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Le calme semblait régner dans le bâtiment de la dunster house contrastant avec l’euphorie qui régnait ici il y a encore quelques jours et qui nous avait tous gagné après l’annonce de la réouverture des confréries ainsi que celle de notre victoire. Je traversais la salle commune en repensant à la fameuse soirée qu’on avait passé, puis j’étais en train d’avancer dans le couloir, sortant mes clés de ma poche, m’apprêtant à aller ouvrir la chambre que je partageais avec mes deux colocs, lorsque la porte de celle-ci s’ouvrit. Je m’étais attendu à voir sortir notre président ou encore mon petit Charlou, mais non je me retrouvais nez à nez avec Emrys, mon propre frère. Si il était là, c’était probablement qu’il venait de rendre visite à Charlie ou Jasp’. « Tiens, moi qui pensais que tu avais perdu l’adresse de la dunster house, finalement tu t’en rappelles très bien… » fis-je remarquer avec cynisme sur un ton froissé. Bah oui, Emrys trouvait le temps de passer voir ses potes, mes colocataires en l’occurrence, mais pour son frère quedal. Jaloux ? Oui je l'étais surement un peu. Après tout depuis nos retrouvailles, je n’avais eu le droit ni à une visite, ni à un coup de fil ou même un message de la part de mon aîné…
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Je venais de raccompagner Charlie, après une petite visite de courtoisie chez le medecin mais bien sur, le jeune homme ne savait rester sans rien faire alors très vite, il m'avait dit qu'il devait partir mais que je pouvais rester là, comme d’habitude, attendre Jasper ou pourquoi pas mon frère parce que j’avais clairement fait comprendre que je voulais pas rentrer direct. Et non, ce n'était pas la peur que mini Alaska se ramène ou une autre des personnes ayant pris possession sans mon accord d'un double des clés. Je feuilletais quelques bouquins finement empreintes à mon ami Charlie, enfin ami tout est relatif puis très vite, je commençais à m'ennuyer seul surtout inquiet qu'aucun ne rentre ; il y avait toujours quelqu'un mais là, la clé tourna dans la serrure de la chambre et j'en fus presque trop heureux me levant pour aller au devant de la personne qui s'avérait etre Priape. D'ailleurs, je voulais l'approcher et montrer que j'étais content de le voir, restant sur la réserve parce qu'il n'avait pas non plus, su me réserver du temps pour les retrouvailles, de vrai moments ensembles et pourtant, je le méritais en tant que famille de sang ; on n'avait tout les deux étaient nuls et alors que je voulais parlé, il me coupa net en me reprochant de venir voir tout le monde sauf lui et tout. Je le regardais, incrédule et choqué. Je portais ma main à mon cou montrant que ça me tendait direct. Je le regardais, plongeant mon regard énervé dans le sien puis je dis, saoulé ; T'es sérieux ? tu es mon frère, je t'ai montré que j’étais là avant cette disparition de merde et quand je reviens, je t'envoie des messages et y a rien eu de plus ... pas de vrai joie que je reviennes, rien ... t'as pas cherché à te déplacer direct ou quoi ... alors niveau reproche, tu peux la fermer Priape ? Je levais les yeux au ciel, navré d'une nouvelle engueulade qui nous ramenait a de temps anciens où il s'était mépris sur moi par la faute de mon envie débile de cacher notre connard de père.
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J’avais laissé échapper cette phrase impulsivement, sans réfléchir, sans m’inquiéter de savoir si j’allais blesser mon frère ou non. Après tout, lui, il ne s’était pas soucié de savoir comment je me sentais depuis son retour, comment j’avais vécu son absence, le stress et l’inquiétude que j’avais pu ressentir alors… Bref, j’étais fâché, je lui en voulais. Je vis aussitôt que ma remarque piquante lui déplut. Son regard était révélateur tout comme son petit geste. Un Zacharias tétu et énervé versus un autre Zacharias tétu et énervé, le résultat n’allait pas être beau à voir et cette fois pas de Denys pour jouer les arbitres entre nous. « Excuse moi de ne pas avoir déroulé le tapis rouge pour ton grand retour… Mais c’était peut être à toi, le grand disparu, de t’inquiéter de moi non ? Tu t’en fiche de savoir comment j’ai pu vivre ton absence ? »
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Je n'appréciais clairement pas son attitude, je ne comprenais pas qu'il soit ainsi. Franchement, c'était totalement insupportable de voir un si mauvaise accueil après ce que j'avais vécu et que lui, eux, ait été mal à cause de ma disparition ; le but n'était donc pas qu'on se pourrisse plus la vie. ça me rendait fou alors prenant ma tete entre mes mains, cachant presque mon visage, énervé. Je tentais de me calmer, soufflant, mais c'était impossible alors je laissais évacuer : j'ai pensé à toi, j'ai pensé à vous, je t'ai envoyé des messages et tu le sais très bien mais j'ai passé mon temps à me justifier ... je pensais que tu comprenais que ce n'était pas moi qui avait choisi de disparaitre putain ! Je tapais contre le bureau de Charlie se trouvant près de moi.
