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Fiche Étudiant
C'est le 19 Septembre 1993 à Berlin, que les membres de la famille Roman m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Leopold. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Musique (M) et de neurosciences (m) depuis 3 ans et ai été diagnostiqué Autiste surdoué à l'âge de 4 ans. Pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Students.
Pourquoi Lowell House ou Students ?
Lowell House
À mes yeux, Lowell House est la confrérie qui semble le mieux coller au profil de Leopold. Ce dernier n'est pas un fêtard turbulent, fils à papa ou autre. C'est un musicien de génie passionné par ce qu'il fait et même s'il rencontre quelques problèmes relationnels dû à son autisme, je ne le vois pas ailleurs que dans cette maison où la communauté me parait, à priori, "plus ouverte d'esprit" (fin je dis ça parce que les artistes sont vachement timbrés en général. Je suis timbrée AHAHAHAH). Il lui sera également plus simple d'échanger avec des personnes ayant les mêmes passions que lui.
Sans maison
Il serait probable qu'on lui reproche le fait de ne pas s'investir suffisamment dans la vie de sa maison. Non pas que l'envie ne soit pas là, mais plusieurs facteurs dû à l'autisme du pianiste l'empêche de faire correctement face à certaines situations sociales. Par son attitude, on dira parfois de lui qu'il manque d'empathie, (ce qui est totalement faux) par exemple. Il n'est pas impossible non plus que Leopold s'énerve subitement et fasse une crise de colère qui pourrait en effrayer plus d'un. C'est pourquoi je pense qu'un manque d'incompréhension ou une suite de malentendus peuvent l'avoir amener à se retrouver sans maison (car exclu de cette dernière)
À mes yeux, Lowell House est la confrérie qui semble le mieux coller au profil de Leopold. Ce dernier n'est pas un fêtard turbulent, fils à papa ou autre. C'est un musicien de génie passionné par ce qu'il fait et même s'il rencontre quelques problèmes relationnels dû à son autisme, je ne le vois pas ailleurs que dans cette maison où la communauté me parait, à priori, "plus ouverte d'esprit" (fin je dis ça parce que les artistes sont vachement timbrés en général. Je suis timbrée AHAHAHAH). Il lui sera également plus simple d'échanger avec des personnes ayant les mêmes passions que lui.
Sans maison
Il serait probable qu'on lui reproche le fait de ne pas s'investir suffisamment dans la vie de sa maison. Non pas que l'envie ne soit pas là, mais plusieurs facteurs dû à l'autisme du pianiste l'empêche de faire correctement face à certaines situations sociales. Par son attitude, on dira parfois de lui qu'il manque d'empathie, (ce qui est totalement faux) par exemple. Il n'est pas impossible non plus que Leopold s'énerve subitement et fasse une crise de colère qui pourrait en effrayer plus d'un. C'est pourquoi je pense qu'un manque d'incompréhension ou une suite de malentendus peuvent l'avoir amener à se retrouver sans maison (car exclu de cette dernière)
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
Ce jour là, Leopold se trouvait à la cafétéria avec d'autres élèves. Malgré son angoisse extrême, il semblait figer sur place. La panique, les premières disputes et le bruit s'accumulant, il avait fini par se couper du monde extérieur en se refermant sur lui-même. Lorsque la bombe a explosé, il est tombé, est resté étourdi un long moment, mais a pu voir tout ce qui se produisait. Les étudiants qui courent, les scènes pénibles; il se souvient d'absolument tout dans les moindres détails. Fort heureusement, ses blessures physiques étaient légères (quelques ématomes seulement, une table l'avait protégé des éclats de verres et autres débris), mais cet événement l'a grandement marqué.
Quand il se rend à la cafétéria aujourd'hui, le pianiste ne peut s'empêcher de citer les noms, puis le statut (mort ou vivant) des différents étudiants présents ce jour là, et ce à voix basse. Après quoi il se met à décrire très rapidement ce qu'il a vu, ce qui peut être assez pénible pour les élèves autour de lui.
