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KERRY M. GREY ► charlize theron

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C'est le 31 juillet 1985 à Brisbane, en Australie, que les membres de la famille Grey m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Kerry, Mariella.  Je suis célibataire, mais mariée à mon travail et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que Professeur de droit à Harvard, bien que je conjugue cette profession avec celle d'avocate, ayant ouvert mon propre cabinet à Cambridge depuis 3 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens.

   
À propos d'Harvard
   
AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ À HARVARD ?
   Si je n'ai pas étudié à Harvard, c'est tout simplement parce que je n'avais pas encore posé le pied sur le continent américain. Australienne de pure souche, c'est à l'université de Sydney que j'ai fait mes classes. Et, avec le recul, en sachant le poste que j'occupe à Harvard aujourd'hui, je suis satisfaite de ne pas avoir étudié ici-même. Je n'aurais pas aimé devenir professeur dans l'université qui m'aurait eu en tant qu'élève!

   QU'EST-CE QUI VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
   Certes, pour beaucoup, être professeur d'université avant même d'avoir la trentaine peut sembler jeune et rapide. Toutefois, je pense pouvoir dire que vu mon environnement familial et mes hautes réussites au barreau, je peux jouir d'un certain regard et d'une expérience non-négligeable vis-à-vis de la profession. Ce qui m'a poussé à choisir cette voie, c'est d'être à même de transmettre ma passion pour le droit, pour cet aspect juridique de nos vies et, qui sait, guider et inspirer de jeunes âmes vers les sempiternels combats que réclament la véritable justice jour après jour!
Mon personnage c'est le plus beau
   
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
   
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
Expansifou Tranquille
Audacieux ou Réservé
Ouvert ouSecret

   SENSATION (S)- INTUITION (N)
   
Factuelou Abstrait
Pragmatique ou Innovateur
TraditionnelouOriginal
PENSÉE (T)  - SENTIMENT (F)
   
Impartialou Empathique
Détaché ou Compatissant
Logique ou Subjectif

   ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
   
Structuré ou Souple
Circonspect ou Spontané
Conformiste ou Non-conformiste

   APRÈS LA BOMBE
   Je n'étais pas à Harvard ce jour-là. N'ayant pas de cours, ni aucune audience, j'avais profité de ce 'temps libre' pour rester chez moi et veiller sur Alison qui était dans un état grippal. Néanmoins, je dois reconnaître que je me suis sentie mal de ne pas avoir été présente. Certes, cela m'a permis de ne pas être blessée, voire même tuée… Mais quand je pense aux victimes qui n'ont pas pu être sauvée, je ne pourrai nier que cela m'a profondément révulsé!

   
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mz Hyde  🇧🇬 et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site.  ILH me semble certes énorme mais, en contrepartie, super accueillant et relativement libre en termes de création de perso', de choix d'avatar, etc. Sans compter que c'est le meilleur forum université que je rencontre et que le design est à tomber  KERRY M. GREY ► charlize theron 4205929361 alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Charlize Theron comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya. Je fais environ 300-600 mots par RP et mon personnage est un personnage semi-inventé.

  Mot de la fin ? ▲ Ze vous n'aime  KERRY M. GREY ► charlize theron 4046487928  Vic  :feldt:
  Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
 
adhérer un flood d'intégration (?)
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Il était une fois...
Petite, je pensais que le monde m'étais autant acquis qu'inoffensif. Comment en aurait-il pu être autrement? J'étais une petite princesse à l'époque. Une petite fille à papa et maman vivant dans le luxe d'un domicile aussi riche que coloré. J'avais la chance de vivre aux côtés d'une sœur de quatre ans mon aînée. Une belle brune, à l'image de notre père, qui prit rapidement soin de moi et fit autant de moi son petit trésor que sa petite poupée. Et je n'allais certainement pas lui en vouloir puisque j'adorais cela.
Nos parents faisaient partie de l'élite du barreau de Brisbane. J'appartenais à la classe de la haute société, là où la richesse coule à flot et demeure d'une banalité déconcertante. Il faut dire qu'outre le renom professionnel que pouvaient avoir mes parents, ma mère détenait les clés d'une grosse richesse familiale qui avoisinait les millions de dollars. C'en était même à se demander comment et pourquoi tous deux se donnaient la peine de travailler! Bien qu'à cette question, mon père vous répondrait sans hésitation que la fortune ne doit pas nous empêcher d'agir pour nos concitoyens. Ce ne sont pas les billets que nous avons sous le matelas qui nous dessinent, mais bien les décisions et les positions que nous prenons afin d'agir au cœur même de la société.
Bien évidemment, ce genre de valeurs, je m'en montrais totalement éloignée durant mes jeunes années. Je prenais trop de plaisir à jouer avec mes barbies et à la princesse que pour apprendre à découvrir les grandes valeurs humaines de la vie. De plus, je pouvais jouir de faire partie de la nouvelle génération des héritiers de la haute! À savoir que je recevais une éducation 'normale', où les bonnes manières étaient de rigueur mais seulement en société. Autrement dit, nous pouvions être humain et ne pas sombrer dans un formatage d'aristocratie ennuyeux et déprimant à souhait. J'en étais heureuse. Au moins on ne me privait pas de la légèreté de l'enfance et du bonheur des jeunes années qu'elle recèle. Mais, mon enfance, aussi adorablement rêveuse qu'elle put être, laissa place à une adolescence beaucoup plus sombre, et beaucoup plus cauchemardesque…

