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You swore you'd never tell - NEMO (flashback)

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You swore you'd never tell

with Nemo

Mallory attendit à peine d'être sorti du bâtiment pour s'allumer une cigarette. Sa besace élimée pendue négligemment à l'épaule, il traversa la cour de son habituel pas nonchalant, vêtu d'une paire de jeans bleu délavée, d'un t-shirt blanc déchiré au col et d'un blouson de cuir qui affirmait son air de badboy. Il passa une main dans ses cheveux roux pour les ramener vers l'arrière et soupira en jetant un coup d'oeil au ciel qui s'assombrissait à vue d'oeil. Adieu le soleil radieux de l'après-midi.
Coinçant la clope à l'a commissure de ses lèvres, il extirpa son téléphone à l'écran cassé de la poche intérieure de son vêtement pour répondre au message qu'un de ses frères lui avait envoyé pendant son cours. Bray voulait savoir s'il comptait rentrer ce weekend. Mallory fronça les sourcils, visiblement ennuyé, et lui répondit que non. Il aurait bien voulu mais 1008 miles exactement séparaient Cambridge de Chicago. Il ne pouvait pas prendre l'avion toutes les semaines pour retourner vérifier que sa famille allait bien. Il essayait déjà de rentrer tous les mois et, croyez-moi, pour payer le billet d'avion, il devait se laisser tripoter par tous les gros dégueulasses de la ville après son boulot au nightclub. Rien que de repenser au pervers qui l'avait pris hier soir contre les poubelles nauséabondes au fond d'une ruelle, il eut un haut-le-coeur.

La réponse expédiée, Mallory rangea son appareil et reprit sa cigarette entre son index et son majeur droits pour faire tomber la cendre. Qu'est-ce qu'il allait faire ? Il était clean pour le moment et il ne ressentait pas encore le besoin de se faire une ligne de coke ou d'avaler un cacheton. Comme ces conneries étaient quand même chères, il préférait attendre le moment où il serait vraiment en manque pour en prendre. Il avait suffisamment de self control pour y parvenir.
Il traversait la cour sans faire gaffe à ce qui l'entourait quand un rire agréable attira son attention. Marchant dans sa direction, un groupe de trois jeunes hommes discutaient et plaisantaient entre eux. Mallory attarda son regard sur chacun d'eux et s'arrêta sur celui du milieu. Il avait quelque chose de familier. Plus ils approchaient et plus son souvenir s'éclaircissait. Bientôt, il eut une révélation. Mais oui ! C'était le beau mec qui était venu au club il y a à peu près un mois et avec qui il avait fini la nuit. C'était assez rare qu'il se fasse draguer là-bas par quelqu'un qui lui plaisait réciproquement pour qu'il puisse s'en rappeler. C'était donc un étudiant d'Harvard. Intéressant.

Alors qu'il allait passer juste à coté d'eux, le jeune homme en question dut se sentir observer parce qu'il releva la tête et leurs regards se croisèrent. Mallory lui adressa un sourire naturellement charmeur assorti d'un clin d'oeil complice. Sans ralentir sa marche, il les dépassa et poursuivit son chemin vers les dortoirs neutres. La nuit qu'ils avaient passé ensemble avait été très chaude et à la hauteur de ses attentes. Il n'aurait rien eu contre le fait de recommencer. Au contraire même. Mais le rouquin était toujours vigilent à ne pas embarrasser ses conquêtes devant leurs connaissances. Un grand nombre de garçons n'étaient pas ouvertement gays et ça ne le dérangeait pas de les voir seulement pour tirer un coup entre deux cours. Personne n'avait besoin de le savoir.
