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JUNANDRO ♥ I WAKE UP FOR YOU.

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June & Leandro


Lorsqu’on meurt la première chose qu’on voit c’est quelqu’un de vivant, je n’ai pas encore réussit à savoir si c’était la personne à qui on tenait le plus où la personne qui nous faisais nous sentir bien mais…C’est quelqu’un qui compte pour nous, c’est sûr. Ensuite c’est une sorte de trou noir, qui nous aspire et puis on voit un mort. Dans mon cas ca a été ma mère, qui m’a fait penser à la personne vivante que j’avais vu et qui m’a demandé de peser le pour et le contre avant de faire mon choix, m’incitant, inconsciemment, à choisir la vie. C’est ce que j’ai fait. J’ai vu Leandro et j’ai choisit. Pourquoi avait-ce était Leandro, dans mon cœur la réponse se faisait d’elle-même, dans mon esprit, c’était plus compliqué. Il comptait sans doute plus que je pensais, il faut dire que la mort multiple les sentiments, comme les épreuves finalement. Depuis 15 jours que je suis dans le coma, je ne fais qu’attendre sa venu. Il vient souvent, il repart, je me cache, je lui parle, je la chatouille, je l’embrasse mais jamais il ne me voit tout simplement parce que je suis une simple âme, or de son corps qui s’observe gisante sur un lit d’hôpital. Je le secoue parfois, espérant que cela me fera revenir à la vie mais rien…Il ne bouge même pas, parfois il prend ma main, je lui serre. Je lui serre réellement la main, il sourit, preuve qu’il y a encore quelqu’un dans ce lit qui n’est pas tout à fait mort. Hier je me suis vraiment réveillé, pour de vrai, mais ce n’était pas lui qui était à côté de moi, c’était Eric. Depuis ce moment j’attends chaque seconde qu’il franchisse la porte. Je ne pourrais même pas courir pour lui sauter dans les bras, je ne pourrais même pas marcher, je ne pourrais jamais plus danser certainement. Voilà le prix à payer quant un fou furieux vous tire dessus. Je fixe le réveil de la chambre, j’attends, chaque minute, chaque semaine et mes paupières sont de plus en plus lourdes, de plus en plus difficile à maintenir ouvertes et je finis par plonger dans le sommeil. Comme la veille mais avec les machines en moins, je suis une véritable princesse sur mon lit, je dors comme un gros bébé avec un petit sourire sur les lèvres. Je suis certainement la plus jolie patiente de l’hôpital car mon visage respire le bonheur. Mais comment être heureux alors qu’un fou vous a tirez dessus et que vous n’avez rien ? Je ne sais pas. J’attends le bonheur peut être. Je l’attends lui, tout simplement.
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Ce matin j'ai appris que June était sortie du coma, un long soupir de soulagement s'est alors emparé de moi alors que j'étais au boulot. Cet attentat a vraiment fait beaucoup de mal autour de moi, je ne suis pas touché, je n'étais même pas sur les lieux, j'étais coincé chez moi avec Ornella mais beaucoup de mes proches ont soufferts. Ne serait-ce que Teddy et June. Heureusement la première est sortie de l’hôpital depuis quelques jours, mais la seconde y était toujours. Je passais souvent la voir entre deux cours, après mon boulot, mais jamais elle n'ouvrait les yeux, plongé dans son sommeil. Parfois j'ai peur qu'elle ne se réveille jamais, qu'un jour en arrivant une infirmière m'explique que la belle lowell a rendu l'âme et a rejoint sa mère au paradis. Fort heureusement tout cela n'arrivera pas, puisque June s'est réveillée, du moins c'est ce que le docteur m'a fait comprendre en me laissant un message vocal sur mon portable. Je n'attendais qu'une seule chose, que mes heures de boulots soient terminés pour la rejoindre, et c'est seulement après quelques longues heures que je m'empressais de la rejoindre, mais avant cela j'ai fait un petit tour chez le fleuriste, ce n'est pas très original d'acheter des fleurs mais c'est la seule idée que j'ai eu et surtout le magasin le plus proche de mon lieu de travail. Bouquet de fleurs en main, me voilà enfin à l’hôpital. Je saluais quelques 'collègues' que je fréquent durant mes heures de permanences pour mes études de médecines avant d'entrer dans la chambre de la belle lowell qui dormait à poings fermés. Je n'osais pas la déranger, je n'osais pas l'embêter alors d'un pas silencieux je posais le bouquet de fleurs à côtés des autres, vu qu’apparemment je ne suis pas le seul à avoir eu cette idée, je n'étais pas le seul à manquer d'originalité. Doucement je m'approchais de son lit, laissant glisser mes doigts sur sa joue en souriant, attendant patiemment qu'elle se réveille. C'est dans ce genre de moment qu'on se rend compte des personnes auxquelles ont tiens, des gens qui comptent pour nous. J'ai eu peur de la perdre, fort heureusement le destin en a choisit autrement.
