W. DEREK MATTHEWS ► Charles Michael Davis

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Cerise/Cheryl et j'ai la 20aine. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Gaspa & Chrysta.  Magnifique, surtout ce design là alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Charles Michael Davis comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Class Whore. Je fais environ quelques mots (je sais plus) par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Je suis né à New York. Cette ville toujours en activité, quoiqu'il arrive, de jour comme de nuit. Je ne me plaindrais jamais de la vie que mes parents m'ont offerte. Je n’ai jamais manqué de rien. J’aurai pu pleurer pour le racisme que je subissais, pour les moqueries, mais non. J’ai envie de dire que c’est ce qui a forgé mon caractère. Qui a fait l’homme que je suis aujourd’hui. En fait, ces moqueries m’ont donné l’envie de me battre, me surpasser chaque jour que Dieu a fait. Si mes parents s’en sont sortis, je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas mon cas. Mon seul moment de détente, c'était quand je trouvais l'occasion de jouer ou de regarder un match de Basketball. Ce sport était devenu une sorte de passion pour moi, un second souffle, une échappatoire.
Au lycée, j'étais le genre de mec populaire mais ça ne m'a jamais réellement plu d'être au centre de toutes les conversations. Le seul point positif à la popularité, c'était les filles, mais le pire dans tout ça, c'est que je n’en profitais pas tellement. Je suis sorti avec la même fille de ma première année de lycée jusqu'à mon acceptation au sein de l'université d'Harvard et même quelques mois après. J'étais fidèle, romantique, avenant. J'étais le genre de petit ami parfait dont toutes les filles rêvent. Un vrai petit canard, un vrai petit con naïf aussi. Le populaire et la populaire du lycée ensemble. Sauf que je ne comprenais pas trop pourquoi je l'étais. Je faisais juste partie de l'équipe de Basketball en plus d'être particulièrement intelligent. J'étais envié et je n'arrivais pas en comprendre la raison. J’ai toujours trouvé ça tellement bête. Même dans les séries. Je me suis toujours demandé comment on choisit qui sera populaire et qui, au contraire, sera la tête de turque. J’ai toujours détesté ça. Avoir une étiquette qui te suit durant tout ton parcours scolaire. C’est sans doute pour ça que j’ai fini par choisir la Winthrop à l’université. C’est la seule confrérie qui ne nous catalogue pas vraiment. On est juste entre mecs et point. Je pense que la vie devrait être ainsi, comme chez les Cabot et les Winthrop. Pas d’étiquette, de nom ou d’adjectif écrit au feutre indélébile sur le front. C’est tellement insultant dans un sens. Mais passons. Je pourrai m’étaler des heures entières sur ce sujet.
Une fois le lycée terminé, je dus choisir entre plusieurs universités et Harvard en faisait partie. Vous avez donc compris que je finis par être accepté à Harvard mais ce ne fut pas son cas. Elle alla à UCLA. Totalement l'opposé. Au départ, on se disait comme dans tous les couples qu'on saurait surmonter tout ça, que la distance rendrait notre couple bien plus fort et que les retrouvailles n'en seraient que plus belles. Je me demande encore pourquoi j'ai cru en ses belles paroles. On m'avait prévenu, mis en garde contre elle mais j'étais aveugle. Lors de ma première année à Harvard, pendant les vacances de Noël, j'ai eu l'idée stupide de la rejoindre, de lui faire une petite surprise. En la voyant dans les bras d'un autre type, j'étais aussi surpris qu'elle. Depuis, j'ai un peu de mal à me mettre réellement en couple. Pour moi, se sont toutes des menteuses. Elles cachent toute quelque chose. Même la plus honnête des filles n'est pas réellement sincère. Il n'y a qu'à lire les articles de CS pour comprendre que l'honnêteté n'est pas un mot connu par certaines personnes d'Harvard. Puis, je pense qu’au fond, il n’y a pas qu’à Harvard que les gens ne connaissent pas le mot vérité. C’est sûrement partout pareil. C’est seulement qu’à Harvard, il y a une personne assez saine d’esprit pour dire tout haut ce que les menteurs disent et font tout bas. Après, à eux d’en payer les conséquences. Il faut bien les assumer un jour ou l’autre. Même si j’ai appris qu’à Harvard, tu n’as même pas le temps d’assumer tes actes qu’ils sont déjà rendu publics. De toute façon, je ne me cache pas. Je ne suis pas prêt à être en couple. Je n’y arrive pas pour le moment. Donc, je papillonne. Qui sait, peut-être qu’une fille parviendra à me refaire devenir le mec naïf, con et romantique que j’étais avant ?