TG 5 ∞ Feu de camp & nuit sur la plage

Feu de camp & nuit sur la plage

     
       

Topic de groupe 5

       

Un moment entre Eliot autour du feu, avec des saucisses, des chips, des bières et des chamallows promettent une soirée riche en émotions ! Les Eliots pourront prendre un bain de minuit, alors il ne faut pas oublier les maillots. Il n'y a pas d'heure pour partir dans les bras de Morphée, mais des tentes seront prévues pour une nuit fraiche avec pour berceuse le son des vagues.    
     
   

   

• Quoi: Un Feu de camp et une nuit sur la plage.
         
     
  
• Où: St Brelade's Baie.
         
     
  
• Quand IG: le 29 janvier, rendez-vous fixé à 21h
         
     
  
• Quand IRL: 18 janvier jusqu'à inactivité
         
     
  
• Qui: Les Eliots et leurs invités.
         
     
  
• Merci de faire entre 5 et 10 lignes dans les topics de groupes. (dans les RPs privés vous pouvez faire autant que vous le voulez.)
     
  

     Il y a 2 façons d'RP à l'événement.
     
   

   

• Dans l'un des topics de groupe.
         
     
  
• Dans un nouveau sujet privé.
     
  

     
   

À vos RPs dans les topics de groupes, merci d'ajouter ceci lorsque vous venez tout juste d'entrer dans un sujet:
           IN
       
   

Code:

[size=18][color=#6a9e3f][b]IN[/b][/color][/size]

           et ceci lorsque vous en sortez:
           OUT
       
   

Code:

[size=18][color=crimson][b]OUT[/b][/color][/size]

           Comme ça, moins de chance de parler dans le vide ou oublier quelqu'un
           Merci !
           

       

       

IN

Plus que deux jours avant le décollage pour rentrer à Cambdrige et quoi que de mieux que passer au moins une belle nuit à la belle étoile, en bonne compagnie et avec une belle berceuse telle que le son des vagues. En effet, pour rien au monde j'allais manquer ça et franchement, je préfère dormir à la belle étoile plutôt que dans une chambre d'hôtel. C'était plus intéressant. J'attrape donc mon sac toujours remplit de bonnes choses, je crois que j'ai pris de bons kilos durant mon séjour ici, mon appétit s'était grandement ouverte comme par magie. Faut que je fasse attention, je n'ai pas envie de ne plus plaire à monsieur Bleeker. Je me demandais d'ailleurs, pourquoi je mangeais autant, surement qu'avec tous ces évènements à Cambridge, j'avais perdu l'envie de me goinfrer et là, ce voyage m'avait permis de le retrouver. Tant mieux, j'allais profiter tout de même à fond avant de retourner dans la ville aux mille catastrophes. Ouai, c'était son nouveau surnom parce qu'il était rare d'avoir des moments de paix et de tranquillités comme ceux que nous passion ici. Bref, une fois prête, je me rends à St Brelade's Baie où surement les Eliots devaient déjà y etre. Je n'étais pas monté dans la limousine voulant prendre un peu plus de temps pour me préparer. Du coup, à mon arrivée je découvrais ce sublime endroit éclairé par le feu de camp et ces jolies petites tentes à notre disposition. Évidemment que j'avais prévu un maillot en dessous de ma longue robe fleurie, je comptais moi-aussi prendre un bain de minuit tcheuu.

IN

Ça me faisait du bien de quitter Harvard, surtout avec tout ce qu'il s'était passé dernièrement... les prises d'otages, les viols, tout ça quoi. Pas très joyeux pour une vie étudiante. Heureusement j'étais seine et sauve, dieu merci. Aujourd'hui on essayait tous de tourner la page sur cet événement plus que malheureux, mais bon, je commençais sérieusement à croire que Harvard est une université maudite. M'enfin, j'arrivais sur la plage portant une longue robe blanche ainsi qu'un maillot de bain de la même couleur. J'avais également une laine sur le dos puisque j'étais du genre frileuse. Néanmoins, s'ils pensaient que j'allais dormir sur la plage, ils pouvaient se mettre le doigt dans l'oeil les petits bleus. Tente ou pas tente, il était hors de question pour moi de dormir sur une plage, le sable c'était dégoûtant de toute manière. Ça s'infiltrait partout, et ce n'était pas la chose la plus hygiénique du monde, ni la plus confortable. J'aimais beaucoup mes Eliots mais ils poussaient le bouchon un peu trop loin pour le coup. J'apercevais Diamantika, je me dirigeais vers elle. Coucou ! Tu vas bien ? demandai-je avec enthousiasme, c'était une personne que j'aimais bien. Chose rare.

