OPALE-LUZ OSBORN ► cara delevingne

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle mélissa et j'ai bientôt vingt-trois ans. Je suis française (PACA) et j'ai connu le forum grâce à bazzart, la base .  Votre forum est une vraie perle. Y a vraiment rien à rajouter alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Jake Nguyen-Holf (+ Students) . J'utilise Cara Delevingne comme avatar d'ailleurs les images ont été faites par money honey . Je fais environ 200/800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par ma propre production. :sifle:

Mot de la fin ? ▲ love.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

« La douleur, ça te fait souffrir mais, cela ne te détruit pas.
Le problème, c'est la solitude engendrée par la douleur.
C'est elle qui te tue à petit feu, qui te coupe des autres et du monde.
Et qui réveille ce qu'il y a de pire en toi. »
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Un bébé, n'est-ce pas la plus belle chose au monde ? Un petit-être qui arrive dans notre vie, qui nous comble de bonheur et d'amour en un temps record, qui malgré des cris et des larmes insupportables améliorent considérablement notre vie, n'est-ce pas ce qu'il y a de plus merveilleux ? Pourtant, Mme Osborn avait eu l'habitude des couches culottes, des pleures de bambin, les biberons à des heures horripilant à trois reprise déjà. Mais, celle-ci dû tout réapprendre puisque Opale-Luz Osborn arriva dans la famille un soir glacial de janvier. Le 31 janvier 1993, à Montréal tout exactement. Opale était la quatrième et, certainement la dernière de cette grande fratrie. Elle ne manquait de rien, ayant assez d'argent pour faire vivre une belle et, magnifique vie, la famille Osborn n'avait pas à avoir peur, de rien. Étant très entourée de ses parents ainsi que ses trois grandes sœurs, la brunette croquait la vie à pleine dent. La vie dans le domicile familial n'était pas de tout repos, surtout quand les quatre filles se retrouvaient autour de la même table. Opale avait absolument toutes les cartes en main pour vivre une vie comme elle rêvait de la vivre. Une vie de princesse, comme elle les aimes. En grandissant, elle n'avait plus aucune notion de l'argent. Elle dépensait sans compter, faisait la fête quand bon lui semblait. Mais, elle sait très vite rendu compte que sa vie dans les moindres détails n'étaient pas celle qu'elle aurait tant désiré. Pensant qu'elle était en sécurité simplement parce que Opale est aimé de tout. Elle n'aurait jamais cru, ô grand jamais qu'une chose pareille aurait pu l'atteindre. Ceci dit, elle a voulu prendre exemple sur son aînée qui avait trouvé un petit emploi dans la restauration. Rien de bien valorisant, on est bien d'accord. Ne voulant pourtant ne pas tomber aussi bas que son aînée qui avait trouvé ce travail, contre son grès. Opale se décide afin de prendre sa vie en main et, de se faire de l'argent, de l'argent facilement certes mais, cela restait de l'argent quoiqu'il arrive. Ça lui permettait d'être indépendante, une chose qu'affectionne Opale, elle avait toujours rêvé de l'être. En conséquence, la demoiselle réussie à trouver du fil en aiguille mais, essentiellement par le bouche à oreilles. Un métier d'accompagnatrice d'hommes plus âgées et, fortunés à des soirées caritatives, des repas d'affaires ou simplement pour des tête-à-tête. Cependant, à c'est tout débuts, elle rencontra un homme en particulier, néanmoins il avait l'âge de son grand-père. Ce n'était qu'un minuscule détail aux yeux de la demoiselle, surtout quand on apprend qu'il peut vous offrir la vie qu'on désire tant. Le deal dans tout ceci ? Ce n'est seulement qu'elle doit accepter de vivre chez lui. Au final, ce n'était pas vraiment un désagrément quand on peut avoir tout ce qu'on souhaite. Ainsi à ses dix-sept ans, elle vint à quitter ses proches, faisant ses valises sans se retourner. Si Opale avait rencontré cet homme, c'est que le destin l'avait prédit. Elle ne voyait pas l'utilité de laisser passer cette chance qu'on lui file sous le nez. Une nouvelle vie, bien friqué attendait Opale. Ayant toujours rêvé de ça depuis qu'elle est née, elle ne pouvait pas laisser cette opportunité qu'elle avait réussi à se ligoter. Ce n'était pas idyllique, puisqu'elle n'aimait pas l'homme en question mais, l'argent peut rendre heureux. Du moins, elle le pensait secrètement jusqu'à qu'elle ouvre enfin ses petits yeux de poupée pourri gâtée. Toutefois, elle a dû quitter son Montréal natif pour aller vivre à New York.

