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CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill

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Fiche Étudiant


 
C'est le trois décembre mille neuf cent quatre vingt douze à Monaco, que les membres de la famille royale Grimaldi. m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Elizabeth Stephanie II Charlotte V surnommée Kiara.  Je suis célibataire et marier à mon titre et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis pansexuelle c'est de famille. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de physique quantique (M) et botanique (m) depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que mannequin pour la marque de ma mère. Et pour terminer, je voudrais intégrer les ELIOTS ou les WINTHROP CABOT.

 
Pourquoi ELIOTS ou CABOT ?
 
ELIOTS :heaart:
Seuls les héritiers de puissants empires politiques, commerciaux ou familiaux peuvent prétendre à entrer dans cette maison prestigieuse. Je pense que la question ne se pose même pas, étant de famille royale, je ne vois pas ma place ailleurs que chez les bleus. Certes, je ne suis pas une copie conforme de la princesse hautaine et sûre d'elle, que la description de la maison annonce, mais je reste de sang royale. Et je ne me vois pas séparer de mon frère et de ceux qui me ressemblent. De plus, mon père chante les louanges de cette maison, qui d'après lui est la meilleure maison d'Harvard, et comparant sa maison à lui, du temps où il était à l'université. Ce serait un honneur de les rejoindre.

CABOT
Je ne suis pas très féminine, hormis les fois ou je suis obligé de l'être. Mais une maison rempli de fille ne me dérangerait pas, dans l'absolu. Être entouré des perfections absolues d'Harvard, serais un moyen peut être d'en devenir une ? De plus, ma mère aimerait beaucoup que je fasse plus attention à moi, dans un sens, ce serait pour lui faire plaisir, mais à moi aussi.

WINTHROP
  Parce qu'ils sont tous sexy et que je me voit pas bien avec eux. CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 2157042859

Mon personnage c'est le plus beau
 

 
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
Expansifou Tranquille
Audacieux ou Réservé
Ouvert ouSecret

  SENSATION (S)- INTUITION (N)
 
Factuelou Abstrait
Pragmatique ou Innovateur
TraditionnelouOriginal
PENSÉE (T)  - SENTIMENT (F)
 
Impartialou Empathique
Détaché ou Compatissant
Logique ou Subjectif

  ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
 
Structuré ou Souple
Circonspect ou Spontané
Conformiste ou Non-conformiste

 APRÈS LA BOMBE
 J'étais coincée à la bibliothèque quand ça s'est passé. C'est flou dans ma tête, je me rappel de la brume et des livres qui s'envolent. Des pages d'encyclopédie qui flotte au-dessus de ma tête et des gens en panique. On nous demande de garder notre calme, mais c'est comme si t'arracher la jambe et qu'on te demande de te taire. La fille avec moi, avait était écraser par une étagère. Son bras entier était ensevelit sous cette énormité et nous nous sommes mis à plusieurs pour la sortir de là. Suite à ça, on a évacué. J'me rappel avoir tellement paniqué que j'ai failli me pisser dessus, une fois dehors, je me sentais coton. Mon corps ne me répondait plus et je m'évanouis. Je m'en suis voulue parce que j'ai était une charge en plus à ses personnes qui était déjà en difficulté et le lendemain, j'avais la tête dans des draps blancs et une odeur de javel.


 
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle WILD HEART. et j'ai dix sept pige. Je suis une belle gosse et j'ai connu le forum grâce à pub il me semble ? Ou juste parce que tout le monde connais ilh CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 3997999705.  Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de alaska harrison le glaçon (+ dunster house forever) . J'utilise taylor marie hill comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Lady Fame™️. Je fais environ 300/500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

 Mot de la fin ? ▲ j'ai encore un soucis avec mes cases CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 2157042859
 Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
 
adhérer un flood d'intégration (?)
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Il était une fois...

