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VICTORIA&MARY ▬ it's where my demons hide

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Mercredi, fin de journée. Je sortais de la bibliothèque où j'avais passé une bonne partie de l'après-midi, cloitrée dans une des plus belles pièces du bâtiment avec mes nouveaux meilleurs amis du moment, mes derniers bouquins de droit. La compétition était forte à Harvard, mais je me devais d'être la meilleure. Ainsi, alors que la plupart aurait profité de leur journée libre pour se détendre un peu, moi je bossais, inlassablement, et comme toujours. Ce ne fut que lorsque les grondements de mon ventre affamé eurent réveillé la moitié de la salle que je décidais, sous les regards sévères des autres étudiants, de sortir enfin. Un tour au Starbucks et un sandwich plus tard, je devais passer à la Eliot House. Un an et demi que j'habitais seule dans un grand appartement à Cambridge, mais il était grand temps que je change un peu. L'ennuie devenait trop mortel. Vivre en communauté ne m'avait jamais branché, mais puisque c'était avec des gens comme eux, j'étais décidé à tenter l'expérience.

Le rythme de mes talons hauts martelait le sol à mesure que j'avançais. Il n'y avait presque personne dehors, trop froid surement. Les arbres avaient perdus toutes leurs feuilles, et une bonne couche de neige recouvrait ça et là les pelouses. Je resserrais mon manteau contre moi dans l'effort vain de me réchauffer un peu et passais la main dans mes cheveux, remettant dans le désordre ma longue tignasse blonde. La Eliot House n'était plus très loin. Grande, imposante, magnifique. Je pensais pouvoir m'y plaire. Encore quelques mètres, et j'arrivais devant.

Mon pas se ralentit un peu. Une étudiante se tenait devant moi. Brune, grande, elle était étrangement familière. Mon coeur rata un battement. Et si .. ? J'avançais toujours, montais les marches avec assurance, alors que j'étais tout sauf à l'aise. J'avais comme un mauvais présentiment, et si c'était elle ? Je continuais toujours pourtant. Hors de question que je m'arrête en si bon chemin. Si ce n'était pas elle, tant mieux, et si c'était le cas, qu'aurais-je à lui dire de toute façon ? J'étais arrivée. Ma main se posa sur la poignée, prête à entrer, lorsque la personne dernière moi m'adressa la parole.

C'était elle.
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J'avais enfin décider de retourner vivre à Cambridge. Ma seule raison? Mon frère Andrew. Il était mal au point lorsque je l'avais eu au téléphone et je m'inquiéter pour lui beaucoup trop. Donc , je décide de faire mes valises et poser pieds à nouveau dans l'université d'Harvard. J'ai déménager chez mon frère et je ne l'avais pas prévenu , j'aime surprendre mes proches. Quoiqu'il en soit , je suis arriver à temps , Aaliyah avait accoucher de ses jumeaux , du coup en tata parfaite je leur ai offert tout pleins de cadeaux. J'étais émue de les voir , si petits si mignons , si adorables quoi. Je ne regrette pas mon retour , j'espère juste qu'il n'y aura plus de bombe ou de prise d'otages , j'en ai marre de ne pas me sentir en sécurité. Je suis une princesse , je devrais être en sécurité partout , enfin... Je préfère oublier tout ça. Alors j'avais contacter mes sex friends , comme Marc et Umberto. Je les avais revu et c'était juste trop bien , ils m'avaient manqués. J'ai passer une excellente soirée en compagnie de Margaux , qui n'est autre que la soeur de Marc et une très bonne amie à moi. Ce retour n'a pas était de tout repos je dois dire , j'ai fait du shopping comme à mon habitude. Toujours est il que je devais tout de même suivre mes cours , je ne suis pas là pour ne pas étudier non plus... Cette nouvelle vie me va très bien , je dois admettre que retrouver mon frère m'a fait le plus grand plaisir. Ma famille passe avant toute chose. En tant que grande soeur , je dois bien être près de mon petit frère n'est-ce pas?

