BRONWYN-HAZEL DUNFIELD ► nicola peltz

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle banshee. et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Il est fantasmique (nouveau mot oui je sais ).  Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Ornella Cesira Manzoni (Cabot House). J'utilise nicola peltz comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tearsflight. Je fais environ tout dépends de mon inspiration mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ JE VOUS N'AIME
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Débauche : Usage excessif ou déréglé de tous les plaisirs des sens, notamment de ceux de l'amour et de ceux de la conduite. Je n'y suis pas tombée volontairement, j'ai été obligé d'aller dans ce chemin, et je pense que toute personne ayant vécu la même chose que moi aura fini comme moi. Je suis née à Brisbane en Australie, ayant une jumelle je suis née la deuxième, deux minutes exactement après ma soeur jumelle, mes parents biologiques, ou plutôt devrais-je dire mes mères biologiques avaient décidé d'en garder une seule et ce fut Rory, et ouais depuis mon premier souffle je n'ai pas eu de bol. Je fus donc adopter par une riche famille anglaise vivant en Russie alors que j'étais encore un nouveau né à cette époque là, c'était un couple qui n'arrivait pas à avoir d'enfants, j'étais donc fille unique, nous vivions à Moscou, je ne manquais de rien pour être sincère avec vous, j'avais grandi avec une cuillère en argent comme on le dit si bien, j'étais gâtée, ayant tout ce que je souhaitais. Tout avait l'air beau et rose, le monde des bisounours, fairytopia, mon cul ouais. Une fois mes 10 ans atteint, je commençais peu à peu à découvrir une autre facette des mes "parents", étant obsédés par les bonnes manières et voulant que je sois parfaite bien que l'être humain ne peux pas l'être, les premiers coups firent leurs apparitions, au début ce n'était qu'une claque, ensuite les cheveux tirés, ensuite un coup de poing, coup de pied, c'était de plus en plus grave, lorsque j'allais à l'école j'avais même du mal à m'asseoir ou bien jouer avec les autres enfants vue les bleus que j'avais, le problème c'est que j'aimais ces foutus parents, et j'avais peur de leur faire du mal en allant me plaindre chez l'assistante sociale. J'ai laissé passer cela des jours, des semaines, des mois, j'ai subi cela pendant 1 année entière avant de finalement me décider à aller en parler à l'assistance sociale de l'école, chose qui finalement m'a fait plonger encore plus dans le mauvais chemin. J'ai tout d'abord été mise en foyer dans l'attente de trouver une famille d'accueil pour moi, j'ai ensuite été placé chez la famille Avandeïev, des gens modestes, non je blague, il faisait partie de la classe pauvre de Russie, c'était un choc pour moi passer du luxe à la pauvreté, passer d'un père qui passe ses journées à lire les journaux, parler de bourse, jouer du piano et j'en passe à un homme qui passe son temps à se bourrer la gueule, regarder des matchs de foot en bouffant comme un gros porc, rajoutez à cela une femme indigne, même pas capable de faire un truc de sa vie, faire des pâtes et elle en est pas capable chose qui est à la portée de tout le monde, aussi alcoolique que son mari, une bonne à rien. J'ai dû donc me débrouiller comme je pouvais, j'étais une gamine à l'époque j'avais quoi au grand max 13 ans ? Mais j'avais dû grandir rapidement, j'avais dû prendre des responsabilités d'une adulte, j'étais devenu un peu comme la Cendrillon de la maison.



