Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHELLO OLD FRIEND. (casey) - Page 2
Le deal à ne pas rater :
Pokémon Évolutions Prismatiques : coffrets et dates de sortie de ...
Voir le deal


HELLO OLD FRIEND. (casey)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

hello old friend

Il m'a serrais contre lui, sans me repoussais. On s'est assis, l'un en face de l'autre. Je voulais recoller les morceaux qu'il y avait en lui, ma mère me disait souvent : Un jour, quelqu'un te serrera tellement fort dans ses bras qu'il recollera tous les morceaux. J'aurais aimé être celle qui recolle les morceaux cassés, de Casey. Pouvoir lui donner autre chose que des doigts glacés et un sourire rongé par les larmes, pour le consoler. Je me suis senti petite et minable. On est si petit sur cette terre, on ne peut rien décider, j'aimerais aller à la banque de la vie et donner tout mon compte à Casey, il le mérite, on le mérite tous, mais il s'est assez battu pour avoir une vie autre qu'enfermer entre quatre murs, emballer dans des draps crades. « J'ai déjà un Cancer, j'ne veux pas en plus d'une MST ! » je ris, tête baisser, je crois que je retiens une larme, mais je me mets à sourire. Elle disparaît dans les plissements de mon visage alors qu'il se déplace pour se mettre près de moi. Je lui tiens toujours la main, comme si ça pouvait changer quelque chose, comme si je pouvais changer quelque chose. Il me regarde un instant et se lance dans un long récit, qui explique sa vision de voir les choses. Je le regarde sans ciller, mes yeux et ma tête son focalisé sur ce qu'il dit, je bois ses mots à grand goulot, essayant de trier ses idées. « Je connais, j'ai vue ça dans le disney Hercule. » dis-je en gloussant, le coupant un peu dans son récit. Il reprit de plus belle, j'essaie d'avoir une vision dans ma tête. Je revois les trois parques dans Hercule, se partageant le même œil afin de se décider si oui ou non, cette être mérite la mort. Avec un tableau géant regroupant chaque âme ayant mal agi dans sa vie. Je vois Casey, à douze ans, la tête dans son lit deux place, sa veilleuse en marche, un livre entre les mains. Il s'évade ailleurs, mieux qu'ici, mieux que n'importe où, dans un entre mondes, ou lui seul est maître de ce qui peut lui arrivais. Ça me fait sourire, je sourire pendant qu'il termine de m'expliquer ce qu'il que, d'après lui, il est entrain de vivre. Et je suis d'accord, non pas parce qu'il a un cancer, mais parce qu'il a raison. Il y a des choses qui nous dépasse dans se monde, des choses inexplicables, les religions n'ont pas pu les expliquer, ni la science alors on décide que ce n'est pas réelle, mais ça l'est. Je reste un moment sans parler, je me rends compte qu'il est vraiment tout près de moi, et mon pacemaker s'emballe. « Je suis d'accord. » dis-je en secouant positivement la tête. « c'est bête que t'es était con dans une autre vie.. je suppose que je les étais aussi, mais j'ai dû me repentir. » dis-je dans un rire nerveux. « Peut être même qu'on était déjà ami en ce temps-là ? On braquais des banques ensemble, et un jour j'tai demander d'arrêter et tu m'as crier dessus ? » dis-je en gloussant, je tenais sa main dans la mienne, puis j'ai regardais en bas. J'ai pris une respiration et j'ai collé mes lèvres aux siennes. Ce n'était pas réfléchi, je le voulais près de moi. Un instant, je voulais qu'on partage le même monde, le temps d'un baiser. Je déposais mes doigts glacés sur sa nuque, penchant ma tête pour donner de l'ampleur à notre échange. Avant de le lâcher doucement, mes yeux dans les siens. « J'aimerais pouvoir débattre avec les Parques pour échanger ta vie avec la mienne. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

hello old friend

« Peut être même qu'on était déjà ami en ce temps-là ? On braquait des banques ensemble, et un jour j'tai demander d'arrêter et tu m'as crier dessus ? » Je lâche un petit rire. « Alors ça expliquerait bien des choses... » Je cherche son regard, mais elle baisse les yeux. Elle contemple nos mains et nos doigts entremêlés. J'ai à peine le temps de voir son regard lorsqu'elle relève la tête pour m'embrasser. Elle pose ses lévres chaudes contre les miennes d'une façon si naturelle que mon coeur s'emballe presque immédiatement. Il bat plus fort, plus vite. Je ne pense soudain plus à rien, ni à la vielle femme qui nous épie du regard depuis son bureau, ni au cancer. Je ne pense plus qu'au moment présent, au baiser que je suis en train de partager avec elle. Ce baiser n'a rien à voir avec celui partagé des années plus tôt. Celui-là est