La Doyenne
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tw // violences physiques et sexuelles
Intrigue 2014/2015.
Agressions et fermeture des maisons
Agressions
En colère, voilà ce qu'ils étaient. Une bande de jeunes étudiants, quatre jeunes étudiants à l'université d'Harvard. Ils n'ont pas forcément eu une vie facile, ils n'ont pas forcément une vie sociable très épanouie. Ils ont essayé. Oh oui, ils ont essayé de se fondre dans la masse, d'être comme les autres. Certains ont même essayé de se faire accepter dans des maisons d'Harvard. Mais c'était en fait pour mieux se rapprocher. On dit qu'il faut être le meilleur ami de son ennemi, et malheureusement pour eux, leurs ennemis étaient tous les étudiants. Mais plus particulièrement ceux des maisons, car ceux-là trainent bien trop souvent qu'entre eux. C'est un monde à part, un monde qui leur semble inaccessible.
Alors ils commencèrent à monter un plan. Un plan pour leur faire payer. Un plan pour que leur vie semble moins inintéressante, plus palpitante. Iraient-ils jusqu'au bout ? Pas sur. Mais à la soirée organisée au centre commercial, lors de leur première agression organisée, ils comprirent, une fois l'acte commis, qu'ils n'avaient plus le choix. Ils ne pouvaient plus faire marche arrière maintenant. Alors ils continuèrent à agresser des jeunes filles. Parfois, ça loupait. Parfois, ça marchait. Eprouvaient-ils une certaine satisfaction ? Un plaisir malsain ? Oui. Mais ils assumaient, car ils n'avaient pas à en parler à voix haute à qui que ce soit. Ils en parlaient rarement entre eux, de peur de se lancer dans un débat qui pourrait les encourager à faire marche arrière.
> Agression numéro 1
> Agression numéro 2
> Agression numéro 3
> Agression numéro 4
> Agression numéro 5
> Agression numéro 6
> Agression numéro 7
> Agression numéro 8
Alors ils commencèrent à monter un plan. Un plan pour leur faire payer. Un plan pour que leur vie semble moins inintéressante, plus palpitante. Iraient-ils jusqu'au bout ? Pas sur. Mais à la soirée organisée au centre commercial, lors de leur première agression organisée, ils comprirent, une fois l'acte commis, qu'ils n'avaient plus le choix. Ils ne pouvaient plus faire marche arrière maintenant. Alors ils continuèrent à agresser des jeunes filles. Parfois, ça loupait. Parfois, ça marchait. Eprouvaient-ils une certaine satisfaction ? Un plaisir malsain ? Oui. Mais ils assumaient, car ils n'avaient pas à en parler à voix haute à qui que ce soit. Ils en parlaient rarement entre eux, de peur de se lancer dans un débat qui pourrait les encourager à faire marche arrière.
> Agression numéro 1
> Agression numéro 2
> Agression numéro 3
> Agression numéro 4
> Agression numéro 5
> Agression numéro 6
> Agression numéro 7
> Agression numéro 8
Fermeture des maisons
Extrait de l'émission du 5 janvier de Radio d'Harvard.
"Bonjour chers auditeurs ! Nous vous souhaitons un bon retour sur le campus, même si celui-ci ne risque pas d'être drôle... comme vous avez pu en entendre parler, les agressions ont continué lors de la classe de neige et nous avons ici le Doyen de l'université avec nous pour nous parler de ce qui va se passer car, vous pouvez le deviner, les évènements des derniers mois sont graves et inquiètent beaucoup d'élèves. Bonjour monsieur le Doyen, et je me permets avant de vous laisser la parole de vous souhaiter une bonne année !
