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Mira&Maureen; J'arrive pas à y croire

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Dans toute les choses qui aurait pu m'arriver aujourd'hui, je ne pensais pas que cella-là était envisageable. Je voulais simplement aller à la bibliothèque pour prendre des livres et retourner ensuite chez moi pour y faire mes travaux. Je savais qu'en restant à l'université, j'allais rencontrer des gens que je connais et au final, je ne ferrais pas mes travaux. En entrant dans la bibliothèque, j'avais aperçu Isaac, un gars que j'avais rencontré à la classe des neiges. Je pensais simplement lui faire un petit coucou avant de me mettre au travail. Mais un étudiant armé entra dans la bibliothèque en nous criant de nous la fermer et de nous rendre au centre. Je trouva ma meilleure amie dans le lot et nous restâmes ensemble jusqu'à ce que tout soit terminé. Dès que le tireur fut mort et que les étudiants sortirent de la bibliothèque, je me rua avec eux.
Une fois dehors, je cherchais Mira. Je ne la voyais pas. J'avais beau lui tenir la main, je l'avais perdu pendant la sortie. Je regarda partout autour de moi dans l'espoir de la voir."Mira! MIRA!" Je criais en espérant qu'elle m'entendant ou qu'elle me voit. Je voulais la retrouver. J'avais eu si peur pour elle tout comme pour moi. Mais elle m'avait beaucoup aidé. Le simple fait de tenir ma main m'avait fait le plus grand bien.
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La bibliothèque... Plus jamais je n'y remettrai les pieds je crois. Un malheur s'y était déjà produit il y a quelques années, 2 ans pour être exact. Un fou, un meurtrier comme aujourd'hui, avait posé des bombes un peu partout sur le campus... La bibliothèque aussi avait été touché. Les vitres avaient explosé sous la puissance des déflagrations des bombes. Je me souviens d'un bilan très lourd en vie, de nombreuses blessées également. J'avais perdu une de mes amies ce jour-là, une amie que j'avais traînée de force à la bibliothèque, que j'avais également traîné de force à une table, juste à côté des fenêtres pour que je puisse lire avec la lumière naturelle du soleil... Mais c'était elle qui était morte, et moi, j'étais toujours en vie.
J'ai eu peur, aujourd'hui, qu'il arrive la même chose, que Maureen, ma meilleure amie, soit touchés gravement ou pire, et que je ne puisse rien faire pour l'aider. J'avais essayé de la rassurer à l'intérieur, qu'elle ne panique pas, qu'elle n'énerve pas le preneur d'otages qui aurait pu vouloir la descendre. J'avais eu peur de tout ça, mais au final, c'était lui qui était mort, et personne d'autre.
Malgré que ce soit terminé, que je sois sortie de la bibliothèque, que je puisse respirer de l'air frais, je ne peux pas m'empêcher de continuer à trembler ; même s'il n'y a pas eu de mort, il y a eu des blessés, des blessés peut-être grave. Dans la foule j'avais perdu Maureen, mais je ne tardai pas à le retrouver, me laissant guidant par mon ouïe, l'entendant m'appeler je suivis sa voix, pour finalement l'apercevoir un peu plus loin, je la rejoignis. «  Je suis là. » ma voix était encore un peu hésitante, tremblante, mais je lui adressai un sourire avant de la prendre dans mes bras. Ce cauchemar était terminé.
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Enfin, elle m'avait rejoint. Je fut soulagée de la voir. La seule et unique chose que j'avais envie en ce moment était de la serrer dans mes bras. Elle avait aussi la même idée car elle me prit dans les siens dès qu'elle arriva à la hauteur. Je la serra le plus fort que je pouvais sans la lâcher. Je ne voulais pas la lâcher, c'était aussi simple que ça. J'avais peur que si je la lâchais, elle disparaîtrait.
Je ne savais même pas quoi dire. Elle tremblait, elle aussi. Même si nous étions sorties de la bibliothèque, nous étions toujours en état de panique. Je voyais des étudiants sortir de d'autres endroits de l'université. Ils semblaient tous dans le même état que nous. Je compris donc rapidement qu'il y en avait eu plusieurs en même temps, plusieurs prises d'otages. Les secours étaient finalement arrivés et les ambulanciers s'afféraient à soigner les blessés. J'étais encore sous le choc de ce qui venait de se passer mais je ne voulais pas déranger personne avec mon état. Il y en avait des pire que moi. À part le fait que je tremblais toujours et que j'étais épuisée suite à ma crise de panique, je m'en sortais plutôt bien. "J'ai tellement eu peur' chuchotai-je à Mira. Et j'avais toujours peur d'ailleurs. Où était Carter? Et Sam? Leurs étaient-ils arrivés quelque chose. J'espérais que nous. Je regarda un peu autour de moi dans l'espoir de les voir. Mais personne.