précis, appuyé, tendre. Il n'a rien de l'essai timide que nous avons exquisé bien au par avant. Se détachant doucement de moi, elle plonge son regard dans le mien et ajoute doucement, d'une voix si pleine d'émotions que j'en ai le cœur qui se serre : « J'aimerais pouvoir débattre avec les Parques pour échanger ta vie avec la mienne. » Je ne sais pas quoi répondre à ca. Moi qui ait toujours une réplique à tout, je me retrouve quasi-muet. Mon visage à quelques centimètres du sien, je sens son odeur, son haleine et son souffle chaud. Je pose alors une main dans les cheveux, prés de sa nuque, et l'embrasse à mon tour de façon plus passionnée cette fois. Je sais ce que je fais. Mon autre main vient se placer naturellement dans son dos, prés du creux de sa hanche. J'étreins Alaska comme si j'avais fait ça toute ma vie. À nous deux, nous créerons notre monde, une bulle parfaitement étanche et impénétrable. Je joue de ses lèvres comme si c'était la chose la plus naturelle pour moi. Je n'avais pas ressenti de chose pareille depuis Lavender. C'est si étrange et si soulageant à la fois. J'ai l'impression d'être léger. Voulant m'appuyer sur l'étagère, je pousse des livres qui tombent de l'autre côté dans un bruit sourd. Je me détache alors d'elle en explosant de rire. Quand je repose mon regard sur elle, la bulle éclate. Je suis presque éjecté de notre petit monde et reviens à la réalité. Que somme nous en train de faire ? Que va penser Elio s'il apprend que j'ai embrassé sa petite soeur ? Surtout alors que cette dernière sort avec Jorden, qui est dans ma maison ? Mais je n'en dis rien à Alaska et me contente de l'attirer contre moi. Je pose ma tête contre son cou, tandis qu'elle se retrouve à hauteur de mon épaule et de mon torse. Je respire bruyamment. Je sens son cœur contre moi. Je lui murmure alors dans le creux de l'oreille : « Et tu crois vraiment que je te laisserais faire ça ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

hello old friend

J'avais réveillé quelque chose en lui, quelque chose enfuit, de profond. Je m'attendais à tout, sauf à une réponse positive. Je le voyais déjà se redresser dans un bond, ramasser ses affaires et faire tomber la pile de livres qui était à la sortie de l'allée où nous étions, s'excuser auprès de la morue pour se désagrément. Ou encore tourner la tête, nerveusement, chercher ses mots afin de me dire à quel point je suis stupide de penser que l'embrasser était une solution. Mais il ne fit rien de tout cela, il fut surpris certes, mais ne mettait pas fin à cette étreinte. Je posais mes doigts glacés dans sa nuque, sentant son pou s’accélérait. Je ne pouvais m'empêcher de pencher la tête pour y mettre de la profondeur. Je n'avais jamais eu droit à ce genre de tendresse intense et sincère de la part de qui que ce soit. Que ce soit Jorden, mon soit disant petit ami ou n'importe quel autre amant qui avait eu le privilège de mes baisers. Instinctivement, je repense à mon tout premier. Nous étions sous le froid de l'Irlande et nous n'avions pas trouvé d'autre solution pour nous réchauffer que de nous coller l'un à l'autre, et une chose en suivant une autre, on a décidé de se donner plus qu'une main. Je vous laisse imaginer une petite fille avec des tiges en plastique qui lui sort du nez et un petit garçon chauve, qui se penche maladroitement l'un vers l'autre, avant de s'échanger un ridicule petit smack. Suite à ça, ils deviennent tout deux rouges tomate et gloussent bêtement, avant de se dire qu'ils s'aiment. Elle, le pense vraiment, parce qu'il a était source d'énergie pour ses moments difficiles, lui, reste un mystère. Un éternel mystère. On se lâche, j'ai le souffle court, la tête dans les nuages et je me dis que ça ne peut pas finir comme ça. Sa vie ne peut pas finir comme ça. Après avoir lutté tant d'années, fait tant de guerres avec soit même, avec les médicaments, il ne peut pas finir comme ça. Alors je lui dis ; d'une voix douce et sincère, que j'aimerais débattre avec les Parques pour qu'il reste près de moi, près des gens qui l'aiment. Il est comme scotché face à ma révélation, mais je le pense, je le pense vraiment. Est-ce qu'elles ont penser à tout ceux qui aller le regretter ? À toutes les vies qu'elles allaient gâcher en coupant le cordon de sa vie. J'ai toujours ma main dans sa nuque, je sens son cœur s'emballer et son souffle qui effleure le mien. Il se penche, j'hésite, et je lui offre une troisième fois mes lèvres. Dans quelque chose de plus passionner encore, ses doigts s'emmêler dans ma chevelure. La chaleur de son corps, se mêle