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SUZANYA ✗ Dear american girls, I know what you've done.

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La routine est ce qu'elle est: on se lève, on se prépare, et puis on vit jusqu'à ce que le facteur passe. Avant, c'était anodin de recevoir des lettres, des publicités ou quoi que ce soit d'autres qui puisse s'envoyer, mais depuis récemment, ça l'était moins. Quand je voyais le facteur s'en allait, je passais discrètement jusqu'à la boite aux lettres et la première chose que je regardais, c'était l'expéditeur. Et ce jour-là, l'une des lettres eut la chance d'être mise illico-presto dans mon sac; et dans la minute suivante, j'appelais un taxi. Je n'aimais pas spécialement cette sensation qui grandissait en moi alors que je savais ce qui ce trouvais dans mon sac. Mais ce que je détestais encore plus, c'était avoir un souvenir bien précis du pourquoi je recevais cette lettre. Ce n'était pas la première, sûrement pas la dernière, et cette personne semblait insister, sachant qu'elle n'avait jamais eu de réponse. Ce n'était pas comme si c'était tout nouveau, mais je ne m'y faisais pas vraiment, et malgré le léger instinct de panique qui s'éprenait de moi, je me devais d'avoir un self-control parfait. Ne jamais rien laisser paraître est la première clé du succès pour garder le contrôle sur la situation. Descendant du taxi une fois arrivée à destination, j'allais jusqu'à la porte de l'habitation de la seule personne qui était au courant de tout ça; pour l'avoir vécu aussi, avant d'appuyer sur la sonnerie. Et lorsque je vis paraître derrière la porte la crinière blonde de mon amie, je sortais la lettre avant de la saisir presque devant ses yeux. « Je pense pas qu'on soit tirées d'affaire. » soupirai-je en regardant encore une fois l'adresse de l'expéditeur.
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La matinée s'est passé dans le calme, Alessia ne m'a pas réellement posée de soucis, d'autant plus que Kenny était là et nous nous en étions occupé tous les deux jusqu'à ce qu'il ne parte avec la petite voir sa mère. Je n'avais pas envie d'avoir affaire à ma belle mère, surtout après notre dernière frasque. Elle m'avait plutôt rendue amère, encore plus si je puis dire quant à notre relation, belle fille, belle mère et pour tout avouer, j'en avais rien à faire. Au contraire, ça me plaisait bien de la pousser à bout et lui faire comprendre qu'en un claquement de doigt, je pouvais lui enlever son fils comme j'avais fait avec la soeur de Kenny, Anaëlle. Je n'étais pas peu fière de ce qu'il se passait, j'avais gagnée et je gagnerai toujours. La défaite ne fait pas partie de mon langage. C'est vêtu d'un simple jeans et d'un chemisier que je m'installe à la table du salon pour rattraper mon léger retard sur la semaine. J'avais décidé de rester avec Kenny surtout après cette fusillade histoire qu'il ne se retrouve pas seul face à ses cauchemars. C'est la bruit de la sonnette qui venait me sortir la tête de mes bouquin. Du boitier automatique, je faisais ouvrir le portai en aillant vue que c'était Suzie, puis rapidement j'allais lui ouvrir pour la refermer aussitôt, c'est qu'il fait un froid de canard dehors. Hey Suz ... je n'ai pas le temps de terminer ma phrase qu'elle lève une enveloppe au niveau de mon visage. Je connais ce genre d'enveloppe, je reconnais l'écrite. Automatiquement, je regarde autour de moi pour voir si Manuela n'avait rien vu et j'entraine Suzy par le poignet pour qu'elle s'installe sur le canapé avec moi. Manuela, deux cafés dis-je en me penchant en arrière pour voir ma bonne, histoire de faire comme si ce n'était qu'une visite de courtoisie. Suzy, qu'est ce que tu fou avec ça bordel ! Kenny aurait pu être là je fronçais les sourcils, je n'avais pas envie que Kenny soit au coutant, c'était un lourd secret qui me pesé, qui nous pesé. Tu l'as reçu quand ? je n'osais pas la toucher comme si son venin allait m'attaquer les doigts. Je n'avais pas envie de réouvrir cette veille histoire qui venait encore nous hanter aujourd'hui.
