles… Je le plaignais de devoir endurer ma maladie, mais d’un autre côté, il m’avait fiancé alors que j’étais sur un lit d’hôpital… Alors il prenait en compte que ma maladie irait sûrement de mal en pire… Malgré tout cela, notre vie de couple allait à son meilleur et je voulais absolument que notre vie soit le plus normal possible, pour lui… Il ne l’avait pas eu facile et je voulais lui donner un meilleur future… Après tout, ce n’était pas mon rôle? S’assurer du bonheur de mon époux? J’avais donc été le rejoindre, faisant grimper Maverick sur moi et j’avais posé mon regard noisette sur le programme qui jouait à la télévision. Il m’avait répondu de façon négative avant de caresser ma joue. Chacun de ses gestes m’arrachaient des frissons, je l’aimais, plus que tout et à jamais. Je reposais mon regard sur lui et sourit faiblement. « Un peu mieux que les autres nuits… Je m’excuse… Ça doit pas être facile… » Je soupirais et caressa sa joue avant de venir me blottir contre lui et de l’embrasser sur la joue. Notre vie allait changer… Pour le mieux… Je l’espère.

Ma femme, je l'admire énormément parce qu'elle est une wonder woman. Avec tout ce qu'elle a traversé depuis qu'elle est revenu ici et surtout avec sa maladie, elle est encore sur ses deux jambes avec une tête sur les épaules et elle m'impressionne de jour en jour. Je ne veux pas l'abandonner, je ne veux plus refaire cette erreur qui a été ma bête noir parce que s'était la chose la plus difficile à faire pour moi. J'étudiais ce que je pouvais s'en pensé à la fatigue qui me submergeait parce que je le sais que c'est difficile pour elle de dormir le soir et sa machine faisais un de ses vacarmes. J'oubliait tous ses petits détails parce que s'était pour le bien d'Enora. L'avoir près de moi dans notre appartement et surtout de voir la bague à l'entour de son doigt, c'est un sentiment de réconfort et d'amour. Je laissais mon iPad de côté et je me blottissait dans ses bras et cachais mon visage dans sa poitrine et je soupirais avant de l'embrasser doucement. "Bébé... je suis bien avec toi, peu importe ce qui se passe. J'oublie tous les petits détails parce que je suis fou amoureux de toi et je vais toujours être amoureux de toi." dis-je en caressant sa jambe qui était sur les miennes. Je la regardais dans les yeux et je voyais qu'elle était inquiète, mais aussi qu'elle était nerveuse. Je ne voulais pas trop posé de question parce qu'elle va probablement me le dire d'une manière ou d'une autre ce qui la tracasse.

J’avais toujours ce petit goût amer dans ma bouche à cause du départ de Nate, lorsque nous étions adolescents. J’avais toujours cette crainte qu’il reparte à nouveau et qu’il me laisse seule. Je m’étais pourtant jurée de ne plus lui en vouloir et que je passerais facilement par-dessus toute la douleur que j’avais ressentis par sa faute. J’étais assise sur le canapé avec lui, caressant sa main lorsqu’il se blottit contre moi. Je souris tendrement et passa mes bras autour de lui, écoutant ses commentaires suite à ma réponse négative. Il était vrai qu’il semblait extrêmement épuisé et je m’en sentais responsable. Après tout, je ne pouvais pas faire mieux et avec ma machine qui menait un vacarme de fou, c’était pratiquement impossible de dormir sur nos deux oreilles. Je posais mes lèvres sur son front et ferma les yeux, laissant mes doigts caresser son chandail. J’avais une folle envie de lui dire que j’étais enceinte, que nous allions former une famille, mais je n’arrivais pas à trouver les mots justes… Je posais ma tête contre le rebord du canapé et soupira, avant de murmurer une phrase totalement incompréhensible. Je tournais ma tête vers le téléviseur et attrapa la télécommande, changeant de poste et tomba sur une émission du genre 1 naissance à la minute et la laissa là, silencieuse. J’avais toujours été fascinée par la maternité et ces émissions qui passaient à la tv. Ma main se glissa dans les cheveux de mon fiancé, toujours obnubilée par l’émission. Je finirais surement par être capable de lui dire…