« Tout le monde pense qu'un meilleur ami, c'est quelqu'un d'irréprochable. Quelqu'un qui a toujours été là en cas de coup dur, à qui on a toujours tout dit, qui peut tout entendre. Quelqu'un avec qui il n'y a jamais eu de problèmes, de cris. Mais un meilleur ami, c'est juste quelqu'un d'humain. Quelqu'un qui dit parfois ce qu'il ne faut pas dire, quelqu'un qui est parfois jaloux, parfois égoïste, quelqu'un qui est de mauvaise foi, quelqu'un comme tout le monde. La seule différence avec les amis en général, c'est que c'est la seule chose qui dure. C'est la seule personne, le seul évènement, le seul rire, qui reste une certitude. »
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Lair est frais. Les fleurs des arbres commencent déjà à bourgeonner. Les oiseaux s'envolent. L'herbe bouge au rythme de la brise. Les pas d'une foule font trembler le sol New Yorkais, au milieu de ce mois de mai. Étant, habituée à connaître tout le monde sans exception, la jeune femme remarqua très rapidement une silhouette qu'elle ne connaissait pas. Un nouvel arrivant en ville ? Fort probable, puisqu'elle ne l'avait jamais vu ici. En même temps, un homme tel que lui et, reconnaissable à des milliers de kilomètres. Elias est le genre d'homme qui ne passe pas inaperçu particulièrement auprès de la gente féminine. Elle se rappellera quoiqu'il arrive, quoiqu'il advienne, les premiers mots qu'elle lui à accorder ce jour-là. Ce n'était qu'une simple petite phrase suivie d'une deuxième. À l'époque, Opale était quelqu'un de très impatiente, cela faisait partie de son tempérament. Elle essayait tant bien que mal de se soigner de ce défaut mais, ça devait compliquer. Surtout quand on a un homme comme Elias Rhodes à vos côtés. Ne pensant pas un fragment de seconde que celui-ci parlait divinement bien notre langue, la demoiselle fut incroyablement surprise de voir qu'il comprend à la perfection ses questions. Commençant à rougir puisqu'elle venait de cacher pour la dernière des débiles, elle finit à lui faire un beau sourire pour essayer ce petit moment de solitude. Évidemment, il avait répondu aux questions que la demoiselle qui s'était pas gênée de s'installer à ses côtés sans autorisation. Suite à cette toute première rencontre entre les deux jeunes gens, c'est poursuivi de deux heures plus ou moins de discussion. Souvent en train de déroger aux règles, elle prenait un malin plaisir de faire front au cours de Monsieur Baker ce jour-là. En temps voulu, le cours de Baker n'était guère aussi intéressant que le nouvel arrivant à New York University. On aurait pu penser dans les minutes qui suivaient cette rencontre que Opale avait jeté son dévolu sur le jeune damoiseau. Tout ceci était strictement faux, elle avait trouvé en Elias un allié. D'ailleurs, elle fut agréablement surprise quand Elias vint à surnommé la demoiselle comme sa Bonnie très rapidement. Très naturellement, elle vint à décider de surnommé le damoiseau comme son Clyde. Ce fut un début d'une amitié éternellement magnifique. Ils sont très vite devenus inséparables. On ne voyait jamais Elias sans Opale et, inversement. Si l'un était invité, l'autre devait suivre obligatoirement. Très souvent juger sans pourtant, apprendre à la connaître. Opale, connaissait ça. Elle vivait avec malgré, que ça devenait dérangeant à force mais, quand on vit ainsi depuis des années. Cela devient presque impossible de changer. Sauf, que la dernière fois qu'ils se sont vus c'était à la soirée de fin d'année à New York. Ils avaient bu énormément, s'étant promenés sur le grand chemin des confidences. Profitant au maximum de cette soirée, ils ont fini par s'éloigner pour rejoindre un petit lac assez sympathique. Évidemment, Opale avait encore une fois cessé de poser des questions sur le chemin qui les amèneraient au lac. On ne change pas une équipe qui gagne, n'est-ce pas ? Ce fut une soirée assez hilarante, quand on n'y repense. Elias qui portait son alliée sur le dos pour qu'à la fin après avoir emmêlé les pieds finissent la tête la première dans le lac. À ce moment-précis, jamais elle n'aurait pensé franchir ce cap avec lui. Toujours en train de crier sur tous les toits, son amitié avec lui. Ô grand jamais, elle n'aurait pas pensé balancer ses vêtements contre le sol pour se laisser au plaisir charnel avec son Clyde. Se croyant invisible, que personne ne pourrait le séparer ou même l'éloigner simplement d'Elias. Tout cela était faux au final, puis qu’après ce dérapage entre eux. Opale n'eut plus qu'aucune nouvelle d'Elias, même pas un mot d'adieu, rien. Néanmoins, jamais elle n'oublierait ce visage si angélique, si parfait de son allié. Or, elle a retrouvé son Clyde. Sa moitié. Mais, qu'un bref instant ... Puisque quelques semaines plus tard, celui-ci décide de quitter Cambridge.

