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Cameron Callums
fiche; terminée

C'est le 01/04/1991 à Anchorage, que la famille Callums m'a accueilli dans ses bras, ils m'ont prénommé Camlyn (c’était une erreur, aujourd’hui corrigée). Je suis plus célibataire qu’un Pape dans sa bière, mais si vous voulez tout savoir je suis omnivore – avec une préférence pour le masculin, c’est de nature – et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale modeste. J'ai décidé de poursuivre des études à Harvard en paléontologie, je suis maintenant en 2ème année. OU Depuis maintenant un an je travaille comme tuteur à la fac ; sinon, le soir, je suis acteur porno et testeur de sextoys, c’est occasionnel. Et pour terminer, je fais partie des Quincy.

Études
Le choix de la maison Quincy ne s’est pas fait par hasard, il s’agissait d’un environnement à la fois altruiste et mixte ; il était plus facile de déposer son dossier ici que chez les Winthrop, qui auraient eu sa préférence s’il avait été totalement libre de sa décision. Mais justement parce que l’acceptation dans cet univers exclusivement masculin était désirable, Cam redoutait de ne pas supporter un refus. Il a préféré ne pas prendre de risque. D’ailleurs son environnement actuel lui convient tout à fait, car la diversité des opérations de soutien et autres goûters de charité organisés par ses camarades a de quoi lui occuper l’esprit constamment. Il est notamment très actif dans l’accueil et le soutien des étudiants d’origine amérindienne, avec lesquels il organise des expositions à but culturel pour informer leurs autres camarades sur le campus. A Winthrop, la compétition aurait été permanente, qu’elle soit sérieuse ou humoristique. Non pas que Cam soit peu soigneux de sa personne et de sa place parmi les autres, dans cette accueillante fraternité ; il a ses petites habitudes, dirons-nous. Il achète ses sous-vêtements chez GoodDevil, ses harnais chez Aslan Leather, collectionne les binders pour toutes les situations, se fait relooker pour les examens, et se ruine en packers de plus en plus perfectionnés… ce genre de petits caprices invisibles qui restent inconnus de la plupart des gens – mais font généralement bonne impression sur ceux qui y ont accès. Enfin, il ne passe pas tout son temps à l’Université ; il est notamment souvent au zoo. Le contact avec le monde animal lui est indispensable.


Caractère

Après avoir été suivi pendant deux ans à la clinique de Boston, Cam a reçu une attestation psychologique garantissant sa nature masculine auprès de ses enseignants et de ses futurs employeurs. Il aime la sortir face à un incrédule agaçant, comme on sort une carte du FBI. Sur l’échelle du Mâle, il oscille selon l’humeur et les circonstances entre Gamma et Sigma, le Gamma étant le geek génial et incompris, et le Sigma, l’outsider presque admiré pour sa bizarrerie qui s’entend souvent bien avec l’Alpha. Aucun des deux ne joue le jeu social de dominants et dominés, mais disons que pour le premier, c’est la société qui ne veut pas de lui, et pour l’autre, il est tout simplement au-dessus de tout ça. Les deux sont des solitaires, il faut bien l’avouer. Cam a une manière préférée de faire la connaissance de quelqu’un : en partageant un long silence. Quelqu’un qui viendra s’asseoir sur le même banc que lui pour regarder la mer en taillant un bout de bois flotté, et reviendra comme lui le lendemain à la même heure. Quelqu’un qui viendra fumer à côté de lui alors qu’il pleure devant une boîte de nuit, et au bout d’un moment d’observation, lui tendra une cigarette. Quelqu’un qui l’aura croisé toutes les semaines pendant des mois en allant à la clinique, et un jour le regardera en face en lui demandant comment ça va ce matin. Et s’il pouvait jouer un personnage imaginaire dans un film un jour, ce serait sans aucun doute Corto Maltese. Une vision de l’amitié très personnelle, entrecoupée de cuites au rhum, de coups de feu, de trafics d’opium et d’œuvres d’art, déchirée aux quatre coins du monde par les départs imprévus et les maitresses échangées ; mais plus sacrée que sa propre vie. Et s’il devait se faire tatouer quelque chose un jour, ce serait l’emblème des pirates. Surfait ? Il s’en fout. Satan reconnaîtra les siens.


