| Ne jamais avoir peur de trop aimer. C’est ça, le courage. Ne sois jamais égoïste avec ton cœur. S’il est rempli d’amour, alors montre-le. |
Donc je suis chez... ma sœur ? Oui la vrais, celle qui vient de mon père et de ma mère. J'ai déjà une sœur, mais une demi ; elle n'est que le quart de moi, et je ne me suis jamais sentit très proche d'elle. Je ne me suis jamais sentit très proche de qui que ce soit d'ailleurs, mes parents ont été mes seuls amis durant les onze premières années de ma vie. (pour mon plan grand malheur ? Ou est-ce une chance?). Je lui raconte la base de l'histoire de maman, sans pour autant mettre une tonne de détail, lui rappel qu'elle a toujours était malade comme moi. Ça ne l'a toucher pas, après tout, cette horrible madame l'avait laisser seule, sans personne, à sa place j'aurais réagis pareille. On passe au sujet de sa petite blonde, qui joue encore avec sa peluche en la frappant contre le sol, tout en riant. Elle m'assure qu'elle n'avait pas hérité du gêne cancérigène des Harrison, sourit doucement en entendant cette nouvelle. « J'en suis heureuse, et tu es plus chanceuse de moi. J'ai eu ça a ma naissance, ils ont bien crus que je n'y passerais pas. J'ai dû attendre mes treize ans, pour être sûr de ne pas crever en marchant jusqu'au toilette. » dis-je en gloussant, bien que je peut toujours mourir du jour ou lendemain. Personne ne peut éviter à la mort, mais de savoir qu'elle est plus proche de nous que d'habitude, peut nous faire voir le monde d'une autre manière. Je suis tout de même heureuse pour ma nièce ? Wow. Si elle n'est pas née avec un bout de cœur en moins et un poumons bancal, c'était déjà ça. Leevy m'explique son point de vue, j'essaie vraiment de me mettre à sa place, mais si dur ? Comment pourrais-je imaginer cela ? Elle doit voir maman comme la pire des sorcières, alors que la voit toujours comme cette femme qui aurais pue me donner sa vie pour une minutes de plus. « Ne te ment pas à toi même, tu n'aurais pas voulue un coup de fil. Imagine toi, un bouleversement dans ta vie arriver au bout d'un fil. Une femme âge que tu ne connais ni d'Adam ni d'Eve t'annoncer que te perdre à été la pire erreur de sa vie. » ce serais comme de recevoir un de ses coups de fil, vous savez, quand vous n'avez pas revue une personne depuis quelques jours, ou que votre mari rentre de boulot , ce coup de fil qui chamboule votre vie. Qui vous annonce la mort, la perte et le désespoir. n'auriez vous pas aimez le savoir sortir de la bouche de quelqu'un ? Avoir un responsable à blâmer ? Quelque chose de réel sous les yeux pour hurler votre colère ? Un coup de téléphone est sûrement la pire manière de faire les choses. Elle m'avoue qu'elle aimerais en savoir plus sur moi, également. Je sourit doucement à son annonce, j'ai toujours rêvais d'avoir une grande sœur, j'aurais aimer qu'elle soit là quand les filles se moquer de moi parce que je n'avait pas de cavalier pour le bal de fin d'année, ou encore quand personne n'a signer dans mon years books à la fin de mes années lycées. Mais elle est la maintenant, elle peut réparer les pots casser, elle peut coller les morceaux qui s'échappe. « J'suis d'accord pour qu'on apprenne à se connaître. C'est sûrement tout nouveau pour toi toute cette histoire, mais j'ai... La raison pour lequel je t'ai retrouve est que j'ai besoin de quelqu'un. J'ai toujours eu se vide en moi, comme une partit qui manquer, et tu doit sûrement être cette partis. » j'doit sûrement radoté, dire toujours la même chose, mais la joie est vraiment immense même si pour le moment, c'est comme découvrir que la chanson que tu écoutes depuis des années parle en fait de prédateur sexuelle qui invite des gosses de douze ans à les rejoindre. Mais le rythme est si bon qu'on ne peut pas s'en lasser. « Tu avait des frères et sœurs dans ta famille d'adoptive ? » Pourquoi est-ce que je parle au passer ? Je me rend copte de ma bêtise après, mais après tout, on est sa faille biologique. « Tu sais que la femme chez qui tu as été envoyer est la meilleure amie de maman ? » c'était sa l'histoire, deux copines qui auraient tout fait l'un pour l'autre, quitte à mourir sous un train si c'était la seule solution. Une amitié dur comme fer, et lorsque maman était sur son lit de mort, elle a voulue faire un cadeau à celle qu'elle considère comme sa sœur. « Tu as était un cadeau, le plus précieux des héritages qu'elle aurait pue donner. En ce temps là, ta mère voulais une fille, et maman était persuadée que papa ne serais pas s'occuper de toi. Tu aurais était une pauvre petite fille perdu, dans la démence d'un homme en colère contre la société . » c'est ce que papa était, et c'est ce qu'il est toujours. Il est fâcher, contre tout le monde. Parce qu'il ne trouve pas a normale qu'on ne puisse pas guérir des gens, alors qu'on peut relier un téléphone est une montre, et vu le pris des médicament et de ses autres merdes, il aurait voulue que maman souffre moins, et guéris plus. Il aurais sûrement sombrer dans l'alcool et le visage de Leevy lui aurais ramener à la réalité : elle n'était plus là, et rien ne la feras revenir. « Il t'aurais négliger, envoyer dans un couvent ou dans une école privée à l'autre bout du pays. Tu te serais retrouver à Yale avec les féministes. Je t'assure, même moi je n'aurais pas aimer être élever par papa, seul. » dis-je en gloussant. « Lorsqu'elle a sût qu'elle a était guéris, ta mère n'a pas voulue qu'elle te revoit. Elle avait peur que maman décide de te récupéré et te garder avec elle pour toujours. »
FAIT AVEC AMOUR PAR WILD HEART.