Merci John, une bonne année à tous les étudiants d'Harvard. J'espère que celle-ci sera pleine de bonnes choses et de réussite que ça soit dans votre vie personnelle ou dans votre parcours scolaire et professionnel. Maintenant, nous allons parler de choses plus fâcheuses. Le conseil d'administration s'est réuni hier, suite à nos inquiétudes de plus en plus grandissantes face aux agressions qui sévissent depuis plusieurs mois. Il semblerait bien que des élèves soient en cause et, même si nous ne prenons pas forcément au sérieux les accusations qui pèsent sur les présidents des maisons d'Harvard lancées lors du hackage de la radio par on ne sait qui, nous avons décidé qu'il serait préférable de fermer temporairement toutes les maisons d'Harvard, sans exception. La plupart des élèves agressés ont un lien avec ces maisons et nous ne pouvons pas fermer les yeux sur de tels évènements qui ne sont pas le fruit du hasard. Puisque ce système de maisons entraine des agressions aussi graves, nous préférons mettre un terme à tout ça. C'est donc pour cela qu'à compter du 15 Janvier, toutes les maisons se verront fermées. Pour les étudiants qui n'auraient pas de toit où dormir, nous vous invitons à venir au service logement de l'aile administratif de la faculté le plus rapidement possible afin de trouver une solution pour que vous ne vous retrouviez pas à la rue en vous proposant des logements étudiants ou des chambres étudiantes sur le campus. En parallèle, la police mène son enquête afin de trouver les coupables. Je le répète, soyez prudents et évitez de vous promener seuls sur le campus le soir. Si vous avez des informations, n'hésitez surtout pas à contacter la police car toute aide est la bienvenue. Les maisons ne rouvrirons pas leurs portes tant que les coupables ne seront pas interpellés. De plus, ceci n'est qu'une hypothèse car cela sera au Conseil d'Administration de décider si oui ou non, les maisons rouvrirons bien après cette affaire. Merci à tous et bonne rentrée !
Merci monsieur le Doyen ! Oulala, c'est chaud tout ça, je sens que beaucoup de personnes ne vont pas être heureuses suite à cette annonce.."
> Manifestation contre la fermeture des maisons
"Bonjour chers auditeurs ! Nous vous souhaitons un bon retour sur le campus, même si celui-ci ne risque pas d'être drôle... comme vous avez pu en entendre parler, les agressions ont continué lors de la classe de neige et nous avons ici le Doyen de l'université avec nous pour nous parler de ce qui va se passer car, vous pouvez le deviner, les évènements des derniers mois sont graves et inquiètent beaucoup d'élèves. Bonjour monsieur le Doyen, et je me permets avant de vous laisser la parole de vous souhaiter une bonne année !
Merci John, une bonne année à tous les étudiants d'Harvard. J'espère que celle-ci sera pleine de bonnes choses et de réussite que ça soit dans votre vie personnelle ou dans votre parcours scolaire et professionnel. Maintenant, nous allons parler de choses plus fâcheuses. Le conseil d'administration s'est réuni hier, suite à nos inquiétudes de plus en plus grandissantes face aux agressions qui sévissent depuis plusieurs mois. Il semblerait bien que des élèves soient en cause et, même si nous ne prenons pas forcément au sérieux les accusations qui pèsent sur les présidents des maisons d'Harvard lancées lors du hackage de la radio par on ne sait qui, nous avons décidé qu'il serait préférable de fermer temporairement toutes les maisons d'Harvard, sans exception. La plupart des élèves agressés ont un lien avec ces maisons et nous ne pouvons pas fermer les yeux sur de tels évènements qui ne sont pas le fruit du hasard. Puisque ce système de maisons entraine des agressions aussi graves, nous préférons mettre un terme à tout ça. C'est donc pour cela qu'à compter du 15 Janvier, toutes les maisons se verront fermées. Pour les étudiants qui n'auraient pas de toit où dormir, nous vous invitons à venir au service logement de l'aile administratif de la faculté le plus rapidement possible afin de trouver une solution pour que vous ne vous retrouviez pas à la rue en vous proposant des logements étudiants ou des chambres étudiantes sur le campus. En parallèle, la police mène son enquête afin de trouver les coupables. Je le répète, soyez prudents et évitez de vous promener seuls sur le campus le soir. Si vous avez des informations, n'hésitez surtout pas à contacter la police car toute aide est la bienvenue. Les maisons ne rouvrirons pas leurs portes tant que les coupables ne seront pas interpellés. De plus, ceci n'est qu'une hypothèse car cela sera au Conseil d'Administration de décider si oui ou non, les maisons rouvrirons bien après cette affaire. Merci à tous et bonne rentrée !
Merci monsieur le Doyen ! Oulala, c'est chaud tout ça, je sens que beaucoup de personnes ne vont pas être heureuses suite à cette annonce.."
> Manifestation contre la fermeture des maisons
(La Doyenne)