Je n'avais que onze ans à l'époque. Je me souviens que je faisais le chemin seule, à pieds, de la maison à la bibliothèque ou j'avais été cherché de nouveaux bouquins pour mes cours. Tenant précieusement lesdits livres contre ma poitrine, enserrés par mes petits bras juvéniles, j'eus à peine le temps de comprendre ce qu'il se déroula. Un crissement de pneus. Une portière qui claque. Le sifflement du tissu contre la peau de mon visage. Tout devint noir. Un cauchemar que j'allais considérer comme interminable…
Mon calvaire a duré près de deux années. Deux années desquelles je préfère effacer le maximum de souvenir. Deux années dont je n'ai tout simplement pas envie de parler d'ailleurs. Car, que pourrais-je en dire? Que j'ai été la proie d'un bourreau violent et sadique à souhait? Que je fus enfermée entre les mains d'un pédophile sans pudeur et sans limite? Que je n'étais que la proie d'un monstre s'amusant à marquer mon corps de brûlures de cigarettes, de lacération ou de sévices sexuels? Si c'est ce que vous voulez entendre, et bien sachez que oui, c'était un ensemble de toutes ses monstruosités. Mais cela ne mérite même pas d'être décrit ou d'en avoir des mots pour les présenter. Ce ne sont que les brides d'un cauchemar que j'ai préféré laisser derrière moi depuis ma libération.
Une libération à laquelle je ne croyais plus en fin de compte. La petite fillette rêveuse et épanouie de onze ans avait laissé sa place à une jeune adolescente de treize ans totalement marquée, détruite et ravagée par sa captivité. La police retrouva ce monstre. Mon domicile fut retrouvé. Mes parents et ma grande sœur m'étaient rendus. Je pouvais enfin retrouver le véritable univers qui n'était autre que le mien. Pourtant, je n'en goûtais même plus les plaisirs ou la saveur. Tout ce qu'il me restait, c'étaient les images de ce monstre dès que la nuit venait, dès que je fermais les yeux. Tout ce dont à quoi j'avais droit, c'était une répétition et une multiplication incessante de terreurs nocturnes n'ayant de cesse de me mettre à mal. Je pensais ne plus jamais connaître les bienfaits d'une nuit réellement reposante ou réparatrice. Je pensais ne plus pouvoir goûter à la joie de sortir de chez soi pour savourer les beautés du monde extérieur sans me sentir envahir par la crainte, la peur et la phobie de recroiser sa route, son chemin, qu'il s'agisse de lui ou d'un autre malade. Je n'arrivais plus à trouver une différence ou une quelconque volonté à être plus vivante que morte…