Dans son dos, il entendit l'un des amis de son ex-amant s'exclamer : « Oula ! Méfie-toi de Bellwether, Nemo. C'est une tapette. Il drague même les hétéros à ce qu'il paraît. » L'insulte lui passa trois mètres au dessus de la tête mais il eut quand même un petit sourire quand l'autre ami prit sa défense : « Arrête, Mallory est sympa. Enfin, pour un Mather... Et il paraît que sa moyenne de droit est plus élevée que celles de toutes tes matières réunies. »

Mallory n'entendit pas la fin de la conversation. Il pénétra dans les dortoirs et regagna sa chambre au rez-de-chaussée. Sur la porte, son nom était écrit à la craie blanche sur une ardoise. En dessus, en couleur, sa meilleure amie avait laissé un mot et des petits cœurs. Il fit tourner ses clefs dans la serrure et entra, refermant seulement d'un coup de pied. Comme il n'avait pas encore de colocataire, il jouissait d'une intimité parfaite. Jetant sa besace sur le lit inoccupé, il se défit de son blouson de cuir et s'effondra sur le sien. Son t-shirt blanc remonta jusqu'au milieu de son ventre. Il allait peut-être faire une petite sieste avant de se mettre à bosser.
A peine avait-il calé les mains sous sa tête qu'on frappa à la porte. Comme il avait beaucoup trop de la flemme de se relever, il gueula : « C'est ouvert », s'attendant à voir débarquer Acacia ou Alexia, espérant au fond de lui que ce soit Royce. En tous cas, il ne s'était pas du tout attendu à voir le jeune homme qui allait entrer dans quelques instants.
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Tu papotais tranquillement avec deux de tes amis – qui étaient vraiment plus des connaissances mais qui avaient l'air assez sympa, alors tu leur laissais leurs chances – marchant dans la cour afin de profiter du fait que vous aviez une heure de libre avant le prochain cours. Ça c'était le paradis pour toi, et même si d'habitude tu l'aurais plus passé à réviser tes cours précédents, tu te laissais tout de même quelques moments de répits entre amis. Tu riais à l'une des blagues que sortais l'une de deux mecs – et c'était un jeu de mot pourri, mais t'étais pas très difficile en matière d'humour il fallait croire – quand tu sentais comme des yeux sur toi. Ça t'arrivait souvent ce genre de ressentis – surtout quand t'étais pas encore à Harvard mais que tu devais aller avec ta famille pour toutes sortes d'évènements et que tu te sentais épié de tous les côtés – mais c'était différents à présent, t'avais moins cette impression depuis que tu étudiais à Harvard – il y avait tellement de fils ou fille de famille royales et importantes après tout. Quand cette impression d'être espionné ne se dissipait pas, tu levais un peu tes yeux, et c'est là que tu croisais ceux d'un jeune homme roux, dont tu te souvenais assez rapidement. Et lui aussi, à en juger par son sourire et son clin d'oeil. Tu n'eus même pas le temps de répondre puisqu'il passait devant vous sans s'arrêter, mais tes amis eux, avaient été témoins de la scène. « Oula ! Méfie-toi de Bellwether, Nemo. C'est une tapette. Il drague même les hétéros à ce qu'il paraît. » Ugh, pourquoi tu traînais avec lui au fait ? Sérieusement, t'étais pas d'humeur à gérer des homophobes là tout de suite. Après tout, il pouvait parler lui, mais il ne savait pas que t'étais un peu pareil toi-même : t'étais bien une tapette comme il le disait si bien et t'avais pas vraiment honte d'aller draguer des hétéros en soirée – soit ils se laissaient tenter, soit ils te rembarraient plus ou moins gentillement et c'était pas grave, tu passais au suivant. Tu préférais ne rien dire pour le coup, et heureusement, ton second pote venait défendre ton coup d'un soir. « Arrête, Mallory est sympa. Enfin, pour un Mather... Et il paraît que sa moyenne de droit est plus élevée que celles de toutes tes matières réunies. » C'était assez bizarre, car tu avais l'impression d'en savoir plus sur lui en deux phrases que ayant couché l'autre soir avec lui. Tu ne connaissais pas du tout son prénom ni son nom avant qu'ils le nomment, et … Ouais, t'avais pas vraiment pu retenir la petite grimace qui était apparue sur ton visage quand il à parlé de Mather. T'espérais qu'il aimait juste faire la fête, et que ce ne soit pas l'un