KIARA EN QUELQUES LIGNES  : Je suis belle, passionnante, sexy, j'ai un cul tel Kim Kardashian (en plus plat bien sûr, la même pour les seins, mais ça reste entre nous?), on dit souvent que j'ai une haleine agréable, de beau nichon et je sais faire du couscous comme personne. Je suis à marier pour les intéresser, contacter mon père. Non plus sérieusement, je me voit comme une fille impulsive, sure d'elle, très passionner par tout ce qu'elle entreprend, dynamique, sociale, attachiante oserai-je dire. Mes défauts ? À part mon énorme bouche de suceuse, je ne vois pas. AH SI ! je suis mauvaise perdante, je suis pas du matin, je n'aime pas les lundis, je hais les insectes, je déteste mon père, je suis très chiante à partir de vingt-deux heures, je chante comme une attardé mental, j'ai deux ans d'âge mentale d'ailleurs ça explique des choses, je suis pire que jalouse et possessive, je tiens jamais la porte, je nage comme un chien qu'on a jeté à l'eau, je ronfle, j'ai des tache de rousseur sur les seins, je hurle quand je baise, en somme, je suis parfaite ! Épouser-moi.
­

C'était une grande amoureuse, une grande idéaliste, exaltée et passionnée. Brutalement, elle a pris conscience que la personne qu'elle aimait le plus au monde était capable de lui mentir et de la blesser.  

Tu te sentais nerveuse et nauséeuse, va savoir pourquoi. Ça faisait un million de fois que tu t'entraîner à ce morceau, et pourtant, tu étais en stresse totale. Ta tante débarquer dans un claquement de porte, elle ricane en les refermant, se rendant compte du boucant qu'elle venais de faire. Tu roules des yeux et regardes de nouveau tes pieds, ne sachant pas vraiment comment te calmer. Elle s'assoit près de toi, pose un verre de jus de fruit sur la table à ta droite et passe une main protectrice sur ton épaule. « Tu sais quel a été le plus beau jour de ma vie ? » tu te tournes vers elle, elle est si sereine et si douce que ça te perturbe. T'as l'impression de me stressais toute seule, ton corps entier tremblote, et tu ne sais plus où donner de la tête. Tu fais non de la tête, tandis qu'elle passe ses mains dans tes cheveux pour arranger ta coiffure. « Le jour de la naissance d'Izoë ? » dis-tu tout de même pour essayer, si ça n'était pas ce jour là, ça devait être un autre similaire. Genre ses premiers mots, ses premiers pas, son premier sourire. « Non, non, ça a été un jour horrible. Imagine toi faire sortir un ballon de basket de ton vagin. » dis-elle en faisant des gros yeux, tu éclates de rire. C'était si glauque, et tu n'avais que dix ans. La notion du sex t'étais encore inconnue, tu disais : ew, à chaque fois que tu voyais tes parents s'embrasser. Même si dans ton programme, tu étais déjà arrivé à comment on fait des bébés. Tu ricanes, désormais, ses doigts sont sur ton visage, qu'elle tourne vers le sien. Elle plonge ses yeux dans les tiens, et te fait un tendre sourire. « C'est quand j'ai appris ce que le mot liberté voulait dire. Je devais avoir ton âge, et je vivais selon les règles qu'on m'imposer, et un jour, j'ai compris que