Pendant quatre années, j'ai noyé et éteint toutes mes phobies dans les joies d'une dépravation que personne ne parvenait à cautionner. J'étais sourde aux discours de mes parents, ou aux conseils bienveillants et avisés de ma sœur. Le procès traînait en longueur. Et ma déchéance s'avérait aussi totale qu'inévitable. Quand on se perd dans le chemin de sa vie, nos nouveaux repères se construisent à travers l'alcool, la drogue et un comportement sexuel hautement discutable et réprobateur. Je ne me vêtis que de noir. Je me maquillais de manière sombre. Je troquais mon visage apeuré et/ou dépressif contre celui de la pauvre droguée en manque. J'échangeai les instants propices et protecteurs avec ma famille contre ceux d'autres junkies et dérangés du ciboulot qui ne voyait dans l'adolescence que l'utilité de faire la fête et de briser toutes les règles. J'abandonnais la Kerry qui était venue au monde pour celle que mon bourreau avait créé.
Au fond de moi, je me permettais volontairement de perdre pieds en me disant que tout irait mieux une fois que ma Némésis serait enfermée derrière les barreaux. Mais bien malgré moi, ce jour n'arriva jamais… À cette condamnation que j'attendais, ce fut la prononciation de sa libération qui fut donnée comme seul verdict! Les raisons? Un excès de zèle de la part de la police lors de ma libération, au même titre que de mes avocats qui, malgré qu'ils soient des amis de la famille, semblaient avoir manqué de cœur à l'ouvrage face aux ténors que mon cauchemar eut pour sa défense. Acquitté! Cette ordure avait été acquitté alors qu'il m'avait totalement détruite, à jamais! Je dois reconnaître que ce soir-là, j'ai frôlé l'overdose, et je n'étais qu'à un battement de cils du coma. L'ironie d'être la progéniture d'un couple d'avocats hors pair et d'être victime d'une 'erreur judiciaire'. Je me foutais des marques de compassion et de réconfort. 'On pourra faire appel', 'Il ne s'en sortira pas', 'Ne t'en fait pas ma chérie, tout ira bien'… Mais non! Rien n'ira jamais bien! De quoi ont-ils besoin pour le comprendre?
Ce monde était aussi sourd à ma détresse qu'aveugle de sa propre connerie. Telle est la raison pour laquelle je me suis mise en tête de le retrouver… Et de le buter! Je n'étais qu'à une pression de doigt. Le frisson que j'ai ressenti lorsqu'il me découvrit, me voyant le mettre en joue, sa peur se lisant sur son visage et dans la sueur s'écoulant à grosses gouttelettes. L'envie d'appuyer sur cette fichue détente, tout en étant paralyser par une force que je ne parvenais à contrôler. J'allais le faire. Oui, c'était le moment, c'était l'instant. Et juste au moment où mon doigt franchit la dernière limite, ma sœur sorti de nulle part pour s'interposer et m'empêcher de commettre l'inévitable. En plus d'avoir échappé à la peine de son crime, ce misérable monstre fut la source de cette blessure mortelle qui frappa l'une des personnes m'étant le plus précieux, m'étant la plus chère. Il échappa à cette vengeance qui s'abattit sur ma sœur, faisant de moi le monstre que j'avais tant redouté… Comprenant dès lors, et bien trop tardivement, à quel point j'avais sombré dans l'impardonnable…

L'année qui s'en suivit fut aussi difficile que pénible et délicate. Je devais faire face aux conséquences de mon geste. Je dus accepter le chagrin de mes parents, perdus entre leur amour pour moi, leur compréhension de ce que j'avais voulu faire, et la culpabilité dont il m'affublait pour ce geste. Comment leur en vouloir pour cela? J'étais la première à me condamner pour cet acte! Mais, quelque part, il m'était encore plus inacceptable que la mort de ma sœur soit inutile. L'affaire ne fut pas jugée. Malgré leur chagrin, mes parents jouèrent de leurs relations pour étouffer cette histoire. S'ils ne me pardonneraient jamais, ils ne voulaient pas me condamner une fois de plus à un autre enfer. Je fus donc envoyé en cure de désintoxication pendant près d'une année, où j'eus en annexe des cours de rattrapage pour que je puisse passer l'équivalent de mon bac de terminale, tout en faisant mon deuil comme je le pouvais.
Ma sœur avait toujours voulu marcher dans les traces de nos parents. Elle n'avait de cesse d'être le jeune fer de lance des convictions de mon père. Et pour la première fois de ma vie, c'était en désintox que je compris réellement l'importance de tous les mots qu'il avait pu avoir durant ma jeunesse. L'importance d'agir. L'importance de prendre sa place dans la société. L'importance d'en être acteur pour améliorer ce qui n'allait pas, bien loin de se contenter uniquement d'une richesse et d'une fortune éphémère en fin de compte. Une révélation. Une révélation pure et simple qui me fit trouver ma voie et me guida à quitter Brisbane lorsque je sortis du centre de désintoxication. Mes parents étaient tout ce qu'il me restait, tout ce que je possédais. Mais la mort de ma sœur prouva que l'amour que nous nous portions n'était plus suffisant pour nous permettre de vivre ensemble. Alors je pris le large, sous leur bienveillance et leur aide financière. C'était leur façon de me dire que je restais leur fille et qu'ils m'aimeraient toujours. Plus forte et plus censée, j'étais à même de le comprendre désormais!
Poussant les portes de l'université, j'entrepris cinq années d'études afin de décrocher mon master en droit. L'étude ne fut pas simple, ni aisée. Je ne voulais pas réussir grâce à mon nom de famille, relativement connu dans la sphère juridique australienne. Je tenais à réussir pour mes capacités, pour ma faculté à étudier et à retenir chacun de préceptes juridiques que je pouvais apprendre. Je ne voulais pas qu'on me mâche le travail comme une petite privilégiée. Devenir une parvenue ne m'aurait apporté qu'une seule chose: être incapable de réellement faire mon travail convenablement! Mon envie de la première année se transforma en un besoin d'excellence durant la seconde, avant de devenir une soif et une conviction puissamment forte pour les trois années me restant.