de ces drogués qui se retrouveront avec le cerveau bousillé dans deux ans. N'empêche, tu regardais discrètement où partait le fameux Mallory, et un doute t'envahissais l'esprit. Il avait l'air très à l'aise avec sa sexualité – et tu pourrais même dire trop si cela était possible – et ça commençait à te faire stresser. T'écoutais même plus ce que les autres mecs disaient, parce que dans ta tête, tu devenais un peu parano. Qui te disait qu'il n'était pas le genre de mec qui affichait ses conquêtes ? Qui te disait qu'il ne racontait pas librement avec qui et quand il avait couché, lorsqu'on lui posait la question, sans honte ? Parce que au vu de son petit sourire, il t'avait absolument reconnu. Et merde, tu t'étais marié il y a quelques jours, et tu ne pouvais pas laisser passer ça. Sûr, il n'était pas le seul homme avec qui tu avais couché depuis toutes ses années où tu avais compris que tu préférais les hommes, mais il était celui avec qui tu l'avais fait aussi prêt du mariage – enfin, c'était quelques mois auparavant et tu n'étais même pas au courant du mariage qui te tomberait sur la tête à l'époque, mais pour la presse tu devais déjà être amoureux de Chrissy depuis pas mal de temps – quand tu ne la connaissais même pas. Tu faisais rapidement le calcul dans ta tête, et tu te disais que ce serait bien plus aisé d'aller directement parler à Mallory, plutôt que des passer des semaines entières à stresser sur des suppositions. Après tout, peut-être qu'il serait cool si tu lui demandais gentillement ?

« Merde... Désolé les gars, j'ai oublié un livre pour le prochain cours... On se retrouve après ? » Tu demandais sans trop vraiment leur laisser le choix, leur faisant un salut de la main avant de te retourner et de partir vers les dortoirs où tu avais vu ta connaissance s'engouffrer. Tu commençais à regarder les portes du rez-de-chaussée – ouais t'étais prêt à te faire tous les étages pour le retrouver – mais apparemment t'avais de la chance, parce que tu trouvais rapidement sa chambre – en tout cas au moins une qui semblait lui appartenir puisqu'il y avait écrit son prénom dessus. Tu donnais quelques petits coups à la porte, et t'entendais très bien la voix qui te gueulait d'entrer. C'est donc ce que tu faisais, entrant puis refermant la porte, et tu balayais un instant la chambre du regard avant que tes yeux se posent sur le jeune homme allongé sur son lit, son ventre à l'air. Tu haussais un petit sourcil – et ouais, c'était pas vraiment le moment de mater Nemo, alors tu relevais tes yeux vers son visage. « Salut. Tu me remets ? » D'accoooord, c'était pas très intelligent comme question car il t'avait fait ce petit sourire plus tôt – à part s'il faisait ça à tout le monde ? - mais c'était une manière comme une autre de commencer la conversation. Tu préférais ne pas tourner autour du pot, enfonçant tes mains dans les poches de ton jean. « Ça m'arrangerait que tu gardes pour toi le fait qu'on a couché ensemble. » Pour des raisons qui étaient pour toi très évidentes.
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En entendant une voix d'homme, Mallory contracta ses abdominaux pour se redresser sur ses coudes tout en restant allongé sur le lit. L'identité de son visiteur le surprit et un sourire se dessina sur ses lèvres en entendant sa question. Bien sûr qu'il se souvenait de lui. Certes, plusieurs mois s'étaient écoulés depuis leur unique entrevue mais ce n'était pas non plus comme si de beaux mecs venaient le draguer tous les soirs à son boulot où il dansait à moitié nu sur une sorte de podium. Son public habituel était plutôt les gros lourds avinés. Alors, forcément, quand un canon comme celui qui se trouvait devant lui venait lui faire des propositions indécentes et alléchantes, il ne l'oubliait pas de si tôt.
Mallory surprit le regard intéressé que son visiteur promena sur son corps avant de revenir fixer son attention sur ses yeux. Il crut une seconde qu'il venait pour un second round après l'avoir reconnu dans la cour il y a quelques minutes et l'idée lui plaisait beaucoup. Mais non. C'était même tout le contraire. Il venait demander son silence. L'irlandais plissa légèrement ses yeux soulignés d'un fin trait de crayon noir.

