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HEY SOUL SISTER. (leevy)

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Ne jamais avoir peur de trop aimer. C’est ça, le courage. Ne sois jamais égoïste avec ton cœur. S’il est rempli d’amour, alors montre-le.

   
D'accord, je savais tout ce qu'il fallait savoir, et c'était assez étrange. Savoir que j'avais une sœur cachée quelque part était étrange, mais savoir qu'elle avait un enfant, une vie, un copain, c'était encore plus étrange. Et le pire dans cette histoire, c'est que je savais où elle était, qui elle était et il ne me suffisait que d'une seule chose pour l'avoir en face de moi : du courage. Mais je n'en avais pas, je ne me voyais pas arriver chez elle et me dire : merde, t'es ma sœur. Elle devait sûrement en vouloir à mes parents de l'avoir laissé, m'en vouloir d'avoir eu nos parents pour moi toute seule durant toutes ses années. Je suis resté plusieurs jours à me demander quoi faire de cette adresse, de ses infos, je n'ai parlé à personne de ses histoires, ni à Thomas, ni à Calypso, ni même à Elio. Ça ne regardait que moi, et je voulais réagir seule. J'ai noté l'adresse un morceau de papier, je l'ai mis dans ma poche en attendant le jour où j'aurais le courage de m'y rendre. Et puis, un matin, je n'avais envie de rien, cette histoire me tourmenter tellement qu'il fallait que je fasse quelque chose. J'ai enfilé un jean, pris des photos des familles que ma mère m'avait envoyées quand elle essayait de me faire revenir à la maison, pris un taxi, et sans même que je puisse dire : ouf, j'étais devant la porte. J'ai toqué avec hésitation, et attendu que la porte s'ouvre, pour découvrir une magnifique blonde aux yeux claire.

   
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En me réveillant se matin je m'étais rendu compte qu'en se moment je mettais bien trop de côté mes études, en même temps avec la vie que je mène c'est pas forcement facile de penser aux révisions. J'avais eu le temps de rien avec mon emménagement dans un nouvel appartement avec mon copain, ma fille plus mon travail de mafieuse. Enfin voilà beaucoup de chose à faire pour une seule personne. C'est pour ça qu'aujourd'hui je décida de rester chez moi afin de me mettre un peu dans mes livres tout en passant la journée avec Audrey ma fille, je l'a voyais pas vraiment, elle était beaucoup chez son père et c'était peut-être mieux comme ça. Après tout, je suis assez irresponsable et j'ai déjà du mal à m'occuper de moi alors d'un enfant c'est pas facile, m'en fin ça ne change pas que je l'aime plus que tout et que je ne la perdrais pour rien au monde. Quand j'entendis la porte toquer de mon appartement j'étais assise sur le canapé du salon avec plusieurs livres et cours qui m'entouraient alors qu'Audrey était entrain de jouer sur le tapis avec ses poupées. Je me levais alors en poussant un petit soupire tout me demandant de qui il s'agissait, j'allais alors ouvrir la porte pour observer une blonde que je n'avais encore jamais vu. Je penchais légèrement ma tête sur le côté en fronçant mes sourcils. J'peux vous aider ?
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La porte s'ouvrit avec douceur, mon corps battait aussi fort et aussi bruyamment que la première fois ou j'ai fait le space montain à Disneyland, Paris. Je ne trouvais plus mes mots, d'ailleurs, je me suis surprise à me demander ce que j'étais venue faire là, qui je suis et pourquoi est-ce que je suis aussi débile. Tandis que devant moi se présentait une grande, fine et adorable blonde. On avait le même nez, ça sauter aux yeux que les gênes Harrison étaient présentes chez cette fille. Je déglutis, un peu prise de panique. « Bonjour... je fais partit des scoutes et je vends.. » je fais rapidement la liste des choses que j'ai sûr moi et je me rends très vite compte que je fais peut-être un peu trop veille pour les scoutes, et surtout : que je n'ai rien à vendre. En plus, quel scout porterais un jean levis, ils sont censé militais pour de vieux truc genre l'amour internationale et le vert kaki. Je soupire, et passe une main nerveuse dans mes cheveux. « Ok, non.. Je.. Voilà, je m'appelle Alaska Harrison. Comme toi, à ta naissance.. Et je suis venue bouleverser ta vie. Je sais que c'est carrément dingue, parce que le destin à fait qu'on soit dans la même université, et qu'on a même des amis en commun, dont ton copain, j'étais au Brésil avec les rouges, j'ai même failli perdre ma virginité là-bas mais c'est.. Ouai, je pars loin. Bref, je m'appelle Alaska Suzanne Harrison et je suis ta sœur biologique, enchantée. » Je lui tends ma main, je ne sais pas si elle va la prendre. Je me demande ce que je ferais si une gamine blonde à la voix criarde se pointer chez moi alors que je suis tranquille, pour m'annoncer ce genre de nouvelle.