ce n'était pas la vie que je voulais. Alors je suis partit. J'ai senti comme une liberté, comme si on m'avait retirais un truc énorme sur les épaules. Et pour ne rien te cacher, j'aimais cette sensation. Et toi, toi, quand j'te vois sur la scène, et que tu t'agites avec ton machin-bidule là. Je me revois à ton âge, marcher le long des rails du train. Sauf que moi, on m'a engueulé, et toi, on va t'applaudir. » D'un geste doux et délicat, elle presse ses lèvres contre ton front. Tu sent une présence, une fois l'étreinte finit tu remarques le gars de la régie te faire un signe de la tête. Ta tante te murmure, je t'aime, que tu lis sur ses lèvres une fois à la porte. Tu n'as que onze ans, et tu vas auditionner pour entrer dans le programme junior de Julliard School, en Angleterre. C'était un des plus grands rêves de ta mère, et après avoir fait cinq ans de violoncelle, trois ans de piano et quatre ans de guitare, tu étais enfin prête. « La princesse Charlotte Grimaldi De Monaco.  » annonce la régis, tu ne comprends pas pourquoi il a était obliger de souligner que tu étais une princesse, tu soupires, salut les membres du jury d'un hochement de tête tout en positionnant à ta place. Francis, ton violoncelle était un peu trop grosse pour ton âge et ta corpulence, mais ta mère avait insisté pour que tu soit déjà habituée à jouet dans la cour des grands. Tu le cales entre tes cuisses, redresses la tête, arranges les accords.. et puis.. Et puis c'est partit tout seul. Tes doigts joue cette mélodie que tu connais par cœur, plus aucune hésitation ne se présente lorsque tu es lancé, les doutes que tu avais il y a quelque minutes de cela s'efface sous la raideur de tes doigts. Tu penches la tête de temps à autre pour écouter le son que ça fait, la vibration sous tes doigts te suffit amplement pour reconnaître les notes, mais parfois écouter aussi peut servir. Tante Charlotte était là, tu avais hérité de son prénom, puisque tu étais la deuxième née de la famille tout comme elle. Elle t'avait emmené à New York pour la première épreuve et la voilà aujourd'hui, seule, dans l'ombre des projecteurs. Tu ne voyais qu'elle, et tu n'avais envie de voir qu'elle. Ta mère était si stressée qu'elle refuser de venir voir ton audition, à croire que c'est elle qui passe le concours. Ton frère et ton père étaient bien trop occupés à faire des activités royales, pour se soucier de la vie de la deuxième née. Et puis tu n'avais pas besoin de ça, tu n'avais besoin que d'elle, parce qu'elle te donner l'impression d'être une fille normale. Tu ne savais pas que c'était la dernière fois que tu la voyais, que tu pouvais sentir son haleine contre ton front, tu ne savais pas que le soir même, elle allait foutre le camp, faire ses valises, quitter sa fille et quitter cette vie qu'elle n'a jamais voulu vivre. Et puis, et puis elle se serait pris un connard au téléphone, contre lequel sa voiture, c'est cogner. Des débris de verre, du sang, des bouts de corps un peu partout. Et cette sensation d'être une fille normale, se serait envolée avec elle.