J'avais passer une journée des plus banales de cours. Je n'étais pas trop concentrée , mais j'essayais tout de même. Je ne dors pas beaucoup en ce moment depuis mon retour il fallait bien que je rattrape le temps perdu. Tout en essayant de suivre le cours , je voyais bien que ma prof n'était pas dupe. Elle savait que ma tête est ailleurs , elle allait me faire une remarque , lorsque la cloche se mit à retentir. Sauvé par le gong. Je me mit à ranger toutes mes affaires et sortir de la salle de classe , préoccupée par mes pensées diverses. J'allais en direction de la Eliot House , vu de l'extérieur elle est tout aussi magnifique que de l'intérieur. Je pouvoir voir une jeune femme blonde passait devant moi. Je restais perplexe , elle me disait quelque chose... Alors je ne pu m'empêcher de réfléchir en profondeur et ... C'est elle. « Victoria... » Alors , évidemment de ce fait , je montais les escaliers afin d'arriver à sa hauteur. Je veux des explications.  « Tu m'évites toujours alors ! Va falloir qu'on parle un jour. » J'étais plutôt déterminée là. J'en ai assez de ces silences.
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L'idée, c'était d'entrer, de trouver Tate et de lui demander ce qu'il pensait de mon emménagement à la Eliot House. Après tout, je ne faisais pas encore vraiment partie de la confrérie, mais l'idée de vivre avec eux me branchait vraiment, et j'étais sur que mon bizuteur était la meilleure personne à qui en parler. Tate était tellement adorable. Gentil, drôle, avec des petites fesses à croquer. Quelle chance j'avais d'être la bizut d'un être si parfait, et quel bonheur de ne pas être celle de Phoenix, qui faisait pâle figure en comparaison. Vraiment, j'adorais le vice-président de la Eliot House.

L'idée, c'était donc de parler avenir, et de me détendre un peu en bonne compagnie après une longue journée. Certainement pas de se retrouver coincée avec une personne que j'aurais préféré ne jamais revoir. Tu m'évites toujours alors ! Va falloir qu'on parle un jour. Ma main resta bloquée sur la poignée quelques secondes avant que je ne me tourne vers celle qui avait été l'une de mes plus proches amies. Mon regard croisa directement le sien. Elle n'avait pas changé ; ses yeux étaient toujours aussi magnifiquement clairs, son air mutin toujours présent, et elle s'habillait avec autant de goût qu'avant. De toutes les tournures qu'aurait pu prendre ma soirée, celle là était la moins probables. J'esquissais un léger sourire, faisant de mon mieux pour paraître assurée et naturelle, même si je grouillais d'émotions contradictoires à l'intérieur. La joie de la revoir, la réminiscence de nos plus beaux souvenirs, la honte de ce qui s'était passé. Tout ça se bousculait. Mary ! Je ne t'avais pas vu. Qu'est-ce que tu fais à Harvard ? Ce n'était pas faux après tout. De quoi tu parles, je ne t'évites pas. Personne n'y croirait, mais ce n'était ni le lieu ni le moment pour parler de ce qui s'était passé entre elles, et de se rappeler pourquoi j'avais mis soudainement fin à notre amitié il y a plusieurs années.

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Après cette matinée de cours intense , j'avais juste envie de me reposer un peu dans ma chambre de l'Eliot House , ou d'ailleurs avant même de le faire de manger un bout serait tout aussi bien surtout. De me détendre et penser à autre chose là , j'ne avais juste déjà marre des cours. Seulement , sur la route pour y aller , je reconnais Victoria. Celle qui m'évitait depuis ce baiser qu'il y avait eu entre nous. Du coup je la rattrape , je veux enfin des explications à ce silence. Elle me disait ne pas m'avoir vu me demandant par la même occasion ce que je faisais à Harvard. Ok là vraiment elle se fiche de moi surtout quand elle me deemande de quoi je parle parce qu'elle ne m'évite pas. J'arque un sourcil comme si j'étais étonné et surtout très étonner qu'elle me mente de la sorte plutôt. « Je suis à Harvard depuis toujours. » Je ne veux pas lui dire que j'ai quitter Harvard pendant un an à cause de cette histoire de bombe. Du coup je croise les bras sur ma poitrine. « Ouais à d'autres. » Répondais-je à sa seconde réplique. Je le vais les yeux au cil. On savait pertinemment toutes les deux qu'elle m'évite depuis ce baiser. Je ne pu m'empêcher là de la regarder pendant un moment. Elle est toujours aussi belle , d'une beauté de folie , ses yeux bleu/verts ses cheveux blonds si parfaits et son corps de déesse. « Alors... Depuis combien de temps je n'ai pas eu de tes nouvelles déjà? » Ajoutais-je dans l'intention de lui faire comprendre qu'elle m'évite et que je le sais.
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Les années avaient passé, mais son caractère n'avait pas changé d'un poil. Toujours aussi franche, et prête à aller à la confrontation si l'occasion le nécessitait. Le fait qu'elle soit sur la défensive était largement compréhensible, après tout, elle et moi, on avait été comme les deux doigts de la main pendant tellement longtemps. On n'était pas hautes comme trois pommes lorsqu'on s'était connu, et notre amitié avait toujours été très forte, jusqu'à .. jusqu'à cet événement, où tout avait changé ensuite. Je ne voulais juste pas en parler, à l'époque, pas plus qu'aujourd'hui d'ailleurs. Ce que j'avais ressentit à ce moment là était indescriptible et confus, et je n'avais jamais voulu y réfléchir, préférant de loin caser mes ressentis dans un coin de ma tête, pour ne jamais les ressortir. Ce n'était pas par lâcheté que j'avais laissé Mary sans nouvelles. Le pensionnat en Suisse était à l'époque une option depuis longtemps, et une place s'était présenté, voilà tout. Certes j'hésitais, et mon départ à facilité les choses en m'empêchant de la revoir, mais elle n'en était pas la cause. Initialement, je voulais y réfléchir, mettre les choses à plat, qu'on s'explique ensuite. Mais une porte de sortie s'était présenté à moi, et je n'avais jamais eu à discuter de tout ça, alors j’espérais qu'il en serait ainsi pour toujours. Mais non.