D'abord, Mallory ne dit rien. Quelque part, il savait que son visiteur ne partirait pas avant d'avoir sa parole quant à sa discrétion. Il essaya de deviner quelle était son histoire. Encore un homo dans le placard qui avait peur qu'on ait cassé sa serrure et que la vérité soit révélée ? Le jeune homme n'avait pourtant pas l'air très viril. Pas comme ce footballeur qu'il s'était tapé il y a quelques jours sous les gradins du stade et qui l'avait presque tabassé ensuite pour l'intimer au silence. Ceux-là étaient les pires. Non, son visiteur affichait un calme qu'il ne ressentait peut-être pas mais qui était assez convaincant.
Finalement, le rouquin se leva de son lit et franchit avec lenteur les pas qui le séparaient de son flirt d'une nuit. Il était clean aujourd'hui. Pourtant, il avait toujours des réactions qui le faisaient paraître étranger à la planète Terre. Il adressa un doux sourire au jeune homme et caressa sa joue bien lisse du revers de la main, avec une espèce de tendresse saisissante. « Ça t'arrangerait, tu dis ? C'est de moi ou de toi que tu as honte ? Peu importe. Tu ne devrais pas. C'était tellement bien que j'aurais plutôt envie de crier au monde entier tout ce qu'on s'est fait l'autre jour... » Ses yeux profondément ancrés dans ceux de son visiteur, il eut tôt fait de le rassurer. « Mais tu n'as pas à t'en faire, mon joli.  Je ne raconte jamais mes soirées. A personne. Ni sous le chantage, ni sous la menace. Alors si l'envie de renouveler l'expérience te prenait, tu sais maintenant à quelle porte frapper. »

Mallory glissa sa main sur la nuque de son visiteur et la massa légèrement tout en baissant les yeux sur ses lèvres. « Je m'appelle Mallory ; les autres m'appellent Mabel. Tu n'es pas obligé de me dire ton nom si tu ne veux pas. Je pourrais t'appeler 'sexy mouth'. Enfin, tu sais, ça m'étonnerait que quelqu'un en ait quelque chose à foutre de savoir qu'on s'envoie en l'air... »
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Ce n'était pas facile de venir comme ça et de demander à quelqu'un dont tu ne connaissais même pas officiellement le nom, un service. Lui aussi, ne semblait pas vraiment comprendre, à en juger par son silence alors qu'il t'observait, les yeux plissées. Ta question n'était pas compliquée à comprendre, mais peut-être que jamais  personne n'était venu le voir pour ce genre de chose – ou peut-être pensait-il que ça faisait un petit peu trop série américaine de venir comme ça demander ce genre de chose. Malheureusement, tu sentais comme si tu n'avais pas le choix à ce moment-là. T'attendais, et il finissait par se lever, s'approchant de toi. Et avant même qu'il te réponde, il te souriait, caressant ta joue – et ce sont tes sourcils qui se froncèrent parce que tu devenais un peu paumé, avant qu'il parle. Ce n'était pas que ça te dérangeait vraiment parce que ouah, beau garçon qui te touchait, mais le problème, c'est que sa dernière phrase ne te plaisait absolument pas. Peut-être que tu aurais dû te taire et ne rien lui demander. Peut-être que maintenant que tu lui ai dis que tu voulais que personne ne soit au courant, ça venait de lui donner des idées et qu'il le criera comme il le disait, au monde entier. Et si c'était le cas, tu étais un peu dans la merde. Tu ne savais même pas s'il était au courant de qui tu étais – tu n'étais pas non plus le petit-fils de la Reine d'Angleterre, t'étais pas aussi connu – mais rien que le fait d'avoir des rumeurs sur ton cas gâcherai cette nouvelle image que tu te devais de préserver. Tu préférais ne pas répondre, ne pas commencer à sortir des phrases cinglantes ou empreintes d'ironie, ce n'était vraiment pas le moment. Il t'avait sous sa coupe et tu n'avais aucune envie de lui donner l'occasion d'en parler juste parce que tu l'aurais énervé en disant une phrase de travers. T'étais pas comme ça