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Thiago
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J'étais suivi. Depuis un quart d'heure, y avait un type qui m'observait pas loin, à la table juste devant moi, à faire semblant de travailler. Et à cause de lui, j'avais dû sortir un bouquin d'économie et faire semblant de travailler. Caché par ce livre qui m'horripilait au plus haut point, je mangeais tranquillement la tartelette aux fraises que je m'étais achetée avant de débarquer dans la bibliothèque. Les fraises, c'est la vie. Je n'étais pas une femme enceinte. Pourtant, j'adorais les fraises. Comme j'adorais ce livre que je lisais derrière mon manuel d'éco. Une bonne dizaine de minute passa avant que je ne lève à nouveau les yeux. Mon regard croisa celui du blond désormais installé sur la chaise face à moi, à observer mes faits et gestes. Je lui lançai un regard noir. « Thiago, fous-moi la paix. T'as personne à aller ennuyer ? Aucune fille à baiser ? Des devoirs à faire ? », lançai-je, d'une voix agacée et basse, à cause du lieu qui exigeait du silence. « Regarde, mes seules fréquentations sont mes cours d'économie. Et, je l'avoue, une tartelette aux fraises. Je ne fais rien de mal, tu pourras aller dire ça à l'autre. » À mon soi-disant père qui avait simplement mis ma mère enceinte.
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Nurzynouchet  
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Aujourd'hui était la journée dédié à la filature de Nurzhan. Une sombre affaire impliquant deux, voire peut être trois parents un peu trop concernés par leurs enfants. Et Thiago se retrouvait à jouer les baby-sitter pour un pauvre mec qui faisait parti de ces gens qu'il n'aimait pas. Ces gens qui ne veulent pas, et ne semblent pas concerné par la reprise de l'entreprise familiale. Venant d'un type capable de violer la petite amie de son propre frère, on pourrait se demander ce que Thiago en avait à faire de la famille. Il faut croire qu'on est tous plus compliqué qu'il n'y parait. Ce n'était pas une tâche amusante, et ça tirait plutôt sur l'ennuyant et le pathétique. Mais quand bien même Thiago était un as de la manipulation et du mensonge, mentir à une personne sur les agissement d'une seconde, n'avait rien d'aisé, surtout pas quand la seconde continue de vivre sa vie comme bon lui semble.
Il était assit à l'autre table, et le fixait. Malgré son flagrant très peu d'intérêt pour le bouquin qu'il faisait semblant de lire. Quelques instants plus tard Thiago se trouvait en face de ce gars, posant un coude sur la table, et sa tête sur sa mains de façon très négligé. Le regard apathique, mais un sourire toujours courtois sur les lèvres qui contrastait avec son air ennuyé au plus haut point.  « Je ne te foutrais rien. Quels devoirs, ça n'a pas d'intérêt, j'ai des notes plus que suffisante, moi.»  Il insista sur le dernier mot, comme pour assener un coup à Nurzhan   « Et je te serais gré Nurzynouchet de ne plus mettre "baiser" et "fille" dans la même phrase quand je suis en face de toi. Je ne sais pas ce que tu crois, mais les filles ne se "baisent" pas. Tu devrais essayer d'avoir un peu plus de respect.» On avait demandé à Thiago de garder un oeil sur ce gars. Rien ne l'empêchait de l'insulter, ou de se montrer condescendant avec lui. Thiago feignit de le croire. Mais tout le monde connaissait la technique du double bouquin, ne serait-ce que pour lire des magasines pornographiques en cachette. Cela n'avait rien d'une grande technique secrète. « Et tu trouves normal de manger une tartelette dans une librairie? Une tartelette à la fraise en plus...»  Thiago était absolument pas contre les fruits. Mais il devait bien avouer qu'un gars qui mange une tartelette à la fraise, n'avait absolument rien de masculin. Et à ce moment précis, bien que Thia appréciant la compagnie charnelle des deux sexes; en vint à éprouver un sentiment de désolation en se mettant à la place des parents de Nurzhan. Un fils gay qui mange des tartelette à la fraise et qui ne veut pas reprendre l'entreprise. Décidément, il avait tout faux ce Nurhan.
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Thiago
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« Je ne te foutrais rien. Quels devoirs, ça n'a pas d'intérêt, j'ai des notes plus que suffisante, moi.» Oh, mais dites-moi, c'était merveilleux s'il avait la science infuse ! Et puis, c'était quoi cette manière d'insister sur le dernier mot de sa phrase ? Il croyait que ça allait me vexer ou que sais-je d'autre ? Je haussais les sourcils en soupirant, lassé. « Et je te serais gré Nurzynouchet de ne plus mettre "baiser" et "fille" dans la même phrase quand je suis en face de toi. Je ne sais pas ce que tu crois, mais les filles ne se "baisent" pas. Tu devrais essayer d'avoir un peu plus de respect.» Je me retins d'éclater de rire, mais je ne pus m'empêcher de pouffer. « C'est bizarre, tu n'es pas du tout crédible. Et tu me rappelles comme ça encore une fois t'es mort, Thiago, cette fois je suis sérieux. », assurai-je. « Et tu trouves normal de manger une tartelette dans une librairie? Une tartelette à la fraise en plus...» Je lui jetai un nouveau regard lassé et, exprès pour l'ennuyer, je croquais à pleines dents dans ma pâtisserie, que je savourai avec grand soin, sans le quitter des yeux. Je finis par avaler ma bouchée et répondis. «  Tout à fait normal, oui. Et de toutes façons, si je mange pas assez, je finis en hypoglycémie. » J'étais loin d'être épais, pourtant je passais mes journées à manger. Et si je ne mangeais pas, il y avait vraiment un risque que je tombe dans les pommes. Comme la fois où... Je baissai le regard et le posai sur mes cours, en faisant semblant de lire. Comme la fois où j'avais rencontré Raphael. Je sortais d'un cour de français, je n'avais pas mangé depuis le matin car j'avais mangé un truc que mon estomac n'avait pas supporté la veille et forcément j'avais encore mal au ventre. Je tenais à peine debout, j'avais fini par m'évanouir et, par réflexe, me rattraper à un inconnu. « Et puis-je savoir ce que tu as contre les tartelettes, qui plus est les tartelettes à la fraise ? », questionnai-je de mauvaise humeur à cause de ce souvenir qui ne voulait plus se dissiper.
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