Lysianna R. Morez ► Jana Kramer

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Jessee et j'ai 21 ans. Je suis Canada et j'ai connu le forum grâce à Good Morning America.  Vos impressions sur le forumIl a l'air bien jolie[/b]. J'utilise Jana Kramer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Strawberry Insane. Je fais environ 400-600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Bonzaaii
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)

C'est lors d'un beau jour d'été que je vins au monde, dans la belle ville de Naples, en Italie d'une mère italienne et d'un père américain. J'ai donc deux nationalités dont je suis fière. J'ai toujours été heureuse et mes parents m'ont toujours dit de poursuivre mes rêves. Depuis toute jeune, j'étais une fille très sociable aimant être entourée de gens de toute sorte. Au lycée, j'étais considérés comme une des filles populaires, qui se promenait sans arrêt avec la même petite bande de pestes. Oui, vous visualisez très bien le topo. Les petites bandes de trois qui dénigrent les autres femmes et qui fréquentent presque tous les hommes potables du lycée. C'est à ce moment de ma vie que ma mère commença à perdre un peu le respect qu'elle avait pour moi. Jusqu'à ce jour, tout se passait quand même bien, sans trop de problèmes. Je me sentais apprécié, aimé et respecté par mes paires. À mes 18 ans, je me rendis très vite compte que je n'étais pas complètement franche envers moi-même. J'eus une aventure avec une certaine Amaliah ce qui éveilla en moi, une toute nouvelle sensation.C'est à ce moment que je compris que j'aimais autant les hommes que les femmes. En étant toujours franche avec mes parents, je voulue lors avouer cette nouvelle espérant qu'ils le prennent bien. C'est là précisément que ma mère arrêta de me parler. Même si je lui disais sans arrêt que je restais sa même petite fille, rien ne pouvais la faire changer d'idée. Mon père, lui, n'arrêta jamais de me parler et commença à être le lien qui unissait ma mère et moi. Ne pouvant rien faire et trouvant insupportable le sentiment d'être rejeté par sa propre mère, je décidai de partir pour l'Amérique le pays natal de mon père. Connaissant déjà la langue officielle, il me restait plus qu'à commencer une toute nouvelle vie. Mon idée principale d'aller à l'université changea rapidement lorsqu'un homme d'affaire me montra le chemin de la traduction. Je devins donc une traductrice demandée dans les quartiers de Cambridge.J’essais de refaire ma vie dans un tout nouveau continent sans penser aux jugements de ma mère. Bien entendu que cela me rend particulièrement triste de savoir qu’une mère peut renier sa ville, mais je me dis que je n’ai pas besoin de personne comme cela dans ma vie. Peut-être qu’un jour, elle allait se rendre compte que sa réaction était exagérée.