   
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J'étais donc venue ouvrir la porte pour ensuite faire face à une blonde dont je n'avais encore jamais fais la connaissance et j'étais assez curieuse de savoir ce qu'elle me voulait, parce que oui si elle était là, ce n'était pas pour rien. Et elle m'annonça finalement qu'elle faisait partie des scouts, j'arquais alors un sourcil en la regardant d'haut en bas, hm fake le truc du scout ? Ouais j'crois bien, parce qu'elle avait juste pas l'air d'être une nana en adoration avec la nature ou je ne sais quoi comme peut l'être les scouts. Mais finalement elle déballa tout en me parlant d'elle, et c'est en restant sans bouger que je l'écoutais pour après plusieurs secondes de réflexion je venais de comprendre qu'il s'agissait de ma soeur. WHAT ? C'est une blague ? Je.. Entre. Dis-je d'une voix assez perturbée alors que je me poussais de l'entrée pour la laisser passer la porte que je refermais derrière elle. Bon j'vais pas mentir je suis totalement chamboulée là, parce que oui je n'avais jamais vraiment cherchée à retrouver ma vraie famille et là bim c'était elle qui venait à moi. T'es certaine de ce que tu dis ? J'ai toujours cru que ma vraie mère est morte quelques semaines après ma naissance. Dis-je en fronçant un peu mes sourcils, je savais pas trop comment me comporter, pleurer de joie, lui dire que je m'en fiche, faire ma garce comme je sais si bien le faire, ou simplement vouloir en apprendre plus sur ma vraie famille ?
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Ça devait être un choc de découvrir ce genre d'information, c'est comme une remise en question sur tout ce qu'on a était depuis. J'avoue, que lorsque maman m'avait fait part de cette découverte, j'avais l'impression qu'on m'avait menti toute ma vie, et puis je me suis dit que ce n'est pas à moi qu'on a menti, c'était à elle. Et ce n'est pas à moi de me sentir, blesser, abandonner, mise de côté, c'était ses sentiments à elle. Je mis une mèche derrière mon oreille, quand j'eus fini mon récit. Elle était sur le cul, c'est sûr, la pilule doit pas être facile à digéré dans ce genre de cas. Et me fit signe d'entrée. J'obéissais, tout de même hésitant. « Oui, je.. J'étais tous aussi choquée. Ma mère.. Notre mère, donc, a eu un cancer, mais elle en a survécu, après te l'avoir refiler, et me l'avoir refilé aussi. » dis-je en essayant de rire pour détendre l'atmosphère. En entrant, je vis sa fille : Audrey. Elle lui ressemblait comme deux gouttes d'eaux, les mêmes yeux, le même sourire, le même petit museau. L'appartement était grand et beau, tout était bien ranger, et ça sentait la rose, un peu gêner, je ne savais pas trop où me mettre, alors je suis resté debout. « Ta fille est adorable. » dis-je dans un petit sourire, alors que celle-ci agiter énergiquement un lapin en peluche, qu'elle étouffais entre ses doigts. « Je sais que ce n'est pas facile à entendre tout ça.. Surtout de la bouche de sa sœur, ça aurait était plus facile si maman avait bien voulu venir... » je marque une pause, elle était si mal ce week end. Chaque fois qu'elle pensait à Leevy, elle avait l'impression, pour la citée : qu'on lui arracher le cœur à vif, c'était trop dur pour elle de venir jusqu'ici, trop dur de voir sa première fille qu'elle n'a jamais pue bercer. « Maman est encore malade, son cancer est revenue.. Elle est rongée par la culpabilité, toutes les erreurs qu'elle a fait, elle veut les arranger et t'avoir abandonné a été la plus grande. »

   
