Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityyou're back (+ Camille)
Le Deal du moment : -50%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
54.99 €


you're back (+ Camille)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Genre, Camille était de retour. Comme ça, pas un message, pas une explication, rien. Comment vous dire que j'étais légèrement très en colère. Je l'aimais toujours, mais j'étais blessée, et je me demandais surtout le pourquoi du comment. Je l'avais revu pour la première fois lors du blocus... mais préférant l'éviter, j'étais partie sans lui adresser la parole. À présent je ne pouvais plus l'éviter, ni faire comme s'il n'était pas revenu, je devais l'affronter. On s'était tellement éloigné depuis... depuis beaucoup de temps maintenant, que j'étais incapable de dire à quand remontait notre réelle dernière réelle discussion. Je décidais donc de le confronter, qu'importe ce qu'il allait me dire et si notre amitié en prenait un coup. Son départ était si inattendu, sur le moment je n'avais pas vraiment réalisé, consciente que j'étais également partie comme une voleuse lorsque j'avais décidé de rejoindre mon oncle, mais je répondais aux messages, moi. Puis, ce n'était pas la même chose, j'avais terminé mon séjour dans une prison, ce n'était pas forcément le genre de vacances qu'on décide de raconter à tout le monde. Même à Camille. Je me rendais donc à la Dunster House, je savais que j'allais le trouver là-bas, il y habitait. Cette stupide ouverture des maisons servait à quelque chose pour une fois, c'était largement plus facile de trouver quelqu'un. J'arrivais dans le salon de la maison, repérant au loin Camille, je me plantais devant lui, restant debout. Bonjour Camille dis-je sur un ton sec.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Depuis son retour, malgré le coup foireux de son plan avec Sienna, le jeune homme avait changé. Evolué. Tout en gardant la plupart de ses défauts dont l’impulsivité et la rancœur. Si je vous parle de cela, c’est parce qu’en face de lui se tenait un jeune homme qu’il n’avait pas vu depuis longtemps. Même au blocus il ne l’avait pas vu. Tout d’abord, Caly s’était absentée durant des mois puis ce fut le tour de Camille de partir, sans donner aucune nouvelle. Il aurait dû s’excuser, reconnaissante son erreur de n’avoir rien dit mais il n’en avait aucune envie. Au fil des mois, Camille s’était détaché sentimentalement de la jeune femme. Elle qui prenait une Grande place dans sa vie. Son ton sec n’arrangeait pas les choses. Caypso. Son ton était aussi froid que le sien. Quand Camille voulait se montrer glacial, il y arrivait à la perfection. Toi à la Dunster House ? Quelle chance avons-nous.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Apparemment, il n'était pas si heureux de me voir non plus. Il ne ressentait donc rien ? Il avait réussi à me rayer de sa vie aussi facilement ? J'pouvais pas le croire. Genre, c'était Camille quoi, j'me sentais perdue pour le coup. Mais je restais de marbre, ne voulant pas montrer à Camille, que malgré mon énervement, ça me perturbait toute cette histoire. Néanmoins, il n'avait pas changé, toujours aussi froid... glacial, à part qu'à l'époque il l'était, avec les autres. Pas avec moi. Jamais. Mais s'il voulait jouer à ça, très bien. De toute manière j'étais énervée, et je n'étais pas prête à fermer les yeux sur son départ, puis le comportement dont il faisait preuve à l'instant n'arrangeait rien. Je fronçais les sourcils lorsqu'il évoquait ma présence à la Dunster House, c'était quoi son problème à lui de m'voir ici ? Il ne savait pas pour Nemesis que je sache. Contente de voir que tu n'as pas oublié mon prénom dis-je, sans quitter son regard. Il semblait... différent, mais en même tant toujours le même, je n'arrivais plus à le cerner d'un seul coup. Bah c'est ma maison j'te rappelle, tu sais celle que je n'ai pas abandonné contrairement à d'autres. Et toc, ce n'était sûrement pas la meilleure manière de commencer une conversation mais qu'importe.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


