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FLASHFORWARD (oscaëa) wake up little angel.

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   Chambre 7301, chambre 7301, chambre 7301... Stressé, t'avais presque peur de l'oublier ce chiffre, alors tu te le répétais en continue dans ta tête, tout en cherchant des yeux le fameux numéro de la chambre. Qu'est-ce que cet hôpital pouvait être grand, tu t'y étais jamais retrouvé, t'avais bien dû demander à deux ou trois infirmières ton chemin. De toute façon, t'avais toujours eu horreur des hôpitaux. T'arrivais d'ailleurs pas à croire que t'y remettais les pieds. Mais tu ne pouvais pas renoncer à aller voir Ëa, même si la vue du moindre lit d’hôpital de faisait horreur. Ton amie venait de se réveiller de son coma, et tu devais être présent pour elle, autant qu'elle l'avait été pour toi. Et puis pour ta mère, il n'y avait pas grand monde au courant à part Nemo, elle se mourrait lentement. Trouvant enfin la chambre, tu toquais doucement et entrais, un bouquet de fleurs à la main, tu t'approchais à petits pas malgré tes longues jambes de ton amie, que tu apercevais couchée dans le lit. « Hey, salut ma belle. » Tu soufflais doucement, toujours intimidé par ce genre de lieu. « Comment tu te sens ? » Question un peu stupide mais non négligeable, tu arrivais à sa hauteur.
   
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Je m’étais réveillée en debut de matinée. Je n’avais pas beaucoup de souvenirs de ce qu’il s’était passe pour que j’arrive a l’hôpital, ou meme que je sois dans le coma. J’avais pas réussi a bouger au depart. Toute sensations avaient disparu de mon corps, mais c’était revenu après que les médecins m’aient encore une fois injecté des médicaments. Je me demandais si le fait que j’sois arrivée a une nouvelle crise annonçait que le traitement ne marchait pas? Dans le passé, quand je faisais une crise de cette envergure, cela voulait dire que mon corps devenait resistant aux medicaments et que du coup, soit il fallait augmenter la dose, soit ca marchait pas et il fallait changer complètement de traitement. Il n’y a pas de cure pour la sclérose en plaques, ou du moins pas pour le moment. Je sais qu’il y a de la recherche en cours, on arrête pas de me le dire qu’un jour, je n’aurais peut-être plus a souffrir de la perte de sensation de mon corps, que j’aurais une vie normale. J’y doutais quelque peu. J’essayais toute fois de garder un sourire sur mes lèvres pour mes parents et pour mes amis. Ma situation devait deja être assez déprimante comme cela. J’étais seule dans ma chambre pour le moment. J’avais deja vu Macsen et mes parents mais j’avouais ne pas avoir été la plus bavarde et ils étaient parti. Je savais que mes parents ont du prendre une semaine de leur travailler pour venir me voir et je m’en voulais un peu car nous étions pas les plus riches pour qu’ils se permettent cela, surtout avec la facture d’hôpital qui allait arriver. Tu regardais par la fenêtre, perdue dans tes pensées alors que quelqu’un toquait a la porte. Je tournais mon visage et vis alors Oscar passer par la porte. Mon visage s’illumina quelque peu en le voyant avec un bouquet de fleur. “Hey, ça me fait plaisir que tu sois venu. Comment t’as su que j’étais réveillée?” J’avais encore prévenu personnes alors qu’a moins que cela soit mes parents, j’en avais zero idée. “Et ca peut aller…” J’allais pas spécialement bien mais, je vivais avec. J’en avais l’habitude maintenant.
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   Il y avait cette odeur étrange dont tu avais horreur, et qui te brûlait les poumons à chaque fois que tu pénétrais dans le moindre hopital.De toute façon, qui pouvais bien aimer l'ambiance des hopitaux ? Est-ce qu'il y avait quelqu'un sur cette foutue planète qui pouvait se vanter d'adorer l'ambiance morbide de ces grandes prisons blanches où on rentrait parfois pour ne plus jamais en ressortir ? Ou personne n'avait jamais le temps de rien ? Non. Personne ne devrait aimer cet endroit, et surtout pas toi et ta phobie des médecins, depuis que ta mère avait choppé ce foutu cancer. Tu toquais donc à la porte de la chambre d'Ëa, après avoir enfin trouvé cette fameuse chambre, et tu pénétrais lentement à l'intérieur, découvrant ton amie. Tu vis son visage s'illuminer lorsqu'elle aperçu ton visage, et tu lui rendis son sourire, heureux de le revoir posé sur ses lèvres. « Et moi ça me fais plaisir de te voir éveillée. Ce sont tes parents qui m'ont prévu par sms que t'étais enfin sortie du coma... » Tu soufflas, la rejoignant à sa hauteur pour enfin lui présenter des fleurs. « Je trouve que les lys ont quelque chose de très élégants, j'espère qu'ils te plaisent. » Tu lui souris, ayant hésité pendant des heures chez le fleuriste, comme toujours. En metteur en scène, t'avais toujours besoin de soigner l’esthétique que ce soit de tes vêtements, de ton appartement ou de tes cadeaux, et tu t'étais finalement décidé pour des lys, de loin tes fleurs préférées. Ni too much, ni trop simples,le lys se suffisait à lui même, et il était d'une beauté infinie. « Tu es bien traitée ici ? J'ai toujours eu horreur des hôpitaux. » Tu lui confias en installant tes fleurs dans un vase vide que tu trouvas sur un meuble - les infirmières prévoyaient toujours le coup - et tu pris place au bout de son lit, faisant attention à ne pas la gêner. Elle t'avais manquée.
   