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Je savais que Leandro avait été certainement l’un des premiers informés lorsque j’étais plongé dans le coma, tout simplement parce que mes derniers mots lui avaient été destinés. Déclaration sincère ou absurde parole dites sous le coup de la douleur du trépas, moi-même je ne le savais pas. Mais si c’était à refaire je dirais sans doute la même chose, mon rêve est bien de vivre de ma passion, d’avoir des enfants aussi mais dans tout ce que je rêve, je ne peux m’imaginer à le vivre sans lui. Sans Leandro à mes côtés pour me soutenir, pour m’épauler. Et moi en retour le conseiller sur ses dessins, l’aider à devenir le meilleur peintre que le monde entier n’ai jamais connu. Cette pensée me fait sourire dans mon sommeil. Puis je sens sur ma peau les doigts de quelqu’un, très vite je les reconnais comme étant les siens. Je pourrais les reconnaitre parmi des dizaines, des centaines, des milliers d’autres et je m’en veux presque d’avoir dormi alors qu’il est devant moi, qu’il doit m’observait depuis plusieurs minutes déjà. En me réveillant j’entends la machine devant devenir de plus en plus insistante. Les bips des battements s’accélèrent sans que je ne le veuille, Leandro est bien avec moi, oui, j’ouvre les yeux doucement et ils ne font que s’accélérer. Je m’en veux, je voudrais faire taire cette machine. Je voudrais presque qu’elle s’arrête. Mais je ne peux pas contrôler, je ne peux rien contrôler, même si ça fait mal je dois simplement supporter de voir cette machine s’emballer juste parce qu’il est là lui. Les yeux ouverts j’admire celui qui se trouve devant moi, il n’a pas changé alors que j’ai l’impression d’être dans un cadavre, cloué dans un lit. « Leandro… ». Je n’ai pas la force d’en dire davantage et je sens un liquide salé atteindre ma bouche, c’est tout simplement une larme qui coule, j’ai envie de l’embrasser, le serrer dans mes bras, sentir ses cheveux sous mes doigts. Je ne sais pas si il va m’en vouloir pour ce que je lui ai dit, faire comme si de rien n’était ou au contraire me remercier, je ne sais pas mais j’attends, je l’admire simplement : « Tu es si beau… ». Un sourire orne une fois de plus mon visage.
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June & Leandro

Ces prises d'otages ont vraiment été affreuse, dire que pendant que certaines personnes à qui je tiens réellement se faisaient tirer dessus, moi j'étais tranquillement chez moi en train de coucher avec la mère de ma fille. Je m'en veux de ne pas avoir été là pour défendre les gens que j'aime, peut-être que j'aurais pu faire en sorte que Teddy, June et d'autres ne se prennent pas de balles, mais peut-être que ça aurait été moi à leur place. Je n'en sais rien, de toute manière c'est trop tard dorénavant pour penser à cela. Une fois dans la chambre de June, je caressais doucement sa joue ne la regardant dormir, jusqu'à ce que j'entende le son de sa voix. Je me suis mis à sourire, jusqu'à ce que j'aperçoive une larme couler sur sa joue, m'avouant par la même occasion que j'étais beau. Pas autant que toi, mais ça tu le sais déjà. Murmurais-je en essuyant sa petite larme de son doux visage. Je ne peux pas comprendre ce qu'elle ressent, je ne me suis jamais fait tirer dessus, Dieu merci d'ailleurs. Mais c'est une chose que je ne souhaite à personne, surtout pas à June même si c'est dorénavant trop tard. Je caressais une dernière fois sa joue avant de tirer une chaise le plus près possible de son lit d’hôpital, attrapant doucement sa main pour la serrer contre la mienne. Comment tu te sens ? Enfin .. Je veux dire, tu tiens le choc ? Lui demandais-je une fois convenablement assis. Je sais que ma question est stupide, mais je voulais simplement savoir si elle tenait le coup, si psychologiquement elle tenait, car mine de rien ça ne doit pas être facile. Je déposais mes lèvres ses sa main, regardant toujours la belle lowell dans son lit. Ah et j'ai bien reçu ton message .. Ça m'a touché, vraiment. Lui avouais-je en déposant de nouveau un baiser sur sa douce main.