« Mais au fond, il n'y a pas d'amis, il n'y a que des complices.
Et quand la complicité cesse, l'amitié s'évanouit. »
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Il était son double au masculin, son idéale. Son âme sœur. Il avait été son coup de cœur en amitié. Avec lui, Opale pouvait absolument tout se permettre. Elle essayait de l'aider à s'en sortir. L'aider à redevenir le Siméon Oswalds qu'il était avant, d'apprendre que Lysa ne voulait pas de lui. La blondinette avait détruit Siméon sans exagération. En cause d'elle, il était devenu le pire nigaud qu'on pouvait rencontrer sur terre. Un vrai connard à l'état brut. Malgré cela, il restait sa moitié. À la base, c'était Elias la moitié de Opale. Mais, après son départ précipité pour NYC. Opale s'était effondrée dans le désarroi. Elle n'était clairement plus la même qu'à son arrivée à Cambridge. Mais, Siméon avait réussi à être patient. Réussir à faire revenir quelques peu la jeune femme qu'il connaissait avant cet abandon. Ils étaient promis de rester soudées comme les deux doigts d'une main. Ils étaient lui et elle contre le reste du monde. Sauf, que Siméon comme Opale n'aurait jamais cru qu'un événement pourrait les séparer définitivement. Jamais, Ô grand jamais. Ils n'auraient pensé passer le cap de l'amitié. Il a suffi des vacances d'été à faire le marathon des parcs à Orlando. Pour qu'il s'embrasse pour la première fois. Ce fut un élément déclencheur dans leurs esprits. Suite à ce bisou échangé après une énième dispute entre eux. Ils décident de se mettre en couple. Une DÉCISION qui n'auraient jamais dû prendre ensemble. Une ACTION, qui a mis un terme à une amitié qui se pensait indestructible. Ils avaient complètement TORT. Puisque, Siméon même s'il était en couple avec Opale. Apprécier séduire différentes demoiselles qu'il pouvait croiser. Sauf, qu'au final le couple Siméon/Opale ne dura pas. Quelques semaines après avoir décidé de se mettre en couple. Opale prend la décision de rompre avec lui. Elle n'apprécie pas son comportement envers les femmes. Quand tu es censé être en couple, tu lui dois fidélité malgré les obstacles que tu rencontres. Néanmoins, Siméon n'avait vraiment pas la même définition du mot « couple » que celle de Opale. Du coup, suite à cette rupture qui brisa quelques peu la jeune femme. Elle décide d'aller finir ses vacances à Marbella et à Ibiza. Faire la fête dans les lieux où la haute société pouvaient se trouver. Était de loin la meilleure solution pour que Opale se reconstruise petit à petit pendant le reste de l'été. Elle était brisée en milliers de morceaux. Son cœur s'en remettrait probablement pas. Or, elle avait besoin de rester éloigner de Siméon. Qu'elle se délecte un peu de sa présence. Qu'elle puisse penser enfin un peu à elle. Elle devait se rendre à l'évidence. Elle n'était clairement pas faite pour l'amour avec un grand A même, qu'en minuscule. Elle devait se résigner à tomber amoureuse comme, on tombe d'une chaise.

« il y a des chansons qui nous donnent envie de danser, d'autres qui nous
donnent envie de chanter à tue-tête. mais les meilleures chansons
sont celles qui nous ramènent à l'instant précis où on les a entendu
pour la première fois et qui à nouveau vous brisent le cœur. »
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Elle était plus déterminée que jamais. La fin de l'été venait de se terminer et, elle retrouverait incessamment sous peu la Californie ainsi, que les bancs de l'université. HARVARD. C'était dans cette université qu'elle étudie depuis l'année dernière. Même si Opale, se sentait joyeuse de retrouver l'université. Elle l'était davantage moins de retrouver son meilleur ami Siméon. Depuis son départ précipité, ils ne se sont pas adressés la parole. La demoiselle avait pris la fuite. Elle avait décidé de se rendre à Marbella pour le reste des vacances. Elle avait fait un petit détour vers Ibiza en revenant. Pour le reste de ses vacances qui avaient commencé par un drame majeur. Opale avait préférée se réfugier dans les fêtes de la haute société que de se morfondre avec un pot de glace devant un film à l'eau de rose. La jeune femme n'est pas quelqu'un de sentimental habituellement. Mais, Siméon avait réussi à toucher un point pénible qu'elle ne connaissait pas en elle. C'est aussi pour cela, qu'elle en voulait atrocement au jeune homme. Puis, faut dire que peu de personnes attendent réellement le retour de la belle. Hormis, son cousin Roman. Personne, de réellement très important pour Opale désirait son grand retour. Même si la nouvelle année scolaire promettait d'être très riche en rebondissements, qu'en dispute avec une certaine jeune femme. La jeune femme était un peu jouissive de retrouver ces marques dans cette ville. Une ville que Opale affectionne très particulièrement depuis qu'elle a posé ses bagages l'année dernière. De plus, après avoir hérité une somme importante grâce à l'héritage qu'elle a obtenue de Monsieur Caldwell. Elle se sent assez privilégié à Harvard. Personne n'était au courant du pactole que Opale venait d'encaisser. Harvard here i come, again !