à mon petit corps glacé, j'ai l'impression de fondre sous ses bras. Je le laisse faire, passant ses mains dans mon dos pour la maintenir, je me contente d'apprécier le moment présent. Je regrette d'avoir perdu mon temps avec tous ses garçons, j'aurais dû le retrouver, depuis septembre. Il a eu tellement d'occasions, mais j'ai tellement hésité. Je me suis dit : c'est une mauvaise idée. Je me suis dit : il n'a peut-être pas envie de me voir. Alors j'ai laissé le temps couler, sans savoir qu'il était compté. Je me laisse pencher en arrière, il essaye de prendre appuie, mais... BAM. L'étagère des sciences-fictions s'effondre. Je fais une tête choquer, alors qu'il est mort de rire. J'entends les pas de la morue se rapprocher, elle nous lance un regard noir et je la stoppe tout de suite avant qu'elle ouvre la bouche : « je vais nettoyer, continuais à râler sur les autres. » dis-je d'un ton sérieux, d'ailleurs, je ne sais même pas d'où sors se ton sérieux. Je m'assure que tout va bien chez Casey, qui rit encore. « ça va ? Tu ne t'es pas fait mal avec un Harry Potter ? » dis-je en soulevant un livre qui était tombé sur mes genoux. Il sourit et pendant que je fais une petite pile à ranger plus tard, il se détend. Je sens sa tête sur mon épaule quand je prends, les reliques de la mort. « Et tu crois vraiment que je te laisserais faire ça ? » Bien sûr, bien sûr que tu me laisseras faire. Je ne t'ai pas demandé ton choix, ni ton avis. Si je pouvais réparer ça, je le ferais, je ferais un million de bonnes actions pour toi, je donnerais mes journées aux œuvres de charité, mon corps au bénévolat, ma garde-robe à Parques si elles me le demandent en échange de ta personne, je le ferai. Je soupire, et passe mes doigts dans ses cheveux. « Tu te rends pas compte, Clotworthy. Je ferais tout pour que tu restes en vie.. Mais parfois, c'est pas à moi de décider. » je me rends compte que je ne suis qu'un être humain parmi tant d'autres, je ne peux pas sauver des vies, je ne peux pas changer le monde, je ne peux que le subir. « Et si on partait ? Faire le tour du monde ? Élever des autruches dans ces pays ou y a que 62 habitats et des poussière. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

hello old friend

S’il nous a fallu une semaine seulement pour nous apprendre à nous connaitre, quelques jours pour échanger notre premier baiser, et des années avant de nous retrouver ; nous n’avons cependant eu besoin que d’heure environ pour nous retrouver dans les bras l’un de l’autre. C’est tellement déroutant comme situation que je ne sais plus quoi dire ou même quoi faire. D’habitude, quand je vois ce que certaines personnes disent et font lors de situations aussi complexes et étranges que celle-là, ça me donne envie de rire. Et si le rire est un instrument puissant, tout comme le sourire, le rire montre cependant la joie tandis que le sourire se contente parfois de la cacher. Dans une vie, il nous arrivera de voir plus de faux sourires que de joies sincères. Ça aussi ça me donne envie de rire ; parce que la vie est trop courte pour se cacher derrière des faux-semblants ; qu’elle est trop cruelle pour qu’on n’essaie pas de la contredire en lui montrant quand elle viendra chercher son dut, qu’on a su profiter de ses merveilles jusqu’au bout. Mais  il m’arrive aussi de rire parce que je n’ai plus la force d’avoir mal ; qu’endurer toute la misère du monde n’est pas pour moi et que profiter de chaque instant est plus important que de les dénigrer. Et pourtant, ici, assis sur le sol de la bibliothèque d’Harvard en compagnie d’Alaska, je ne sais pas si je dois rire ou m’inquiéter. La sur-émotivité est un des nombreux effets secondaire de la chimiothérapie, mais je ne m’en croyais pas atteint jusque-là. Peut-être que je ne le suis pas vraiment mais que la situation est réellement trop particulière pour que je réagisse de façon lucide. Alaska me dit des mots doux, si doux et légers que j’en ai le cœur qui se serre ; tout ça est allé trop vite, je ne sais plus à quoi m’en tenir. Le matin même je n’aurais jamais pu imaginer me retrouver assis sur le sol de la Winder library avec elle, ne serais-ce une seconde, et après l’avoir embrassé qui plus est. « Et si on partait ? Faire le tour du monde ? Élever des autruches dans ces pays ou y a que 62 habitats et des poussières. » Détachant mon étreinte d’elle, je me mets dos à l’étagère, balançant la tête en arrière. Je reviens doucement à la réalité. Sa description me fait penser à l’Australie et à son désert de poussière rouge. « Alaska dans le désert Australien, comme