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Junandro
   
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  Je ne pu m’empêcher de sourire lorsqu’il me répondit de nouveau que j’étais belle, combien de fois avait-il prononcé ces mots, combien de fois m’avait-il dit que j’étais parfaite. A chaque fois c’était si bon de les entendre, mais je me rappelais aussi que la dernière fois qu’on c’était vu il m’avait dit ne plus vouloir me faire de compliments : « Je crois que tu devais arrêter avec les compliments, mais je te donne un petit bonus supplémentaire, une handicapé à bien le droit à quelques faveurs… ». Je serrais ses mains, j’avais tellement hâte de le retrouver, il m’avait tellement manqué, chaque jour je priais pour le voir arriver et chaque jour mon cœur se serrait quand il partait. C’était dur de le voir maintenant, de savoir que pour lui, sans doute rien n’avait changé. Pour moi tout était différent la mort m’avait apporté des questions mais aussi des réponses. Il me demandait comment je me sentais, je n’étais pas très bien non, en effet mais le voir était vraiment un ravissement : « Te voir rentrer dans la pièce m’a fait tant de bien. Lorsque j’étais sur le point de mourir, je ne voyais que toi, je ne sais pas pourquoi. Ensuite j’ai vu ma mère qui m’a fait voir ce qu’il y avait sur cette terre et c’est toi que j’ai vu de nouveau. Mes amis aussi bien sûr. Je vais avoir besoin de toi Leandro, et j’espère tellement que tu seras là pour moi… ». Une nouvelle larme coule sur ma joue. Je sens ses lèvres touchaient mes mains et ce seul contact me fit frissonner. Je lutte contre mon corps pourtant essayant de ressentir le moins de choses possibles. Il fit une remarque concernant mon message, il n’avait pas l’air de l’avoir mal pris : « Embrasse-moi sur la bouche s’il te plait, si je ne te dégoute pas tout à fait… ». J’ai peur que plus personne ne me trouve joli maintenant que j’ai une béquille de chaque côté de mes jambes. Je sais que ce que je m’apprête est délicat, mais malheureusement je souhaite tout de même lui poser la question, je connais d’avance la réponse mais mon arrêt cardiaque m’a fait prendre conscience que la mort peu subvenir à tout moment, qu’on doit dire ce qu’on pense au moment où on le pense. J’ai peur, putain, je n’ai jamais eu aussi peur de toute ma vie, je tremble et une larme coule sur ma joue. Je savoure ce baiser comme si il était le dernier, comme si Leandro allait me condamner, comme si il allait me tuer : « Leandro, je sais que ce que je vais te demander va t’énerver mais j’ai besoin de savoir. Je sais, tu m’as dit de ne pas me prendre la tête, et j’ai lutté de toutes mes forces, je te l’assure…Ecoutes-moi et réponds-moi s’il te plait. Après je ne t’en parlerais plus peu importe ce que tu dis, tout reprendra comme avant… ». Oui j’allais forcément lui parler du fameux message. Je serrais sa main, j’avais peur qu’il m’en veuille et je m’en voulais aussi. Je respirais un bon coup, je devais prendre mon courage à deux mains : « Lorsque je perdais mon sang, tu étais là, lorsque je suis morte, tu étais là, lorsque j’étais dans le coma, tu étais la seule personne que je voulais voir éveillée. J’ai clairement déraillé en te disant qu’on vivrait entouré d’une dizaine d’enfants Leandro, c’est clair et net. Mais quelque part je me dis que tu es une personne spéciale pour moi. Je n’ai jamais eu ce plaisir avec aucun autre garçon et si tu m’as dit vrai, tu n’as jamais eu ce plaisir avec une autre fille, pour moi tu es différent des autres…Tellement différent. Et c’est tellement impressionnant ce sentiment parce que je n’ai jamais ressenti ça, je ne sais pas ce que c’est…Mais je voudrais juste savoir quelques choses Leandro : Suis-je un stupide nom sur ta liste de conquête ? Suis-je le numéro que tu appelles quand tu as seulement besoin d’affection et de sexe ? Suis-je plus importante que tout cela ? Suis-je plus importante qu’une autre personne à tes yeux ? Suis-je une personne spéciale comme tu m’es spéciale ? Est-ce que j’ai eu raison de me réveiller