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Pas une seule seconde j'aurais pu penser qu'aujourd'hui je rencontrerais ma soeur, en même temps je n'étais même pas au courant que j'en avais une et même que ma mère est continuée sa vie après ma naissance. Pour moi je n'avais qu'une famille, les Cartwith avec une mère bien trop superficielle, un père complètement taré que j'ai dû tuer moi-même afin de me protéger ainsi qu'un frère assez psychopathe sur les bords, bref j'venais d'une famille de mafieux quoi. Et sur le coup je me posais les questions que je ne m'étais jamais posée avant, ma mère savait-elle dans quel genre de famille elle m'a envoyée ? pourquoi n'est-elle jamais revenue ? pourquoi ne m'a t'elle pas gardée malgré son cancer qui n'était apparemment pas si mortel que ça ? Alors oui j'étais perturbée et je ne savais pas quoi penser. J'avais donc laissée Alaska entrer en pensant que se genre de conversation ne pouvait pas se faire sur un pallier de porte. Et bien, il faut croire que le cancer c'est de famille. Dis-je en haussant un peu mes épaules, je n'avais pas vraiment envie de rire sur ça, parce qu'au final si j'en avais bavé deux fois de suite pour un cancer c'était seulement à cause de notre mère. Et maintenant je réfléchissais à la place d'Alaska, j'me doute que ça n'a pas du être facile d'apprendre qu'elle a une soeur sans jamais l'avoir su avant. Mon dieu, la sincérité n'existait vraiment pas dans se monde ? Je fis alors un petit sourire quand elle me disait que ma fille est adorable, je la regardais un instant en me disant qu'elle avait peut-être une nouvelle tante, enfin bon je ne voulais pas m'emballer, j'étais même pas certaine de vouloir découvrir ce qu'est ma vraie famille. Merci, j'pense que le blond c'est aussi de famille. Dis-je d'un faible sourire, avec la situation j'étais pas capable de faire mieux. J'écoutais ensuite ses paroles quand elle me parla de notre mère, j'étais assez perturbée de me dire qu'une femme pensait à moi pendant toute ces années alors que moi j'étais passée à autre chose en m'habituant à ma famille adoptive. Non ce n'est pas facile en effet.. Je vais pas te mentir Alaska, j'ai jamais vraiment cherchée à retrouver ma vraie famille, je n'en voyais pas l'utilité. Mais maintenant que tu me dis tout ça, je sais juste plus quoi penser. Elle a récupérée son cancer tu dis ? Si elle t'as dis la vérité c'est peut-être pour faire une bonne action avant de mourir ? Parce que oui c'est franchement pathétique, c'était pas ton rôle de me dire tout ça. Dis-je en ne quittant pas mon regard bleu de la blonde, sans vraiment le vouloir mon ton de voix devenait beaucoup plus hostile à la fin de mes paroles, en réalité je me rendais compte que j'étais blessée, blessée d'avoir été abandonné de la sorte et dans une famille comme la mienne et surtout blessée de savoir tout ça que maintenant.
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Ma mère avait fait une chose horrible, mais elle pensait pouvoir protéger les gens qui l'entourent. Elle est persuadée de pouvoir protéger tout le monde à la force de ses mains, même si parfois ça l'épuise ou ça l'affaiblit, je le sais un peu trop. J'ai toujours souffert d'une surprotection de sa part, elle ne voulait jamais me laisser de liberté de peur que je ne parte trop tôt, gamine, elle aimait me dire que j'étais son petit miracle à elle. Récemment, j'ai compris le pourquoi du comment. La vérité c'est qu'elle pensait crever, en mille neuf cent quatre vingt onze. Ça ne faisait même pas un an qu'elle était avec mon père et qu'elle vivait sur un petit nuage, sans ce soucier du lendemain. Elle avait cette putain de maladie depuis qu'elle était môme et elle avait arrêté de s'en préoccuper étant donné que ses deux premiers enfants s'en sortirent sans soucis. Effectivement, Asia et Elio en avaient était épargner et d'après le médecin, c'est parce qu'ils avaient plus de sang du père Ferrari que nous. En quatre vingt onze, elle repris donc ses médicaments et sa chimio, sans savoir qu'elle était enceinte. On lui avait dit que ce n'était pas le moment, qu'il fallait laisser tomber, mais jamais sur sa vie, elle n'avorterait. C'était sa règle d'or, et disait que ce n'était pas à elle de décidée de la vie ou de la mort, c'était à Dieu. Et si le grand barbu avait décidé de mettre ce petit être en elle, c'est qu'il avait ses raisons. « Maman a beaucoup souffert du cancer, elle a