APRÈS LA PRISE D'OTAGES
C'est quand il se rinçait les mains aux toilettes du McDonald, que le premier coup de feu se fit entendre. Cela lui avait fait atrocement mal aux oreilles et il était resté planqué là, sans vraiment savoir ce qui se passait de l'autre coté. Les coups de poignards dans ses tympans se succédèrent, au point où il avait finit par faire une crise d'anxiété. Quand la police inspecta les lieux et le trouvèrent agité, ils lui demandèrent de décliner son identité. Pas de réponse de Leopold, il paniquait. Un otage ? Un complice ? Ils décidèrent de l'arrêter, mais le pianiste ne se laissa pas faire. Un coup de matraque au ventre suffit néanmoins à le mettre au sol.
Il fut identifié un peu plus tard par un de ses camarades, ce qui mit fin au malentendu commis par les forces de l'Ordre. Évidement, Leopold garde un très mauvais souvenir de ce jour là, mais il est encore trop tôt pour dire quel impact réel cela aura sur sa personne.
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
Ce jour là, Leopold se trouvait à la cafétéria avec d'autres élèves. Malgré son angoisse extrême, il semblait figer sur place. La panique, les premières disputes et le bruit s'accumulant, il avait fini par se couper du monde extérieur en se refermant sur lui-même. Lorsque la bombe a explosé, il est tombé, est resté étourdi un long moment, mais a pu voir tout ce qui se produisait. Les étudiants qui courent, les scènes pénibles; il se souvient d'absolument tout dans les moindres détails. Fort heureusement, ses blessures physiques étaient légères (quelques ématomes seulement, une table l'avait protégé des éclats de verres et autres débris), mais cet événement l'a grandement marqué.
Quand il se rend à la cafétéria aujourd'hui, le pianiste ne peut s'empêcher de citer les noms, puis le statut (mort ou vivant) des différents étudiants présents ce jour là, et ce à voix basse. Après quoi il se met à décrire très rapidement ce qu'il a vu, ce qui peut être assez pénible pour les élèves autour de lui.
APRÈS LA PRISE D'OTAGES
C'est quand il se rinçait les mains aux toilettes du McDonald, que le premier coup de feu se fit entendre. Cela lui avait fait atrocement mal aux oreilles et il était resté planqué là, sans vraiment savoir ce qui se passait de l'autre coté. Les coups de poignards dans ses tympans se succédèrent, au point où il avait finit par faire une crise d'anxiété. Quand la police inspecta les lieux et le trouvèrent agité, ils lui demandèrent de décliner son identité. Pas de réponse de Leopold, il paniquait. Un otage ? Un complice ? Ils décidèrent de l'arrêter, mais le pianiste ne se laissa pas faire. Un coup de matraque au ventre suffit néanmoins à le mettre au sol.
Il fut identifié un peu plus tard par un de ses camarades, ce qui mit fin au malentendu commis par les forces de l'Ordre. Évidement, Leopold garde un très mauvais souvenir de ce jour là, mais il est encore trop tôt pour dire quel impact réel cela aura sur sa personne.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Charlatan et j'ai 18 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à Google. Le graphisme est classe, le contexte simple et accessible alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise James Mcavoy comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ je compte pas mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Je ne trouve pas le MBTI vraiment représentatif de mon personnage. En tout cas, j'ai hâte de commencer mon aventure sur ILVH o/
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Je ne trouve pas le MBTI vraiment représentatif de mon personnage. En tout cas, j'ai hâte de commencer mon aventure sur ILVH o/
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
Il était une fois...
Pour son septième anniversaire, Josh et moi avions repeins les murs de sa chambre en bleu et demandé à l'un de nos proches de nous aider à installer un nouveau meuble dans sa pièce. Pour se faire il fallu changer le lit de place, faire un peu de ménage, rien d'anormal en soit. Lorsque notre fils est revenu de l'école et a découvert les changements que avions apportés à son nid, j'étais naïvement persuadée qu'il sauterait de joie ou je ne sais quoi...Vous savez Docteur, ce genre de chose que font les enfants normaux quand on leur offre un cadeau. Leopold lui, n'a pas esquissé un seul sourire. Il est resté debout devant la porte grande ouverte, s'est tourné vers nous et nous a demandé où était passé sa chambre. *Que..Quoi ? De quoi parle t-il ? Pourquoi me pose t-il une question aussi bizarre ?* m'étais-je questionné. « Chéri Tu ne reconnais pas ta chambre ? Regarde, ton lit est là, ton bureau et tes jouets aussi, » lui avais-je répondu en souriant. Seulement, Leopold ne nous regardait jamais dans les yeux quand nous lui parlions et cela me perturbait toujours un peu. « Ce n'est pas ma chambre. Ce meuble là m'est inconnu et les murs sont bleus. Qui-est ce qui prouve que c'est bien ma chambre ? Je ne dormirai pas dans cette pièce. » Abasourdi par ses propos, je lançais un regard rempli d'incompréhension à Josh. Mon mari s'adressa à notre fils d'une voix ferme. « Leopold arrête un peu avec tes caprices ! Ça ne te fait pas plaisir de voir...tout ça ? » Mais la discussion, était probablement à sens unique. « Qui est-ce qui prouve que c'est ma chambre ? » demanda t-il à nouveau. Voyant Josh perdre peu à peu patience, je m'étais saisit d'un crayon et avait écrit « Chambre de Leopold Roman» sur la porte. Cela suffit à le convaincre que cette pièce était bien la sienne, mais époux et moi étions de nouveau plongés dans le doute. Cette nouvelle scène ne faisait que confirmer ce que nous savions déjà au fond de nous. Tristan n'était pas normal et ne grandirait pas comme les autres enfants. Qu'adviendrait-il de lui une fois devenu adulte ?