lorsque je t’ai vu ou est-ce que j’aurais du fermer les yeux car il n’y a et il n’y aura jamais rien entre nous ? Ai-je raison, ai-je tord d’espérer ? Est-ce que seulement je suis juste un tout petit peu importante pour toi ? Assez pour pouvoir  vivre rien qu’avec cette importance que tu me portes ? ». Je soupire, je déteste devoir lui dire tout ça, car moi-même je serais bien incapable de répondre à ses questions : « Je suis désolé de t’affliger de tout cela juste après mon réveil, je t’assure, et une fois de plus, sois bien certain que je ne te demande rien si ce n’est que d’être sincère avec moi… ». Je ne veux pas qu’il me dise que je délire ou qu’il ne veut pas se mettre en couple car à aucun moment je ne lui ai demandé ça. Non, je lui ai juste demandé finalement si je comptais pour lui, si j’avais quelque chose de plus que les autres à ses yeux, c’est tout. « Dans cette image que j’ai vu, à New York, j’étais heureuse… Tu n'étais pas malheureux...». Pas très rassurant dis comme ça, j’avais tellement peur qu’il m’envoie sur les roses, qu’il me dise qu’il ne veut plus qui ne se passe rien entre nous, j’avais tellement peur de le perdre alors que je venais de le retrouver, tellement peur. La dernière fois je lui avais déjà parlé de mon attachement et cette fois-si de nouveau mais cette balle dans ma jambe avait profondément changé les choses. Et je pleurais, Leandro ne m’avait jamais vu pleurer et j’avais choisit ce jour où j’étais si heureuse de le voir pour verser les grandes eaux.
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Finalement après avoir essuyé les larmes de June, ces dernières continuèrent de couler de son beau visage et très franchement je ne m'attendais pas à entendre ça de sa part. Je rêve ou elle m'avoue en quelque sorte qu'elle pourrait avoir des sentiments pour moi et elle voudrait savoir si c'est réciproque ? Je ne disais rien pendant quelques secondes, je ne savais pas comment réagir si bien que je me contentais de lâcher sa main, reculant de quelques pas. Oh euh .. Je m'attendais pas à ça June .. Je sais pas quoi te dire. Disais-je un peu mal à l'aise. Je m'en voulais surtout qu'elle soit dans cet état par ma faute, mais je n'osais même plus la toucher tellement je me sentais coupable. Je reculais alors de quelques pas, baissant la tête au sol pour éviter son regard. Qu'est-ce que je suis censé lui dire à présent ? La vérité, je ne peux que lui dire la vérité mais ça n'allait pas forcément lui faire plaisir, je ne sais pas comment aborder le sujet, mais je me lançais finalement en regardant June dans son lit, en larmes, probablement à cause de moi. Si tu veux que je te dises que je suis amoureux c'est pas le cas, je t'apprécie vraiment June, sinon je serais pas là aujourd'hui, je me serais pas inquiété pour toi .. T'es mon amie, enfin amie est pas forcément le bon terme mais tu comptes pour moi, c'est pas que du sexe entre nous, mais ça n'est pas de l'amour. Je veux pas que tu te fasses de fausses idées, je veux pas que t'espère quelque chose qui n'arrivera probablement jamais. Je t'aime beaucoup June, n'en doute pas, mais je suis pas amoureux .. Je suis amoureux de personne. Terminais-je par lui avouer d'une petite voix. Je ne veux pas qu'elle pense qu'un jour quelque chose puisse arriver entre nous, je ne veux pas me mettre en couple, je ne veux pas tomber amoureux que ce soit de June ou de quoi que ce soit pour l'instant. Je veux pas qu'elle espère et qu'elle attente par ma faute, surtout si ça doit l'empêcher de trouver le bon, l'homme qui lui faut. Je suis désolé .. C'est pas forcément ce que tu voulais entendre, mais tu m'as demandé d'être franc, alors voilà .. Terminais-je par lui avouer en restant toujours à quelques pas de son lit. Je ne sais pas comment elle va réagir, si elle va le prendre bien ou tout simplement m'engueuler et m'en vouloir à mort, mais j'ai préféré être franc avec la lowell, j'ai pas envie de lui briser le cœur lorsqu'elle tombera amoureuse de moi, je ne sais même pas si c'est déjà le cas, je suis dans le flou total.