c’est contradictoire… avec des autruches en plus de ça !» Je lui souris. Ma tête est assaille de questions. J’essaie en vain de reprendre mes esprits vis-à-vis de ce qui vient de se passer. J’étais tellement bien que je n’ai pas réfléchi une seconde aux conséquences de nos actes. Je me suis contenté d’agir sur le moment, porté par l’émotion qui m’a submergé. Le regard dans le vague, je remarque que mes yeux sont tournés vers une affiche disant : « Les lecteurs sont des êtres qui vivent plusieurs vies en une seule. », illustrée par l’image d’une fille à la fois sirène, chevalier, étudiante et survivante d’un monde post-apocalyptique. J’hésite à lui prendre la main, mais je ne le fait pas. Je lui dis alors d’une voix qui se veut douce : « Qu’est-ce qu’on vient de faire ? J’veux dire, pas que je regrette, mais t’as un copain, ton frère est mon meilleur ami, on vient à peine de se retrouver… dis-moi que toi aussi tu trouves ça rapide… » Je suis complètement perdu. Ça aussi c’est peut-être un des effets de la chimio, l’incapacité à comprendre une action que l’on vient de réaliser. Je pense que non. Ce sont surement les Parques qui se jouent de nous. Mais je ne veux remettre la faute sur personne, parcequ’au fond, je l’ai moi aussi souhaité ce baiser.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
HELLO OLD FRIEND. (casey)  - Page 2 Tumblr_nc5rzfdBta1qdfk75o1_1280 « Et bien, Alaska en Alaska ce serait bizarre aussi, mais ça me plaît, on peut vivre dans un igloo et prendre des husky comme chien de traîneau. Se nourrir de poissons et faire des batailles de neiges. » dis-je en faisant des grands gestes comme une illustrait mes penser. Nous étions restés dans un silence doux et agréable. Un silence dont je n'avais pas eu le droit depuis mon arrivée dans cette université ou tout semblais être bruyant. Tout est toujours en train de bouger, tout le monde est toujours en mouvement. C'est comme être en permanence sur des rochets qui flottent et devoir passer d'un rochet à un autre, sous peine de tomber dans un gouffre sans fond. J'avais peur de tomber, alors je me suis mis au rythme du monde qui m'entoure, en dépend du fait que j'avais le vertige et des hauts le cœur à chaque fois que je passais d'un rochet à un autre. Et quand je n'en peux plus, quand je me dis que je vais tout laisser tomber : je lis, je me cache dans l'immensité de Poudlard, je me noie dans les profondeurs dans les déclarations d'Alaska Young, je cours dans les forêts du district 12, encore et encore. J'essaie de me dire que la réalité est trop compliquée et que personne n'est bon, jusqu'à ce que je tombe sur Casey, ici et maintenant. Son calme m'apaise, je retrouve de nouveaux pieds. Le monde n'est pas si cruel que ça, et il y a des gens bien, il faut juste les trouver. Et sa tête contre mon cœur en plastique, je me demande ou sont partie ses penser, jusqu'à ce qu'il brise le silence, d'une voix douce et calme : « Qu'est-ce qu'on vient de faire ? J'veux dire, pas que je regrette, mais t'as un copain, ton frère est mon meilleur ami, on vient à peine de se retrouver... dis-moi que toi aussi tu trouves ça rapide... » Je réfléchis un instant, c'est vrai que les choses étaient allées un peu vite. Un peu trop même, je voulais juste le dire bonjour à la base, et non fourrée ma langue dans sa gorge. Je tripote les reliques de la mort, nerveusement. Je repense à la crise qui m'avait éclaté au visage quand Elio a appris que je parler à son ancien meilleur ami. « Avant tout, il faut que tu saches que Jorden et moi, on est plus ensemble. Je l'ai aimé et il en a joué et c'est tant pour lui et en ce qui concerne Elio.. » c'était autre chose, je n'avais pas parlé à Elio depuis un moment, alors que j'en avais bien besoin. Des rumeurs sur lui se lever depuis qu'il s'était disputé avec Konrad et surtout depuis qu'il était vu en compagnie d'Eugène, je sais plus quoi, il était gay. D'après ce que les rumeurs disent et je n'ai jamais pu lui en parler, je ne connaissais pas l'envers du décor et ça me gêner de ne rien savoir de la vie de mon frère. Il faut dire qu'il n'a pas bronché non plus lorsqu'il a sût que Jorden et moi étions ensemble, alors pourquoi s'en mêlerait t-il maintenant ? « On dit rien ? On garde ça pour non ? Notre petit secret. » dis-je en sourire, je me tournais vers lui pour lui faire face. Ses yeux d'un bleu éclatant, était si pure que je ne cessais de les regardais. « Je ne regrette pas. Même si Elio m'enferme dans une tour parce que je t'ai embrasser, j'le regretterais pas. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
