A trop jouer avec le feu.... (Marc)

Les prises d'otage étaient passés, on en parlait presque plus, enfin en même temps, j'avais pas 21045 amis ici. Et j'en avais pas besoin.. J'voulais réussir mes études, faire ma petite vie, et voilà. Surtout pas d'attachement, et pas de prises de tête, j'avais pas pour habitude d'avoir un manque de quelqu'un. En Russie j'avais changé d'école comme de tenue, et donc j'avais pas gardé de vrais amis, ou très peu. Je rentrais dans le bibliothèque, il était déjà 18h15 et pourtant, y avait quelques personnes. Je balayais les alentours du regard pour capter ton attention, je t'offrais un fin sourire, en m'avançant vers toi. Marc, t'étais français, et terriblement charmant.. J'étais pas du genre à résister à un gars, mais avec toi, j'voulais. J'voulais te faire perdre la tête. Je vins m'asseoir à la même table que toi. Glissant ma jambe droite sur celle de gauche en sortant un livre de mon sac à main. Tu pouvais voir ma jupe remonter sur mes collants opaques. De la provocation? Oui.. "Bonsoir.."

Je profitais de mon temps libre pour réviser mes cours et les bosser à la bibliothèque, c'était l'endroit que je fréquentais le plus après ma chambre à la résidence bleue et la ville. Je n'avais pas de stage à l'hôpital ce soir, j'en profitais pour refaire le point sur ce que j'ai pu apprendre en trois ans là-bas, j'ai bientôt un compte rendu de stage à redonné, faut que je prenne de l'avance. Je suis vraiment dedans, tellement concentré et à fond que je ne remarque même pas la fille qui vient de s'asseoir à la même table que moi, il n'y a que quand elle m'interpelle que je redresse la tête et quitte de vue mes cours pour porter mes yeux sur elle, c'était Irina, évidemment c'était elle. Bonsoir. lui répondis-je alors que je la vis se baisser légèrement en toute provocation me laissant voir sa jupe remonter légèrement quand elle fouillait dans son sac pour prendre un livre T'as choisis cette table par hasard bien-sûr ? bien-sûr que non, elle était assise à cette table précisément pour moi, pour jouer avec moi, me provoquer, me tenter, après tout ça à toujours été ça entre nous, de la résistance et une tentation de folie.

Fallait que je révise mes cours de sociologie, le comportement de l'enfant et tout ça.. J'aimais bien ce chapitre, même si y avait des tonnes de choses à savoir. M'enfin. Je t'avais aperçu et j'allais pas te laisser filer, j'avais bien envie de m'amuser. Faire tourner la tête, j'adorais ça. "Bonsoir." tu avais relevé ton regard sur ma personne, et sur.. mes cuisses, et ça me faisait sourire légèrement. "Tu vas bien Marc?" j'aimais ton accent français, quoi que, j'avais aussi un accent russe. "T'as choisis cette table par hasard bien-sûr ?" je regardais autour de nous, y avait de la place ailleurs, surtout à cette heure un peu tardive. "Si tu veux, je m'en vais.. J'pensais que ça te ferait plaisir d'avoir ma compagnie à ta table.." et un sourire de tombeuse.

J'étais vraiment à fond dans mes révisions, que je n'avais même pas fait attention à la personne qui s'était installé à la table que j'occupais. Sa voix qui m'interpella me fit sortir de ma concentration, relevant les yeux j'avais la surprise de voir Irina, petit sourire aux lèvres je lui répondais avec politesse puis je ne loupais rien de ses cuisses et s jupe légèrement remonter lorsqu'elle prenait ses cours mais je restais discret enfin je suis pas si sur vu le petit sourire qui s’affichait sur ses lèvres. Ça va et toi ? lui répondais-je avant d’enchaîner par lui demander si elle était venue à cette table exprès, elle jouait la carte de me faire culpabiliser avec son sourire de tombeuse, je revenais sur mes dires souriant sans perdre ses yeux du regard Oh mais c'était pas ce que je voulais dire, restes au contraire, ça me fait plaisir que tu sois assise en face de moi. c'était la pure vérité, ce jeu de séduction et de provocation venait de recommencer entre nous.

"Ça va et toi ?" même quand ça n'allait pas, j'disais que j'allais bien. Je me confiais que très peu, et c'était un choix. Mais là, j'allais vraiment bien. J'avais aucune contrariété dans cette journée puis j'avais bien envie de continuer à jouer avec le feu avec toi. "J'vais bien oui, encore mieux depuis que j'suis assise là.."Cherchant à en savoir plus sur toi, ta vie, et tout l'reste.."Oh mais c'était pas ce que je voulais dire, restes au contraire, ça me fait plaisir que tu sois assise en face de moi." j’acquiesçais d'un signe de tête et d'un petit sourire. J'ouvrais mon classeur, y avait des feuilles volantes par ci par là.. "Tu vis dans le campus?" ou en ville, mais j'voulais savoir..

Ce petit jeu entre nous était devenu plus que fréquent, il était présent à chaque fois que nous étions ensemble, jouer avec le feu, provoquer, séduire, savoir qui aurait la faiblesse de craquer en premier, c'était ça le but mais à croire que chacun d'entre nous tenait bon. Attention, je vais penser que j'ai un certain effet sur toi. tout en provocation, il n'est question que de ça, elle començait à ouvrir ses classeur et jeter un coup d’œil à ses cours avant de relever les yeux sur moi et de me demander si je vivais sur le campus, à mon tour mes yeux quittaient mes cours pour les siens et je lui répondais Oui, j'ai une chambre à la résidence des Eliots et toi ? autant lui demander.

"Attention, je vais penser que j'ai un certain effet sur toi." je ne cessais d'esquisser un fin sourire sur le coin de mes lèvres, relevant mon regard clair sur ton visage "Rien ne me perturbe, très cher.." pas même ton sourire de tombeur, tes yeux si.. magnifiques. Et ta bouche, n'en parlons pas. Erm. Je te demandais où tu vivais. "Oui, j'ai une chambre à la résidence des Eliots et toi ?" les eliots? C'était les riches ça? Je pensais bien.. "J'vis dans un loft avec Gabriel un autre étudiant.. En ville. C'est bien la vie dans une confrérie?" j'y avais déjà pensé, mais j'hésitais beaucoup. Puis quelle confrérie en plus, me correspondrait le mieux?

Rien ne la perturbe ? Vraiment ? J'en doute fort, ce petit jeu de séduction entre nous ne sait pas installé pour rien Je vais m'en tenir à ce que tu viens de dire.. Maintenant, on essayaient d'en savoir plus sur l'un et l'autre, elle venait de me demander où j'habitais et si j'avais une chambre dans la résidence des bleus, elle c'était dans un loft avec un autre étudiant qui s'appelait Gabriel D'accord. Et je peux te confirmer que la vie en confrérie, c'est le pied. après avoir dis ces mots, je la fixais souriant avant de plonger mon regard sur mes bouquins de médecine .