MARC A. DU V.-MONTET ► sean o'pry

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle ookies. (Romain) et j'ai 20 ans. Je suis français et j'ai connu le forum il y a 3 ans et je ne l'ai jamais quitté. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de C. Konrad Sheffield (+ Students). J'utilise Sean O'Pry comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par (c) acid lemon. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Tendresse et chocolats, j'vous aimes putain.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)

Paris, capitale de la France, Les Du Valzaquière-Montet, c'est une famille célèbre, réputée, puissante, influente et reconnue dans le pays entier, le père est le pilier de cette fortune française, classée dans le top dix des fortunes de France. Il est homme d'affaire, un grand homme, très influent dans le domaine financier comme dans pleins d'autre, il sait négocier, mettre des gens dans sa poche ou arriver à dénicher les meilleures affaires sur un simple coup d’œil, ce n'est pas pour rien qu'il a fait construire plusieurs infrastructures à l'étranger de l'entreprise Capgemini au plan international, première entreprise de services du numérique dans le secteur des services informatiques dont il est à la tête depuis plus de vingt ans une fois que son père lui a passé le relais. Sa femme est une grande avocate connue à Paris réputée et dite excellente dans sa profession, le parfait amour entre eux pendant de longues années, ils ont eu deux enfants d'ailleurs, moi-même, Marc né en premier et un an après, ma sœur, Margaux. Nous étions pourris gâtés par nos parents, ils nous suffisaient presque de claquer des doigts pour avoir tout ce qu'on voulaient, les vacances c'était dans un des trois châteaux qu’on avaient à travers le pays ou un petit séjour à l'étranger, des gouvernantes étaient à notre disposition dans notre résidence dans le premier arrondissement de Paris, on étaient invités à des dîners mondains avec toute sorte de personnalité, on nous apprenaient les bonnes manières et on nous emmenaient à l'école en berline de luxe. Margaux et moi on menaient la belle vie où prônait la richesse, où tout ce qui était inestimable pour les autres, ne l'était pas pour notre famille.

Après un passage au Lycée Passy-Saint Honoré dans le seizième arrondissement, ce fut les études supérieures qui nous attendaient Margaux et moi, pour ma part j'avais choisis de m'orienté dans le domaine de la médecine, j'y ai toujours trouvé de l’intérêt alors c'est pour ça que je suis entré à la faculté de médecine de l'université Paris-Descartes et quand à ma sœur  ce fut la Sorbonne pour des études en droit. Elise Sidonie De Chatelnay, elle a été deux années de ma vie, j'avais dix neuf ans et elle, dix-huit, quand on s'est rencontrés à Paris-Descartes, je venais d'entamer ma deuxième année en médecine et elle, c'était sa première année, je me rappelle encore d'Elise remettant sa petite mèche derrière son oreille, assise avec deux de ses amies à discuter et quand elle a sourit, je n'avais pas pu m'empêcher de la fixer quand je l'ai aperçu mais lorsqu'elle souriait, je restais comme un con planté avec mes cours de médecine, focalisé sur elle qui n'était qu'à quelques mètres d'où j'étais avec un de mes potes qui me parlait et que je n'écoutais plus tellement absorbé par cette fille. Et lorsqu'elle m'a regardée, qu'elle m'a sourit, j'ai su que c'était elle que je voulais, vous savez on a ce coup de foudre dans la vie, je l'ai eu pour elle parce que dès le lendemain soir on étaient dans un des restaurants les plus chics de Paris à boire du champagne, à discuter de tout et de rien, à rigoler puis à s'embrasser quand je l'ai raccompagné chez elle, devant sa porte d'entrée, et depuis ce fameux soir, Elise et moi on ne s'est plus quittés.

Du moins, notre histoire à prit fin après deux années à être fous l'un de l'autre, elle m'a quittée, pas parce que ça ne marchait plus entre nous, au contraire c'était tout l'inverse, elle était folle amoureuse, je l'étais également, je pensais dur comme fer qu'elle était la femme de ma vie et que je voulais passer le restant de mes jours avec elle, non elle m'a quittée parce que j'ai fais une connerie, une grosse connerie, je l'ai trompée. Je l'ai trompée sans le savoir, ne me rappelant plus de la soirée de la veille que j'ai passé et de cette fille qui s'est retrouvée dans mon lit quand Elise à débarquée, tout s'était passé pour le mieux mais il a fallut cette poudre blanche qu'un de mes potes avait et y goûter, le trou noir est arrivé, tout comme la rencontre avec la fille en question et l'acte charnel maudit, quoiqu'il en soit ce fut la plus grosse erreur de ma vie, ma première expérience et la dernière en matière de drogue, à cause de cette merde absolue, j'ai ruiné mon couple et Marc et Elise ce n'est pus que du passé après deux années d'amour sincère. Je m'en veux, atrocement, même Margaux qui toujours là pour moi n'a rien pu faire cette fois-ci, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même, c'est ce que j'ai fais, j'ai bien mis six mois avant d'aller mieux, j'ai essayé de tourner la page depuis Elise mais rien n'a été facile mais j'ai réfléchis et vu comment je l'ai fais souffrir, vu comment j'ai souffert en la sachant malheureuse, j'ai tracé un trait sur l'amour, elle m'a blasé, Elise restera mon unique amour, je ne veux plus ressentir un amour semblable à celui que j'ai ressentis pour elle, je ne veux pas revivre ça alors j'ai fermé ce cœur sensible en cœur de pierre. Je ne faisais que de penser à elle, elle me manquait comme jamais et le pire c'était de la croiser tous les jours à l'université puis je me suis un peu plus enfoncé dans mes études, ne me focalisant que sur ça, à tel point qu'une bourse d'études à Harvard me fit attribué à la fin de ma troisième année de médecine pour mes résultats excellents. C'était une occasion en or pour parfaire mon parcours en médecine, continuer mes études à l’étranger, et qui plu est dans la plus célèbre université du monde, ça ne pouvait que rendre mes parents et ma sœur fiers de moi, j'acceptais, laissant ainsi un bout de ma vie ici, à Paris.

Me voilà depuis trois ans maintenant, à résidé à Harvard, à suivre mes études de médecine à Harvard, ma sixième année qui a débuté et je suis toujours autant investi et passionné dans le domaine, je suis même stagiaire à l’hôpital de Cambridge pour compléter mes cours et m'apporter de la pratique. J'ai réussis à tourner la page depuis Elise, continuant d'approuver un grand respect aux femmes mais continuant d'être aussi faible face à elles et de les fréquenter autant que je peux, je ne m'attache pas, du moins le moins possible, je me suis fais une promesse et je veux la tenir celle-là, j'avais promis à Elise fidélité, et résultat je l'ai pas tenu, alors en tenant cette promesse faite à moi-même, c'est une façon de me racheter. L'attentat d'Harvard survenu l'année dernière à été un impact majeur sur le campus, j'ai été traumatisé comme bon nombre d'étudiants, on oubliera jamais ce jour et même si aujourd'hui j'ai réussis à avancer avec cette pensée constante que j'aurais pu y passé, je fais du mieux que je peux pour rendre fière ma famille, avec qui au passage je garde un contact très régulier, j'ai l'espoir un jour de devenir un médecin reconnu au plan international, c'est pour ça que je suis là depuis trois ans non ? L'amour, je l'ai laissé à Paris, quoique.