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Peut-être que je réagis trop vite, trop impulsivement, mais je détestais avoir à faire à quelque chose d'aussi frustrant, perturbant, qui ne me laissait pas d'autre choix que de réagir simplement comme je le pouvais, c'est à dire, peut-être mal. Aller voir Anya sans même l'appeler, c'était peut-être risqué, après tout elle connaissait pas mal de monde et pourrait être avec des amis, son mari, enfin que des personnes qui ne sont au courant de rien. J'étais donc devant sa porte jusqu'à ce qu'elle ne m'ouvre, ne lui laissant pas vraiment le temps de me saluer que déjà j'avais ressorti l'enveloppe. On ne pourra pas dire que je suis incapable d'être vive et rapide, parce que je bat des records aujourd'hui. Une fois à l'intérieur, elle me tira avec elle avant d'interpeller sa bonne, et elle se tourna à nouveau vers moi; apparemment, elle était "seule", mais effectivement, si Kenny avait été là, sachant qu'il ne devait pas être au courant comme cette histoire, nous avions dit que nous n'en parlerions à personne; c'était déjà assez insupportable pour nous, pas besoin d'en plus le faire partager, ç'aurait pu s'avérer compliqué. « Désolée, désolée, c'est vrai que j'ai peut-être couru chez toi un peu vite. » remarquais-je avant de reprendre. « C'est juste que je n'avais pas spécialement envie de garder ça chez moi, et puis.. » Et puis c'est à dire que tant que l'on reçoit ces lettres, nous avons toujours quelque chose à nous reprocher. « Je l'ai trouvée ce matin dans ma boîte aux lettres, donc elle a pu arriver soit aujourd'hui, soit hier. » dis-je en regardant l'enveloppe. Je n'avais pas relevé mon courrier hier faute de motivation, mais de toute manière, je suppose que rien que le fait qu'elle soit récente, c'en est assez.
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Suzy était arrivé telle une tornade vivante devant chez moi en agitant l'enveloppe devant mon nez, fort heureusement, Kenny et Alessia n'était pas là, je n'avais pas envie qu'il soit au courant. Tout ceci faisait parti de mon passé et je ne voulais pas que cela vienne entacher mon avenir. C'est pour cela, que je calmais la blonde bien rapidement. J'aurais bien ris à ce qu'elle me disait, mais je n'avais pas envie de rire dans une telle situation. Ben oui, on dirait que t'as ... transpiré dis-je en regardant ses dessous de bras, un peu surprise, des filles comme nous avec ce genre d'auréole sous le bras. No way. Elle n'avait pas envie de garder ça chez elle, par contre ça ne la dérangeai pas que je le garde chez moi. Tu sais très bien que je ne peux encore moins le garder chez moi. J'ai un mari et une petite fille, c'es pas comme ci j'étais toute seule dis-je en lui faisant de gros yeux l'espace d'une seconde comme pour lui montrer la logique des choses, au moins, personne ne risquait de fouiller chez elle, moi si. Entres dis-je en regardant autour de moi, j'avais l'impression d'être dans un mauvais film, nous allions dans le salon, Manuela était dans la cuisine pour nous préparer du thé et du café et lorsqu'elle nous l'amenait, je lui donnais congé et elle ne me contestait pas, surement à cause de mon regard qui traduisait bien qu'il n'y avait rien à redire. Je pensais que c'était terminé ... tu ... tu l'as déjà ouverte ? demandais-je en me mettant à côté d'elle pour prendre l'enveloppe entre mes doigts. Okay, faut que je prenne sur moi, je suis pas certaine que Suzy ait encore les épaules assez large pour faire face à ce genre de chose. Déjà arrêtes de paniquer okay, on va trouver une solution.. je vais trouver une solution dis-je en hochant la tête comme pour m'en convaincre, mais depuis ce fameux séjour à Paris, nous n'en n'avions jamais trouvé. Cette personne ... nous connait ou te connais ... enfin pour connaître ta nouvelle adresse, forcément, y'a quelque chose