failli en mourir à ses dix ans, elle a survécus et vivait de chimio et de médocs jusqu'à ses dix huit ans, lorsqu'elle a rencontrait le père Ferrari.. Hm, le père d'Asia et Elio, son premier mariage. Ensuite elle a épousée notre père, avec qui elle est toujours d'ailleurs et avec qui elle a eu des dizaines de prix pour le couple le plus cute de Canteberry.. Après ça, sa maladie a repris les dessus et elle est au même point maintenant. La ligne ente la vie et la mort, tu la connais aussi bien que moi. » dis-je dans un petit sourire, même si le cœur, ni, n'était pas. Le cancer, c'était un truc horrible, que je connais un peu trop bien. C'est être en permanence face à la mort, face à l'abandon des êtres qu'on aime, face à la vie qu'on n'aura pas. C'est survivre à coup de médoc et de chimio, perdre ses cheveux, abîmer son corps avec tout ce qu'ils nous donnent. Je soupire et porte mon attention sur cet adorable petit bout de chou. « Rassure moi, elle n'a héritée d'aucune malade ? » demandai-je un peu inquiète, à son âge, je devais apprendre à jouais avec mes tiges en plastiques dans le nez. Leevy est un peu sur le cul, je la comprends. Je m'écarte un peu pour lui laisser du temps, et surtout de l'espace pour qu'elle ingurgite tout ça. Toutes ses infos d'un coup, toutes ses nouveautés, ça peut donner un mal de crâne pas possible. Je regarde la gamine, pendant qu'elle s'exprime. « Elle aurait aimé venir, elle m'aime, j'te promets. Mais prend l'avion en phase terminale ce n'est pas facile.. Je peux t'avouais un truc ? J'ai toujours était seule. J'ai jamais eu de vraies super amies qui venaient me voir quand j'étais sur le point de crever, ou même à mon anniversaire. J'ai toujours jalousé Elio et Asia, parce qu'ils étaient dans une famille de fou, mais au moins, ils étaient deux. Et te retrouver.. C'est juste.. Wow, je ne sais pas si tu te rends compte, j'ai eu cette impression tout au long de ma vie, qu'il me manque un truc et ce truc c'était toi.. » c'est ça, c'était vraiment ça. Mes parents ont toujours étaient là pour moi, mais j'aurais aimé compter pour plus de monde. Quand j'avais treize ans et que j'étais sur le point de revenir à mon état de poussière, j'aurais aimé trouvais du réconfort autre qu'avec des amis sur internet. J'aurais aimer un juste milieu entre ma mère en larme et mon père en froid. « Si t'as des questions.. j'suis là. »

   
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Je ne pouvais pas mentir sur le fait que cette situation me perturbais totalement, en même temps normal, c'était un jour qui semblait si normal jusqu'à ce que débarque ma vraie soeur pour me raconter d'où je viens vraiment. Jamais je n'aurais pensée en apprendre plus sur ma mère, pour moi elle n'était que ma génitrice et ça n'allait pas plus loin que ça. Enfin j'ai surtout pensée ça toute ma vie parce que je la pensais morte, alors oui pourquoi vouloir savoir des choses d'une personne morte en sachant que je n'aurais jamais le bonheur de la rencontrer ? Et maintenant que je savais qu'elle était bien vivante je ne pouvais m'empêcher de m'y intéresser un peu plus, parce que oui ça restait quand même mon sang et ma famille. J'écoutais ensuite chaque mot de ma soeur, oh fuck ça fait bizarre de dire ça, j'ai l'habitude de dire frère parce que j'en ai un  mais un jour m'imaginer que j'avais une soeur ? Jamais. Elle me racontait alors des choses sur notre mère et en effet elle était toujours malade, je ne savais pas vraiment comment réagir à ça, je devrais être triste ? Non je n'y arrivais pas, un enfant abandonné par sa mère se sentiras toujours trahis. Parce que oui elle m'avait peut-être abandonné à ma naissance pour me sauver mon enfance mais rien ne l'empêchait de me contacter une fois guéris. Écoutes.. Je sais pas vraiment quoi te dire, que je suis désolée ? Oui je le suis pour toi si un jour ta mère n'est plus capable de faire face au cancer.. Mais je suis pas capable d'avoir de la peine pour elle et je ne