Je la voyais s'impatienter. Ça fait un moment, c'est sur. J'ai été très prise. Tu sais, je suis partie en pensionnat, mon père est mort, puis après il y a eu Oxford et le travail qui va avec, et maintenant Harvard. L'excuse était pourrie, mais partiellement vraie. Écoute, je sais que j'aurais dû t'écrire, ou chercher à te revoir. Mais plus le temps passait, plus je me disais que c'était peut-être trop tard. On a changé. lui disais-je, sous-entendant que je n'étais plus la même qu'à seize ans, et que je ne voulais définitivement pas reparler de se qui s'était passé.

Si j'étais coincée avec elle à Harvard, et qui plus est à la Eliot House, notre relation devait repartir sur de nouvelles bases, parce qu'il était hors de question de déterrer les anciennes.
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Les années passent à une vitesse de folie. Dire que je la connaissais alors que j'étais à peine plus haute que trois pommes. On avait grandit ensemble et ce n'est absolument pas rien. Pour moi , elle était plus qu'une amie , j'avais confiance en elle. Elle m'a abandonner au moment où j'avais le plus besoin d'elle et même si personne ne le sait , j'avais besoin de son soutien au moment précis où l'on m'avait violée et elle n'était plus là... Je m'étais sentit abandonner et humiliée. Lorsque je l'entend dire ce qu'elle a fait durant ce temps d'abandon , je déglutis. En repensant au bons moment qu'on avait passer , aux souvenirs qu'on garde dans nos mémoires et je ne pourrais l'oublier. Même si ce baiser ne semblait rien signifiait pour elle , je voulais surtout la garder en tant que véritable amie. Elle est la seule et l'unique. Je n'avais confiance qu'en elle et elle m'a trahit , elle m'a laisser à l'abandon sans demander mon avis , sans me prévenir. Ses souvenirs remontant à la surface , je ne pouvais nier qu'on était encore amies à cet heure-ci. Je ne sais plus. Elle peux me faire croire tout ce qu'elle veux , mais ça c'est encore moins sûr. Elle osait elle-même dire qu'on a changé. Certes , mais rien n'avait changer notre relation , rien sauf le moment où elle avait décider de couper les ponts. Elle a elle-même décider de nous faire séparer nos chemins. Je pousse un soupir. Enlevant mes bras croisés de ma poitrine. « Tu t'es dit que c'est trop tard? Oui c'est bien trop tard. Tu as bel et bien raison. On a changé , ça c'est certain. On a grandit surtout. On est devenu mûres... Nous ne sommes plus comme avant désormais. » Si elle n'aurais pas prit la peine de m'éviter elle aurait peut-être su toute mon histoire du viol. Mais c'est trop tard. « Tu as chercher à ce que ce soit trop tard. Ce n'est pas pareil. Tu savais où j'étais joignable. Mais non , tu as juste préférer éviter celle que tu considérer comme ta meilleure amie et la laisser comme ça... A l'abandon. » J'en avais déjà assez de cette conversation.
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J'avais grandi avec elle, je lui confiais tout, et l'adorais plus que personne. Elle avait été le témoin de mes premiers chagrins, de mes premières erreurs, de mes premières joies. Il n'y avait pas eu une journée sans qu'elle en fasse partie, de près ou de loin. Elle avait été comme une soeur.