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Nous avions des vies différentes, des quotidiens différents et pourtant nous avions cet évènement en commun. C'était étrange de me dire que je partageais un tel secret avec Anya, il faut dire que ce n'est pas chose commune, encore moins le fait que cela nous poursuivre à travers les continents. A sa remarque, je levais les yeux au ciel avant de soupirer. « Je suis venue ici en voiture, hein, j'ai pas vraiment couru. » dis-je en riant. Pour l'instant, je risquais pas, on habite même pas dans le même quartier, du moins pour l'instant. J'avais quitté la cabot pour central square et la semaine suivante j'emménagerai à Inman Square. Quel parcours. « Le problème, c'est que je vais plus vivre seule bien longtemps. En fait on sera toute les deux dans la même merde si quelqu'un le découvre. Va falloir régler ça avant que ça ne se sache. » Parce que qui voudrait que ça se sache après tout? C'était le genre de choses qui devait rester cachée. Absolument. Lorsqu'elle me demandait si je l'avais ouverte, je secouais la tête pour lui indiquer que ma réponse était négative. « J'aurais pas osé seule. » dis-je alors en regardant ailleurs. Il faut dire que tout chez elle est sujet à attirer l'attention, ce n'est pas n'importe quelle maison. « Ce n'est plus on va mais on doit trouver une solution. Le problème, c'est que ça peut vraiment tout remettre en cause. » De nos quotidiens jusqu'à notre scolarité à Harvard, il faut dire. Personnellement c'était bien la dernière chose que je voulais et je supposais qu'elle aussi, alors il allait falloir agir. « Personne n'a l'adresse de l'appartement, normalement. » remarquai-je. « Mais je préfère pas penser au fait que j'me fais traquer. » Pas encore, ce serait trop insupportable. Il devait forcément y avoir autre chose. Cette personne était-elle à Cambridge? Ou était-ce un hackeur qui savait comment obtenir ses informations? Je ne savais pas si je voulais savoir ou non, en réalité. Je voulais juste que ça cesse.
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Elle n'allait plus vivre seule et je peux la comprendre que ce genre de lette l'encourage à se trouver rapidement des colocataires, cependant, ça reste quand même assez invraisemblable que ce genre de chose nous oblige à mettre notre vie en parenthèse le temps de quelques jours après réception Tu déménages à cause de ça ? demandais-je en levant la lettre, la faisant tourner entre mes doigts. Nous ne l'avions pas encore ouverte, peut être que si nous ne lissions pas le contenu, tout ceci resterait encore fictif, nous n'aurions pas à nous en faire, parce que nous ne saurions pas ce qu'elle contient ? Je n'en sais rien mais une part de moi, à envie de l'ouvrir rapidement. Je n'aime pas qu'on puisse avoir un certain contrôle sur moi et encore moins qu'on me tienne par la peur.  Je sais bien, mais on sait jamais quand ça tombe et ... on a pas d'indice dis-je en ouvrant l'enveloppe. Le même papier, les mêmes lettres découpés dans ce même journal ... mes doigts se crispés autour de la lettre. Je penchais la tête légèrement vers Suzy, m'approchant d'elle pour que nous puissions la découvrir à deux. Comme d'habitude il y avait inscrit

" Je sais ce que vous avez fait, vous avez détruit ma vie et je détruirais la votre. Vous êtes des meurtrières ! "


Jusque là, je n'étais pas choqué, je sais bien que ce qu'on a fait était stupides mais après tout, nous avions appeler le samu après.   Attends regardes .. dis-je en déroulant complètement le papier pour voir une adresse et un lieu de rendez vous. Il veut qu'on se voit au parc de Cambridge, le premier mars à 18h30   je fronçais les sourcils, regardant à nouveau l'écriture manuscrite cette fois-ci. Il va falloir qu'on aille Suzy, faut que ça se termine !
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