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C'est le 21 mars 1993 à Raleigh, que les membres de la famille Prince m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Amalric Gawain Andrew. Je suis en couple, mais je me soigne, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel, à ce qu'il parrait. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'administration avec une mineur en biochimie depuis quatre ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot house ou les Winthrop house.
Pourquoi Eliot ou Winthrop ?
Eliot House.
S'il y a bien une chose qu'Amalric a compris, c'est qu'on ne mélange pas les torchons et les serviettes. Fier de ses origines -bien qu'il sache qu'il n'y a pas de raisons d'être fier de quelque chose sur lequel on n'a eu aucune influence-, il met un point d'honneur à être à la hauteur de ce qu'on attend de lui. Si Harvard est la meilleure université du monde, c'est parce qu'on a pris soin d'isoler les classes les moins prestigieuses pour qu'elles puissent vivre leur rêve de décadence sans gêner ceux qui s'efforcent de construire le monde dans lequel les enfants de ces débauches grandiront. Eliot lui permet de s'assurer de n'être qu'avec des gens respectables -même s'il apprécie faire la fête et finir en charmante compagnie, il se sait incapable de supporter le genre de drogués qui ne pensent qu'à profiter de leur pseudo nouvelle indépendance-. Et puis connaître d'autres gens de sa classe sociale, c'est forcément un atout, les réseaux, c'est comme ça que marche le monde et qu'il continuera de marcher aussi longtemps que chacun comprendre qu'il vaut mieux rester à sa place pour assurer le fonctionnement de la société.
Winthrop house
Il n'y a bien que de ces deux maisons dont il se sente proche, travailler dur ? Son passé l'a toujours empêché de considérer ça comme une qualité et il n'est pas prêt à s'afficher comme étant ce genre de personne. Être une femme ? Les Cabot acceptent-elles seulement les transgenre ? Ça ne colle pas avec leur image de filles parfaites. Il a l'amour de l'art qu'en ont ceux avec un esprit trop scientifique pour le comprendre, de loin, accroché au mur pour embellir la pièce, de là à en faire sa passion il n'y avait qu'un océan qu'il n'a même pas pris le temps d'observer. Quant aux Quincy et aux Mather, ça reste principalement des hippies sans grand intérêt même si les premiers ont au moins le mérite d'être fréquentables... Oui, s'il ne pouvait être un Eliot c'est par là qu'il irait. Pour arriver à ses fins tous les moyens sont bons et le charme est clairement quelque chose sur le quel il n'a aucune honte de jouer, tout en s'assurant de garder une réputation de personne délicate, séduire sans détruire, profiter sans abuser.
S'il y a bien une chose qu'Amalric a compris, c'est qu'on ne mélange pas les torchons et les serviettes. Fier de ses origines -bien qu'il sache qu'il n'y a pas de raisons d'être fier de quelque chose sur lequel on n'a eu aucune influence-, il met un point d'honneur à être à la hauteur de ce qu'on attend de lui. Si Harvard est la meilleure université du monde, c'est parce qu'on a pris soin d'isoler les classes les moins prestigieuses pour qu'elles puissent vivre leur rêve de décadence sans gêner ceux qui s'efforcent de construire le monde dans lequel les enfants de ces débauches grandiront. Eliot lui permet de s'assurer de n'être qu'avec des gens respectables -même s'il apprécie faire la fête et finir en charmante compagnie, il se sait incapable de supporter le genre de drogués qui ne pensent qu'à profiter de leur pseudo nouvelle indépendance-. Et puis connaître d'autres gens de sa classe sociale, c'est forcément un atout, les réseaux, c'est comme ça que marche le monde et qu'il continuera de marcher aussi longtemps que chacun comprendre qu'il vaut mieux rester à sa place pour assurer le fonctionnement de la société.
Winthrop house
Il n'y a bien que de ces deux maisons dont il se sente proche, travailler dur ? Son passé l'a toujours empêché de considérer ça comme une qualité et il n'est pas prêt à s'afficher comme étant ce genre de personne. Être une femme ? Les Cabot acceptent-elles seulement les transgenre ? Ça ne colle pas avec leur image de filles parfaites. Il a l'amour de l'art qu'en ont ceux avec un esprit trop scientifique pour le comprendre, de loin, accroché au mur pour embellir la pièce, de là à en faire sa passion il n'y avait qu'un océan qu'il n'a même pas pris le temps d'observer. Quant aux Quincy et aux Mather, ça reste principalement des hippies sans grand intérêt même si les premiers ont au moins le mérite d'être fréquentables... Oui, s'il ne pouvait être un Eliot c'est par là qu'il irait. Pour arriver à ses fins tous les moyens sont bons et le charme est clairement quelque chose sur le quel il n'a aucune honte de jouer, tout en s'assurant de garder une réputation de personne délicate, séduire sans détruire, profiter sans abuser.