J'aurais pu obtenir une place dans un cabinet de haute réputation et me mettant bien à l'abri du besoin. J'aurais pu travailler dans un cabinet annexe en relation avec celui de mes parents. Mais mon audace et ma détermination me poussèrent à autres choses. Avec quelques camarades de l'université, nous décidâmes de créer notre propre cabinet privé: un cabinet spécialisé dans le service aux personnes miséreuses et dans le besoin. Un cabinet uniquement créé dans le but d'aider toutes ces personnes qui ne pouvaient se défendre, qui n'avaient pas les moyens de recevoir des services digne d'intérêts pour qu'ils puissent obtenir réparation et gain de cause. Oui, j'avais trouvé des personnes partageant ma foi d'aider et de faire la différence. Et grâce à mes parents, je pus avoir les fonds nécessaires pour mettre ce rêve en pratique.
Ma réputation? Je l'ai créé de cette manière! La première fois que vous débarquez comme 'novice' dans une salle d'audience, que vous vous retrouvez face à des grands noms du barreau et des coupables remplis de flics pour acheter tout ce que vous voulez comme vérité, seule la ferveur de vos discours et votre pugnacité permet de faire la différence. Et c'est comme ça que j'ai enchaîné les affaires avec succès. Certains membres du barreau disaient que j'avais hérité du gêne familial… D'autres estimaient que j'avais une foi et un talent capable de déplacer des montagnes entières. Cela était flatteur, mais je ne pouvais pas laisser de tels compliments me laisser monter à la tête et, ce, pour deux excellentes raisons: cela m'aurait détourné de mon efficacité et de mon combat. Et, deuxièmement, je ne perdais jamais de vue de ce qu'il m'en avait coûté pour en arriver enfin jusque-là: la vie de ma sœur!
Trois années s'écoulèrent pendant lesquelles je ne cessai de multiplier les victoires et les gains de cause pour de pauvres personnes dans le besoin. Trois années à affirmer que Kerry Grey était une avocate à part entière et que, loin de la pauvre adolescente perturbée et torturée qu'elle avait pu être, plus rien ni personne ne pourrait jamais l'affaiblir ou la mettre plus bas que terre. Plus jamais elle ne perdrait une lutte. Plus jamais elle ne baisserait les bras. Dorénavant, elle était maîtresse exclusive et efficace de son existence et de la libération de l'ensemble de ses clients. Oui, voilà ce que ces trois années de travail me permirent de devenir, à ma plus grande joie, et ma plus grande fierté, je  ne pouvais le nier!