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On pouvait dire que les choses s’envenimaient de plus en plus. Emrys frappa le bureau de mon coloc avec agacement, de plus en plus énervé par mes paroles. Mais je n’allais pas me démonter pour autant. Ma rancœur était loin de s’être effacée et je repris donc sur le même ton , bien décidé à vider mon sac : « Ouais c’est ça, t’as tellement pensé à moi que la première chose que tu aies faite en revenant à Harvard c’est te barrer en classe de neige… » Je lui avais pourtant dit que je ne pouvais pas y être et Emrys ne s’était pas dépêché de rentrer à Cambridge pour autant. « On aurait pu passer les fêtes ensemble, mais non pour toi le plus urgent c'était d’aller faire du ski ! » Puis je repris ses paroles : « Je sais que c’est pas toi qui as choisi de disparaitre Em’ Je suis pas idiot, je vais pas te reprocher un accident dont tu n’es pas responsable, encore moins ton amnésie que t’avais certainement pas souhaité, ce que je te reproche c’est ton attitude depuis que t’as retrouvé la mémoire et depuis que t’es revenu ici. »
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Je sentais que mon petit frère n'était pas près de s'adoucir et surement pas pour me faire plaisir et si j'étais pas content de me faire engueuler, j'étais heureux de voir qu'il devenait plus encore un homme qu'avant et il m'impressionnait franchement bien que j'étais dégouté de me faire traiter de la sorte ou reprocher mon départ en classe de neige alors forcément, je n'attendais plus pour rétorquer : j'étais là-bas quand tu m'as dit que tu y étais et vu tous ce que j'avais du faire pour qu'on m'autorise à vous y rejoindre, je voulais pas perdre le truc ou decevoir encore la fac dans la meusure où dans ce cas, tu m'aurais engueulé de pas avoir tenu l'engagement et pris le risque qu'il ne me reprenne pas ! Oui, je savais très bien que j'avais pas totalement raison mais sur le fait qu'il m'en aurait voulu si j'avais pas pu reprendre les cours, j'avais raison et clairement vu comment j'avais du supplier la secrétaire pour me laisser me joindre officiellement et non comme un délinquant qui s'incruste à la classe de neige, je me voyais mal repartir pour dire que non, non, finalement, elle avait fait tout ça pour rien. Il poursuivait sortant tous ce qu'il avait sur le coeur et je m'en voulais clairement, je m'en voulais de ne pas avoir passé noel avec lui mais j'y étais arrivé la veille croyant qu'il était là-bas. Je passais mes mains sur mon visage en soufflant, dégouté. Je ne le regardais plus, faisant volte-face et les cents pas dans la chambre. Priape ... je n'ai jamais voulu ça et que tu imagines que j'ai pu ne pas penser à toi depuis mon retour parce que on s'est peu vu me rend fou ... on n'a passé des années sans se parler parce que déjà, tu t'es fié aux apparences, je n'ai pas voulu cette distance, je n'ai pas voulu ne pas te voir, ça c'est fait comme ça et oui je suis un con de pas avoir fait plus d'effort mais ... Je soupirais, navré mais énervé, criant presque mes paroles dans ma crise de folie.
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Emrys tentait de s’expliquer mais je voulais rien entendre, j’étais juste énervé. « Tu aurais pu essayer au moins. Tu sais pas ce que la fac aurait dit, tu sais pas ce que j’aurais dit ou comment j’aurais réagi. Mais j’aurais aimé ne pas passer les fêtes seul… » J’avais même pas conscience que j’avais emmagasiné tellement de rancœur à son égard. Au moment de son retour, j’avais été tellement soulagé de savoir qu’il allait bien, qu’il était en vie, qu’il avait –simplement- eu un accident. Je n’avais pas perdu un autre frère, il était vivant, sur le coup c’était tout ce qui m’avait importé. Mais désormais je voyais les choses sous un angle nouveau. Il laissa sa dernière phrase en suspend. « Mais quoi ? Mais tu regrettes maintenant ? Alors oui c’est vrai, je me suis fier aux apparences par le passé, et je m’en suis terriblement voulu même. Mais là c’est différent : je me fie pas aux apparences, je me fie aux faits. Et les faits sont là Emrys. » Je plantais mon regard plein de reproches dans le sien, le regardant sévèrement: « T’es peut être de retour à Cambridge mais t’es loin d’être de retour dans ma vie. » Il pouvait élever le ton, soupirer, crier même, cela ne changerait rien à cela. Ca faisait plus de deux mois qu’il était rentré et on avait même pas pris le temps de se voir, de discuter, de se raconter ce qu’il y avait de nouveau pour chacun de nous. On était peu à peu devenu à nouveau des étrangers l’un pour l’autre. « Qu’est-ce que tu fais dans ma chambre d’ailleurs ? T’es venu voir Jasper c’est ça ? » demandai-je avec une nuance de jalousie dans la voix à l’égard de mon coloc, que je savais être proche de mon frère probablement plus que je ne l’étais à l’heure actuelle. Je présumais qu’il était venu pour Jasp parce que je n’étais pas du tout au courant de la tournure qu’avaient pris les choses entre mon frère et Charlie, preuve qu’on ne se connaissait plus par cœur comme avant.