HELLO OLD FRIEND. (casey)  - Page 2 Tumblr_nc5rzfdBta1qdfk75o1_1280 « Avant tout, il faut que tu saches que Jorden et moi, on est plus ensemble. Je l'ai aimé et il en a joué et c'est tant pour lui et en ce qui concerne Elio… » Je soupire et ferme fort les paupières, tournant la tête sur le côté avant de faire rouler mes yeux vers elle, et m’empêchant de déglutir bruyamment. Ses yeux sont plongés dans les miens, et sa voix est si douce lorsqu’elle me propose de garder ça uniquement pour nous, que je ne peux m’empêcher de confirmer ses paroles : « Ouais. Oui, on fait comme ça… ». Au fond, qu’avons-nous fait de mal ? Nous sommes deux jeunes gens un peu perdu qui viennent de s’embrasser après des années sans se voir et qui plus est, la jeune femme est question est la sœur du meilleur ami (ou du moins son ancien) du jeune homme, qui risque d’ailleurs de tuer à mains nues ce dernier s’il apprend un jour ce qui s’est passé entre eux. « Je ne regrette pas. Même si Elio m'enferme dans une tour parce que je t'ai embrassé, j'le regretterais pas. » Je lui décroche un sourire en coin, essayant de ne pas trahir l’inquiétude qui monte peu à peu en moi. Je e regrette pas non plus, pour tout dire. Au contraire, pas du tout même. « S’il t’enferme dans une tour, j’irais jouer les preux chevaliers… », puis attrapant une de ses mèches blondes entre les doigts, je murmure : « Sauf que tu as encore du temps avant de pouvoir jouer les Raiponces… » Me rapprochant à nouveau d’elle, j’attrape la pile de livres qu’elle a constitué avec ceux que j’ai fait tomber, et commence à les rangers dans l’ordre, selon les numéros indiqués par leur étiquette. Et tandis que je classe les livres, le silence s’installe un peu entre nous. Je crois qu’elle est perdue dans ses pensées, tout comme je le suis, mais je n’ose pas jeter un regard pour vérifier. Je pense alors aux plaines de l’Alaska auquel elle a fait allusion un peu plus tôt. Je pense au froid, au blanc, au calme. Je pense à elle. Alaska n’est ni froide ni très calme. Elle est pleine de vie et aussi chaleureuse que le Brésil. Mais elle est aussi forte, grande et indépendante qu’est l’Alaska. Je pense ensuite au désert Australien, auquel j’ai moi-même pensé au départ, lorsqu’elle a envisagé l’idée d’un exil à deux. Je pense à ces longues étendues rouges de sable et de poussière que je n’ai jamais vu, à la chaleur constante du soleil du sud contre mon visage que je n’ai jamais senti, au calme que je n’ai jamais entendu et au silence que je ne briserais jamais. Je m’imagine lors des derniers jours de ma vie, habiter là-bas une petite cabane de bois délavé par le temps, construite au milieu des arbustes aussi secs et rachitiques que la bibliothécaire elle-même, avec pour seul repère là où l’aube se lève. Je m’imagine regarder le vent pousser les grains de sables, confortablement installé sur un fauteuil usé, loin de tous ceux que j’ai connu et qui pourraient souffrir de mon départ, attendant de sombrer dans le long sommeil. Mais ma fin n’aura rien d’une poétique absence solitaire dans le désert rouge. Je serais dans une chambre d’hôpital blanche et propre, des tuyaux sortants par douzaines de mon corps maigre et faible, la bave aux lèvres et le cerveau tellement embrouillé par les antidouleurs que je n’aurais même pas conscience de ma mort imminente. L’odeur de sable chaud sera remplacée par celle du produit antibactérien, et l’éloignement avec mes proches ne sera que d’une salle d’attente, si j’ai un peu de chance. Chassant cette pensée macabre de ma tête, je jette un coup d’œil à Alaska et ne peut m’empêcher de lui sourire, mais la sincérité n’y est pas. Me rapprochant d’elle, je la regarde dans yeux et tout en replaçant une mèche derrière son oreille, dis : « Je ne veux plus faire souffrir les gens que j’aime. Il en va de même pour les retrouvailles de longue date. Je ne veux plus que les gens souffrent par ma faute. Je… J-je veux pas que tu… faut pas que tu t’attaches trop à moi, tu comprends ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