Puis il y eut cette jeune fille. Il y eut cette rencontre. Celle que j'appelle Alison aujourd'hui fut l'une des rencontres les plus importantes de ma courte existence. Paumée, totalement camée, sans repère aucun… Une demoiselle qui aurait pu avoir tellement de chance dans la vie mais dont la route la conduisit sur une pente que j'avais bien trop fréquenté et bien trop connue durant mon adolescence. Jusqu'alors, je n'avais eu de cesse d'aider tous ceux que je pouvais sur le plan juridique et pénal. Mais, avec elle, dès que je cernai son regard, je ressentis le besoin d'aller plus loin et de me surpasser dans ce que je pouvais apporter aux autres.
Elle était butée. Elle était obstinée. Autant avais-je pu lui permettre de recouvrir gratuitement sa liberté que cela ne l'encouragea pas à se montrer en pleine confiance au début. Je ne pouvais pas lui en vouloir cela dit. À sa place, j'aurais… Non, pardon, je réagissais de la même façon! Alors, je n'ai rien lâché. Je me suis acharnée, quitte à ce qu'elle en devienne folle ou ne parvienne plus à me supporter. Mais cette fille avait besoin de trouver un signe pour savoir quel chemin emprunté, un peu à l'image d'un bateau traquant la lumière du phare en pleine nuit. Je ne voulais pas me résoudre à abandonner cette petite âme égarée. Je ne voulais pas accepter le fait que ce nouveau combat m'échappe et se transforme, aussitôt, en défaite. Et puis, peut-être devenais-je moi-même folle, mais cette sorte de connexion que j'avais senti en croisant son regard ne me trompait pas. Et, de cette manière de ne rien lâcher, je finis par avoir gain de cause. Elle baissa les armes et me raconta son histoire, sa vie, ses épreuves, son parcours, ses peines et ses erreurs. Je ne la jugeai pas, aucunement, pas une seule seconde. Je l'écoutai, attentive et compatissante mais également réaliste. Savoir écouter est une chose: agir en conséquence des révélations que l'on entend, en était une autre!
Alison fut mon renouveau. Avec elle, je connus une nouvelle vie. Sans doute me direz-vous que c'est moi qui lui ai beaucoup apporté: son retour aux États-Unis, son sevrage, sa mise sous tutelle… Je ne pourrais pas nier avoir fait beaucoup pour elle, mais elle n'imagine pas tout ce qu'elle m'a apporté en retour. D'une certaine manière, je retrouve les joies d'être sœur. J'ai la sensation de pouvoir me construire un nouveau foyer auprès d'une jeune paumée qui a su devenir une véritable personne que j'aime et à laquelle je tiens profondément. Elle m'a permis de rompre avec la solitude de mon quotidien et de retrouver les rires et les plaisirs d'une jeunesse qui peut s'épanouir sans soucis. En elle, je retrouve ce qui m'a été volé et ce que j'aurais voulu connaître et vivre moi-même. Alison est une jeune universitaire adorable à souhait, qui mérite que la vie lui soit belle et heureuse. Et j'y veillerai toujours au grain, quelles que soient les épreuves que nous aurons à traverser. Notre vie n'est pas toujours parfaite, ni toujours la plus belle du monde entier, mais notre quotidien baigne entre ses cours, les miens, ses sorties, mon boulot et cette entente, ce lien si fort qui nous relie l'une à l'autre.

Je suis née et morte à Brisbane… Je suis revenue à la vie à Sydney… Je me suis sentie utile en rencontrant Ali… Et je me sens finalement femme depuis que je suis arrivée à Harvard…

Ma vie n'est pas commune. Ma vie n'est pas parfaite. Mais telle est ce qu'elle est et, lorsque vous trouvez enfin cet équilibre, plus rien ne compte que les nouveaux jours heureux et épanouissant qui vous sont enfin offerts!
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Bienvenue sur ILH. KERRY M. GREY ► charlize theron 3850463188
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Une Australienne hanwii KERRY M. GREY ► charlize theron 3850463188
Très bon choix de scénario KERRY M. GREY ► charlize theron 3338944726

Bienvenue KERRY M. GREY ► charlize theron 1839924927
Courage pour ta fiche :heaart:
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MA GRANDEEEE SOEUUURR :heaart: merci de prendre ce scénario KERRY M. GREY ► charlize theron 3850463188
bon courage à toi et au besoin ma boite à mp t'es grande ouverte, hésite pas KERRY M. GREY ► charlize theron 2727399354
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Un énorme merci à toutes les deux pour votre accueil KERRY M. GREY ► charlize theron 1001568715 KERRY M. GREY ► charlize theron 1001568715

Paige:
Australienne + Étudiante en droit + Cassidy = Réserve moi un lien d'office hanwii hanwii hanwii

Ali:
MA PETITE SOEEEEEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRRRRRRR hanwii hanwii hanwii
Surtout un énorme merci à toi pour cette proposition et ces longues conversations KERRY M. GREY ► charlize theron 1001568715 KERRY M. GREY ► charlize theron 1001568715
Promis, je prendrai toujours le temps de la remplir au point de t'en surbooker totalement :love2: KERRY M. GREY ► charlize theron 73120010 KERRY M. GREY ► charlize theron 2474380249
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Bienvenuuue parmi nous. KERRY M. GREY ► charlize theron 3850463188
excellent choix de scénario et d'avatar. :heaart:
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bienvenuuuue KERRY M. GREY ► charlize theron 3850463188
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bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue parmi nous KERRY M. GREY ► charlize theron 1365124802KERRY M. GREY ► charlize theron 2109348208
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bienvenue KERRY M. GREY ► charlize theron 3850463188
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