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Je comprends ce que ressent Maureen, car j'ai vécu exactement la même chose. Cela nous rapproche encore plus, d'avoir vécu cette situation ensemble, d'avoir eu peur l'une pour l'autre. Et de s'en être sorti vivante, ensemble. J'aurais préféré ne pas me trouver dans cette bibliothèque aujourd'hui, mais je suis heureuse tout de même d'y avoir été pour avoir pu aider du mieux que je pouvais Maureen. C'est un peu bizarre non . Enfin je n'ai pas envie de m'attarder sur cette drôle de sensation présente à présent dans mon esprit. On est tous chamboulés et sur les nerfs après ce qui est arrivé, c'est normal d'avoir les idées floues. « C'est fini, t'inquiète pas. » nous sommes à l'air libre maintenant, les secours sont arrivés, ainsi que les gendarmes. Nous n'avons plus rien à craindre. Les preneurs d'otages sont mort, les blessés sont pris en charge par des professionnels.
Quelques larmes coulent sur mes joues, des larmes de soulagement, qui me permettent d'évacuer le stress par la même occasion. Je m'écarte légèrement d'elle pour essuyer mes larmes avant de tourner légèrement ma tête en entendant un médecin parlaient à un policier un peu plus loin, lui apprenant qu'il n'y a pas eu de mort, sauf celle des otages. Je me retourne donc vers Maureen, et lui adresse le meilleur sourire que je puisse lui adresser dans une telle situation. « Personne d'autre n'est mort... » Nous sommes en vie, et les autres otages des autres lieux sont également en vie. Je pense à certains de mes amies, qui devaient également être présent sur le campus à cette heure-ci, et même si je ne connais pas leur état de santé actuelle, cela me rassure de savoir qu'ils ne sont pas mort. Mais je reporte mon attention sur Maureen, qui a tout de même eu plusieurs crises de panique durant la prise d'otage. « Mais toi, tu es sûr que ça va? Tu veux qu'on aille voir quelqu'un ? » Oui, elle m'a fait peur dans la bibliothèque quand elle faisait ses crises, qu'elle était malade, et je dois avouer que je préférais la savoir entre les mains d'un pro.
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Alors que je voyais des larmes coulées de ses yeux, je ne retiens plus les miennes. Je laissa mes larmes coulées le long de mes joues. Je ne pouvais pas dire si cela était des larmes de soulagement d'être saine et sauve et enfin à l'extérieur ou si c'était des larmes à cause de toutes la pression accumulée. Nous n'avions pas été dans le bibliothèque plus d'une heure. Mais ça m'avait semblé une éternité. Mon visage devait être tout rouge et boursouflé à cause de toutes ses larmes. Je pleurais depuis que tout avait commencé. C'est terminé. Mira avait raison. Je devais me calmer et me concentrer sur le fait que tout ce cauchemar était enfin terminé et que je m'en étais sortie vivante. "Oui, c'est fini." soupirai-je. La prise d'otage était terminée. Mais ce que cela causerait mentalement aux étudiants ne faisait que commencer. Je me demandais déjà si j'oserais retourner à la bibliothèque.
Mira m'apprit qu'il n'y avait pas d'autres morts. Seulement ceux qui avait été les preneurs d'otages. Au moins, les décès seraient limités. Mais je pensa à celui qui s'était fait tirer en pleine poitrine. Allait-il survivre? Je devais penser à autre chose, je devais penser à moi. Mira me demanda si je voulais aller voir quelqu'un, un professionnel suite à mes crises de panique. Je lui fis non de la tête. Ce n'était pas la première fois que j'en faisais des comme ça. Une fois que la panique était terminée, je devais seulement boire quelque chose et me reposer. Ça ne paraît pas mais faire une crise de panique prend beaucoup d'énergie. "Non, j'ai seulement besoin de m'asseoir... Et de boire de l'eau."
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C'est fini ; ces prises d'otages sont finis, tout comme les agressions qui ont eu lieu depuis novembre sur le campus. J 'avais besoin de serrer Maureen dans mes bras. De me raccrocher à quelque chose qui existait vraiment autour de moi. Pour être certaine que je ne rêve pas, malgré que j'aimerai que tout ceci ne soit qu'un cauchemar, et que je me réveille dans mon lit, dans mon appart' de central square. Mais non, toutes ces personnes autour de moi sont bien réelles, les autres élèves, les blessés. Le bruit des gyrophares des ambulances également résonne dans mon esprit, me massacrant les tympans et me donnant un terrible mal de tête.