ecoute, la vie ne va pas se fâcher parce que tu es heureuse. on peut dire tout ce qu'on veut de la vie mais une chose est certaine : elle s'en fout. elle n'a jamais su distinguer le bonheur du malheur.  

T'as était prise dans ton école, qui en douter ? Mais tu voulais plus jouer, ça te rappeler trop ta tante, et en plus, ça t'énerver. Et ta mère a compris, parce que la musique peut aider comme elle peut déprimer. De toute façon, ton père avait d'autre projet pour Némo et toi, ils voulaient que Monaco soit plus connue, et surtout que ses enfants est une culture générale immense comme il avait pu l'avoir lui. C'est donc avec plaisir qu'il a commencé à vous envoyer un peu partout dans le monde, pour vous imprégner de la culture, mais aussi pour que vous vous rendiez compte de la chance que vous avez comparée à d'autre. Non, il voulait que vous soyez choqué par la pauvrette, marqué par la sueur qu'il doit couler pour avoir un morceau de pain, observer la famine dans le blanc des yeux, vous rendez compte que les gens ne sont pas que du bétail, que chaque âme est précieuse et que chaque vie mérite d'être défendue. Non, il voulait que vous soyez choqué par la pauvrette, marqué par la sueur qu'il doit couler pour avoir un morceau de pain, observer la famine dans le blanc des yeux, vous rendez compte que les gens ne sont pas que du bétail, que chaque âme est précieuse et que chaque vie mérite d'être défendue. C'était plus pour Némo que pour toi, parce qu'il fallait qu'il se rendre compte qu'il allait pendre pouvoir d'un peuple et non d'un troupeau, ou d'une botte de foin. Vous êtes donc allé un peu partout, chaque continent était une nouvelle histoire et chaque nouvelle histoire était une nouvelle langue et une nouvelle culture. Némo s'en sortait très bien, il était gentil et concentrer sur la mission donnée par votre père, toi, toi tu étaient encore un peu troublé, dans les nuages. A vrais dire, tu commençait à te demander si c'était la vie que tu voulais vivre, tout ça, ses robes de princesses, ses bals de charité, ses dîner donner en l'honneur de Pierre, Paul, Jacques venant de je ne sais où. Bien sûr, ce n'est pas donné à tout le monde d'être la princesse d'un pays riche tel que le votre, mais était-ce vraiment ce que tu voulais être ? Et puis, d'accord, c'est cool dans Disney, mais t'es pas Cendrillon, non toi t'es.. « Kiara ! » hurle Némo, alors que celle-ci fait son apparition entre les bras de Rafiki. Vous étiez en direction de Tokyo pour fêter vos seize ans, jet privé, buffet privé, vous vous gavez de skittle et d'ice tea quand celle-ci refusais de manger un asticot proposé par Timon et Pumbaa. Tu avais regardais ce dessin animé des millions de fois et jamais, tu n'avais compris le comportement de lionne, briser les règles alors qu'il n'y avait pas de raison, vivre un amour interdit alors que justement.. C'est interdis. Tu souris doucement, Némo te regarde avec des yeux de merlan fries. « Pourquoi t'es bête ? » te dit-il en te balançant un coussin au visage. « Pourquoi t'es moches ? » réplique tu en imitant sa voix de pd. « Parce que t'es ma sœur jumelle, la moche. » dis-il en te tirant la langue, tu lui balances des bonbons et il rit à gorge déployée. « Némo, appel moi Kiara, maintenant. » On fait une belle troupe de Disney tout de même. Il riait doucement à ta remarque. Ça lui faisait plaisir que tu te soit enfin trouvé un surnom, il se faisait déjà surnommer Némo depuis un moment et se sentait un peu seul dans son délire Disney. Tu comprends qu'il rêve aussi de s'évader, comme le ferait Némo, mais c'est un peu difficile vu son cas. Ce surnom fit moins rire tes parents, depuis que tu l'avais pris en blase, les journalistes et les critiques politiques l'utiliser à toutes les sauces. « La princesse de la savane », « la sauvage kiara », « la lionne du palais », ça n'en finissait pas. Tu ne regrettais pourtant pas ton choix, c'était un beau surnom et tu aimais l'idée d'être sauvage et féroce.


