Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywhy the f*ck you're in my room?
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


why the f*ck you're in my room?

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

T’as passé ta soirée dehors, à boire au Lord Hobo. C’était l’anniversaire d’un mec, Mickael. Ou Matthew, Machin, quelque chose comme ça, tu ne te souviens plus vraiment de son prénom. Tu te rappelles juste qu’il t’a offert un verre après avoir dansé avec lui, et tu as continué comme ça.
Tu n'es pas resté très tard, parce que malgré ce qu'on pourrait penser, t'es pas une mauvaise élève. Demain, tu ne veux pas rater ton cours alors tu ferais mieux d'aller de décuver. C'est pour ça tu es rentrée. Tu longes le mur du couloir de la Mather House, tourne à droite, continue ton chemin quelques pas et prend la porte de gauche. Ta chambre.
Tu sors ta clé pour la glisser dans la serrure mais cette dernière refuse d’entrer dans le verrou. Pourtant, tu essayes dans tous les sens, mais rien n’y fait, elle n’abdique pas. Et puis tu réalises que la porte est déjà ouverte en tournant la poignée. (Tu aurais peut-être dû essayer ça en premier.) Home sweet home. Tu laisses échapper un soupir, il y a quelque chose de différent dans la pièce, une odeur inconnue, mais tu es trop alcoolisé pour le réaliser. T'es juste contente d'être au chaud. Ton sac atterrit devant la porte et tu décides de prendre tes aises. (Après tout, tu es chez toi.) Quelques secondes plus tard ton t-shirt rejoint le sol à son tour. C'est une libération, tu as attendu cet instant toute la soirée, depuis que tu as renversé ton verre et que ton col s'est imbibé d’alcool.
Et soudain ton corps se fige. Tes yeux s’écarquillent, ton visage se décompose.  Il y a quelqu’un juste en face de toi. Ton cœur rate un battement dans moment de panique. Tu te demandes qui c'est ce mec planté au beau milieu de ta chambre, et tu pries pour que ça ne soit pas un serial-killer. Merde merde merde. Tu lances un regard confus vers l’individu. “Euh… Qu’est-ce que tu branles dans ma chambre ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Baptist avait passé la journée à dessiner des plans, tailler ses crayons, faire des schémas et autres théorèmes afin de construire des plans intelligents et créatifs mais surtout à réaliser des calculs incompréhensibles afin de justifier ce qu'il faisait sur ses papiers de bonnes qualités. Alors comment raconter qu'à la fin de la journée le pauvre garçon souhaitait juste reposer son petit cerveau et quoi de mieux pour ça que de s'étaler de tout son long sur le matelas présent dans la chambre qu'il occupait à la Mather House. Il n'avait même pas cherché à retirer son pantalon, surtout qu'après ses cours, Baptist avait décidé de rentrer en faisant un petit footing et c'est sans prendre de douche mais uniquement en retirant son pull noir et ses chaussures qu'il se coucha telle un automate sur le lit. Puis ce fut seulement quelques heures plus tard -une fois après avoir ouvert les yeux- qu'il se rendit compte qu'il s'était assoupi durant un laps de temps qui lui avait semblé une éternité. Il se rendit compte qu'il avait faim, qu'il n'avait pas mit d'alarme sur son téléphone pour se réveiller le lendemain, mais surtout qu'il avait la bouche pâteuse et qu'il nécessitait une bonne douche. Se levant comme un homme des cavernes, il retira son pantalon et le laissa traîner jusqu'à ses chevilles avant de se diriger vers la salle de bain. Mais subitement, quelque chose le coupa dans son élan et ce quelque chose était un bruit qu'il pouvait entendre au loin et qui provenait selon lui de la serrure de la porte d'entrée. Il resta alors ébahit face à sa bêtise de ne pas l'avoir fermé à clés. Fronçant les sourcils, le jeune homme avança de quelques pas avant de se rendre compte que quelqu'un avançait dans sa direction avant qu'une voix ne l'interpelle. « Euh… Qu’est-ce que tu branles dans ma chambre ? » Féminine et à moitié endormie, la froncement de sourcil chez l'écossais se renforça tandis qu'il faisait tâtonner sa main sur le mur pour essayer de dénicher un interrupteur alors qu'il répondait du tac-o-tac. « Non, qu'est-ce que TOI tu branles dans ma chambre ? » Appuyant sur ledit interrupteur, une lumière jaune et aveuglante les illumina tous les deux. Baptist avait alors sous les yeux une jeune femme de toute beauté sans haut sur le dos et un sourire se peigna sur ses lèvres alors que lui-même ne portait qu'un boxer. « Hôlaa...tu t'es perdue ou bien ? » La situation était plutôt cocasse mais cela l'amusait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Sa chambre ? SA chambre ?  "Wow wow attends mec, arrête de m'la faire à l'envers" Il allume la lumière et tu découvres enfin la chambre. Pendant une seconde, tu es complètement abasourdie. "Merde, mais t'as même changé ma déco ?!" Tu essayes de comprendre comment un inconnu a pu se faufiler dans ta chambre, balancer toutes ses fringues un peu partout dans la pièce, déplacer ta bibliothèque pendant les quelques heures que tu es parti. C'est sûr, tu es tombé sur un psycopa... Oh. Ça t'a frappé comme un éclair.

Dans un moment de lucidité, tu te repasses la scène dans ta tête. Tu es arrivé à la Mather House, tu as monté les escaliers en titubant jusqu'à arriver au couloir de ta chambre et puis tu as tourné... Gauche ou droite ? Tu n'arrives plus à te souvenir, et quand le doute t'envahi, tu ne retiens pas tes mots. "Oh merde." C'est sorti tout seul et la pression s'est relâchée. "Ca explique pourquoi ma clé n'ouvrait pas la porte." Bien joué Sherlock, si seulement tu t'en étais rendu compte plus tôt. On ne dirait pas comme ça, mais tu as réussi le concours d'entrée à Harvard, smartass. Finalement, c'est lui qui a raison : tu es complètement perdue. Tu commences à exploser de rire en analysant la situation, tu viens de débarquer dans la chambre étranger, et tu es à moitié à poil. (A quel moment tu t'es désapée ? Tu as déjà oublié.) Tu fronces les sourcils quand il te dévisages de haut en bas alors que lui même n'est qu'en boxer. "On peut savoir chez qui j'ai atterri.. pervers ?" Tu dis ça sur un ton moqueur, parce que tu profites du paysage qu'il t'offre encore quelques secondes avant de chercher du regard où ton t-shirt a atterri.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)