Je n'ai qu'une envie, partir d'ici, rentrer chez moi, m'enfermer et ne plus bouger jusqu'à ce que toutes ses pensées, et ses souvenirs de cette heure passée dans la bibliothèque ne deviennent qu'un mince souvenir, trop flou pour que l'on puisse croire qu'il est réel. Mais je reste pour être avec Maureen, qui elle, ne doit pas vouloir être seule. De toute façon, je me sentirai mieux en la sachant en meilleure forme également. Ce pour quoi je lui demande si elle n'a pas besoin d'un médecin «  Viens on va aller s'asseoir. » Je lui prends la main en lui adressant un petit sourire et avance avec elle, jusqu'à un banc placé dans la cour de l'université . Les secours ne font pas attention à nous, ayant déjà beaucoup de boulot. Je m'assois avec elle lui tenant toujours la main.«  C'est une journée qui va être difficile à oublier, mais on le surmontera. Fais-moi confiance. » Il faut savoir aller de l'avant dans la vie, même si c'est compliqué, et je n'avancerai pas dans l'avenir en la laissant derrière moi. Je cherche du regard un endroit où je pourrai avoir de l'eau, je me lève lentement, lâchant par la même occasion à sa main. «  Je vais te chercher quelque chose à boire. » Je me dirige vers une ambulance et demande à l'un des infirmiers s'il n'a pas de l'eau et du sucre pour Maureen.
Je reviens rapidement vers elle, avec un gobelet et quelques morceaux de sucre à la main avant de me réinstaller à côté d'elle et de lui donner. « Ce n'est pas grand-chose, mais c'est déjà ça. Dès que tu te sentiras mieux, on bougera... » je n'ai pas vraiment envie de rester dans les parages avec toutes ses voitures qui nous rappellent ce qui vient de se passer.
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Mira entrainement vers un banc qui était libre. Je put finalement m'asseoir. Je crois bien que si j'aurais été debout encore quelques minutes, mes jambes auraient fini en compote. Ça faisait du bien. Je n'avais vraiment plus d'énergie. Je remercia Mira d'un sourire avant de la regarder partir vers les secours. Elle allait me chercher quelque chose à boire. J'avais un mauvais goût dans la bouche et en plus, j'avais la bouche complètement sèche.
Ce ne fut pas très long avant que mon amie revienne avec une bouteille d'eau et des petits morceaux de sucre. "Merci", dis-je tout simplement en prenant le tout. J'avais si soif que je déboucha la bouteille sur le champs, y laissa tomber les cubes de sucres et la cala presque au complet. Je savais également que Mira avait hâte de quitter l'endroit. Je ne pouvais qu'approuver cela. J'avais tout aussi hâte de me tirer d'ici. Les étudiants se pressaient dans tout les sens que ce soit pour retrouver un ami, avoir du secours ou encore partir le plus loin possible de toute cela. Le brouhaha que tout cela causait me donnait un de ses mal de tête. Je me releva assez rapidement et me tourna vers Mira. "Allons-nous-en. Je n'en peux plus d'être ici!" Je lui pris la main et me faufila dans la foule très dense. Il était difficile de passer mais j'étais déterminée à y arriver. Je voulais aussi trouver un endroit calme pour appeler mon frère et voir s'il allait bien. Je n'arrivais pas à le voir dans la foule d'étudiants présents autour de l'université.
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Maureen ne se sent pas bien, suite à ses nombreuses crises de panique qu'elle a subies. Je me dois d'être là pour elle, en tant qu'amie. Mais la situation ne m'est pas évidente pour autant. Le sang a toujours été une phobie pour moi. Quand il s'agit du mien, tout va bien, je l'ai vu tellement de fois coulé que je me suis habitué. Mais celui des autres, cette couleur rouge vif, cette substance chaude, cette odeur. Je ferme les yeux pour éviter d'y penser, tout comme je l'ai fait dans la bibliothèque lorsque certains étudiants se sont retrouvé blessés par balle et que leur sang coulait de leur plaie. Mais lorsque je pars chercher de quoi boire à Maureen, je me retrouve dans l'obligation de me rapprocher d'une ambulance et d'un infirmier. Je prie intérieurement pour qu'il n'y est pas de victime à l'intérieur... manque de chance, il s'agit d'un étudiant blessé assez sévèrement à la jambe. Je sens rapidement mon pouls s’accélérer, tandis que je demande à l'infirmier de l'eau et du sucre en bafouillant légèrement, pressé de partir d'ici, de m'éloigner de cet étudiant.J'attrape aussi vite que je peux la bouteille et fait demi-tour pour rejoindre Maureen. M'asseyant à ses côtés quelques secondes pour laisser le temps à mon rythme cardiaque de reprendre un rythme plus ou moins normal, chose qui n'est pas des plus évidente, car les blessés ne sont toujours pas loin. J'hoche la tête à ses dires pressés de partir, et la suis dans la foule d'étudiants qui se presse à l’extérieur. Nous finissons par nous frayer un chemin, et arrivons sur le parking, où la foule n'est pas présente. Je repère ma voiture sur le parking. « Viens, on sera tranquille dans ma voiture » Si on veut partir d'ici, ce sera beaucoup plus pratique en voiture, ou même pour être au calme . Arrivé près de cette dernière je l'allume et m'installe au poste de conduite, me sentant tout de suite mieux : ma voiture c'est le symbole de ma liberté, je me sens toujours bien à l'intérieur. « Tu...tu veux qu'on aille quelque part? » Quitte à être derrière le volant autant conduire, conduire jusqu'à ne plus avoir d'essence, quitte à finir au milieu de nulle part, ça ne me dérange pas, tant que je suis le plus loin d'ici.