Tu t'es dit que c'est trop tard ? Oui c'est bien trop tard. Tu as bel et bien raison. On a changé, ça c'est certain. On a grandit surtout. On est devenu mûres... Nous ne sommes plus comme avant désormais.

Jusqu'à ce qu'elle ne le soit plus. Nous étions chez elle, c'était en fin de journée, après les cours, nous avions seize ans. Il y avait un garçon qui me plaisait, et forcément, Mary avait été la première à être au courant. Nous en parlions donc, ce jour là, et j'étais venue à lui demander conseil. Elle avait plus d'expérience que moi, qui avait toujours été assez réservée sur le sujet. Et puis, je ne sais plus comment, mais Mary s'était avancé, et ses lèvres s'étaient retrouvé sur les miennes. Ça avait été doux, innocent, mais c'était devenu plus soutenu, plus réel. Pendant quelques secondes, elle n'avait plus été l'amie qui m'aidait sur le sujet, elle avait été une personne que j'embrassais, pour de vrai. Et j'avais aimé ce baiser.

Tu as cherché à ce que ce soit trop tard. Ce n'est pas pareil. Tu savais où j'étais joignable. Mais non , tu as juste préféré éviter celle que tu considérais comme ta meilleure amie et la laisser comme ça... A l'abandon.

La honte, la confusion, le choc. J'avais repris mes esprits, et prétextant un devoir à faire, j'étais rapidement rentré chez moi, et rien n'avait plus jamais été pareil. Avais-je été lâche ? Certainement, mais je ne le voyais pas comme ça. Le regrettais-je ? Je n'en savais rien. Pendant longtemps je n'ai pas voulu penser à ce qui s'était passé, et maintenant il était de toute façon trop tard. Je regrettais mon amie, c'était ma seule certitude, mais trop de choses s'étaient passées pour que l'on retrouve ce qu'on avait avant.

Je restais calme, et soupirais lentement. En dépit du temps qui avait passé, la revoir réanimait la connexion que j'avais eu avec elle, et je sentais sa tristesse et sa déception dans son attitude. Qu'est-ce que tu veux que je te dise Mary ? Ça fait bien huit ans maintenant, les choses sont ce qu'elles sont, et on ne va pas changer le passé. Et malgré ça, je refusais d'aborder le sujet brûlant. Rien que d'y penser, je sentais mon estomac se tordre. Je pensais qu'en parler n'y changerait de toute façon rien. Si tu veux que je te dise que je suis désolée, alors d'accord, je suis désolée. On a prit des chemins différents, c'était peux-être mieux comme ça. Des excuses, toujours des excuses, et des mensonges, pour couvrir une vérité que je n'avais pas envie de révéler.
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Elle était tout pour moi. On s'est rencontrées lorsqu'on était encore dans les couches culottes quoi. Façon de parler mais c'est presque ça. Je n'aurais jamais pu la trahir ou l'abandonner lâchement. Elle comptait beaucoup trop pour moi et je ne me serais pas permis de l'abandonner comme ça. Je me sentais coupable, après tout c'était sûrement ma faute toute notre histoire et le fait qu'elle m'ai éviter durant toutes ces années. Ca a commencer par des confidences , nous n'avions pas eu l'intention de passer la barre plus loin. Seulement c'était venu comme ça , sans penser à autre chose , on est venu à se rapprocher bin plus que d'habitude et à venir coller nos lèvres pour finir par s'embrasser. Je sais que depuis ce baiser ça a dû être confus dans sa tête et d'ailleurs c'est seulement à partir de ce moment que je n'étais pas que hétérosexuel. Ce n'est pas Victoria , enfin un peu tout de même , qui m'a fait aimer les filles comme les garçons. Seulement , lorsque on s'est embrasser j'ai ressenti cette petite étincelle , comme lorsque j'embrasserais un garçon qu j'aime. Ca a dû finir par la tourmenter et la briser , à s'en poser des questions sûrement. Je ne sais pas , je ne sais plus , je cherche des réponses. Alors je me sens coupable comme jamais. Cela dit , je ne suis pas seule dans cette histoire , elle avait décidé de prolonger ce baiser je ne l'en avais pas forcer.  Lorsque je la revois là face à moi , j'avais juste envie de capturer ses lèvres encore une fois et de l'avoir rien qu'à moi. " Qu'est-ce que tu veux que je te dise Mary ? Ça fait bien huit ans maintenant, les choses sont ce qu'elles sont, et on ne va pas changer le passé." Je laisse échapper un soupir. C'est donc tout ce qu'elle a à me dire. Quelle excuse bidon. « Exactement. Ca fait huit ans et de l'eau a couler sous les ponts depuis. » A dire vrai , je ne savais pas trop quoi répondre d'autres.  J'avais quelque peu de la déception et de la colère envers elle. Je voulais que tout redevienne comme avant , mais c'est bien trop tard. Notre amitié est détruite.  " Si tu veux que je te dise que je suis désolée, alors d'accord, je suis désolée. On a pris des chemins différents, c'était peut-être mieux comme ça." Je arque un sourcil. Sa réaction est juste mais pourtant je n'aime pas ça. De la façon dont elle le dit. On dirait juste que je n'ai rien était à ses yeux , finalement.  « Je me fous de tes excuses. Au final t'as raison, c'était sûrement mieux comme ça. » Ouais , peut-être. J'étais blasée là.    « Au fond , c'est bien mieux de fuir que de faire face aux problèmes. » Lui disais-je en pleine face. Après tout c'est la vérité.
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hj.:
J'avais l'impression qu'elle ressentait la même chose que moi. Que derrière la carapace de fierté, il y avait une réelle blessure, et le gout amer des non-dits et d'une amitié pas tout à fait terminée. Pourtant, je ne voyais pas d'autre issue. Parler de ce qui s'était passé me semblait inconcevable désormais, et presque ridicule. A quoi bon ? Quelque chose s'était brisé entre nous lorsque ça s'était passé, et le silence des années qui ont suivit n'ont fait qu'envenimer les choses. Ce ne serait certainement pas une simple conversation qui résoudrait tout.