Je me souviens Docteur que lorsque nous portions ce tout jeune bébé dans nos bras, ce dernier hurlait et pleurait. Avait-il mal quelque part ? Nous l'avions emmenés chez un médecin de famille, mais celui ci nous affirmait que Leopold était en pleine santé. Peut-être faisais-je simplement une mauvaise mère ? Ne t'en fais pas. C'est plutôt inhabituel, mais ça passera sans doute avec le temps, me répétais-je chaque fois que mon fils fuyait le contact physique avec nous. Bien qu'il me rassurait sur ce point, je savais que Josh ne vivait pas non plus très bien la situation. Finalement, nous avions pris sur nous.
Ce que nous trouvions assez surprenant pour un enfant de son âge, c'est qu'il avait commencé à parler très tôt. Pourtant, lorsque nous l’appelions par son prénom ou lui parlions, Leopold semblait le plus souvent distrait, voir sourd. Quand je lui demandais pourquoi il ne me regardait pas dans les yeux, il me répondait mieux voir ainsi ainsi, ce que je ne comprenais évidement pas. Plus le temps passait, plus le comportement étrange de notre enfant nous inquiétait. Il lui arrivait par exemple de rester deux heures entières à fixer le hublot de la machine à sécher le linge tourner. Pourquoi ne vient-il pas me voir ? Qu'il y a t-il de si amusant à fixer ainsi les objets tournants ? Me questionnais-je, de nouveau perturbée. Je le trouvais détaché de nous, comme s'il se trouvait dans un monde à part que nous ne pouvions percevoir. Josh et moi avions fini par l'emmener chez un neurologue réputé. C'était vous Docteur.
Lorsque vous m'avez annoncé que Leopold était Autiste surdoué, j'ai éclaté en sanglot et cela m'a grandement soulagé. Bien sûr que je me sentais déboussolée par vos propos, mais pouvoir mettre un nom derrière le comportement si particulier de mon fils de quatre ans me rassurait. S'il ne voulait pas que je le prenne dans ces bras, ce n'est pas parce qu'il ne m'aimait pas, mais parce que cela lui était assez douloureux. J'avais craquée de nombreuses fois et était restée si longtemps dans l'incompréhension... Grâce à vous, j'ai eu réponse aux questions qui me trottaient dans la tête depuis des années.
Là où un écolier normal décrirait diverses petites aventures avec ses amis, Leopold lui, nous parlait sans cesse de musique, plus précisément de Jazz ou de classique. Ce que je prenais au départ pour une passion se trouvait être une véritable obsession pour notre fils. Il lui arrivait aussi de parler très vite en racontant un souvenir de son passé. Était-il anxieux dans ces instants là ? Nous avions fait installer un piano à la maison pour lui faire plaisir. Le soir même, lorsque je l'ai entendu jouer pour la première fois, je n'en revenais pas. Piano Sonata No. 14 (Moonlight) Third Movement parfaitement exécuté par notre fils de 7 ans. Il n'avait pourtant jamais reçu de cours de piano de toute sa vie. « Elle passe souvent à la radio et est plutôt simple à jouer. Tu ne sais pas le faire ? » se contenta t-il de me dire. Il ne se rendait pas compte que posséder des capacités tels que les siennes relevait du génie.