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Avec Mira, je progressa dans la foule d'étudiants qui avaient la même idée que nous. S'en aller, quitter les lieux des prises d'otages. Je n'avais pas été blesser physiquement mais mentalement oui. Je savais que j'allais rester marquée par cette expérience. J'avais toujours eu une vie simple, sans trop d’embûche. La seule épreuve que j'avais vécu avait été la disparition de ma cousine. Même si cela faisait un moment, j'étais toujours marqué par cette événement alors qu'il ne s'agissait pas de moi. Je n'avais pas vécu ce que mon frère avait vécu alors qu'il se trouvait sur le bateau avec ma cousine lorsqu'elle a disparu en mer. Alors que là, aujourd'hui, j'avais été prises dans la bibliothèque avec un tireur. Pour l'instant, je savais que je devais sortir d'ici. Quand je me serais calmée, je savais que je devais considérer l'option de voir quelqu'un. Un psychologue peut-être. Mais je n'avais pas envie de penser à cela en ce moment. Tout ce que je voulais, c'est partir.
Nous finîmes par arriver dans le parking de l'université où se trouvait la voiture de Mira. Elle m'invita à y embarquer et je ne me fit pas prier. J'embarqua du coté passager et sorti tout de suite mon téléphone de mon sac. Je voulais savoir si mon frère était correct, si Sam aussi allait bien. Je leur envoya donc respectivement un message pour avoir de leurs nouvelles. Pendant ce temps, Mira démarra la voiture et me demanda où nous allions. "Le plus loin possible. Ou on peut aller chez moi, je vais nous aire un petit quelque chose à grignoter ou à boire." J'habitais dans un logement avec Carter. Donc, le fait d'aller chez moi me permettrait de le voir et de me retrouver en sécurité dans mes choses.
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Une prise d’otages c'est toujours un événement marquant, qui nous change à jamais. On peut dire tout ce que l'on veut, une prise d'otages c'est comme passé à côté de la mort, on se rend compte que la vie ne tient qu'à un fil, qu'elle peut basculer à tout moment. Il suffit d'une seule personne, d'un seul taré sur terre pour que tout déraille, que tout parte en vrille. Et même après ce moment, même lorsque tout est terminé ; votre vie n'est plus la même et ne peut pas reprendre son cours normal. Le temps permet de cicatriser les blessures, mais il ne les guérit pas réellement. Cet événement qui venait de se produire restera dans ma mémoire, tout comme le jour de la bombe, tout comme plein d'autres jours de ma vie, que je ne préfère pas repenser.
Je ne peux pas promettre à Maureen que ce jour va s'effacer de notre mémoire, mais je peux essayer de lui faire penser à autre chose. S'il y a bien une chose que j'ai apprise, c'est que lorsque vous vivez quelque chose de dramatique, certes vous ne pouvez pas l'effacer, mais vous pouvez faire en sorte qu'un autre événement beaucoup plus heureux vous arrive. Ça ne l'effacera pas certes, mais lorsque vous y repenserez il y aura toujours cet autre événement qui vous reviendra en tête et vous redonnera malgré tout le sourire. . Et c'est un peu ce que je compte faire à présent. Partir d'ici, le plus loin possible, comme le conseil Maureen, manger boire quelque chose qui nous plaît, faire simplement quelque chose qui nous redonne le sourire. Et derrière mon volant, je retrouve déjà l’esquisse d'un sourire qui se dessine sur mes lèvres. « ça marche, rendons cette journée un peu plus lumineuse. » Je mets en route le contact, la radio se met automatiquement en marche, mais je l'arrête même si ça me fait du bien, ce n'est pas forcément le cas de Maureen. Je commence à sortir du parking et à rouler sur la route en direction de son appartement « si tu veux on peut s'arrêter en chemin pour acheter à boire et à manger... ce sera plus simple ! » je lui adresse un petit sourire, pour ce qui est de la boisson, sans vouloir me vanter je suis assez doué pour faire les cocktails, normale c'est un peu mon métier, mais la bouffe... je préfère largement m'acheter des macarons tous faits en boulangerie plutôt que de tenter l'expérience de les faire.
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