suis pas non plus capable de la plaindre, je peux pas pardonner ce qu'elle a fais. Dis-je le plus sincèrement du monde, oui je disais SA mère parce que je n'étais simplement capable de me dire que c'est ma mère, la mienne devait sûrement être sur une plage des caraïbes entrain de savourer des cocktails et c'était une Cartwith non une Harrison. Quand elle par me parler d'Audrey je pinçais légèrement le coin de ma lèvre en entendant sa question. Je ne sais pas.. Pour l'instant rien n'est déclaré ce qui est déjà pas mal. Après tout ce que j'espère c'est que ça restera comme ça vu que pour ma part j'ai eu mon premier cancer qu'à mes vingt ans.. Dis-je en posant mon regard sur ma fille, j'espérais vraiment de tout coeur qu'elle ne risquait rien, parce que la voir en danger ça serait juste la pire chose au monde pour une mère. J'ai beau être irresponsable et pas très douée, mais je l'aime ma fille. J'écoutais alors à nouveau ses paroles quand elle disait qu'elle était contente de me retrouver et qu'elle était contente d'avoir une soeur, je ne pus m'empêcher d'afficher un léger sourire parce que forcement ça fait plaisir à entendre. Je.. Je sais que cette situation est loin d'être facile, mais tu sais quoi ? J'ai vraiment envie de te connaître parce que crois-moi tu n'es pas la seule à s'être sentis beaucoup trop de fois seule. Je veux te connaître parce que tu as le courage de venir me voir pour me dire la vérité ce que ta mère n'est pas capable de faire apparemment, parce que oui même en phase terminal un coup de téléphone n'est jamais de trop. Avant maintenant je ne m'étais jamais posée de question sur ma vraie famille mais maintenant que tu es là j'ai juste envie d'en savoir plus mais surtout sur toi. Dis-je en souriant finalement à la fin de mes mots et quand elle me demanda si j'avais d'autre question je réfléchis un instant, oh mon dieu j'en avais des tonnes. Je lui fis alors signe de me suivre jusqu'au salon parce que nous n'allions pas rester des heures debout. Je m'installais avec sur le canapé en prenant Audrey dans mes bras vu qu'elle grognait que je ne m'occupe pas d'elle pour ensuite reposer mon regard bleu sur Alaska. Quand elle a guérit, pourquoi elle n'a pas essayée de me retrouver ? Oui c'était bien la question qui me perturbais le plus.
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Ne jamais avoir peur de trop aimer. C’est ça, le courage. Ne sois jamais égoïste avec ton cœur. S’il est rempli d’amour, alors montre-le.

   
Donc je suis chez... ma sœur  ? Oui la vrais, celle qui vient de mon père et de ma mère. J'ai déjà une sœur, mais une demi  ; elle n'est que le quart de moi, et je ne me suis jamais sentit très proche d'elle. Je ne me suis jamais sentit très proche de qui que ce soit d'ailleurs, mes parents ont été mes seuls amis durant les onze premières années de ma vie. (pour mon plan grand malheur  ? Ou est-ce une chance?). Je lui raconte la base de l'histoire de maman, sans pour autant mettre une tonne de détail, lui rappel qu'elle a toujours était malade comme moi. Ça ne l'a toucher pas, après tout, cette horrible madame l'avait laisser seule, sans personne, à sa place j'aurais réagis pareille. On passe au sujet de sa petite blonde, qui joue encore avec sa peluche en la frappant contre le sol, tout en riant. Elle m'assure qu'elle n'avait pas hérité du gêne cancérigène des Harrison, sourit doucement en entendant cette nouvelle. « J'en suis heureuse, et tu es plus chanceuse de moi. J'ai eu ça a ma naissance, ils ont bien crus que je n'y passerais pas. J'ai dû attendre mes treize ans, pour être sûr de ne pas crever en marchant jusqu'au toilette. » dis-je en gloussant, bien que je peut toujours mourir du jour ou lendemain. Personne ne peut éviter à la mort, mais de savoir qu'elle est plus proche de nous que d'habitude, peut nous faire voir le monde d'une autre manière. Je suis tout de même heureuse pour ma nièce ? Wow. Si elle n'est pas née avec un bout de cœur en moins