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Il me reprochait mille et une chose, je bouillonnais déjà. J'avais haussé la voix mais malgré tout, il ne voulait pas piger, il s'évertuait à me trouver mille fautes ce qui commençait vraiment à me faire encore plus sortir de mes gonds, je le regardais, navré pour lui, déconfit aussi mais tentant de cacher comme si ce n'était pas mon frère qui me faisait face mais quelqu'un d'autres, totalement étrange. Il ne voulait pas que je me trouve d'excuse mais ce n'en était pas, c'était mes vrais raisons. Le coup le plus dur qui me donna envie de combattre, de parler fut le moment où il m'annonça que j'étais de retour mais pas dans sa vie, là, je levais la main et fut obligé de me retenir ; je me sentais mal et trahi. Je me sentais juste trop mal au vue de tout mes efforts ces dernières années, on revenait d'un coup, à la première page du bouquin. Inspirant, je tentais de prendre du calme et quand il eut finit, semblant se calmer alors que ce n'était surement pas le cas, je ne fis pas un long discours et me contenta de lui dire : Tu as fait des efforts toi ... tu étais à Paris quand j'ai voulu te voir ... tu ne t'ai pas non plus précipité à la classe de neige alors que je t'ai bien dit que j'y étais pour toi aussi de base ... Je m'énervais à nouveau tournant comme un lion en cage, saoulé de ces situations répétitives et profondément blessé. Désespéré, je parlais dans ma barbe, presque à moi meme sans me rendre compte, me rappeler de l’ouïe fine de mon frère : J'aurais mieux fait de réussir mon sucide bordel ! Je parlais bien évidemment de ma tentative de sucide avant de retrouver la mémoire quand je sentais ce putain de poids en moi, cette histoire que je ne retrouvais pas, bloqué dans une vie nouvelle que je ne voulais pas. Saoulé, je revenais néanmoins à mon frère en disant : Charlie est sortie, je reviens de l'accompagner à son rendez-vous puis il devait aller réviser alors il m'a laissé les clés d'ici pour que j'attende Jasper et toi ... Mais je vois que j'aurai mieux fait de pas rester ! Dis-je en ne le regardant meme pas, fier et énervé.
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Chacun de nous deux mettait carte sur table, s’envoyant dans la face toutes les reproches possibles et imaginables. J’étais entêté et aujourd’hui, je n’étais prêt à accepter aucune excuse de la part de mon frère, ne réalisant pas la souffrance que mon obstination pouvait lui causer. Il s’énervait en retour et la fin de cette dispute n’était pas sur le point d’arriver : « Excuse moi mais pendant que tu faisais de la luge moi j’essayais de sauver des enfants malades ! » m’exclamai-je, brandissant à mon tour des excuses pour ne pas avoir à reconnaître mes propres tords dans ce conflit. « Et pour Paris… » Je marquais une petite pause, parce que oui pour Paris je ne trouvais trop rien à prétexter… « C’était prévu à l’avance. Jasper m’avait compté dans les inscrits. Et puis d’ailleurs si t’avais été un peu plus présent à ton retour je t’aurais dit de venir avec nous. » Encore des excuses. La vérité, la vraie, c’était que j’étais allé à Paris pour une seule raison, en fait pour une seule personne : Talya. Notre couple était récent au moment de ce voyage, nous n’avions pas eu l’occasion de beaucoup nous voir à cause de la classe de neige justement, donc j’avais saisi l’occasion de ce séjour en France pour me rapprocher de ma petite amie. Je finis par arrêter de m’enfoncer et le confier à Emrys : « Et puis Paris, il fallait que j’y aille… J’avais besoin d’être avec quelqu’un. T’aurais pas passé ces dernières semaines à faire je ne sais quoi plutôt que de me parler tu saurais que je vois de nouveau quelqu’un maintenant. » En temps normal, mon frère aurait été une des premières personnes au courant du fait que je sois en couple, mais là il l’apprenait des mois après, preuve de la distance qui s’était peu à peu instauré entre nous. Une autre preuve fut son aveu : « Tu… quoi ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire Em’ ? » Merde, l’an passé j’avais rien vu venir pour la dépression de mon coloc et ami Charlie, cette année j’étais passé à côté de la propre dépression de mon frère. Je me sentis soudain horriblement mal… Je notais même pas le fait qu’Emrys soit venu ici avec Charlie, fait étrange et qui aurait du me faire me douter de ce qui se tramait entre eux…
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