J'étais une Eliot bourré de fric, mais on va dire que je suis un cas à part parce que j'adorais la simplicité, j'étais une petite aventurière, d'où le fait que je préfère dormir à la belle étoile, plutôt que dans une chambre d'hôtel cinq étoiles. Je préférais être à l'air libre plutôt qu'enfermé entre quatre mures. Oui, on pouvait me comparer à un petit oiseau qui n'aimait pas se retrouver en cage. Mais passons. Je me suis assise sur un gros tronc d'arbre autour du feu de camp alors que j'attrapais deux baguettes de marshmallow afin de les dorer un peu au feu. Au même moment, Athénaïs s'approcha de moi et je lui fis une petite place à mes côtés. J'aimais bien l'appeler Athéna pour la provoquer, car elle avait ce petit côté guerrière. Ouaich, la déesse de la guerre quoi. « B'soir toi !. Je vais bien merci et toi ?. » Je n'avais pas eu l'occasion de lui demander si ça allait depuis la prise d'otage étant donné que j'avais été préoccupé par mon frère. Je lui tends une baguette de marshmallow que j'avais soigneusement dorée au feu. « Ce voyage nous a fait énormément d'bien, avec tout ce qui est arrivé ces derniers temps. J'ai presque peur d'Harvard maintenant sérieux. T'crois qu'elle est maudite ?. » Plutôt faire de l'humour que pleurer encore non ?.

Vous étiez bien tous ici. Il faisait bon de vivre à Jersey, et t'avais presque envie de ne plus retourner dans la prestigieuse université où il se passait que des choses horribles. C'était censé être en sécurité maintenant, les événements durs étant déjà passés, mais ils avaient déjà dit ça après la bombe et pourtant, vous vous étiez retrouvés avec quatre violeurs armés sur le dos. Tes parents avaient envie de tu retournes à Monaco – comme après la bombe justement – mais t'avais essayé de les calmer en leur disant que de toutes manières vous partiez bientôt avec les Eliots. Le séjour se passait bien – même si t'avais dû inviter ta femme afin de continuer la supercherie – et aujourd'hui était l'une des soirées que tu avais attendu le plus, la soirée feu de camp. Ça avait tout pour te plaire, ça faisait petit aventurier, ça faisait groupe de potes comme dans les films américains, perfect quoi. Tu t'étais enfilé un pantacourt en jean ( avec un long jean de rechange dans ton sac si tu finissais par avoir trop froid ou le mouiller ) et t'avais une petite chemise fleurie – et osef si ça faisait gay ou que ce n'était plus la mode, elle était même pas rose mais blanche et noire d'abord. Tu mettais un petit plaid dans ton mini sac à dos si vous allier dormir, et tu marchais jusqu'à la plage, tout content. Arrivé là-bas, tu trouvais de suite le coin où tes petits Eliots seraient regroupés, et tu venais faire la bise à Diamantika et Athénaïs avant de t'asseoir entre les deux. « Comment vous allez ? » Tu leur demandais, tout sourire, venant déjà piquer une chips. « Qui n'a aucune envie de rentrer à Harvard ? » Tu t'exclamais ensuite, comme si tu faisais un vote.

Alors que je causais avec la magnifique Athénaïs mon frère de cœur aka Nemo, vint à s'asseoir entre nous, posant une question assez intéressante. Qui n'avait pas envie de retourner à Harvard ?. Je crois que nous avons tous passé dans un moment difficile. Même si certains comme moi n'ont pas fait partie des prises d'otages cela n'avait pas empêché l'inquiétude et le stresse de nous envahir, car savoir nos proches dans les mains de cinglés, avait été un horrible moment à traverser. « Moi je n'ai pas envie de rentrer parce que cette université commence à me faire vraiment flipper. » Certes c'était la meilleure, mais on ne pouvait pas fermer les yeux sur tout ce qui ce passait. « Mais en même temps, j'ai envie de rentrer parce que voilà, mes proches et mon homme me manquent grave. » Okey, je ne suis pas clair avec mes réponses, mais autant je n'ai pas envie de rentrer parce que je flippe et je flipperais toujours maintenant, autant j'ai envie de revoir mon entourage.

