ZAKHAR MORDACHOV ► charlie winzar

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle rimini et j'ai bientôt 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart il me semble, mais ça remonte à loiiiin.  Je me plais tellement sur ce forum, il me manquait aussi alors j'ai décidé de ré-inscrire. J'utilise charlie winzar comme AVATAR, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ ily
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Zakhar a écrit:Mon Alexys,
Si tu vois ce mot c'est que j'ai eu le culot de te le faire parvenir.. Je m'excuse encore une fois de t'avoir quitté, si brutalement. Je ne le voulais pas, pas après tout ce que je m'avais dis par message. Une chose est sûr, tu me manques.. je pense qu'une personne ne m'a jamais autant manqué que toi. Je ne sais pas si je vais revenir un jour, l'avenir semble encore flou pour moi, mon père est très affaibli..  il ne parle presque pas. Ma mère m'a suggéré de reprendre la société de mon père au côté de Pyotr. Si je fais ça, je ne reviendrais certainement pas. Pour une fois dans ma vie, j'ai peur, je suis mort de peur.. je suis tétanisé, je ne sais pas quoi faire. C'est dans un moment pareil que j'aurai besoin de toi, à croire que tu m'as toujours poussé vers ce qui avait de meilleur en moi. Il y a des fois où j'ai envie de tout plaquer, de changer de vie.. partir avec rien en poche, m'évader rien qu'avec toi et ta joie de vivre. Je suis sûr que ta vie est beaucoup plus paisible sans moi et que tu retrouves pleinement ta place de vice-présidente des Mathers.. cette rumeur doit être loin pour toi à présent. Tu mérites le meilleur, si cette famille Mather peut te l'offrir, ça me va. Fais attention à toi mon Alexys.

Zak.

Le 5 Décembre 2014, lettre jamais envoyé et rangé dans une boite.

Zakhar a écrit:Chère Alexys,
Les fêtes approchent, je vois tout le monde dans l'effervescence des préparatifs de Noël.. ma famille l'est bizarrement moins cette année. Moi je ne le suis pas du tout, ça me déprime clairement. Mon père semble avoir retrouvé la parole, il arrive même à me prendre la tête alors tu vois. Pyotr semble emballé par la proposition de ma mère, celle de reprendre le flambeau de la société familiale.. les papiers sont prêt, mon père et Pyotr on déjà signé. Il reste encore la mienne, qu'est-ce que je fais ? J'aimerai tellement te parler de tout ça de vive voix.. tu m'aurai certainement dis de suivre mon cœur, que je prenais tout le temps la bonne décision. Je t’avoue que mon cœur me pousse à te rejoindre, de laisser toute ses nouvelles responsabilités loin derrière moi.. mais voilà il y à cette putain de pression familiale, tu l'as connais.. cette famille que tu ne peux pas laisser tomber, certainement pas pour une histoire d'amour. Mon père ne comprendrait pas, il me tournerait complètement le dos si je décidais de tout plaquer pour toi.. mon frère ainé pareil. Le seul qui semble me comprendre pour une fois c'est Artur, il me répète de ne pas tout gâcher avec toi.. il t'aime beaucoup je dois dire. Les Mathers semblent lui manquer, il en parle sans arrêt.. ça me rappelle à quel point j'étais bien la-bas, non loin de toi et de cette guerre qui était clairement débile. On faisait une bonne équipe, mais tout ça semble s'éloigner peu à peu. Dans quelques jours je serai certainement directeur adjoint au côté de Pyotr, je serai obligé de faire une croix sur toi, sur Harvard, sur ce qui me rendais heureux autrefois.

Zak.

Le 21 Décembre 2014, lettre jamais envoyé et rangé dans cette même boîte.

Zakhar a écrit:Alexys,
J'ai signé, ça y est je l'ai fais. L'élève brillant d'Harvard semble s'éloigner.. à croire que ma nouvelle étiquette de PDG m'était prédestiné. Ma mère est heureux, ainsi que mon père et Pyotr, ils ont se qu'ils voulaient. Cette signature me semble amer, je pensais être le plus heureux des hommes en reprenant le flambeau familiale.. oui avant de te rencontrer c'est ce que je voulais le plus au monde. Mais putain ce n'est plus pareil, je me met à croire que j'ai fais la plus grosse connerie de ma vie, que c'était trop tôt, que je n'avais pas tout accompli à Harvard. J'ai besoin de ton aide Alexys, pourquoi n'es-tu pas la ? Tu me manques, terriblement.

Zak.

Le 27 Décembre 2014, lettre jamais envoyé et rangé dans la boîte.