HELLO OLD FRIEND. (casey)  - Page 2 Tumblr_nc5rzfdBta1qdfk75o1_1280 « S'il t'enferme dans une tour, j'irai jouer les preux chevaliers... », je glousse bêtement à ses mots. Ma tête se pose entre deux livres, alors qu'il attrape une de mes mèches dorées, la tournant autour de son doigt, il conclut : « Sauf que tu as encore du temps avant de pouvoir jouer les Raiponces... » je ne fais que sourire à ses mots, que pouvait-je dire de plus ? On s'enferme dans un silence, alors qu'il se décide à ranger les livres qu'il avait faits tomber. J'avais toujours Harry Potter dans la main, que je pris un instant, feuilleton les pages. J'avais l'impression de retomber à mes six ans à chaque fois que j'avais ce livre en main. Comme tomber dans un trou où je pouvais revoir l'ancienne Alaska, dévorant la page 58 de son bouquin totalement tordu et écorcher. Les pages étaient déjà courbées, jaunis par ses mains et les côtés ne ressemblait plus à ce qu'ils étaient à la page 10. Cette petite blonde aux yeux claires, se tordant dans tout les sens, la tête dans les nuages de Poudlard. Je lève les yeux vers Casey, il est concentré dans ce qu'il fait. Comme il la toujours était. Et je me demande comment ça se passe dans sa tête, si lui aussi, il a déjà eu besoin de se plonger dans son Poudlard pour ne penser plus à rien d'autre. Au moment où j'envisage de lui demander, il se tourne vers moi. Ses yeux dans les miens, je m'attends à un second baiser, ou à un au revoir. « Je ne veux plus faire souffrir les gens que j'aime. Il en va de même pour les retrouvailles de longue date. Je ne veux plus que les gens souffrent par ma faute. Je... J-je vex pas que tu... Il ne faut pas que tu t'attaches trop à moi, tu comprends ? » je comprends, alors je secoue la tête positivement. Mais je comprends aussi que ça peur de voir sa mort en face. La mort en elle-même est quelque chose de terrifiante et de connaître le nombre de jours qu'il nous reste l'était encore plus. Je baisse les yeux et sers Harry Potter contre moi. Il était trop tard déjà, trop tard pour que je me détache, trop tard pour que j'oublie. Il aurait fallu s'y mettre dans notre jeune âge, refuser de me parler, éviter de me répondre, ignorais mes appels au secours. Alors je secoue la tête, replonge mes yeux dans les siens, avale ma salive, et dans le même ton doux et serein que j'avais au part avant je dis : « Je pense.. je pense que c'est trop tard. » j'hausse les épaules, il n'y a pas d'autre solution. « Tu vois le problème avec le genre humain en générale, c'est qu'on est souvent blessé. Blesser par des mots , par des gestes, par des objets, parfois même parfois des personnes. Des personnes qu'on ne connaît pas, qu'on connais aussi, qu'on déteste, qu'on méprise, mais aussi par des personnes qu'on aime. Et c'est peut-être le plus dur, quand c'est une personne qu'on aime qui nous fait du mal. » je marque une pause, je sens mes larmes remonter. J'essaie de les avaler, chasser du revers de ma main, me concentrer sur autre chose. Calme-toi, ne paniques pas, tout va bien. Je prends une inspiration, mets une mèche derrière mon oreille et reprends. « On a pas le choix, le monde fait en sorte qu'on soit blesser pour quelle que soit la raison.. Mais parfois, il nous laisse le monopole du choix. Choisir les choses, les gestes et les gens qui nous font du mal. Je prends l'exemple de ce garçon qui veut se faire tatouer tout le bras, de cette fille qui est amoureuse du garçon qui l'appelle : ma pute, de ces gamins qui se mettent des glaçons dans le dos, quand ils s'y attendent le moins. De cette fille, un peu trop perdue, qui retombe sur son amour d'enfance et qui est contre l'idée de le laisser partir. Peut-être que ça la brisera, va savoir, peut être qu'elle va s'en mordre les doigts, qu'elle va mourir de tristesse à petit feu. Mais peut être que ça ne la ne dérange pas, parce que c'est mieux que de se dire qu'elle n'a rien fait pour le garder près d'elle. Mes yeux sont de nouveau dans les siens, je suis sûre de moi, je ne tremble plus. Je n'avais aucunement l'intention de partir, de le laisser et revenir comme une fleur lorsque les Parques se serait mises d'accord pour couper le fil de sa vie. Je ne voulais pas arriver à son enterrement en aillant en tête le gamin de dix ans que j'ai connu, je ne voulais pas le revoir allonger, inanimé en me disant qu'il était serein et en paix. « Donc.. Je vais te demander une faveur, si t'es d'accord. Monsieur Clotworthy, blesse-moi. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