d'habitude mais là... Ouais, t'allais te faire engueuler par ton père si on te brisait ton mariage deux jours après qu'il soit célébré. Alors t'attendait, tes yeux dans les siens, sans bouger, avant qu'enfin il reprenne la parole. Tu haussais un sourcil, intrigué. « C'est quoi ? Un contrat informulé que tu passes avec tout ceux avec qui tu couches ? » T'étais pas vraiment obligé de lui poser des questions, tu pouvais simplement dire merci et oublier sa dernière phrase, puis partir. Mais ouais, ton cerveau lui se mettait à fonctionner et à être intrigué par le fait qu'il ne raconte rien à personne – et combien de mecs en tout il se fait pour qu'il ai cette espèce de règle toute établie hein ? Il dansait et ça attirait peut-être, mais dans tes souvenirs, ce n'était pas un prostitué, en tout cas toi tu ne l'avais pas payé de quelconque manière. Bref, en tout cas, si ce qu'il te disait était la vérité, t'avais pas trop à t'en faire – mais merde, il était obligé de te proposer un round two en mode je place ma petite phrase comme ça, ni vu ni connu ? Non parce si t'étais libre de tes choix t'aurais pas réfléchi longtemps mais t'avais vraiment pas besoin d'être tenté par qui que ce soit avec ces putains de règles qu'on t'avait imposé en quelques semaines. Le pire, c'est qu'il ne semblait pas vraiment vouloir te lâcher. Certes, t'étais pas retenu prisonnier et attaché sur une chaise avec des cordes impossibles à défaire, mais comment t'étais censé partir si monsieur trouvait sa amusant  de venir caresser ta nuque hein ? Fait pas l'con Nemo. T'avais pas trop de volonté quand il s'agissait de mecs. Disons que les seules fois où t'étais droit comme un piquet c'était quand tu étais en couple – mais le fait était que même si t'étais marié à Chrissy, vous ne vous aimiez pas, alors il en était plus que facile de te laisser aller dans les bras d'autres. T'essayais tout de même de rester assez froid dans le sens où tu ne répondais pas à ses avances – ça avait bien plus facile l'autre jour, t'avais un peu bu, la situation se prêtait à la drague et l'attirance, et t'avais pas se devoir de marié à remplir aux yeux de tous. Tu arquant délicatement un sourcil, tes lèvres se courbant un peu, amusé, en entendant le petit surnom qu'il comptait te donner. « J'm'appelle Nemo. Mais tu peux m'appeler sexy mouth si ça te fais tant plaisir. » Tu répondais quand même, lui faisant un petit clin d'oeil. Puis tu soupirais, venant passer une main dans tes cheveux. « Malheureusement, tu penses bien que si je te demande ce petit service, c'est qu'il y en a qui en on à foutre, des gens avec qui je couche. » Et c'était le côté négatif d'être un prince héritier, t'étais pas Beyonce mais savoir avec qui tu couchais et avec qui on t'avais vu, ça les intéressait. Surtout après ce qu'il s'était passé quand t'avais dix-sept ans. « J'suis marié depuis peu, alors je préfère que mes coups d'un soir ne s'ébruitent pas. » Bon t'allais pas non plus aller faire une recherche de tous tes coups d'un soir mais les plus récents, il te semblait que c'était important.
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Nemo ? Mallory esquissa un sourire. Il trouvait ce surnom mignon. Son sourire s'agrandit en l'entendant dire que 'sexy mouth' lui allait aussi. Ce jeune homme était étrange. Il avait toujours les mains dans ses poches et la proximité du rouquin ne semblait pas le mettre mal à l'aise, mais il avait tout de même une retenue dans ses propos. Mal' voyait bien qu'il essayait de ne pas l'encourager au contact. Pourtant, il ne le fuyait pas non plus. L'américano-irlandais se demandait jusqu'où il pourrait aller dans ses gestes avant de se faire repousser. Il avait bien envie de tenter sa chance. Surtout que Nemo avait un peu froissé son orgueil en le qualifiant de 'coup d'un soir', même si c'était ce qu'il était au fond.