Et pendant ce court instant où nous parlions de choses futiles, le monde sembla s’arrêter autour de moi. Il n’y avait plus que nous deux, le reste m’importait peu, le reste n’existait plus. Pendant ces quelques secondes, tout mon être s’est senti (re)vivre comme autrefois, comme quand la vie nous appartenait à nous seuls.  

Puis tu es vraiment devenue Kiara, c'était peut-être le froid du Canada qui te faisait cet effet, ou juste le moment qui le rendait de mauvais poils. Ça faisait plusieurs mois que tu enchaînais les fêtes, les beuveries, les coups d'un soir. Les choses n'allaient pas dans ta tête, pourquoi ? Va savoir. Tu aimais sentir la chaleur humaine contre ta peau, tu aimais sentir l'haleine d'inconnue sexy sur ta nuque, l'alcool dans tes veines était un pur délice. Et puis, t'avais arrêter de te cacher, tout le monde savait que tu étais la princesse sauvage et tout le monde s'en ficher royale, parce que merde, ce n'est pas toi qui vas gouverner ce pays. Toi t'es juste tomber au mauvais endroit, au mauvais moment, tu ne voulais pas être ce que tu es, tu voulais être normale. C'est si dur à porter, c'est si lourd à porter, que le soir tu aimer te fondre dans les ras de marré de personne paumer, comme toi, tu trouvais un réconfort dans ces soiré sans lendemain, ses inconnues joyeux. Après tout c'était ce que tu venais faire non ? T'imprégner de la culture et des gens. Il devait être trois heures du matin, et t'avais bue une bouteille de rosé à toi toute seule, le sol était déjà pencher ; alors que tu étais assise sur le rebord de ton lit, de peur de vomir dans tes draps. Hors de question que tu dormes dans ton vomi, c'est mieux de faire ça ici, sur le rebord, c'est plus facile à nettoyer. Mais rien ne venait, tu venais de parler avec Izoë, elle était grande maintenant, comme toi, elle voyager pas mal, mais elle avait tout de même une vie plus simple et sans toutes ses obligations princières. La vérité, c'est que tante Charlotte avait dix-huit ans quand elle a mis au monde, et pour l'honneur du palais, on avait fait en sorte de ne pas parler de la petite Izoë, elle était donc en dehors de toutes ses obligations, c'était juste une riche petite fille, gâtée par sa famille et libre de faire ce qui lui plaisait. Comme toi, elle avait était prise à Julliard School junior, mais contrairement à toi, elle l'avait parce qu'elle en avait envie. Tu ne savais plus vraiment si tu étais contente d'elle ou si tu étais jalouse d'elle, tu voulais l'étouffer dans ses bras, et bizarrement la voir, s'étouffer, ne te choquer pas plus que ça ; elle avait la vie que tu as toujours voulue mener, certes, elle n'a pas connu sa mère, mais elle avait le choix, et mieux encore, elle avait son mot à dire. Toi, tu n'avais rien à dire à qui que ce soit, et c'était pénible à la longue. Némo est entré brutalement dans la pièce, il était soul aussi, mais il tenais mieux l'alcool apparemment, ou peut être que vous étiez bourré tout les deux et que rien n'allais plus. Tu le tires pour qu'il s'allonge avec toi sur le tapis, au plafond était accrocher une dizaine d'étoiles qu'il avait coller avec son petit ami de l'époque, d'ailleurs tu te rappel qu'il était ensemble et ça t'étonne de le voir rentré si tôt. « C'était rapide avec Oscar. » dis-tu dans un gloussement, il rit aussi et passe une main sur son visage comme exaspéré. « J'sais plus où donner de la tête Kiara, elle va exploser. » tu imites un kaboom avec mes mains, comme si ça allait arranger les choses, il glousse, tu crois que tout le feras rire ce soir, parce que tout te fait rire aussi. Les étoiles sont magnifiques, elles brillent dans le noir, tu sais très bien que c'est du colorant fluorescent, un peu de luminol, de peroxyde d'hydrogène et un peu d'eau, qui s'active à chaque fois qu'on allume une de lumière à ses côtés, mais tu ne cesse de te dire que c'est aussi beau que de regardais un vrai ciel, avec de vraies étoiles. « Je crois que j'l'aime. » tu te tourne vers lui, laissant le spectacle des étoiles. La seule personne que mon frère aime, c'était ma mère et tu ne l'avais jamais entendu parler comme ça, avec cette voix, se regard et se sourire béant. « Et lui ? » Il secoue négativement la tête et glousse, mais pas pour rire, mais pour pleurer. Il est a deux doigts de fondre en larme, tu ne sais pas trop quoi faire et tu te rappel que gamin, il aimait bien quand tu lui joues un morceau de musique. Alors tu te redresses, et utilises le peu de force qu'il te reste pour prendre mon archet, et ce bon vieux Francis que ta mère t'as forcé à emporter. « Tu vas faire ça pour moi ? » me dit-il tandis que tu cales l'instrument entre tes cuisses, tu penches la tête, ajuste les cordes qui n'ont pas étaient accorder depuis un lustre. Et tu te mets à jouet. Naturellement, c'était si simple de passer tes doigts sur cette corde raide, et de sentir de nouveau la vibration de Francis. Il était en pleure face à tes notes, il était si heureux que tu joues de nouveau avec lui. Némo vous regarde avec un sourire aux lèvres, il aimait le son de Francis, il l'a toujours aimé. Et il s'allonge sur le dos, pour écouter ce morceau de Bach qu'il aimait tant, joué par cette fille avec qui il partagerait un cercueil en enfer. Tu revivais, dans les cordes de Francis, dans les notes que tu jouais, c'était si facile et si dur à la fois. C'était comme faire l'amour à quelqu'un que tu connaissais déjà, tu sais où poser tes lèvres, tu sais ce qu'il faut toucher pour le rendre heureux, et il te connaît aussi, il sait quoi faire, comment faire, il n'est pas maladroit, il va droit au but.


.J'essayais de lui dire à quel point la vie m'emballait,de lui parler de tous les trucs qu'on pourrait faire ensemble.Elle s'est détournée avec lassitude.On est restés à regarder le plafond et à se demander où Dieu avait voulu en venir quand il avait crée la vie si triste,si désenchantée.  

