Invité
est en ligne
Invité
Ashley Teddy Masson fiche; terminé C'est le 15 mai 1988 à New York, que la famille Masson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Teddy Ashley. Je suis célibataire et fort |
Études Je n'ai jamais aimée l'école. Depuis ma naissance je n'ai jamais été motivée et j'ai toujours eu des mauvaises notes. Ce qui me passionne depuis mon plus jeune âge, c'est la danse. Je n'avais pas l'intention de m'inscrire à Harvard, mais mes parents m'en ont forcés pour poursuivre mon rêve de devenir danseuse. J'ai du faire beaucoup d'efforts durant ces dernières années. Du lycée à Harvard, je me suis améliorée dans les cours et dans la danse. Je suis donc maintenant en sixième année, et avec mes excellentes notes, je suis toujours retenue pour chaque année à Harvard. Il me reste plus que trois années d'université, et je compte bien tout cartonner pour être plus qu'aisée, gagner bien ma vie. | Caractère On viendrait pas jusqu'à dire que je suis une vraie fille mignonne, la petite fille à son pé-père. En faite, j'ai toujours été tout le contraire. Surtout à cause de mon père. Je suis en gros... Têtue, mais aussi fêtarde. Ma maison devrait être Cabot ou Mather comme ma mère m'avait demandé, mais non, je préférais être Dunster. Bon en tout cas, je suis pas la fille la plus sage, mais je suis gentille, et on peut me confier beaucoup de chose. Je suis attentionnée. |
Everyone Has Their Own Story
« La vie n’est pas toujours facile. C’est pour cela qu’il fallait absolument que j’écrive ce livre pour qu’on me comprenne. Je n’ai jamais vécu facilement, et ma famille n’a jamais marchée, je vis avec ce que j’ai, de l’argent et des amis. Ma mère est morte, et mon père, sûrement en prison pour son acte très grave. J’ai appris, qu’il fallait profiter de ce que j’avais, je me perdrais dans pleins de raisons. J’assume ma vie »
Extrait de mon livre Alone.
Je ne suis pas écrivaine, c’était juste la seule solution pour moi d’ouvrir la porte à ce que j’aime. La rédaction. J’aime la danse, qui est tout autre chose, mais la rédaction, c’est quelque chose d’important. Personne ne m’a jamais aimée à ma juste valeur, je veux leur racontés à tous ma vie. Qui je suis. Je n’ai plus rien à caché, je dois être libre. Mon père le remarquera un jour, je n’ai pas tenu ma langue et j’ai raconté son histoire. Je veux qu’on me comprenne, et j’assume ma vie, oui. Je l’assume.
Je suis née le 15 mai 1988, et la famille Masson m’ont ouvert leurs portes. Cette famille était constituée d’un seul mot « la fête ». Avant d’arriver, ce n’était pas une famille, c’était juste une femme enceinte et un père mort de trouille. Quand je suis enfin arriver, tout a pris place et mon père et ma mère sont devenu moins coincée qu’on ne le pense. Ma mère a tout d’abord, elle, commencer à boire une tonne. Mon père s’est droguée et à commencer à aller en boîte. Il a draguée beaucoup de filles… Ils avaient perdu conscience, déjà quand j’étais sorti toute gluante du ventre de ma mère. Mon père ne m’a jamais accordé d’importance dans sa vie, il ne voulait pas de moi. Ma mère est tombée enceinte sans le faire exprès, ils étaient fous amoureux l’un de l’autre, mais ils ont commencés à ne plus se fréquenter après ma naissance. J’ai toujours cru que c’était à cause de moi qu’ils s’étaient séparés. Et c’était bien à cause de moi. Ma mère a du s’occuper de moi jusqu’à sa mort. Ça a été très dur pour elle, elle devait faire des petits boulots en même temps de me garder, et un jour elle est allée à Harvard. Elle m’a expliquée les plusieurs maisons qu’il y avait, et elle, elle était chez les cabots, et elle m’a toujours dis que si un jour je m’inscrirais à Harvard, il faudrait respecter cette nouvelle tradition, c’est-à-dire être Cabot ou Mather. J’étais très têtue, et je savais déjà que je n’allais pas être dans ces maisons vu l’explication, mais chez les Dunster… JAUUUNE POWER ! Bon, revenons en arrière. Tout ça a été très dur pour ma mère, et pour se remonter le moral elle a due boire. Par la suite, cela n’était pas assez, elle a commencée à se droguer et à draguer pleins de gens, filles ou mecs. Mon père a fait la même chose de son côté, il n’était pas vraiment triste d’avoir quitté ma mère. Apparemment, le courant n’est jamais passé entre eux et ne se sont jamais vraiment aimé. Mon père est revenu un jour dans le loft de ma mère, quand j’avais genre 15 ans, et elle 27 ans, moi j’étais en cours et elle à la maison. Mon père a surgit avec un flingue et a tué ma mère. Il est tout de suite parti et ma mère a été touchée sur la jambe. Elle n’était pas encore morte, mais devait bientôt faire sa fin. Je suis rentrée à la maison vers 17 h 00 après la première journée de lycée, et j’ai criée plusieurs fois maman, jusqu’à ce que je rentre dans sa chambre ou elle était pliée en deux et essayer de parler mais en vain. Du sang coulé et ça ne s’arrêtait pas. Je versais quelque larmes, car ma mère, c’est ce qui me donnait de la force, ce qui me restait, elle est morte. Elle voulait de moi, et m’a emporter dans tous ses voyages, elle s’est occuper de moi seule et en force. Et elle s’est perdu.