Everyone Has Their Own Story

Commençons par le commencement. Il est toujours à votre disposition pour inspection, quelque part, très à l’Ouest, et très au Nord.
Ma Callums est une brave fille des bois, garde-chasse la plupart du temps, guide touristique aux commandes du petit avion rouge de la compagnie quand le temps le permet. Strictement opposée à la destruction de la faune d’Alaska, elle lâche volontiers sa meute de malamutes contre quiconque essaie de louer ses services pour une équipée de type safari ; elle nourrit un mépris particulièrement virulent, qu’elle exprime à l’aide d’un vocabulaire fleuri, à l’encontre des gros messieurs du Sud pleins aux as décidés à se faire un ours blanc empaillé pour égayer leur salon tropical. Jamais elle ne mettra les pieds dans le reste des Etats-Unis, c’est certain ! Quant au reste du monde, il n’est pas certain qu’elle ait conscience de son existence. Certes, son mari est un émigré Canadien, mais ils ne parlent pas beaucoup, et en tout cas, pas de ça. Pa Callums est l’heureux propriétaire des plus belles moustaches de la ville, d’un chapeau de fourrure digne de Davy Crockett, et d’un tableau qu’il tient de son ancêtre, peintre du célèbre Groupe des Sept. C’est un buveur paisible, et ça vaut mieux, car depuis qu’il a perdu son bateau de pêche et son emploi par la même occasion, il passe ses journées au domicile conjugal, à jouer avec les chiens, à peindre et surtout à boire. La vie est tranquille, immuable, ancestrale. Ils avaient un enfant, autrefois ; ça non plus, ils n’en parlent pas. Le facteur dit qu’ils reçoivent du courrier du Massachussetts, et l’autre jour, il lui a semblé voir un enfant jouer dans le jardin, comme un petit fantôme aux joues blanches.

La petite Camlyn, la vieille institutrice du coin de la rue s’en souvient, les jours où elle ne perd pas la tête. Elle était solitaire, cette petite, taciturne et farouche comme ses parents ; elle s’entendait mieux avec ses chiens qu’avec ses petits camarades. Elle avait beaucoup pris du côté inuit de la famille, s’il y en avait un ; à moins qu’elle n’ait été adoptée. De beaux yeux noirs, intelligents, intenses, et une grande attention à tout ce qui se disait en cours ; et une mémoire très vive, très précise. Mais elle avait un caractère difficile. Elle piquait des colères pour un oui ou pour un non, soudain, après des mois d’excellent comportement. Quelque chose la rendait malheureuse, et elle se défendait comme un tigre, mais personne ne comprenait vraiment ce qui n’allait pas. Elle s’enfuyait dans la forêt et jouait avec des pierres. Les loups ne l’ont jamais attaquée. Un autre professeur a connu l’enfant au tournant de l’adolescence. Sa passion pour la préhistoire, sa connaissance des fossiles et des techniques de fouille, entièrement acquise à travers des lectures apprises par cœur, l’impressionna ; il lui conseilla de se lancer dans de longues études. Ce n’est pas Ma et Pa Callums qui allaient s’y opposer ! En revanche, ils exigeaient que cette studieuse ambition soit auto-financée au moyen d’une activité professionnelle stable. Et interdiction d’emmener un chien pour lui tenir compagnie ! Ils seraient malheureux en ville. Surtout au Sud. Oui, c’était ça le plan : partir au Sud. Eh bien, on ne le dirait pas aux voisins, et voilà tout. La plupart des familles ont des secrets honteux, pas vrai ?