HELLO OLD FRIEND. (casey)  - Page 2 Tumblr_nc5rzfdBta1qdfk75o1_1280 Et si j’étais mort en septembre ? Et si Kennedy m’avait emmené trop tard aux urgences ? Alaska aurait-elle appris mon décès par Elio ? Certainement. Comment aurait-elle réagit ? Après tout, la seule image qu’elle aurait gardée de moi aurait été celle d’un enfant. Serait-elle venue à mon enterrement ? Elle aurait prononcé un discourt sur l’enfant plein de vie que j’étais ? Surement.  Et si Elio ne lui avait jamais dit que j’étais à Harvard comme elle, m’aurait-elle reconnu ? J’ai quand même bien changé ; mais elle aurait certainement vu mon nom quelque part ! Et si elle n’était pas venue à moi, serais-je venu à elle ? Peut-être, j’aurais bien fini par apprendre qu’elle était là également, et ma curiosité l’emporte toujours. Si j’avais su ce qui allait se passé, aurais-je agit ainsi ? Aucune idée. Je regrette ? Oui, de la blesser. Non, au fond j’l’ai toujours prédit ce baisé, mais seulement dix ans plus tôt. J’vais faire quoi maintenant ? Je n’en sais rien. Trop de questions se bousculent dans ma tête. La voix d’Alaska rompt le fil de mes pensées, et me fait revenir sur terre. Elle m’explique qu’elle ne veut pas me laisser partir, tout en laissant rouler quelques larmes sur ses joues. Mon cœur se serre à chacun de ses mots, donnant des réponses à certaines de mes questions. Elle tremble, et je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras, ne supportant pas de la voir dans un tel état par ma faute. Sa peau est glacée et je m’efforce de la réchauffer tout en l’écoutant parler. Je suis dans des montagnes russes d’émotions. Elle parle encore, et m’explique que même si elle va s’en morde les doigts, elle ne s’éloignera pas. Et plus elle parle, plus elle se calme. Ses tremblements cessent, tout comme ses larmes. Sa peau est toujours froide mais elle le sera toujours et elle l’a toujours été. Je ne sais plus quoi penser. Je suis partagé entre des émotions et des pensées contradictoires. Et lorsqu’elle me regarde dans les yeux et me dit de sa voix d’adolescente de dix-huit ans : « Donc.. Je vais te demander une faveur, si t'es d'accord. Monsieur Clotworthy, blesse-moi. », je craque. Je ne sais soudain pour où donner de la tête, je ne sais plus quoi faire. J’ai chaud et je n’arrive pas à articuler un mot : « J-je… ». Mon cœur bat tellement fort que j’ai l’impression qu’il va lâcher. Le traitement, comme ils me l’ont prédit amplifie toutes mes émotions bonnes comme mauvaise. Ma tête est submergée de souvenirs et de flash la concernant, concernant toutes les personnes que j’ai blessé et que je vais blesser indirectement simplement parce que je suis la personne que je suis. Je me déteste. Je me déteste de devoir vivre avec ça, de faire du mal aux autres simplement en étant vivant. J’aurais voulu être un enfant comme les autres, plein de vie et de bêtise ; avec deux parents, une place dans l’équipe de Cricket, une petite amie, une rupture, un bal de fin d’année, des cheveux, de l’acné et des nuits blanches devant les jeux vidéo avec mes potes à parler filles et histoires de fesses. J’me serais mis à l’envers pendant une soirée, j’serais rentré chez moi trainé par des amis et j’aurais vomi toute la nuit. Ma mère m’aurait engueulé et j’aurais été privé de sorties. J’aurais joué au baseball avec mon père et j’aurais bu ma première bière avec lui. Mais je n’aurais jamais rencontré Alaska, ou même Elio, et encore moins Emma, ni Maddie, mes demi-sœurs. Je ferme les yeux quelques secondes et prend une grande inspiration avec de murmurer à  l’intention d’Alaska : « Si c’est ce que tu souhaites… » Et tout en approchant mon visage du sien, à quelques centimètres seulement, assez près pour sentir son souffle chaud qu’elle expire par le nez, je termine ma phrase : « …mais tu vas le regretter. » Je passe mon pouce sur ses lèvres, retenant l’envie que j’ai de l’embrasser à nouveau. C’est d’ailleurs plutôt étrange d’avoir cette envie. Même si je connais Alaska depuis longtemps et que j’étais amoureux d’elle quand j’étais gosse, il s’est passé énormément de choses depuis, nous avons tous les deux changé et nous nous retrouvons dans le bras l’un de l’autre sans même avoir pris le temps de savoir ce qui s’est passé ses dernières année où nous nous sommes perdus de vue, sans même prendre le temps de se redécouvrir. C’est peut-être le coup de l’émotion qui fait ça, j’en sais rien. J’aurais réagi de la même manière si j’avais été en couple ? Certainement, mais comment je peux le savoir, je ne suis indéniablement pas en couple. Prenant délicatement l’exemplaire d’Harry Potter qu’elle a gardé dans ses mains depuis que j’ai fait tomber la rangée de l’étagère, je le range avec les autres. Me relevant, je lui tends également la main pour qu’elle se mette debout. Après tout, nous n’allons pas rester sur le sol de la bibliothèque indéfiniment, et sans parler de bouger dans un endroit précis, on peut juste faire semblant d’être des personnes normales et civilisées ? Lui souriant, j’efface avec l’index le peu de mascara qui a coulé sous ses yeux. « J’suis désolé d’étre celui que je suis, tu sais. ».