A un moment, Caly était le centre de sa vie, son pilier, celle sur qui il pouvait se reposer lorsqu’il pétait un câble. Sauf qu’elle était partie. Pour de bonnes raisons mais tout de même. Durant de nombreux mois. Des mois où il avait dû se gérer tout seul. C’était totalement illogique et enfantin mais elle l’avait laissé tomber, tout simplement. Il avait fait pareil, pour d’autres raisons bien sûr. Du coup, il était sur la défensive, se montrant plus que froid et distant. Avant, Caly aurait arrangé ça, aurait géré la crise. En un clin d’œil, une parole, un geste.  Bien sûr, il se leva brusquement pour lui répondre. Tu es partie bien avant moi, je te rappelle. Il plongea son regard de glace dans le sien, sachant très bien qu’elle ne baissera pas les yeux. Il continua sur sa lancée. D’accord,j’suis parti sans rien dire et ce n’est pas acceptable, je le sais. Mais je fais ce que je veux, c’est pas comme si on se parlait encore. A ton tour de te ramasser ça dans la figure. C’est vrai que depuis des mois, ils ne se parlaient presque pas, s’échangeant de simples texto d’usage. Et encore. Il soupira et se laissa tomber dans le canapé, regardant le mur comme si c’était la chose la plus intéressante au monde.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il me rappelait mon départ… comme si c’était la même chose. C’était trop facile de se servir de ça contre moi, surtout que je n’étais pas partie comme une voleuse, j’avais envoyé des messages, j’avais prévenu. Mes amis savaient où j’étais et avec qui. Mais plus important : ils savaient pourquoi j’avais décidé de partir. Certes, au départ, je ne pensais pas revenir, mais après mon voyage en prison j’avais vite réalisé que ma place était à Harvard. Lui, il était parti comme ça, plouf, mais au moins il reconnaissait que ce n’était pas acceptable, cependant ça ne changeait rien à ses réactions. En plus il était méchant, mais qui était ce Camille ? Ce n’était pas celui qui était auparavant, comme mon grand-frère. C’était un glaçon sans compassion, très bien. Non pas très bien, mais je n’allais pas me rabaisser, je n’allais pas venir pleurer et me mettre à ses pieds. Il ne méritait même pas ça, il ne semblait ni blessé, rien. Et alors ? Puis, moi c’était différent, tu peux pas comparer nos deux situations dis-je. Oui tu fais c’que tu veux, j’ai jamais dit le contraire que je sache, mais prévenir c’est pas mal, peut-être qu’on parle plus, mais à une période on était quand même proche, mais apparemment tu as tout oublié. Non mais j’hallucinais quand même. Je restais debout devant lui.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Tout cela restait secondaire. Le vrai problème, le fond du problème était l’égoïsme de Camille. Il y a des  jours ensoleillés mais à une certaine période de l’année, le jeune homme se renferme et refuse de voir du monde, paniquait par moment. Dans ces cas là, Caly restait près de lui et ils affrontaient cela à deux. Chaque année. Cette fois ci ne fut pas le cas et inconsciemment, il lui en voulait. Il avait dû se gérer lui-même et c’était jamais bon avec Camille.C’était un stade d’égoïsme encore inconnu à ce jour, faut bien avouer. J’ai tout oublié, t’as entièrement raison. Il y allait fort, trop fort. Caly lui avait manqué et lui manquait encore, jour après jour. Camille sa laissa tomber dans le canapé, soupirant, un peu paumé dans sa réflexion finement réfléchie. Au bout d’une longue minute il lui dit, le regard baissé vers le sol. T’es partie Caly, tu m’as laissé… C’est presque dans un murmure qu’il lui avait dit cela.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C’était vraiment un salopard de me balancer ça comme ça, avec une telle froideur. Il n’était plus celui que je connaissais et même si cela me rendait malheureuse, je n’étais pas faible. Non. Je ne vacillais pas lorsqu’il me disait m’avoir oublié, je restais de marbre ne voulant rien montrer à l’individu qui se trouvait devant moi. Il était un « individu » à présent, seul adjectif que je pouvais lui accorder, il ne méritait pas mieux. Ce type était comme un grand frère pour moi et à présent c’était comme s’il prenait un malin plaisir à m’envoyer balader. J’avais envie d’le gifler, parce que au fond, j’me sentais vide. Comment pouvait-il me faire ça ? Très bien, et bien tu sais quoi, tu ne vas plus jamais entendre parler de moi, comme ça monsieur sera content dis-je en me retournant, prête à partir, lorsqu’il me disait que je l’avais laissé. Il semblait presque… non, il n’était pas désolé, pas après son avant dernière phrase. Je n’étais pas la bonne poire, un point c’est tout. Et alors ? Ça te donne le droit de me traiter comme une merde ? J’crois pas non. Je suis pas ton chien Camille j’vais pas te courir après, et j’vais surtout pas te laisser me blesser gratuitement dis-je sur un ton sec.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)