Tu acquiesçais quant elle te disait que cette université commençait à la faire flipper, parce que t'avais un peu le même ressenti toi aussi. Après la bombe tu avais déjà eu du mal a rapprendre à dormir sur tes deux oreilles, à ne plus avoir peur que quelque chose pète à chaque pas que tu faisais, et même tes parents n'avaient pas voulu que tu y retournes, mais t'avais fini par les obliger, parce que t'avais quand même eu la chance d'y être accepté et que t'avais tes cours à suivre. Mais maintenant il fallait faire face à des gens instable moralement et la prochaine fois, ce serait quoi ? C'était ça qui t'effrayait le plus, la prochaine fois. « C'est pas grave ça. On se construit une grande université ici avec les sous de papa-maman, ça leur rapportera des éloges dans les magasines comme quoi ils s'investissent dans l'éducation des jeunes blablaa, et t'obliges ton mec et tes amis à venir vivre ici. Easy. » Tu disais avec un petit sourire. Bon, pour toi, ça risque d'être un peu plus compliqué. Tu venais à peine de recroiser ton ex depuis le voyage au Canada, et t'étais pas sûr qu'il te suive les yeux fermés alors que vos rapports étaient plutôt... Bizarres.

IN

Jersey était véritablement un petit coin de paradis. J'étais si bien ici, je n'avais aucune envie de retourner à Harvard. Le voyage des Eliots avaient peut-être drôlement tomber mais je me sentais déjà beaucoup moins stressé après tous les événements que les étudiants avaient vécus ces derniers temps. Ce soir, il avait un feu de camp et nuit sur la plage au programme, on pouvait compter sur moi. Le soleil se couchait paresseuement ici et la vue était à couper le souffle. J'apportais mes choses et je répondais àa la question que Nemo avait lancé: ''Moi j'ai pas envie de rentrer.'' J'avais principalement une bonne raison de rentrer à Cambridge qui s'appellait Dinah mais ce voyage était pour moi, le temps d'assimiler les événements qui venait de se passer et de faire mon deuil de tout sa pour pouvoir aller plus loin après le voyage. J'installais ma chaise de par terre qui s'enfonça dans le sable près de Athénais,Dia et Nemo pour rejoindre leur conversation. Je pris une bière de mon frigo portatif et regardait l'horizon, en paix avec moi-même. Ensuite, je répondis aux commentaires des autres: ''Peut-être que Harvard est maudite...Faudrait trouver quelques sorcières de Salem et conjurer le mauvais sort, bah ouais Nemo on construit une université ici et on fait vivre le pays par l'éducation élevé et les problèmes sont réglés, ca serait chouette mais maintenant que la Eliot House va réouvert, il faut être prêt à montrer les dents.''

« Ce n'est pas grave ça. On se construit une grande université ici avec les sous de papa-maman, ça leur rapportera des éloges dans les magasines comme quoi ils s'investissent dans l'éducation des jeunes blablaa, et t'obliges ton mec et tes amis à venir vivre ici. Easy. » Dixit Nemo alors que j'arquais un sourcil. Je n'ai même pas eu le temps d'en placer une, que Tate rétorqua sur-le-champ. « Peut-être que Harvard est maudite...Faudrait trouver quelques sorcières de Salem et conjurer le mauvais sort, bah ouais Nemo on construit une université ici et on fait vivre le pays par l'éducation élevé et les problèmes sont réglés, ça serait chouette mais maintenant que la Eliot House va réouvert, il faut être prêt à montrer les dents. » Et là, j'éclate de rire parce que je n'en pouvais plus de leurs propositions là. « Eh ben dit donc les mecs, vous avez une imagination assez débordante !. » Mais Tate avait raison, les maisons allaient rouvrir alors notre place est plutôt à la Eliot House non ?. Par contre, avec cette fameuse fusillade, je suis encore surprise qu'elles rouvrent aussi rapidement, mais osef parce qu'on va pouvoir retrouver notre petit chez nous.

J'aimais bien ce petit moment sur la plage entre Eliots, voyant aucun invité à l'horizon. Je sentais que tout le monde avait vécu les mêmes émotions par rapport aux derniers événements et que le voyage à Jersey était notre thérapie, notre rendez-vous avec une psy. Je buvais ma bière tranquille en écoutant les autres parlés, j'étais peut-être seul pour ce voyage mais j'étais en compagnie de ma seconde famille quand même alors c'était un mal pour un bien? Entendre rire Diamantika me faisait sourire, l'atmosphère était légère malgré que tout le monde devait sûrement appréhender le moment d'aller dormir dans les tentes sur la plage, nous qui était habituer à rien de moins que les grands hôtels cinq étoiles. Je répondais au beau diamant bleu de la Eliot House: ''Faut mieux en rire après tout non?'' J'écrasais ma bière et m'en ouvrit un autre, j'allais pouvoir me permettre de boire un peu plus malgré que j'étais sous les anti-douleurs à cause de mon opération. Je demandais de manière plutôt sérieuse aux autres: ''Vous croyez que le pire est passé? Genre pourquoi ces individus nous voulaient du mal? Vous croyez que c'était un coup monté?''