« Ah, marié. Avec une femme, je présume. » Il n'y avait pas jugement dans sa voix. Il savait bien que les gens ne faisaient pas toujours ce qu'ils voulaient et ce n'était pas à lui de reprocher quoi que ce soit à ceux qui n'avaient pas le courage d'être eux-même. « C'est dommage... » Mallory avait presque murmuré ces mots et il fit encore un pas en avant pour aller caresser lentement le nez de Nemo avec le sien. C'était la sensation la plus douce qu'il soit et elle était aussi assez personnelle. Le Bellwether avait toujours été du genre tactile. Comme pour le prouver, il passa ses bras autour du cou du prince et lui sourit. « Mais, comme je viens de le dire, je suis d'une discrétion à toute épreuve. Alors, un soir, deux soirs, trois soirs... ou même en journée, c'est la même chose pour moi. Ne me dis pas que ta femme peut combler tous tes désirs. » Il approcha son visage pour aller lui mordiller gentiment le lobe de son oreille droite puis déposa un léger baiser dans son cou. Lui faisant de nouveau face, il ancra pensivement ses yeux dans les siens et chassa distraitement des cheveux rebelles au dessus de la tempe de Nemo. « J'ai une mémoire eidétique, tu sais. Je me rappelle de ce soir-là à la perfection. Tu avais l'air nettement moins timide. Tu m'intrigues maintenant, je l'avoue. Qui pourrait bien s'intéresser à tes coucheries ? Tu as un petit accent mais tu n'es pas William Windsor à ce que je sache. Non, tu es bien plus sexy que lui. »
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Tu ne savais pas comment te tenir face à lui et c'était extrêmement frustrant pour ta part. Te retenir, te laisser aller ? Cruel dilemme. T'étais pourtant pas venu pour ça, tout était si simple dans ta tête il y avait encore quelques minutes. Venir, lui parler, tout faire pour qu'il se taise et puis repartir comme si de rien n'était et surement ne plus jamais lui reparler. La simplicité même. Mais maintenant qu'il était face à toi, s'approchant toujours un peu plus de ta figure, t'en redevenait à plus être très sûr de toi et de ta volonté facilement fissurée. « Tu présumes bien. » Tu lui répondais, passant un instant ta langue sur tes lèvres pour les humidifier. Tu l'entendais murmurer à quel point c'était dommage, mais dans ta tête, t'étais plutôt en train de réfléchir à si oui ou non t'allais te laisser à faire une nouvelle connerie. Le pire c'est qu'il continuait d'en jouer, venant caresser délicatement ton nez du sien, avant te passer ses bras autour de ton cou. T'étais supposer faire quoi là, hein ? « Non elle ne peut pas, on a pas vraiment envie de coucher ensemble... » Tu avouais, puisque de toute manière, ce n'était pas comme s'il croirait réellement que tu étais marié par amour. T'étais bien trop attiré par le corps des hommes pour cela, malheureusement. Peut-être qu'un jour tu tomberais réellement amoureux d'une fille – après tout, tu te considérais bisexuel – mais niveau satisfaction, tu n'étais pas sûr que ça suffisse. « Tant que tu sais tenir ta bouche... » Tu répondais d'une voix plus basse, ton index venant tapoter ses douces lèvres – et ouais, tu venais carrément d'accepter de laisser tomber ta première idée si ça te donnait l'occasion de pouvoir à nouveau coucher avec lui – s'il était si discret qu'il te le disait. T'étais navrant, sans aucune force morale face au charmeur devant toi. Tu le laissais s'amuser de la statue de marbre que tu étais, et tu frémissais en sentant ses lèvres à ton oreille puis dans ton cou, et tu souriais un peu en posant une main sur sa hanche. « Je ne suis pas timide. J'essaie de rester droit mais tu n'es d'absolument aucune aide... » Tu disais doucement, avant de soutenir son regard, riant à sa remarque. « William ? Oh non, je suis bien moins connu que lui, mais merci pour le compliment. » Tu souriais en coin, tes doigts glissant lentement le long de sa hanche, comme pour t'occuper pendant que tu parlais. « Mon royaume à moi est bien plus petit... Monaco, tu connais ? »
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