Pendant un an, Cam travailla donc à Boston, et économisa pour entrer à l’Université. Et les crises de colère, me direz-vous ? Celles qui ne pouvaient s’apaiser qu’en fuyant au fond de la forêt ? Non, il n’y eut guère d’incidents. A la logeuse de son foyer de jeunesse, à ses collègues assistants de bibliothèque, à son nouveau médecin et ses nouveaux amis, Cam expliqua qu’il était un homme. Il économisa beaucoup, mais se paya de quoi apparaître tel qu’il souhaitait être vu. Et au bout d’un an, après avoir préparé son inscription à Harvard pour la rentrée prochaine, il rentra passer ses vacances chez ses parents, pour leur parler de sa nouvelle vie. Il s’avère que malgré son argumentation bien construite, il fut incapable de les convaincre : ils préféraient garder leur fille un peu cinglée plutôt que d’adopter ce fils diplômé de Harvard qui leur tendait les bras. Tout fut dit à partir de ce moment, et chacun de part et d’autre se résigna à une séparation définitive. Cam regagna Boston avec la sensation d’un grand vide intérieur. Le début de ses études supérieures lui changea les idées, et il se perdit pendant des mois dans la mémorisation progressive des ouvrages à sa disposition. Il vivait davantage avec les dinosaures qu’avec les autres étudiants, comme un enseignant un peu inquiet le lui fit remarquer. Sa semaine se partageait entre les cours et les heures rémunérées à la petite bibliothèque où il était employé ; il n’avait pas le temps de faire grand-chose d’autre. Puis quelque chose se brisa. Il apprit par hasard que ses collègues à la bibliothèque le considéraient comme une fofolle inoffensive, et ne lui parlaient au masculin que pour ménager sa susceptibilité. Il descendit en ville, au fond d’un quartier animé et glauque, entra dans un bar de bikers où la musique pulsait son rythme sombre, but verre sur verre jusqu’à oublier qui il était, et commença à se battre avec tout le monde, sans vraiment regarder sur qui il frappait. Il était envahi d’une colère immense. Personne ne lui donnerait sa fille à marier, personne ne lui confierait un enfant à élever, personne ne lui ferait confiance. Bien sûr, il pouvait se sortir de cette situation en acceptant qu’on l’appelle Mademoiselle ; mais c’était au-dessus de ses forces. Quand il envisageait cette solution, il sentait littéralement un petit être dans sa poitrine se recroqueviller douloureusement sur lui-même, en sanglotant : il faut que je fasse semblant de ne pas exister, pour que vous m’aimiez ?

En se réveillant le lendemain aux urgences, le visage marqué, les vêtements en lambeaux et naturellement, installé dans une chambre de femmes, Cam comprit qu’il fallait prendre les choses en mains. Au final, il n’aimait pas les filles, sauf exceptions, et ne voulait pas d’enfants ; il n’avait aucune envie de s’injecter des hormones ou de se faire retirer chirurgicalement des parties de son corps, cela lui semblait trop cher payé pour un respect auquel il estimait avoir droit. Ce ne serait peut-être pas si compliqué à gérer. Il se remit en forme comme il put, se replongea dans ses études et, parallèlement, chercha à rencontrer les minorités sexuelles du coin. L’entrée dans un bar gay fut un peu difficile au début, il lui fallut chanter du Chris Izaak au karaoké et faire grimper aux rideaux quelques habitués dans la backroom pour être reconnu à sa juste mesure. Son style évident lors des soirées cuir, son habileté à sculpter le bois, bricoler et notamment réparer les motos en rade, et son attitude calme mais ombrageuse lui gagnèrent des points au fur et à mesure, et le milieu commença à l’apprécier. Il mit au défi un jeune impresario branché, qui racontait à qui voulait l’entendre qu’il tournait des films X, de le faire participer à son prochain tournage. Et pour finir, il planta son job à la bibliothèque. Pour le revenu régulier, il avait un tutorat à l’Université ; pour ce qui était des extras, il se lançait dans le porno. Photos, calendriers, tests de gadgets pour les sexshops locaux, rédaction d’ebooks bouillants ou parfois petits films sans prétention ; l’activité était constante, et toujours différente. Quand il participa à la gay pride après ses premiers examens à Harvard, il avait le sentiment d’être devenu quelqu’un. On le saluait dans les cortèges, on l’invitait à monter sur les chars, c’était la gloire. Il fit alors un grave malaise. Le soleil ? Pas seulement. Huit mois avaient passé depuis cette soirée de rage au bar des bikers, dont il n’avait plus aucun souvenir précis. C’est un Cameron en plein déni de grossesse qui fut transporté en urgence à l’hôpital le plus proche, aussi surpris de son sort que la première Papesse Jeanne venue. Une longue et douloureuse semaine plus tard, il y avait une petite chose vivante, pleine de tuyaux, dans une boîte en plastique à côté de son lit, et il était bien obligé de téléphoner à ses parents.