« Mon fils est gay et ma fille est une traîné, comment veux-tu que j'me calme ? » Némo et moi avions finit notre tour du monde, nous avions dix huit ans et plus, s'approchant plus des dix neuf à ce moment-ci. Il lève les yeux sur moi, tandis que je fit mine d'être absorbé par mon omelette. Nos parents étaient tout deux dans la pièce d'à côté, mais il aurait fallu être sourd pour ne pas les entendre s'engueuler. « Je t'en pris, fait quelque chose, réagis ! On est entrain de perdre nos enfants. » ma mère claque une chaise, ou quelque chose d'assez fort pour que ça fasse trembler le lustre au-dessus de nos têtes. « Oh oui, Albert, quand c'est pour t'occuper de tes affaires intérieures, tu sais faire sauter tes rendez-vous du matin, mais quand NOS enfants, deviennent des dépravée, tu ne peux pas faire attendre le ministre des affaires étrangère. Et bien soit, désormer, je m'occupe de MES enfants et toi, tu fais ce qui te plaît. » cette-ci, c'est la porte qui claque. Tu entends ta mère descendre les escaliers d'un pas, lourd, alors qu'elle s'approche, la domestique se penche pour tirer sa chaise, elle s'installe sans nous dire bonjour et fait un signe à celle-ci pour qu'elle nous laisse. Ses lunettes de soleil sur le nez, et son énorme chapeau de première dame sur la tête, elle nous regarde un par un, avant de prendre la parole. « Vous allez rester au Etats-Unis, vous assurez d'avoir un bon avenir et vous tenir à carreau avec la presse. Rainier, tu vas passer des tests pour Harvard, Yale et Barkley. Charlotte, tu as rendez-vous cette après-midi pour une audition pour Juilliard. En espérant que vous ne foutez pas tout en l'air, comme à votre habitude. » sa froideur n'était pas habituelle, généralement, elle nous serait si fort qu'on sentait nos os se brisait. Ta mère, c'était lancer dans un projet mode, ce qui fait qu'elle travaille et a un emploi du temps charger d'autre chose que de bruche avec d'autre femme riche, elle avait des clients a satisfaire et une marque a tenir, dont tu était l'égérie d'ailleurs. Mais ton père ne supportait pas cette idée, premièrement parce que pour lui un femme ne travaille pas, et deuxièmement parce qu'elle flirter avec quelques mannequins qui travailler là. Et ça ne l'arranger pas que ta mère est un lien direct avec ses filles, qui était sûrement ses maîtresses. Tu acceptes, même si ça ne t'enchante pas plus que ça, toi aussi tu aimerais aller à Harvard, Yale ou Barkley, même si tu n'avais aucune idée de ce que ton avenir serais. Le soir même, chacun partit dans sa direction. Tu disais au revoir à ton frère, que tu ne révérais sûrement plus pendant un long moment. Ce fut dur, mais tu aimais l'idée d'être seul le temps d'une année, voir deux. Plus rien ne t'obliger à appeler ta mère, ni ton père, hormis les rendez-vous qu'elle te donner pour les shooting de sa marque. Mais très vite, elle se fit ami avec Kate Moss qui prit plaisir à poser dans ses fringues. Tu passais donc aux oubliettes et c'était bien mieux que tu ne puisses imaginer. La musique était ta raison de vivre, tu vivais dans un petit appartement à New York, et avait fait de la chambre d'ami un petit jardin botanique où tu y étudier les plantes dans ton temps libre. Tu adorer te perdre dans les feuilles, les couleurs et les odeurs de chaque plante, et surtout savoir de quoi elle était composer. C'était bête comme passion, mais c'était tout de même la base de la vie, après tout, pourquoi les plantes ont-elles survécu alors que les dinosaures sont mort ? Pourquoi sont-elle la première chose à lequel Dieu à penser quand il a créé la terre ? Cette passion, mélanger au mathématiques ont finit par t'apportais plus de sensation que de jouer avec Francis. Résoudre des équations, trouver de nouvelles formules, comprendre comment peut-on voler, pourquoi ne peut-on pas respirer en dehors de la stratosphère. Des milliers de questions que seules les sciences et les calcules pouvait répondre. Tu finis donc par laisser tomber Francis, Julliard et la musique. C'était devenu trop factice pour toi, certes ça calmer ton envie de liberté, mais la liberté, tu l'aurais si on pouvait respirer en dehors de la terre. Septembre deux mille onze, tu passes un test pour Harvard, et sans surprise, tu es acceptée. C'était ton nouveau départ, la nouvelle raison pour laquelle tu te lever le matin, la liberté.
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Bienvenuuuue CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 1839924927
Courage pour ta fiche CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 3850463188
Le giiif CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 1365124802
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C'est la princesse de la savane. CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 152426858
Merci :heaart:
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Hiiii rebienvenue mon enfant, bonne chance pour cette fiche hanwii CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 1839924927
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Merci ma billie d'amour. CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 2109348208 CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 2659158125
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Re Bienvenue parmi nous CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 3850463188
Good luck pour ta fiche Vic
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Merci sœurette d'une autre vie. :heaart: CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 1629572796
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re-bienvenue sur le forum :heaart:
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Merci CHARLOTTE KIARA GRIMALDI ► Taylor Marie Hill 2659158125
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