« Pourquoi tu ne lui envois pas Zak ? » S'exclamait mon petit frère Artur. Je regardais la lettre dans mes mais, la rangeant systématiquement au même endroit, dans une vieille boite en bois gravé à la main. Je faisais glisser ma paume de ma nuque, évitant le regard de Artur, il était planté au pied de mon lit.. comme ci il était le bienvenu. J'essayais de m'occuper les mains, la seule chose que j'avais trouvé c'était une pile de linge propre qu'il fallait que je trie. « Ce n'est pas tes affaires Artur ! Je ne m'occupe pas de tes histoires de cul alors ne t'occupe pas des miennes je t'en pris.. » Je soufflais, j'étais clairement en train de lâcher mes nerfs sur cette pauvre chemise de marque. « Tu es en train de me dire que Alexys est une simple histoire de cul.. non mais je rêve ! Je ne suis pas sûr qu'elle apprécie ce que tu es en train de dire. » Je toisais mon frère du regard, depuis quand il se permettait de me faire la morale.. depuis quand avait-on inverser les rôles.  « Il n'y a jamais rien eu entre Alexys et moi.. rien de plus qu'une histoire de cul, une histoire qui a failli à ma réputation de vice-président Eliot rappelle toi ! » J'avais une voix agacé, soulé par toute cette morale fondée. Artur visait juste, il avait cerné mon histoire avec Alexys. Il savait que je pensais à elle chaque minutes qui passaient, il savait que je lui écrivais des lettres secrètement et que je ne l'ai envoyés jamais. Artur était loin d'être con, dommage qu'il soit trop jeune et immature pour reprendre la société. Je voyais mon frère décrocher un sourire moqueur.. ce sourire qui avait le don de m'agresser les yeux. « Arrête de me prendre pour un con Zakhar, je sais que Alexys n'est pas qu'une histoire de cul ! Tu ne serai pas en train de lui écrire des lettres si elle n'était qu'une passade sexuelle.. sauf que tu n'arrives pas à te décoller de ton trône d'Eliot parfait ! Alexys était l'histoire de ta vie Zakhar... » Je m'approchais de lui, le toisant d'un regard méchant. « Et toi l'histoire de ta vie c'est d'être con, alors reste la dessus et laisse moi tranquille Artur ! » Il ne semblait pas bougé, ses yeux étaient planté dans les miens.. il jouait à quoi au juste ? Il voulait vraiment que l'on en vienne aux mains ? Je serrais les dents. « Tu vois comment ça t'énerve quand on aborde le sujet Alexys.. tu n'es même pas foutu de reconnaître que tu es fou amoureux de la vice-présidente Mather, putain mais c'est grave ! » Je me mordais la joue, il essayait simplement de me mettre hors de moi, Artur était comme Alexys : il me faisais bouillonner sur place.. il arrivait toujours à piquer où il ne fallait pas. « Merde ! Merde Artur ! Qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? Tu voulais que je reste à Harvard, que je dise fuck à notre père, fuck à Pyotr... J'ai des devoirs familiales moi, contrairement à toi ! Je n'avais pas le choix que de quitter Alexys, père à besoin de moi, la société a besoin de moi. » Je m'asseyais sur mon lit, je crois que Artur m'avait poussé dans mes retranchements.. je culpabilisais, encore plus qu'avant. « D'accord tu as des responsabilités ici oh grand Zakhar tout puissant ! » Je serrais les dent, prêt à lui en décoller une dans la tronche..  «  Tais-toi ou je vais t'en mettre une.. » Je prenais une longue inspiration, voyant soudainement les mains de mon petit frère s'agiter devant moi. « Okay j'arrête.. Mais je veux te dire que maintenant que père va mieux, que tu as une société entre les mains.. tu peux retourner à Cambridge. Pyotr peut se débrouiller tout seul, tu peux également la gérer à distance, c'est tout à fait faisable. » Je fronçais les yeux, je n'avais pas vraiment pensé à ça.. mon petit frère n'était pas si stupide que ça, loin de la. « Tu crois qu'ils vont me laisser partir comme ça sans rien dire toi ?! » Je riais jaune, Artur semblait oublier quelque détails.. C'est une boîte familiale, pas un truc qui se gère à distance.. « Et pourquoi tu ne lances pas un siège à Cambrige.. la société ferait un grand saut vers l'avant ! Il y a pas mal de marché à négocier la-bas.. tu t'imagines à la tête du siège à Cambridge, ce serait énorme pour la réputation de la société ! » Je voyais mon frère l'air rêveur, j'étais bouche bée.. il avait réussi à me mettre des étoiles pleins les yeux, une première. Je me levais d'un bond, bien décidé à aller en toucher un mot à Pyotr.. Artur venait de me prouver qu'il tenait à moi et qu'il était bien loin d'être con.