La rentrée suivante fut beaucoup plus calme. Plutôt que de traîner dans les coins chauds, Cam se consacra aux activités sociales de sa fraternité, pensant que plus tard, il faudrait raconter tout ça à une petite personne curieuse et ignorante, élevée par deux vieux boudeurs au fin fond de l’Alaska. Mais il ne se faisait pas de souci. Les chiens veilleraient sur l’enfant, comme ils l’avaient toujours fait. Un jour, peut-être que le temps viendrait de retourner là-bas. D’ici-là, il aurait eu son diplôme, bien sûr ; il serait un éminent paléontologue, et la bibliothèque serait pleine de ses livres – ses films, eux, resteraient au grenier. Oui, car les films en revanche continuaient. Ils étaient une importante source de revenus, et maintenant, Cam achetait des cadeaux pour deux. Sans compter les frais de port. Face aux coups de téléphone étonnés de ses anciens copains de virée, toujours partants pour une St Patrick ou une soirée mousse, Cam est resté jusqu’à maintenant très évasif. Et pour ceux qui étaient là le jour de la gay pride, c’était une appendicite aiguë. Une certaine distraction a commencé à s’installer par rapport à sa première année, en ce qui concerne son assiduîté scolaire ; il s’est mis à sécher des conférences et à arriver en retard en cours, comme tout le monde. Disons que pour le moment, ça reste une attitude saine, compatible avec de bons résultats. Le niveau cependant augmente rapidement durant la seconde année, et il va falloir rester passionné pour remporter les épreuves qui arrivent. La perspective de voir ses parents assister à la remise des résultats, étant donné leurs relations qui, par la force des choses, sont devenues un peu meilleures, l’encourage à ne pas baisser les bras et à travailler au minimum ce qu’il faut pour s’illustrer dignement. Avec le soutien de ses professeurs, il a d’ailleurs un projet pour les vacances qui viennent : en passer une partie en stage sur un véritable chantier de fouilles paléontologiques, en Alaska si possible. Son dossier est à l’étude.


the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Herman.
↬ ÂGE – 26 ans.
↬ PAYS/RÉGIONS – France métropolitaine.
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM – Sur un top-site dont j’ai oublié le nom exact.
↬ TES IMPRESSIONS – L’important… c’est le rose ? ^^
↬ CRÉDIT(S) – Je me débrouille tout seul.
↬ AVATAR – We need to talk about Ezra Miller.
↬ SCÉNARIO OU PI? – pour l’instant I. Je vais voir si c’est intégrable dans les scénars de quelqu’un.
↬ LE MOT DE LA FIN – Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. :P


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J'adore hanwii Bienvenue sur ILH CAM CALLUMS > Ezra Miller 3850463188
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Bienvenue CAM CALLUMS > Ezra Miller 3850463188
Choix original pour l'avatar CAM CALLUMS > Ezra Miller 1153642411
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Bienvenue parmi nous (:
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Thanks ladies !! Oui, on se demande où je suis allé le chercher CAM CALLUMS > Ezra Miller 3619069448

Hey dude, let's do a cosplay someday ! I'd be Jack Sparrow and you'd be Iron Man :P
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Bienvenue parmi nous CAM CALLUMS > Ezra Miller 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun :luv2:
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Jack Sparrows *0*
#out
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Bienvenue sur le forum CAM CALLUMS > Ezra Miller 2032734886
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