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Very bad news (Ariana)

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« Heure du décès 22h15. » Le réanimateur prononça ces mots et je déglutis difficilement en jetant un dernier regard au corps sans vie du patient qui venait de mourir. Ce n’était pas la première fois que j’assistais à un échec de réanimation, mais ce défunt n’était pas n’importe qui. Les paroles du médecin qui suivirent me glacèrent encore plus : « Zacharias, tu t’occupes d’informer la famille. » Je relevais les yeux vers mon chef : « C’est que normalement, j’ai fini ma garde et je… » Son regard coupa court à toute discussion. On ne parlemente pas avec le chef, on execute ce qu’il nous demande simplement. En vérité, je ne cherchais pas à me défiler, en temps normal j’aurais accepté cette délicate mission sans broncher, mais l’homme qui venait de nous quitter était monsieur Kennedy. Et ces dernières semaines, j’avais sympathisé avec sa fille : Ariana. Lors des fêtes de fin d’année, je passais mon temps à l’hôpital et j’avais régulièrement croisé l'étudiante qui venait alors rendre visite à son père malade. Maintenant, devoir lui annoncer cette terrible nouvelle, être celui qui lui apprendrait le décès de son père, cela m’angoissait, c'était une énorme responsabilité. Ariana avait toujours montré une façade froide, ne laissant rien entrevoir des émotions que l'hospitalisation de son père provoquait en elle. Mais cette nouvelle, cela risquait de fissurer complètement sa carapace... J'allais devoir faire preuve d'empathie, de douceur et de compréhension. J’avançais jusqu’à la salle d’attente des familles, allant à la rencontre de la jeune femme avec un air grave…
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Ariana passait le plus clair de son temps à l’hopital ces derniers temps. Elle n’arrivait pas à être toujours auprès de son père, que ce soit à cause d’un cours, de révision ou tout autres imprévu. Ce soir-là, Ariana n’arrêtait pas de se faire emmerder par des cons à la bibliothèque. Elle voulait sortir, mais elle se faisait littéralement harcelée par des imbéciles à propos de son faux mariage son père etc. Après une demi-heure, elle finit par les menacé de les faire renvoyer de l’école et de ruiner leur vie. Elle ne savait pas ce qui les avait convaincus, son regard ou la menace. Elle arriva donc vers 22h10 à l’hôpital et demande à l’infirmière de la laisser voir son père. Elle lui répondit qu’il était en bloc depuis quelques heures et la belle brune se mit à l’enguler. « il est en bloc et vous êtes pas foutu s’appeler sa famille ? Non mais vous êtes une bande de tarré ici! » Elle la menaça de perdre son job avant qu’un agent de sécurité escorte la Kennedy dans la salle d’attente. Ariana n’attendit pas longtemps avant de voir Priape arriver dans la salle. Il n’avait pas son air de d’habitude, elle ne savait pas s’il venait pour lui parler ou à quelqu’un d’autre. Mais elle se leva, personne ne lui donnait de nouvelles, lui pourrait surement. « est ce que tu sais mon père est où ? Parce que franchement, votre personnel est à chié et pas très coopératif » Elle ajoutait les insultes pour cacher son inquiétude démesurée.
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Ariana était là, l’air particulièrement énervé, et je m’avançai jusqu’à elle. Aussitôt, la jeune femme me demanda si je savais où se trouvait son père, ajoutant bien sûr une petite réflexion acerbe à l’encontre du personnel. Dans d’autres circonstances, ce genre de petites piques de la jeune femme m’aurait probablement arraché un sourire, les insultes d’Ariana ayant tendance à m’amuser plus qu’à m’atteindre réellement. Je voyais clair dans son jeu et je savais que ce n’était qu’une façon pour elle de camoufler ses réelles émotions. Mais là, aucun sourire n’apparut sur mon visage. J’avais le ventre noué à l’idée d’être celui qui lui révèlerait le décès de son père. Je balayais la salle des yeux, il y avait d’autres familles ici, je ne pouvais pas faire ça là. Je déglutis difficilement avant de reprendre la parole : « Suis moi…» fis-je simplement en l’entrainant jusqu’à un bureau vide où je savais que nous serions seuls. Je tirai alors sur l’une des chaises que je lui désignais : « Installe toi ici Ariana. »  Il fallait mieux qu’elle soit assise, l’annonce risquait d’être un choc, même si la jeune femme était au courant de la gravité de l’état de son père…
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Faut dire l’air énervé d’Ariana c’était limite son air naturel, surtout quand elle venait à l’hôpital. Certes, Priape lui avait arraché quelque sourire lors de ces visites fréquentes ces derniers temps alors qu’elle avait manqué la classe neige et bien d’autres choses pour son père, mais aujourd’hui elle n’était pas là pour sourire. Personne ne voulait lui répondre et l’air de Priape n’arrangea pas les choses, aucune réactions à ses piques, c’était louche. « c’est quoi ton problème aujourd’hui ? T’as perdu ta langue dans un de tes patients, tu deviens nul comme les autres docteurs ? » Elle n’aimait pas son ton, le ton qu’on prend avec les gens à qui on a quelque chose à dire de trop important, il l’entraina dans un bureau vide ce qui augurait encore moins bien. Alors elle en avait rajouté, l’insulter lui à l’avance- même s’il y avait l’ombre d’un compliment dans ce qu’elle venait de dire-, parce que normalement il réagissait à ce qu’elle disait et pas comme ça. Elle le regarda un moment avant de s’asseoir et continua de le dévisager. « c’est quoi ton problème Zacharias ? » Tout pour se détacher, rien de nouveau en soi, mais Ari n’était pas prête à ça, pas prête à l’idée de perdre son père.
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Elle pouvait en tromper beaucoup des gens Ariana, avec ses grands airs, sa répartie, sa colère affichée… Pourtant, moi, j’arrivais à lire en elle. Par exemple dans ses questionnements agressifs, certains se seraient vexés ou se seraient sentis insultés, moi je me contentais de rester stoïque, calme, impassible, laissant glisser sur moi ces mots et en l’entrainant jusqu’à un bureau vide où je l’invitais à s’asseoir. Je sentais son regard pesant sur moi alors qu’elle me demandait quel était mon problème. Mon problème ? Je devais lui annoncer quelque chose de terrible, et même si ce n’était pas la première fois que je devais faire ce type d’annonce, c’était la première fois que je devais m’en charger auprès d’une personne à laquelle je tenais, car oui, je m’étais attaché à la jeune femme. Je pris une grande inspiration pour commencer : « Ariana, il ne s’agit pas de moi… » C’était vraiment délicat comme situation. « Ce que je dois te dire ne va pas être facile à entendre. L’état de ton père s’est sérieusement dégradé. Le médecin qui s’en occupait a fait tout ce qu’il a pu mais la maladie s’était trop développée et elle a fini par l’emporter. Il est décédé Ariana. Je suis désolé. »
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