et un poumons bancal, c'était déjà ça. Leevy m'explique son point de vue, j'essaie vraiment de me mettre à sa place, mais si dur ? Comment pourrais-je imaginer cela ? Elle doit voir maman comme la pire des sorcières, alors que la voit toujours comme cette femme qui aurais pue me donner sa vie pour une minutes de plus. « Ne te ment pas à toi même, tu n'aurais pas voulue un coup de fil. Imagine toi, un bouleversement dans ta vie arriver au bout d'un fil. Une femme âge que tu ne connais ni d'Adam ni d'Eve t'annoncer que te perdre à été la pire erreur de sa vie. » ce serais comme de recevoir un de ses coups de fil, vous savez, quand vous n'avez pas revue une personne depuis quelques jours, ou que votre mari rentre de boulot , ce coup de fil qui chamboule votre vie. Qui vous annonce la mort, la perte et le désespoir.  n'auriez vous pas aimez le savoir sortir de la bouche de quelqu'un ? Avoir un responsable à blâmer ? Quelque chose de réel sous les yeux pour hurler votre colère ? Un coup de téléphone est sûrement la pire manière de faire les choses. Elle m'avoue qu'elle aimerais en savoir plus sur moi, également. Je sourit doucement à son annonce, j'ai toujours rêvais d'avoir une grande sœur, j'aurais aimer qu'elle soit là quand les filles se moquer de moi parce que je n'avait pas de cavalier pour le bal de fin d'année, ou encore quand personne n'a signer dans mon years books à la fin de mes années lycées. Mais elle est la maintenant, elle peut réparer les pots casser, elle peut coller les morceaux qui s'échappe. « J'suis d'accord pour qu'on apprenne à se connaître. C'est sûrement tout nouveau pour toi toute cette histoire, mais j'ai... La raison pour lequel je t'ai retrouve est que j'ai besoin de quelqu'un. J'ai toujours eu se vide en moi, comme une partit qui manquer, et tu doit sûrement être cette partis. » j'doit sûrement radoté, dire toujours la même chose, mais la joie est vraiment immense même si pour le moment, c'est comme découvrir que la chanson que tu écoutes depuis des années parle en fait de prédateur sexuelle qui invite des gosses de douze ans à les rejoindre. Mais le rythme est si bon qu'on ne peut pas s'en lasser. « Tu avait des frères et sœurs dans ta famille d'adoptive ? » Pourquoi est-ce que je parle au passer ? Je me rend copte de ma bêtise après, mais après tout, on est sa faille biologique. « Tu sais que la femme chez qui tu as été envoyer est la meilleure amie de maman ? » c'était sa l'histoire, deux copines qui auraient tout fait l'un pour l'autre, quitte à mourir sous un train si c'était la seule solution. Une amitié dur comme fer, et lorsque maman était sur son lit de mort, elle a voulue faire un cadeau à celle qu'elle considère comme sa sœur. « Tu as était un cadeau, le plus précieux des héritages qu'elle aurait pue donner. En ce temps là, ta mère voulais une fille, et maman était persuadée que papa ne serais pas s'occuper de toi. Tu aurais était une  pauvre petite fille perdu, dans la démence d'un homme en colère contre la société . » c'est ce que papa était, et c'est ce qu'il est toujours. Il est fâcher, contre tout le monde. Parce qu'il ne trouve pas a normale qu'on ne puisse pas guérir des gens, alors qu'on peut relier un téléphone est une montre, et vu le pris des médicament et de ses autres merdes, il aurait voulue que maman souffre moins, et guéris plus. Il aurais sûrement sombrer dans l'alcool et le visage de Leevy lui aurais ramener à la réalité : elle n'était plus là, et rien ne la feras revenir. « Il t'aurais négliger, envoyer dans un couvent ou dans une école privée à l'autre bout du pays. Tu te serais retrouver à Yale avec les féministes. Je t'assure, même moi je n'aurais pas aimer être élever par papa, seul. » dis-je en gloussant. « Lorsqu'elle a sût qu'elle a était guéris, ta mère n'a pas voulue qu'elle te revoit. Elle avait peur que maman décide de te récupéré et te garder avec elle pour toujours. »

   
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