Aujourd'hui, Leopold étudie la Musique à Hardvard ! N'est-ce pas formidable Docteur ? Je sais qu'il reste modeste de son coté mais je suis tellement fier de lui. Ses efforts ont fini par porter ses fruits et voilà maintenant qu'il entame sa troisième année à l'Université. Il m'a dit vouloir en apprendre plus sur « ce qui se passait dans son cerveau ». Que c'était important pour lui de suivre les avancés de l'autisme d'un point de vue biologique, et c'est pourquoi il prend également des cours de neurosciences à coté.
Extraits de lettres diverses.
Je me souviens Docteur que lorsque nous portions ce tout jeune bébé dans nos bras, ce dernier hurlait et pleurait. Avait-il mal quelque part ? Nous l'avions emmenés chez un médecin de famille, mais celui ci nous affirmait que Leopold était en pleine santé. Peut-être faisais-je simplement une mauvaise mère ? Ne t'en fais pas. C'est plutôt inhabituel, mais ça passera sans doute avec le temps, me répétais-je chaque fois que mon fils fuyait le contact physique avec nous. Bien qu'il me rassurait sur ce point, je savais que Josh ne vivait pas non plus très bien la situation. Finalement, nous avions pris sur nous.
Ce que nous trouvions assez surprenant pour un enfant de son âge, c'est qu'il avait commencé à parler très tôt. Pourtant, lorsque nous l’appelions par son prénom ou lui parlions, Leopold semblait le plus souvent distrait, voir sourd. Quand je lui demandais pourquoi il ne me regardait pas dans les yeux, il me répondait mieux voir ainsi ainsi, ce que je ne comprenais évidement pas. Plus le temps passait, plus le comportement étrange de notre enfant nous inquiétait. Il lui arrivait par exemple de rester deux heures entières à fixer le hublot de la machine à sécher le linge tourner. Pourquoi ne vient-il pas me voir ? Qu'il y a t-il de si amusant à fixer ainsi les objets tournants ? Me questionnais-je, de nouveau perturbée. Je le trouvais détaché de nous, comme s'il se trouvait dans un monde à part que nous ne pouvions percevoir. Josh et moi avions fini par l'emmener chez un neurologue réputé. C'était vous Docteur.
Lorsque vous m'avez annoncé que Leopold était Autiste surdoué, j'ai éclaté en sanglot et cela m'a grandement soulagé. Bien sûr que je me sentais déboussolée par vos propos, mais pouvoir mettre un nom derrière le comportement si particulier de mon fils de quatre ans me rassurait. S'il ne voulait pas que je le prenne dans ces bras, ce n'est pas parce qu'il ne m'aimait pas, mais parce que cela lui était assez douloureux. J'avais craquée de nombreuses fois et était restée si longtemps dans l'incompréhension... Grâce à vous, j'ai eu réponse aux questions qui me trottaient dans la tête depuis des années.
Là où un écolier normal décrirait diverses petites aventures avec ses amis, Leopold lui, nous parlait sans cesse de musique, plus précisément de Jazz ou de classique. Ce que je prenais au départ pour une passion se trouvait être une véritable obsession pour notre fils. Il lui arrivait aussi de parler très vite en racontant un souvenir de son passé. Était-il anxieux dans ces instants là ? Nous avions fait installer un piano à la maison pour lui faire plaisir. Le soir même, lorsque je l'ai entendu jouer pour la première fois, je n'en revenais pas. Piano Sonata No. 14 (Moonlight) Third Movement parfaitement exécuté par notre fils de 7 ans. Il n'avait pourtant jamais reçu de cours de piano de toute sa vie. « Elle passe souvent à la radio et est plutôt simple à jouer. Tu ne sais pas le faire ? » se contenta t-il de me dire. Il ne se rendait pas compte que posséder des capacités tels que les siennes relevait du génie.
Aujourd'hui, Leopold étudie la Musique à Hardvard ! N'est-ce pas formidable Docteur ? Je sais qu'il reste modeste de son coté mais je suis tellement fier de lui. Ses efforts ont fini par porter ses fruits et voilà maintenant qu'il entame sa troisième année à l'Université. Il m'a dit vouloir en apprendre plus sur « ce qui se passait dans son cerveau ». Que c'était important pour lui de suivre les avancés de l'autisme d'un point de vue biologique, et c'est pourquoi il prend également des cours de neurosciences à coté.
Extraits de lettres diverses.
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