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
HELLO OLD FRIEND. (casey)  - Page 2 Tumblr_nc5rzfdBta1qdfk75o1_1280 Peut on considéré que Casey est mon premier vrais amour ? Aimer une personne lorsque l'aimer est juste le plus important. Lorsqu'on sait que cette amour est réciproque et pure. On a pas ses soucis d'ex qui monopolise les discussions, les gens qui tourne autour, les mauvaises personnes qui ne cherche qu'à mettre leurs grains de seuls dans votre histoire, juste l'amour. Tu m'aimes ; je t'aime, qu'il en soit ainsi. Et c'est sûrement la raison pour lequel je ne lui veux que du bien, parce qu'il ne m'a jamais de mal, de faux espoir, que son amour a toujours était pur. Et aussi la raison pour lequel, ça ne me dérange pas qu'il m'en face. Il est tout de mal choquer par mes propos, ses yeux brilles de fatigue et il garde la bouche béante, le temps d'avaler ma demande. Il doit se dire : est-ce qu'elle est masochiste ? Est-ce qu'elle se crois dans 50 nuances de Grey ? Est-ce qu'elle se rend compte que souffrir n'est une activité de groupe à faire, lors d'une pyjama party ? Est-ce qu'elle est stupide ? « Si c’est ce que tu souhaites… » j'affiche un grand sourire, un peu gamin. Je me rend compte que la tâche ne seras pas facile, que les choses ne seront pas comme je l'imagine. Il s'approche de moi, passe ses doigts le long de mon visage, je retiens un gloussement nerveux. « …mais tu vas le regretter. » finit-il par lâcher, ses doigts sur mes lèvres. Je ne sourit plus, je me rend compte de tout ce que je vient de promettre, de toute ce que je vais devoir subir, du grand final. Si il venait à mourir, si il venait à partir, que deviendrais-je ? Moi, même cœur d’artichaut. Je souffle : « that the thing about the pain, it demands to be felt. » John Green la dis, et j'approuve John Green. John Green qui cite Peter Van Houten, d'ailleurs. Mais il avait raison, pour avoir l'arc en ciel, il faut passer par la pluie. Pour avoir de la joie, il faut passer de la souffrance. N'est-ce pas comme ça que le monde tourne ? Une grande histoire de karma. Faire le bien pour récolté le bien, faire le mal et le recevoir aussitôt. Il prend Harry Potter et le range dans la pile, avant que la vielle morue ne disent quelques chose à se sujet. D'une main, il m'aide à me redresser, je nettoie mon jean à coup de main et lise mon tee-shirt. Je devrais checker mon make up après la centaine d'émotion que je viens de traverser, mais ce serais un peu de trop. Après tout la vrais Laska a les cheveux court, la joie de vivre et s'en fiche d'être en pyjama ou pas maquiller. Il passe d'ailleurs un doigt sur une imperfection de mon make up, avant de murmurai.  « J’suis désolé d’étre celui que je suis, tu sais. ». je lève les yeux vers lui comme choque de ses mots. On peut être désolé d'avoir bousculer quelqu'un, désolé de ne pas avoir enregistrer l'émission préféré de maman, désolé d'avoir oublier un livre qu'on doit rendre à une copine depuis trois mois, désolé de se tromper de prénom quand on vient d'arriver dans une école, désolé d'oublier un anniversaire, mais jamais, ô grand jamais, être désolé pour être ce qu'on est. « Ne t'excuse jamais pour être ce que tu es. Le cancer fait partit de nous, ce n'est pas ta faute si ton corps en a assez. Rien des tout ça n'est à cause de toi, ce n'est la faute de personne. C'est la volonté du grand barbue. » dis-je en désignant le ciel. Combien de fois est-ce qu'il a voulu me rappeler et a finalement laisser tomber l'idée. Il avait d'autre projet pour moi et j'en était consciente. Ma mère me l'avait appris en me lisant la bible quand elle pensait que j'allais finir ma route, mais il m'a donner une chance et je la saisit à grand pas. Je me diriger vers la sortit, en passant devant la vielle morue, je murmurais d'ailleurs : à bientôt. en quittant les lieux, je fait une note à moi même en me disant de ne plus revenir ici avant qu'elle crève ou qu'elle soit à la retraite. « Tu sais, quand on était gosse les filles de ma classe me demandais souvent ce que j'te trouver. Parce que t'était pas le plus beau avec ton crâne raser et ta bouille de hamster. J'me rappel qu'une fois, Cassandra Fox, la fille la plus chiante qui puisse exister sur cette planète m'avait demander de cité trois bonnes raison de t'aimer, et je lui ai dit : j'te le dirais pas. Parce que tu risques de tomber amoureuse de lui aussi, si j'te le dis. »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)