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Junandro
   
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  Quand il lâche ma main je comprends par avance ce qui va se passer, des râteaux, des vents dans la figure, des garçons qui me disent qui ne se passera pas plus que ce qui ne se passe actuellement j’en ai connu des dizaines dans ma vie. A tel point que j’aimerais pouvoir mettre arrêt sur image. Non pas que ça me blesse parce que je ne pense pas être trop amoureuse de Leandro pour que ça me blesse mais ça me fait juste mal au cœur. Toutes mes relations ne marchent pas, terminent avant d’avoir commencé, à tel point que je me regarde en me demande ce qui n’est pas normal chez moi, ce qui fait que ça cloche. Je n’en veux pas à Leandro, il a une juste une chose qui me fait mal, le mot ‘jamais’, j’aurais été à sa place je n’aurais pas dit ça, je comprends qu’il ne m’aime pas, qu’il n’a pas d’affection pour moi ni même aucune sorte de sentiment mais on ne peut pas savoir à l’avenir et l’expression qu’il emploie me blesse. Comme si j’étais trop laide, trop nulle pour être vu comme pouvant sortir avec lui, je me regarde et je ne peux m’empêcher de me rappeler mes années où j’ai été tant brimée par les autres, ça me rappelle ça un instant. Puis alors qu’il continue de me parler, je revois ma mère qui me dit que la vie est belle, que je dois retourner sur terre, finalement j’ai fait le mauvais choix. Leandro ne veut pas de moi, aucun homme ne veut de moi alors pourquoi je suis là, putain. Je ne suis pas amère envers Leandro, je n’ai pas de rancune, juste de la peine parce que je vois encore mon nom avec la médaille de ‘boulet amoureux de l’année’ pour une année supplémentaire. « Je ne t’ai jamais demandé de me dire que tu étais amoureux de moi Leandro… ». Lui répondis-je avec un faible sourire, je dois vraiment prendre mon courage à deux mains pour ne pas craquer, pas devant lui, je me rappelle les paroles de ma mère ‘June, ni ton père, ni aucun homme ne pourra te mettre à terre, parce que tu es ma fille, parce que tu es une guerrière’ et je préfère sourire et rire bêtement pour cacher mon mal être. J’ai pleuré suffisamment maintenant, j’en ai fait assez. « Je pense qu’aucun garçon ne m’a jamais vraiment aimé aussi fort que moi j’ai pu l’aimer, je ne cherchais pas à savoir si tu serais cette personne Leandro, mais j’avais besoin de faire le point tu comprends ? ». Je me demandais en même temps si je pouvais plaire à quelqu’un, j’avais l’impression d’avoir plu à Leandro, au début du moins, pas ce lit d’hôpital c’est certain mais maintenant tout était entrain de changer et je ne savais même plus si tout ce qu’il m’avait dit été vraiment tout ces compliments qu’il m’avait dit, que j’étais une fille parfaite, tout ça…Il était le seul à me les avoir dit mais finalement, il était comme les autres. Il avait du dire ça juste pour qu’on fasse l’amour, ou peut être qu’il les pensait mais juste sur le moment. « Ne t’éloignes pas tant s’il te plait Leandro, j’ai vraiment besoin des personnes qui compte un peu pour moi…Je n’aimerais pas que tu t’en ailles si possible…J’ai besoin vraiment du soutien de mes proches, d’accord ? ». J’espérais qu’il n’allait pas refuser car là j’aurais vraiment mal et je ne comprendrais surtout pas pourquoi, si il tient un minimum à moi comme il vient de me le dire il devrait m’aider à ce que je sois bien remise sur pied. Je repense à notre journée à Paris, quand je lui avais dit que j’étais une petite idiote, aujourd’hui il en avait la preuve puisque je pensais qu’il dirait juste qu’il tenait un minimum à moi, maintenant j’ai un bon exemple à lui citer : « Tu te rappelles quand nous étions à Paris, je t’ai dit que j’étais juste une petite idiote, tu vois maintenant tu en as la preuve… ». J’aurais mieux fait de me taire, j’ai l’impression. Pourtant je veux que rien ne change avec Leandro mais c’est trop tard, parce que c’est trop conne j’ai préféré lui dire la vérité, c’est nul d’être honnête et gentil, ça sert à rien : « On peut juste oublier ma question, oublier ta réponse et parler comme avant ? ». Notre relation me manquait, dans le coma j’avais juste envie de le taquiner et j’avais juste envie qu’il m’embête de nouveau. De toute façon fallait que je fasse une croix sur New York, une croix sur notre jolie villa, une croix sur ma carrière, ma vie était foutu, c’était comme ça.
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