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On pourrait croire qu’avec ma maladie, je m’étais habituée aux hôpitaux et que je m’y faisais, que j’aimais cela. La vérité, toute fois, était bien différente. Je détestais les hôpitaux plus que tout, l’odeur, cette constante aura de mort qui régnait sur l’endroit et ces rideaux jaunes poussins qui n’aidaient pas a l’ambiance lugubre. C’était tout sauf joyeux et je ne comprenais pas comment on pouvait aller mieux dans cet endroit. Etre ici me rappeler tout simplement que j’étais une personne condamnée a vivre ma vie avec un handicap. Il n’y avait pas encore de cure pour la sclérose en plaques et surement que je ne serais meme pas apte a le prendre si on en trouvait une car j’étais deja “vielle”. Alors je ne pouvais qu’espère un jour, des études soit faites pour trouver une cure pour ma maladie que les generations suivantes n’aient pas a souffrir comme moi. L’intelligence artificielle était deja en cours de développement alors pour sure les brillants scientifiques pouvaient trouver quelque chose. Ils étaient doués donc ils devaient bien faire cela pour la population atteinte de MS.

J’étais vraiment contente de voir Oscar. Je ne savais pas comment il avait su que j’étais réveillée. Il n’y avait que mes parents et Macsen pour le moment qui le savaient. Le premier car il avait été present lors de mon réveil. Les deuxième car l’hôpital les avaient prévenu. Je m’en voulais un peu qu’ils aient pris des vacances pour venir me voir. New York n’était pas non plus a cote de la porte et les connaissant ils sont restés a mon chevet toute la semaine. J’aimais mes parents plus que tout et si j’étais aussi studieuse c’était pour eux, pour ma bourse, pour ne pas être une charge pour eux. J’espérais vraiment qu’un jour, je n’aurai pas a toujours me relier sur eux. J’avais mes amis pour cela. Je voulais que mes parents vivent leur vie aussi un peu plus que toujours autour de moi. Apres, les parents cela restaient les parents et qu’importe ce qu’on pouvait dire, sans eux, on ne serait meme pas sur cette terre. J’admirais les fleurs qu’Oscar m’avait apporté. Elles étaient magnifique. Puis j’adorais les lys, un signe de pureté. J’avais lu cela dans plusieurs livres. “Merci, elles sont superbes.” Lui répondais-je avec un sourire sincere. Je n’aimais pas qu’on fasse trop pour moi. Je préférais bien plus la simplicité des choses. Je regardais Oscar mettre les fleurs dans le vase avant qu’il ne vienne s’installer sur le lit. J’avais rencontré Oscar grace a ses pieces de theatre, moi qui veut devenir écrivain, on se complétait plutôt bien. Nous avions meme rejoins la Dunster House ensemble, l’élite culturelle. Je n’étais pas un dictionnaire ou une encyclopédie ambulante, loin de la. Je m’étais tout simplement pas mal de mon temps a étudier et a vouloir en apprendre plus. “J’aime pas les hôpitaux non plus, mais ca va. Je peux pas vraiment me plaindre. J’ai le droit a ma chambre personnelle et tout.” On remercie Jacey et ses parents. Parfois je me demandais si ils m’appréciaient vraiment ou si ils m’aidaient simplement par pitié. Je devais chasser cette pensée de mon esprit. Je connaissais les Brooks depuis presque 9 ans maintenant, bien sure qu’ils m’appréciaient. “Et toi alors ça va?” J’aimais pas parler de moi dans ce genre de situation ou j’étais la faible alors j’allais dévier le sujet un peu.
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