Elle semblait d'accord de toute façon. Au final t'as raison, c'était sûrement mieux comme ça. Je lui lançais un dernier regard et tournais les talons. J'allais enfin passer la porte de la Eliot House lorsque je l'entendis ajouter. Au fond, c'est bien mieux de fuir que de faire face aux problèmes. Je m'arrêtais net, et fis volte face avec un regard empli de colère. Laisse tomber, Mary. lui dis-je en articulant chaque syllabe. Arrête de vivre dans le passé, c'est ridicule. On est pas amie, d'accord ? Avait-elle vraiment besoin d'être aussi piquante alors que je venais tout juste de la revoir ? De chercher absolument à ce qu'on parle de quelque chose de si vieux, alors que je n'en avais clairement pas envie ?

Je restais quelques secondes à la regarder d'un regard presque menaçant. Tu m'excuseras, mais j'ai mieux à faire. Je tournais une seconde fois les talons, et passait enfin la porte de la confrérie.
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feat. L. Victoria S.-Wildingham & Mary E. Windsor
Je ne vis pas par le passé, le passé reste derrière moi, si je parle du passé c'est parce que je veux juste lui dire tout ce que je pensais et tout ce que je ressentais, tout ce que j'avais sur le coeur en quelque sorte. J'en avais marre de supporter ça, tous ces mensonges etc.. Je déteste ce genre de situation et si seulement je pouvais arrêter d'y penser, mais en la revoyant sous mes yeux, les souvenirs refont instinctivement surface, moi qui voulais tout oublier cette histoire insensé. J'n avais juste assez d'entendre ces conneries, elle-même ne savait pas ce qu'elle voulait. Oui elle était partit depuis bien longtemps dans ma vie mais elle ne pouvais pas revenir sans que j'ai une explication. Laisse tomber, Mary. Arrête de vivre dans le passé, c'est ridicule. On est pas amie, d'accord ? Oui, elle avait arrêter subitement cette amitié qui marchait si bien entre nous il y a longtemps, pour une stupide histoire de baiser. La vérité fait mal, n'est-ce pas? « Je ne vis pas par le passé, je veux juste mettre les choses au point c'est tout. Non, nous ne sommes plus amies c'est certain. » Cette conversation me dépassait. Son regard menaçant lorsque je lui dit qu'elle préfère fuir que faire face aux problèmes, m'exaspère et je la regarde de haut avec le même regard menaçant. « Ça tombe bien, moi aussi. » Elle passais alors la porte de la confrérie et je continuais mon chemin.

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