Mon personnage c'est le plus beau
APRÈS LA BOMBE
Il a beau faire celui qui n'a pas de séquelles, bien naïf est celui qui le croirait. Au moment des évènements il se trouvait dans la cafétériat, il ne savait même plus pourquoi il était là bas, il n'y allait jamais -et n'y avait jamais remis les pieds-, tout avait commencé avec la clôture des portes, et puis l'annonce... il ne se souvenait pas d'un autre moment de sa vie où il avait eu aussi peur qu'à cet instant. Il n'était pas du genre à laisser les choses échapper à son contrôle, cet évènement était pourtant bien placé dans cette catégorie. Alors que l'attente se prolongeait, interminable à ses yeux, il laissait son regard trainer sur tous ces visages effrayés dont il se fichait bien l'instant d'avant et qui seraient peut-être ceux avec qui il vivrait ses derniers instants. Au départ ils avaient bougé les tables, ça lui avait calmé l'esprit, relativement, penser à autre chose, à tout sauf à la possibilité de ne pas y réchapper, bientôt le calme était retombé. Un moment il avait songé à appeler son frère, arranger les choses, s'excuser, l'entendre parler tout simplement et puis une dispute avait éclaté, des gens qui se tapaient dessus et une histoire de téléphone, il ne savait plus trop, il essayait d'oublier. Encore une fois le silence était retombé, pas pour longtemps, mais le temps passait si lentement qu'on aurait dit une éternité, au moment où on finissait par se dire que rien n'arriverait les vitres avaient explosé. Ce qui s'était passé après... son esprit s'était arrangé pour l'oublier, tout ce qui lui reste en tête encore aujourd'hui c'est une impression de chaos, il n'avait pas été blessé, pas trop, quelques coupures, toutes superficielles. Il ne savait même plus comment il s'était retrouvé chez lui, à des centaines de kilomètres d'Harvard, était-on venu le chercher ? Il n'aurait pas conduit dans l'état dans lequel il était, il n'aurait pas pu. Pendant plusieurs jours il était resté dans sa chambre, le regard à moitié dans le vide, la conversation d'un moine ayant fait vœux de silence. Et puis comme tous les autres présents ce jour là il s'était rendu compte que même si le monde continuait d'avancer sans lui, il n'irait pas bien loin en restant assis. Alors il s'était levé, il avait décidé de prendre un appartement hors du campus, mais assez prêt pour s'y rendre sans utiliser de voiture et ainsi éviter le parking. Comme les autres il avait fait mine d'oublier. Comme les autres il y regardait à deux fois en voyant des portes se fermer.
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
Il a beau faire celui qui n'a pas de séquelles, bien naïf est celui qui le croirait. Au moment des évènements il se trouvait dans la cafétériat, il ne savait même plus pourquoi il était là bas, il n'y allait jamais -et n'y avait jamais remis les pieds-, tout avait commencé avec la clôture des portes, et puis l'annonce... il ne se souvenait pas d'un autre moment de sa vie où il avait eu aussi peur qu'à cet instant. Il n'était pas du genre à laisser les choses échapper à son contrôle, cet évènement était pourtant bien placé dans cette catégorie. Alors que l'attente se prolongeait, interminable à ses yeux, il laissait son regard trainer sur tous ces visages effrayés dont il se fichait bien l'instant d'avant et qui seraient peut-être ceux avec qui il vivrait ses derniers instants. Au départ ils avaient bougé les tables, ça lui avait calmé l'esprit, relativement, penser à autre chose, à tout sauf à la possibilité de ne pas y réchapper, bientôt le calme était retombé. Un moment il avait songé à appeler son frère, arranger les choses, s'excuser, l'entendre parler tout simplement et puis une dispute avait éclaté, des gens qui se tapaient dessus et une histoire de téléphone, il ne savait plus trop, il essayait d'oublier. Encore une fois le silence était retombé, pas pour longtemps, mais le temps passait si lentement qu'on aurait dit une éternité, au moment où on finissait par se dire que rien n'arriverait les vitres avaient explosé. Ce qui s'était passé après... son esprit s'était arrangé pour l'oublier, tout ce qui lui reste en tête encore aujourd'hui c'est une impression de chaos, il n'avait pas été blessé, pas trop, quelques coupures, toutes superficielles. Il ne savait même plus comment il s'était retrouvé chez lui, à des centaines de kilomètres d'Harvard, était-on venu le chercher ? Il n'aurait pas conduit dans l'état dans lequel il était, il n'aurait pas pu. Pendant plusieurs jours il était resté dans sa chambre, le regard à moitié dans le vide, la conversation d'un moine ayant fait vœux de silence. Et puis comme tous les autres présents ce jour là il s'était rendu compte que même si le monde continuait d'avancer sans lui, il n'irait pas bien loin en restant assis. Alors il s'était levé, il avait décidé de prendre un appartement hors du campus, mais assez prêt pour s'y rendre sans utiliser de voiture et ainsi éviter le parking. Comme les autres il avait fait mine d'oublier. Comme les autres il y regardait à deux fois en voyant des portes se fermer.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lysine et j'ai 21 ans, damn, avoir un perso de son âge ça fait... devenir vieille w.w. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à facebook, grosse grosse maturité. J'ai vu que la porte était ouverte et j'avais froid alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Colin Woodell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Mallory d'amour. Je fais environ hmmmm, entre 600 et 2000 selon le RP, j'dirais 900 de moyenne :hmm: mots par RP et mon personnage est un scénario créé par Mallory E. Bellwether.
Mot de la fin ? ▲ J'ai fait d'mon mieux pour la bombe, mais j'ai que survolé les 23 pages, j'avais pas l'courage de tout lire, désolée x.x M'enfin si ça colle pas ben y'a juste à m'le dire
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ J'ai fait d'mon mieux pour la bombe, mais j'ai que survolé les 23 pages, j'avais pas l'courage de tout lire, désolée x.x M'enfin si ça colle pas ben y'a juste à m'le dire
Je souhaite ▲
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