« Maman, non, non, ne me quitte pas, je t’en supplie. » lui lançant avec des larmes, terrifier.
« Ma ché-ché-chérie, part, part de la mai-maison, en en prenant l’a-a-argent dans le coffre. Fais, fais moi plai-plaisir et part à Har-harvard. »
C’était son dernier souhait, et je voulais le réaliser, j’étais obligée, et j’aurais fait tout pour celle-ci, y compris ça. Je hochais de la tête, toujours en pleurant et parti vers le coffre en courant et ouvrant celui-ci pour en récupérer tout l’argent. Il n’y avait pas loin de 100 000 000 dollars là-dedans, je crois que ma mère m’a déjà expliquée pourquoi tout cet argent. Mais je ne me souviens pas, elle m’avait aussi expliquée comment elle a fait pour le récolter, mais pareil, plus aucun souvenir. Je revins dans la chambre, et déposa un léger bisous sur la joue de ma mère. Elle me sourit et me demanda une dernière faveur avant de partir pour Harvard. C’est de l’emmener à l’hôpital et en suite, une fois rétablie, faire appel à la justice. Pourquoi ? Eh bien je ne le savais pas, j’appelais tout de suite les urgences, et ils ont surgit très vite. Je voulu sortir après avoir dit au revoir à ma mère et mille merci, mais un homme me bloquait le passager. Il avait un couteau dans la main. Je voulu repartir, mais il m’attrapa dans la main. Je criais de toutes mes forces « ààààààààààààà l’aideeeeeeeeeeeeee ! au secours » mais personne ne m’entendait, j’étais dans un cauchemar ou quoi ? Non pas du tout, juste les infirmiers au quel je voyais leurs blouse blanche dépassé et leurs visages terrifiés, n’osaient pas venir. L’homme me dit de me calmer, et qu’il ne me ferait pas de mal. Alors pourquoi un couteau ?
« Un couteau jeune fille, car je veux acheter ton silence, je suis ton père et c’est moi qui a tué ta mère. Si tu n’acceptes pas de garder silence, je te ferais la même chose qu’à ta mère, et ça fait très mal. »
Je ne savais pas que je possédais un père aussi méchant que ça. Mais je voyais bien que c’était lui. J’acceptai mon silence, paniquée, pour 1000 dollars. Il partit aussi tôt, et ne fut jamais recherché par la police, je crois. C’est horrible ce qu’il m’a fait, pendant toutes ces années, j’ai été obligée de la mettre en veille. Je suis parti à Harvard, et j’ai rencontré des tas de gens, qui se sont moqués de moi, qui ont profités de mon argent… Et des gentilles, mais je n’ai jamais vraiment trouvée ma place chez les cabots. Oui, je m’étais inscrite chez les cabots les premières années, mais ils n’avaient pas tous un cœur en or. Les dunsters eux, ils étaient parfait et très gentilles. C’était les meilleurs, et je me suis inscrit toutes les années suivantes chez leurs maisons. C’est ma famille maintenant. Je ne quitterais pas Harvard, non. Je vie une vie extra grâce à ça. Je ne m’arrêterais pas.
Voilà, c’est ma vie. C’est ça ce que je vie. Je n’ai pas de vraie vie heureuse. Je dois l’inventer, et l’espérer. Je dois l’organiser. Là-bas, dans le ciel, on m’encourage de vivre ma vie, une vie heureuse qui existe pour de vrai. Elle existe, et elle est là sous mes yeux. Certes l’argent ne fait pas le bonheur, mais j’ai une idée en tête, qui, je crois peut marcher. Je vais moi-même rendre les gens heureux, je me rendrais ainsi heureuse, et penser à moi. J’ai assez d’argent pour tout ça, pour m’acheter un animal de compagnie qui m’aimerais, comme ma mère, une vrai maison une fois fini mes études. Avoir un enfant, espérer en tout cas. Trouver le bonheur, l’homme de ma vie, l’amie que je n’ai jamais connue. C’était mon but. Des solutions recquière l’argent, et d’autres l’espérance. Je dois arrêter de penser mal.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Nymph', Laurie. ↬ ÂGE - Certains savent, d'autres non. ↬ PAYS/RÉGIONS - French :3 ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Nymphéas, Rachel... Tout ça c'est moi! ↬ TES IMPRESSIONS - Toujours la même, magnifique création. ↬ CRÉDIT(S) - Bazzart (c) Mellow Bird ↬ AVATAR - Emma Stone :3 ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - ILH encore et encore |
(Invité)