« Eh Bronwyn ! Ça te dit qu’on aille se faire un ciné ce soir ou... Aller boire un verre ? » Je relevais lentement les yeux de mon cahier où je griffonnais mes idées de la journée. Face à moi, Vladimir, probablement le garçon le plus convoiter de tout le lycée. « Euh... » Je détournais alors le regard pour le poser sur le garçon assis à côté de moi. « Hans on fait quelque chose ce soir ? » « Non, vas-y. » Un mince sourire se dessina sur mes lèvres et je reportais mon attention sur le jeune homme venu m’inviter. « Tu m’excuses, j’ai déjà une soirée DVD prévue avec Hans. » « Tu m’fais quoi là ? » « Prends-moi pour une quiche ! Je suis pas le genre de fille qu’on prend en second recours juste parce qu’on vient de se faire larguer, va voir ailleurs si j’y suis. » « T’es sérieuse ? » « J’viens de t’le dire, j’suis pas intéressée ! » Puis sans attendre plus longtemps, je replongeais dans mes dessins qui ne ressemblait pas à grand-chose. Au lycée, j’étais loin d’être la fille la plus populaire, tout comme au collège d’ailleurs. J’étais même plutôt la badass du lycée, celle qu'on ne voulait pas trop fréquenter, allez savoir pourquoi. Il n’y en a qu’un qui m’a toujours accepté telle que j’étais, Hans. Se serait mentir que dire que je ne suis pas tombée amoureuse de lui, mais ça n’a jamais été réciproque alors il est devenu mon meilleur ami. Celui avec qui je passais mes journées en cours et celui avec qui je passais mes soirées à regarder des DVD. J'étais encore naïve à cette époque, j'avais rencontré Andrew, un américain qui s'était installé à Moscou avec ses parents, un nouveau, mais un putain de vrai beau gosse, une bombe, je n'étais pas indifférente par rapport à lui, chose qu'il comprit rapidement vu qu'en temps normal j'envoyais boulet les mecs du lycée, nous nous étions rapprochés, je pensais que finalement je pourrais voir un peu de lumière dans ma vie si sombre, il m'avait fait croire que tout serait beau et parfait avec lui, notre relation avait duré 6 mois, 6 mois de pur bonheur, jusqu'à ce que nous décidions de passer à l'acte s'était ma première fois et j'étais prête à lui offrir ce cadeau enfin ma virginité, ce n'était pas rien, il m'avait mise en confiance et sur le moment j'étais fière d'avoir eu ma première fois avec lui. Le lendemain de ce moment "magique", j'arrivais en cours, me sentant épanouie étant à présent une femme, j'entrais dans l'établissement la tête haute avant de voir que tout le monde me regardait en gloussant, avec des commentaires tel que "c'est bien elle la fille?", "je me la ferais bien moi aussi", et j'en passe, je faisais semblant de ne rien entendre, j'allais rejoindre mon petit ami de l'époque et là le choc, lorsque j'arriva à son niveau, je le vis avec son groupe d'amis visualisant une vidéo sur son portable le son à fond, et cette vidéo ce n'était autre que notre moment, ma première fois, mais quel connard, comment avais-je pu croire qu'il était différent des autres, quel salop ! J'avançais donc en sa direction en furie lui mettant mon poing dans la tronche avant de courir dans les toilettes sentant les larmes monter, je me sentais comme violer, je me sentais sale, sale d'avoir pu donner ma virginité à ce connard.



J'avais à présent 18 ans, j'avais reçu une lettre de l'administration russe contenant les informations sur ma naissance et mes parents biologiques, lisant cette dernière je découvris que j'avais une jumelle ayant dans l'acte son nom et son prénom, jetant alors en l'air les papiers, je m'empressais d'aller sur mon pc afin de rechercher cette dernière sur les réseaux sociaux, je ne mis pas longtemps à la trouver remarquant qu'elle vivait à Cambridge, étudiant à Harvard. En l'espace de 3 mois, j'avais réuni assez d'argent pour payer les frais de scolarité pour Harvard mais aussi pour pouvoir faire le voyage jusqu'à là bas, Rory était la seule vraie famille qu'il me restait et que j'avais surtout, ma jumelle, ma moitié. C'était bien beau de se lancer dans une aventure comme celle ci mais j'avais fait une énorme connerie, je n'avais même plus assez d'argent pour pouvoir m'acheter un hamburger, je me trouvais alors sans appui, et la seule solution qui s'offrit à moi fut la prostitution, je n'avais pas d'autres choix, puis après tout j'avais perdu ma virginité avec un connard, un de plus ou de moins ne changerait rien, j'avais un coeur de pierre à présent, m'étant refermé aux hommes ou plutôt à tout le monde, je n'avais plus confiance en personne, en rien, j'étais comme seule au monde.




Voila maintenant 4 ans que je vivais à Harvard, j'avais retrouvé ma soeur jumelle avec qui j'entretenais une excellente relation, mais cela faisait surtout 4 ans que je donnais mon corps aux hommes ou même aux femmes histoire de pouvoir subvenir à mes besoins, la reine de la débauche à maintenant un nom.